Belges

Belges
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Carte des peuples gaulois.

Les Belges (en latin Belgae) sont un peuple antique de Gaule septentrionale (Gaule belgique) ayant également colonisé l'île de Bretagne (ou Bretagne insulaire).

Sommaire

Ethnonymie

Le terme belge serait issu du celtique *bhelgh « se gonfler, être furieux » (voir le gaulois *bolga « sac de cuir » et le vieil irlandais bolg « soufflet, ventre »). Il faudrait le comprendre soit comme « les furieux », soit comme « les fiers, les vantards, ceux qui se gonflent comme une outre »[1],[2]. Le celtique *bhelgh dérive de la racine indo-européenne *bhel- « gonfler ».

Origines

Longtemps les Belges furent considérés comme un peuple gaulois, ou comme un peuple germanique dominé par une aristocratie gauloise (hypothèse suggérée par le fait que les noms des chefs belges sont d'origine celtique, ainsi que les toponymes anciens et non pas germaniques. Des analyses plus précises[réf. nécessaire] des noms de leurs tribus, de leurs chefs et de leurs dieux amènent à ces diverses hypothèses: certaines tribus seraient authentiquement gauloises (comme les Remi, les Bellovaci, les Morins ou encore les Atrebates)[réf. nécessaire]; d'autres montreraient des caractères germaniques (Nervii, Aduatuci, Condruses, Menapi, ...) selon César (De bello gallico ii 4) certains auteurs suggèrent un troisième groupe, pas vraiment germanique, avec des affinités italiques (Paemani, Menapi...).

Histoire

Les premiers Celtes

En 500 av. J.-C., habités par des Celtes, les pays belges actuels subissent les influences de la Tène et commercent avec le monde méditerranéen. Dès 150 av. J.-C., les premières monnaies celtes font leur apparition. Les diverses tribus vivant sur ces territoires à cette époque étaient les Éburons, les Aduatiques, les Nerviens, les Ménapes, les Morins et les Trévires. Une partie des peuples belges entament une migration vers les îles Britanniques dès les années 200 av. J.C. et s’y installent durablement. Le lien continuera d’exister entre ces « deux » peuples belges : le chef Commios, fuyant les Romains en Gaule, fuira en Bretagne chez les Belges.

Les relations avec les Romains

Par ailleurs, selon Strabon, leurs territoires se situaient entre le Rhin et la Loire et selon Jules César ils sont séparés des Celtes ou Gaulois par la Marne et la Seine, délimitation quelque peu arbitraire de César puisqu'il connaissait très peu les peuples du nord-ouest de la Gaule, ayant principalement délégué ses légats pour soumettre les tribus d'Armorique. Ainsi, les tribus belges des Morins et des Ménapiens sont alliées à d'autres du littoral dont les Osismes et les Lexoviens lors de la campagne maritime romaine contre les Vénètes[3]. César signale aussi que ce seraient des Belges qui occupaient à l'époque de la Guerre des Gaules les territoires maritimes de la Bretagne insulaire, ce que confirme Dion Cassius.

Venant de la moyenne vallée du Rhin et de la rive droite au nord du Main, les Belges arrivent dans la région où ils sont signalés à l'époque historique vers -600. Ils y supplantent des Gaulois[4]. Certains Belges semblent ensuite avoir migré vers les Balkans : on les signale en Bulgarie en -298, ils traversent l'Illyrie et attaquent la Macédoine (-260) et sont défaits par Attale Ier. Des éléments belges s'intègrent par la suite avec les Galates[5].

César, dans la Guerre des Gaules décrit ainsi les populations habitant la Gaule :

« Gallia est omnis divisa in partes tres, quarum unam incolunt Belgae, aliam Aquitani, tertiam qui ipsorum lingua Celtae, nostra Galli appellantur. Hi omnes lingua, institutis, legibus inter se differunt. (La Gaule tout entière est divisée en trois parties : les Belges habitent l'une, les Aquitains l'autre et ceux qui s'appellent Celtes dans leur propre langue et que nous appelons Gaulois dans la nôtre occupent la troisième. Ces nations diffèrent entre elles par le langage, les institutions et les lois.) »

Il poursuit en précisant, dans sa célèbre « éloge » du peuple belge, que les Belges sont les plus braves parmi ces trois peuples car les plus éloignés de la culture et de la civilisation de Rome. Il explique aussi que les Belges (du Nord) descendent de tribus ayant traversé le Rhin longtemps auparavant. Selon lui, les Belges avaient acquis une rude réputation en combattant les Germains. L'archéologie moderne pourtant contredit César : les Belges n'étaient nullement retardés, ils ont même introduit les premières pièces de monnaie en (Grande) Bretagne[6].

En -57, Jules César, ayant appris que les Belges ont conclu une alliance contre Rome, se dirige vers leur territoire à la tête de huit légions. Les Rèmes s'allient à César, qui installe son camp sur l'Aisne. La première confrontation a lieu le long de ce cours d'eau et s'achève par la retraite dans le désordre des Belges (bataille de l'Aisne). César assiège alors l'oppidum des Suessions, qui se soumettent finalement sans combattre. Les Bellovaques et les Ambiens font de même. Les Nerviens, les Atrébates, les Viromanduens et les Aduatuques forment alors une nouvelle coalition contre les Romains, mais César les défait lors de la bataille du Sabis. Les Aduatuques, qui n'étaient pas arrivé à temps sur le champ de bataille, sont soumis peu après. Au terme de cette campagne, la Belgique est pacifiée.

À la fin de l'été -56, César attaque les Morins et les Ménapiens. Il ravage leur terre, mais ne peut les soumettre, car ceux-ci tirent parti du terrain boisé et marécageux. En -55, ses légats soumettent enfin Morins et Ménapiens et les légions romaines hivernent en Gaule belgique.

Langue

La nature de la langue (ou des langues) parlée par les Belges est incertaine, vu l'absence d'écrits. Les hypothèses dans ce domaine se fondent principalement sur les témoignages des auteurs antiques et sur l'étude des noms de leurs tribus, de leurs chefs et de leurs dieux, cités dans les textes antiques, ainsi que sur l'analyse de la toponymie. Une de ces hypothèses énoncée par Maurits Gysseling fait état d'une langue belge parlée dans l'Antiquité dans le nord de la Gaule.

Les témoignages antiques

Dans ses Commentaires, Jules César commence par affirmer que les Belges, tout comme les Aquitains, diffèrent des Celtes ou Gaulois par « le langage, les institutions et les lois ». Il ajoute que les Germains vivent au delà du Rhin[7].

Plus loin, il signale pourtant que des Germains sont installés en deçà du Rhin[8] et il précise que les Condruses, les Éburons, les Caeroesi et les Pémanes sont appelés Germains[9]. Il utilise également l'expression Germani cisrhenani (« Germains d'en deçà du Rhin »)[10]. Il affirme enfin que les Aduatuques sont des descendants d'un groupe de Cimbres et de Teutons[11], peuples généralement considérés comme germaniques, et que les Sègnes et les Condruses sont d'origine germanique[12].

On trouve cependant également chez César des passages en faveur de la celticité des Belges. Il fait dire à Ambiorix, roi des Éburons : « il était bien difficile à des Gaulois [c'est-à-dire aux Éburons] de refuser leur concours à d'autres Gaulois »[13]. Un Nervien est également qualifié de Gaulois[14]. On observe également qu'Ambiorix s'adresse aux Romains par l'intermédiaire d'un interprète originaire d'Hispanie[13], puis d'un autre venant de Gaule narbonnaise (le père de Trogue Pompée)[15].

Tacite révèle que les Trévires et les Nerviens refusaient de se faire appeler Gaulois : « Les Trévires et les Nerviens témoignent de quelque vanité à faire valoir une origine germaine, comme si, grâce à ce sang glorieux, ils se distinguaient des Gaulois, ne voulant pas leur ressembler ni imiter leur paresse »[16].

Posidonios indique que la langue de certains Belges était très proche de celle des Gaulois[17]. Strabon mentionne en outre une confédération belge de quinze peuples le long de l'océan entre le Rhin et la Loire (Liger)[18], parmi lesquels il inclut les Vénètes et les Osismes en les qualifiant de parocéanites («près de l'océan») ou Belges armoricains.

Analyses linguistiques

Certains termes dont on peut faire remonter l'origine à l'époque des anciens Belges sont manifestement celtiques. C'est notamment le cas des anthroponymes de leurs chefs, qui sont tout à fait semblables à ceux utilisés en Gaule : Indutiomaros (gaulois maros « grand, puissant », cognat d'Iondat-mar, nom d'un roi légendaire d'Irlande), Cingetorix (« puissant par ses fantassins », quasi-homonyme de Vercingétorix), Ambiorix, Catuvolcos (« prompt au combat », voir irlandais cath « combat » et folg « rapide »), Boduognatos (nom lié à une déesse-corneille, cognat de Bodnod, nom d'un héros gallois)[19]. C'est également le cas d'un ethnonyme comme Remi (« placés en avant, premier », voir le latin prīmus), dans lequel le [p] est tombé[20]. Le nom des Éburons se rapproche également d'autres appellations issues du monde celtique : les Éburovices, Eburacum (York). Les Vosugones portent également un nom d'apparence gauloise. La déesse éburonne Virodactis a un cognat en irlandais : feardhacht « vertu virile, âge d'homme »[21].

Certains particularismes linguistiques ont cependant conduit quelques spécialistes à remettre en question le caractère proprement gaulois de la celticité des Belges, voire leur celticité même.

Tout d'abord, il y a la conservation dans certains mots d'un [p] indo-européen, alors qu'il s'est amuï en celtique dès avant l'époque historique et qu'en germanique il est passé à [f] (première mutation consonantique)[22]. Certains ethnonymes semblent en effet avoir conservé ce [p] : Pleumoxii (« les inondables », de *pleu(m)- « flot, inondation »)[23], Paemani (possible cognat du grec ποιμήν poimên « berger »), Menapii. Ce dernier terme, tout comme le nom d'une déesse éburonne des eaux Apa-deva, contient probablement la racine *ab- / *ap- « les eaux » (genre animé), qu'on retrouve également dans le sanskrit āpas « les eaux comme force animée »[24]. La forme attendue en celtique est plutôt abu-, abona « rivière » cf. vieil irlandais abann, gallois afon, breton aven, tous de *abonā, d'où les noms de personne Abudos, Abudius, Abucattus. Cependant, on trouve dans les noms de fleuve gallois en Ach- ou -ach, anciennement *ax- ou *-ax, d'une forme en /p/ de *ap-s- pré-celtique[25] que l'on note aussi dans le nom de l'Aisne, Axona continuation régulière en celtique de *Apsona / *Absona[26]et peut-être parallèle aux toponymes contenant la racine *-ap(p)- « eau » : Oteppe, Wiseppe, Genappe, la Gileppe, la Galoppe, etc.

La toponymie a également gardé des traces de la conservation du [p] : la Prüm (Promea, « la précipitée », voir le grec prómos « placé en avant »), la Py (Pida), la Prosne, le Pide(becq) et le Pede (affluent de la Senne).

Un autre fait est la conservation d'un ancien [kw], alors qu'il est généralement passé à [p] en gaulois et en brittonique, comme par exemple Epoissum (Ivoy, aujourd'hui Carignan, tiré d'epo- « cheval »). On connaît en effet divers anthroponymes trévires conservant un ancien [kw][20], ainsi que des toponymes : la Canche (Quantia), l'Eichel (Aquila)[20]. Cependant, ce n'est pas un caractère discriminatoire entre peuples belges et peuples gaulois proprement-dits, puisqu'on trouve aussi chez ces derniers, des exemples de conservation du même phonème, ainsi par exemple dans le mois EQVOS du calendrier de Coligny, le nom de tribu des Séquanes, celui de la Seine, Sequana, le nom de tribu des Quariates, alors qu'on attendrait *pariates sur pario- « chaudron » (cf. gallois pair, vieux cornique per), etc[27].

En revanche, aucun élément proprement germanique qui soit antérieur à la pénétration historique des Germains dans l'empire romain n'a pu être décelé dans l'ensemble des données linguistiques et onomastiques dont on dispose sur les tribus Belges et les territoires qu'elles occupaient.

Interprétations

Ces données sont diversement interprétées par les auteurs.

Jean Loicq considère que l'ensemble des Belges étaient authentiquement celtiques. Il explique que César regroupe certains Belges sous l'appellation de Germani cisrhenani en faisant l'hypothèse suivante : le terme Germani, qui semble plus celtique que germanique, devait à l'origine être le nom collectif de certaines tribus celtiques frontalières des Germains. Ce nom se serait dès l'époque de César transmis à leurs voisins du nord-est[17]. Quant au maintien du [p] et du [kw] et à la présence de la racine *ap-, il les explique comme des archaïsmes lié à l'Alteuropäisch identifié par Hans Krahe[28].

D'autres auteurs considèrent que la langue celtique était, chez les Belges comme ailleurs, la langue véhiculaire de l'élite, noblesse, chefs religieux et commerçants, parfois imitée par les couches sociales inférieures. En se basant sur les sources antiques, ils distinguent alors, parmi les Belges, des peuples de Germains celtisés, dont les chefs porteraient néanmoins des noms celtiques[29]. Les tribus mentionnées comme germaniques par ces auteurs sont : les Nerviens[30],[31], les Aduatuques[30],[31],[1], les Condruses[30],[31],[32], les Éburons[31],[32], les Trévires[31], les Suessions[31], les Pémaniens[31], les Caeroesi[31] et les Bataves[31].

Certains chercheurs, comme Maurits Gysseling, Hans Kuhn et Rolf Hachmann, attribuent le maintien du [p] et du [kw], la présence de la racine *-ap « eau », mais aussi les suffixes -inio-, -st-, à une langue indo-européenne disparue. Dans cette hypothèse, les Belges ne seraient ni des Celtes, ni des Germains. Seule leur aristocratie aurait été celtisée[31]. Il s'agit de la théorie du « bloc du nord-ouest ».

Hans Kuhn, en se fondant sur une analyse de la toponymie de la région, suppose que les peuples de ce « groupe du nord-ouest » représente un peuplement indo-européen qui occupait initialement l'ensemble de la région comprise entre l'Aisne et la Weser, avant de subir les pressions des Celtes et des Germains. Wolfgang Meid s'est rallié à cette théorie, qui permet notamment d'expliquer le maintien du [p] indo-européen dans plusieurs mots bas-allemands. Hans Kuhn a fait certains rapprochements (suffixes, ethnonymes, toponymes, anthroponymes) entre cette langue et les langues indo-européennes du sud de l'Europe, en particulier avec les langues italiques. Avant leur migration vers le sud, les Italiques devaient séjourner en Europe centrale, au voisinage des Germains et des Slaves, comme le montre le large vocabulaire commun à ces groupes. Une partie d'entre eux a peut-être migré vers le nord-ouest, tandis que les autres se dirigeaient vers la péninsule italienne[33], d'où le rapprochement qui a été fait entre les Ombriens et les Ambrons des rivages de la Mer du Nord[34].

Enfin, Bernard Sergent distingue parmi les Belges à la fois des Celtes (Atrébates, Bellovaques, Morins, Rèmes, Trévires), des Germains celtisés (Aduatuques, Condruses, Nerviens) et des peuples appartenant au « bloc du nord-ouest » de Kuhn (Pémanes, Ménapiens, Sunuques)[30].

Listes des peuples belges

Bibliographie

  • Hans Kuhn, « Vor- und frühgermanisch Ortsnamen in Nord-Deutschland und die Niederlanden », Westfälische Forschungen, 12, p. 5 - 44, 1959.
  • Hans Kuhn, Rolf Hachmann et Georg Kossack, Völker zwischen Germanen und Kelten. Schriftquellen, Bodenfunde und Namengute zur Geschichte des nördlischen Westdeutschlands um Christi Geburt, Neumünster, Karl Wachholz, 1962.
  • Wolfgang Meid, "Hans Kuhn « Nordwestblock » Hypothese: zur Problematik der Völker zwischen Germanen und Kelten", in Germanenproblem in heutiger Sicht, Berlin, De Gruyter, 1986.
  • Bernard Sergent, Les Indo-Européens: Histoire, langues, mythes, Bibliothèques scientifiques Payot. Paris, 1995.
  • Victor Tourneur, Les Belges avant César, Bruxelles, La Renaissance du Livre, 1944, 115p.

Voir aussi

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Notes

  1. a et b Jean-Jacques Jespers, Dictionnaire des noms de lieux en Wallonie et à Bruxelles, Lannoo, 2005, p. 172.
  2. Bernard Sergent, Les Indo-Européens : Histoire, langues, mythes, Bibliothèques scientifiques Payot, Paris, 1995, p. 205.
  3. Jules César, Commentaires sur la guerre des Gaules, III, 7-16.
  4. Georges-Henri Dumont, Histoire de la Belgique, des origines à 1830, Le Cri, Bruxelles, 2005, p. 11
  5. Georges-Henri Dumont, op. cit., p. 13-14
  6. Stephen Oppenheimer The Origins of the British
  7. Jules César, Commentaires sur la Guerre des Gaules, I, 1 [lire en ligne], cité par Bernard Sergent, op. cit., p. 84-85.
  8. Jules César, op. cit., II, 3 [lire en ligne] et VI, 32 [lire en ligne].
  9. Jules César, op. cit., II, 4 [lire en ligne]
  10. Jules César, op. cit., VI, 2 [lire en ligne], cité par Jean Loicq, « Avant le latin, la Gaule Belgique », dans Daniel Blampain et al. (dir.), Le Français en Belgique, Duculot, Bruxelles, 1997, p. 11.
  11. Jules César, op. cit., II, 29 [lire en ligne].
  12. Jules César, op. cit., VI, 32 [lire en ligne].
  13. a et b Jules César, op. cit., V, 27 [lire en ligne], cité par Jean Loicq, op. cit., p. 12.
  14. Jules César, op. cit., V, 45 [lire en ligne], cité par Jean Loicq, op. cit., p. 12.
  15. Jules César, op. cit., V, 36 [lire en ligne], cité par Jean Loicq, op. cit., p. 12.
  16. Tacite, La Germanie 28,4, p. 52, traducteur Pierre Grimal, coll. La Pléiade, Gallimard, 1990
  17. a et b Jean Loicq, op. cit. p. 12.
  18. Strabon, Géographie, la Belgique livre IV, chapitre IV, 3
  19. Jean Loicq, op. cit. p. 15-16.
  20. a, b et c Jean Loicq, op. cit. p. 14.
  21. Jean Loicq, op. cit. p. 16.
  22. Jean Loicq, op. cit. p. 12-13.
  23. Jean Loicq, op. cit. p. 13-14.
  24. Jean Loicq, op. cit. p. 14 et 16.
  25. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, errance 2003. p. 29 - 30.
  26. Jean Loicq, op. cit. p. 13-14 et 16.
  27. Xavier Delamarre, Op. cité. p. 246.
  28. Jean Loicq, op. cit. p. 13.
  29. Ugo Janssens, Ces Belges, « les Plus Braves », Histoire de la Belgique gauloise, 2007, Racine, p. 41-42.
  30. a, b, c et d Bernard Sergent, op. cit., p. 84.
  31. a, b, c, d, e, f, g, h, i et j Ugo Janssens, op. cit., p. 42, Jean Loicq, p. 12-13.
  32. a et b Jean-Jacques Jespers, op. cit., p. 172.
  33. Bernard Sergent, op. cit., p. 84-85.
  34. F. Ribezzo, Revue Internationale d'Onomastique, II, 1948 p. 43 sq. et III 1949, p. 45 sq., M.Almagro dans RSLig, XVI, 1950, p. 42 sq, P.Laviosa Zambotti, l.c.

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