- Probabilisme gnoséologique
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Le probabilisme gnoséologique est un abord du probabilisme qui concerne la philosophie de la connaissance, visant à établir les conditions, la valeur et les limites de la connaissance même . Le probabilisme gnoséologique est un type de probabilisme precédant (II siècle a.C.) le "éthique-moral", relatif à la theologie morale du XVIIe siècle.
Très proche des nombreuse problémes de l'épistémologie, le probabilisme gnoséologique ne doit pas être confondue avec l'éthique-moral et néanmoins avec le probabilisme scientifique et ontique, qui concerne les phénomènes physiques. Elles peuvent être simples ou complexes, et à ce titre sont respectivement considérées objects d'étude de la mécanique quantique et de la physique de la complexité.
Histoire
La Nouvelle Académie autour du IIIe siècle a.C porte une profonde trasformation de la gnoséologie platonicienne. Le concept de verité profondement remis en cause, parce qu'elle, maintenant, doit être recherchée en toute autre direction: non plus par la vie de l'idéalisme, mais par celle du probabilisme gnoséologique. Donc, de Platon reste seulement la méthode dialogique d'approche, mais appliqué à la réalité et non plus à une abstracte verité idéaliste.
La Nouvelle Académie initiellement a l'impulsion d'Arcésilas de Pitane (315-241 a.C), mais seulement avec Carneade elle trouve sa direction proprement probabiliste. Selon Carneade il n'y a pas des vraies critères pour arriver à la vérité, car il n'y a pas des représentations mentales considérables vraies. Cette thèse se dirige particulièrement contre le stoïcisme. Cicéron, dans son écrit Accademia (II, XIII, 41), donne un résumé de la pensée de Carneade en quatre points:
1) il y a des fausse représentations mentale du réel.
2) ces représentations ne donnent aucune vrai connaissance.
3) on ne peut distinguer leur degré de certitude, car les représentations ne donnent pas des éléments de différence.
4) et enfin: il n'y sont pas des représentations mentales vraies qu’on peut distinguer des fausses.Carnéade, comme beaucoup des sceptiques, ne voit plus une vari faculté de connaître la réalité, car elle n’est pas définie pour nous, mais seulement probable. D’autre part, la raison elle-même, est lié à les représentation de l’esprit et donc n’a pas aucun rapport direct avec le monde. De plus, un e dialectique de la raison, mais basé seulement sur les représentations, risque de porter à nombreuses contradictions.
La critique carneadienne de toute certitude conduit à l’acatalepsie : la suspension du jugement et donc la négation d’aucune possible croyance plausible.
Contemporanéité
Aujourd'hui le probabilisme gnoséologique est encore vivant, dans sa forme moderne il peut être aussi vu comment un type de relativisme basé sur la probabilité, car aucune formes de relativisme affirment que la connaissance è relativisé par la majeure ou mineure probabilité d’avoir des forts éléments de connaissance sur base scientifique, et donc objectives. Mais l'objectivité du connaître est possible seulement si on fonde sur des évidences scientifique, et nous pouvons alors le nommer probabilisme scientifique, ou mieux probabilisme ontique comme adjectif, relatif au grec τό όν ( = être).
Voir aussi
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