René Robin

René Robin
René Robin
René Robin en 1980.
René Robin en 1980.

Naissance 26 juin 1897
La Roche-sur-Yon
Décès 5 décembre 1986 (à 89 ans)
La Roche-sur-Yon
Nationalité Français, Drapeau de France France
Activité(s) Peintre, pastelliste et décorateur
Formation Autodidacte

René Robin, né le 26 juin 1897 à La Roche-sur-Yon (Vendée) et mort le 5 décembre 1986, à La Roche-sur-Yon, est un peintre, restaurateur et décorateur de monuments français.

Sommaire

Biographie

Animé d'un très fort sentiment d'animation de l'art pictural dans ses multiples courants, il est à l'origine du regain de cette activité, pratiquement disparue de sa Vendée qu'il aime tant. En parallèle de sa profession de peintre décorateur nécessaire pour l'entretien de sa famille, il relance, par ses initiatives personnelles puis collectives, la rénovation d'une présence artistique par la découverte et la promotion de jeunes talents qu'il expose bénévolement dans sa galerie. Il contribue aussi, à la création du Salon de La Roche-sur-Yon. Sa vie durant, nombreux sont les témoins de son long parcours artistique.

Son enfance

René Robin est né à La Roche-sur-Yon, Rue Massillon, aujourd'hui rue de Castelnau. Deuxième fils d'une famille d'artisans. Son père, Alphonse Robin menuisier ébéniste à l'atelier Poiraud, rue Pasteur à La Roche-sur-Yon. Sa mère couturière à domicile.
Tout enfant, élève de l'école annexe de l'école normale et ensuite de l'école Saint-Louis, le jeune René se révèle passionné de français et d'histoire, mais surtout de dessin. En 1905 et 1906, il perd successivement ses parents. Élevé par ses grands-parents et par son frère aîné Jean Robin en tant que tuteur. Grâce à son frère Jean, prêtre progressiste pour l'époque, René Robin quitte l'école laïque pour l'enseignement catholique.

  • Son origine

Descendant des martyrs des Petits Luc, son enfance est nourrie des récits que lui fait sa grand-mère du passage des Colonnes infernales. Il en découle un fort sentiment royaliste qui va grandissant. Il suit des cours de dessin municipaux en 1909. En 1911, à ses 14 ans au moment de commencer à travailler, René Robin bifurque vers le métier de peintre-décorateur, au service d'un certain Othello Astoul. Dès le début de son apprentissage, ses dons sont remarqués par le fils de son patron, André Astoul artiste peintre et royaliste. Ce dernier qui devient peintre de solide réputation, initie le jeune Robin aux joies de la peinture et de la politique[1].

  • Ses engagements

Devenu camelot du roi, René Robin devient chef de file du mouvement monarchique à La Roche-sur-Yon (Nous vendions tous les soirs l'Action Française dans les rues, de la gare à la route des sables). Il organise le 25 juillet 1925, le gigantesque rassemblement du Mont des Alouettes , auquel participent quelques 75.000 royalistes (100.000 d'après les organisateurs, 50.000 d'après la police). Cette journée mémorable avec la participation du vibrant polémiste de l'Action Française, Léon Daudet, est pour René Robin l'heure des premières désillusions: le président du mouvement et nombre de hobereaux qui auraient dù être présents ce jour là, ont préféré aller à la chasse aux blaireaux[2].

Ses activités

Après 8 ans passés dans l'entreprise Astoul, il la quitte pour s'installer à son compte. Sa petite entreprise qu'il démarre avec l'aide d'un employé, en compte bientôt cinq de plus avec le succès et le développement de ses affaires. Bourreau de travail, il travaille pour ses clients traditionnels dans la journée et consacre une grande partie de ses nuits à peindre et à cultiver son art. Autodidacte, il se forme seul après quelques cours d'initiation, le soir, à l'école de M. Parmentier et la lecture de nombreux livres d'art. C'est ainsi qu'il s'initie au vernissage et à la restauration de Tableaux. Il restaure et décore entre autres plusieurs chapelles, celle des Sœurs Victines face à la Vigne-aux-Roses à La Roche-sur-Yon, des Pères de Mille-Souris à Luçon, l'oratoire de la Salette à Martinet[3].

Caractère fort et déterminé, animé par des sentiments de loyauté et d'honnêteté, qu'il conserve toute sa vie. Celle-ci est orientée et dirigée sans cesse par ses convictions tant religieuses que politiques.
La vie de René Robin est également marquée par un épisode dont on ne peut saisir la portée qu'en replaçant les faits dans leur époque: En 1928, il se rend à Pons, dans la Charente-maritime, en compagnie de 200 camelots du roi pour commettre un attentat contre la statue érigée à la mémoire d'Émile Combes, président du Conseil lors des lois de séparation de l'église et de l'état en 1906. Se présentant comme une délégation des jeunesses laïques, ils apportent au pied du monument une gerbe, d'où l'un d'eux sort un marteau et brise le nez de l'imposante statue de bronze. L'un des participants est alors blessé par le tir d'un policier. L'enquête reste sans suite[4].

Le 13 juin 1932, il épouse Jeanne Thibaud et ensemble ils fondent une famille de huit enfants. Son épouse se dévoue sa vie durant afin de lui permettre de se consacrer totalement à ses activités, tant politiques, que professionnelles et artistiques. Gardienne vigilante, elle fait barrage à tout ce qui peut le déranger. L'art, la peinture en particulier tient une place importante dans son existence. Il acquiert une grande connaissance artistique et son goût inné de l'esthétique est reconnu de tous. A ses débuts, il s'adonne à la peinture à l'huile, paysages, scènes religieuses, natures mortes, mais il excelle surtout dans le dessin qu'il travaille avec une grande et incontestable originalité. Il pratique aussi et surtout le pastel, et cela jusqu'à ses derniers jours.

Si le talent de René Robin comme pastelliste est reconnu par le journaliste et critique d'art Valentin Roussière, il l'est aussi par les peintres de la région adonnés à cette technique. Sa vision reste juste pour « enlever » un ciel d'orage sur un champ de blé, recréant ainsi, après un travail acharné l'atmosphère de ces paysages vendéens qu'il affectionne tout particulièrement. René Robin revient au pastel en 1965, matière qu'il apprécie beaucoup depuis son adolescence. Sa main préfère le contact direct avec le papier plutôt que de ne rien ressentir par le prolongement du pinceau. Selon lui, un pastel ne vieillit pas: «au Louvre dit-il, un pastel de Quentin de la tour sur Madame de Pompadour a gardé une fraîcheur qu'on le daterait de la veille, par contre, un portrait à l'huile sur le même sujet, a noirci»[5].

Le journaliste Valentin Roussière lui demande: pourquoi restez-vous toujours dans les paysages de Vendée? «J'ai passé dans le Languedoc bien des jours de repos où je n'ai créé que du mauvais, car seule la nature du pays natal me met en état de grâce avec ses cours de ferme, ses mares qui reflètent le ciel et ses grands horizons. Sentiments? Sans doute, mais aussi intuition, car la création, placée dans la solitude, voyage pleinement dans les méandres de mon âme, avec humilité et une certaine discrétion. Je ne suis pas un artiste, mais j'essaie d'être artiste». René Robin continue longtemps ses confidences. Les yonnais apprécieront ce bon sens, qui a exercé tant d'influence sur sa génération: n'a t-il pas créé l'École de peinture de La Roche-sur-Yon[6].

Amoureux de l'art et de la politique, plus dessinateur que peintre d'ailleurs, il joue un rôle important à La Roche-sur-Yon et en Vendée, pour le rayonnement de l'art pictural. René Robin se plonge dans l'étude des grands Maîtres de la peinture. Il acquiert une immense culture qui lui permet de disserter à travers les œuvres des plus grands peintres. Dès les années 50, il ouvre une Galerie de tableaux qu'il anime avec autorité certes, mais aussi et surtout avec une grande générosité vis-à-vis des peintres qu'il expose de façon bénévole. C'est dans cet esprit de mécénat que les artistes de la région exposent chez René Robin. Des peintres (certains jeunes encore) mais à la notoriété déjà confirmée, deviennent ses amis tels que Albert Deman, Henry Simon, Gaston Dolbeau. Suivis par Paul Dauce, Joël Dabin, Roger Ducrot et beaucoup d'autres. A tous ces peintres, il apporte son regard et son sens critique sur ce monde de l'art qui lui est parfaitement familier[7].

La galerie dont le rayonnement va bien au delà du département de la Vendée ne laisse aucun peintres indifférents. Les amateurs d'Art trouvent quant à eux, en René Robin, un interlocuteur avisé et éclairé qui sait leur parler peinture. En 1963, il ouvre ce monde de la peinture à son gendre, futur Raphaël Toussaint, en encourageant celui-ci à se consacrer à l'art Aujourd'hui, 48 ans plus tard, le peintre Raphaël Toussaint se souvient et porte témoignage et reconnaissance à son « mentor » en le faisant figuré dans tous ses tableaux. Artiste lui-même, René Robin s'est très peu exposé dans sa galerie. Il reste détaché de ces contingences. Il juge les honneurs futiles et inutiles.

Son parcours artistique

Les témoins de son temps

  • L'aventure de René Robin, peintre du bocage.

En 1973, les peintres du Bocage, c'est-à-dire l'école de La Roche-sur-Yon, à qui peut-on le mieux les identifier dans leur esprit d'évasion que dans René Robin. En lui le succès se gagne à force de réflexion et de métier. La réflexion, il la développe au cours de veillées innombrables avec des amis comme le bon André Astoul qui écoute, plein de sympathie pour ces jeunes, soit dans l'atelier de la rue de Verdun, soit dans un grenier d'Aubigny où l'affabulation reprend, plus vive que jamais à chaque petit verre de poiré qui sent bon la mesure des williams. Il entretient cette réflexion à la façon d'Aristote par la marche: de La Roche-sur-Yon à Venansault, qui a davantage marché que lui[8].

  • «Ciel et terre de Vendée» René Robin expose à sa galerie.

En 1977, René Robin expose, jusqu'au 27 mars, à la galerie qu'il a créé rue de Verdun, au lendemain de la guerre. Cet artiste, bien connu des yonnais, y a, quant à lui, rarement exposé mais il reçoit quantité d'autres peintres. Son rôle sur le plan de l'encouragement artistique est très apprécié dans son département de la Vendée. Il relance l'art de la toile qui est quelque peu tombé, encourageant et conseillant ceux qui, ayant les qualités nécessaires, veulent s'y adonner. Il se forme autour de lui un petit cercle. Des talents prennent naissance et s'affirment. René Robin, entouré de son épouse, de ses enfants, de ses proches et des amis peintres de la Vendée et de diverses personnalités dont monsieur Paul Caillaud, député-maire, reçoit l'hommage qu'il mérite, de la bouche d'une jeune professeur yonnaise, madame Harchoux[9].

  • Un peintre enraciné dans le bocage.

Dans sa retraite, au troisième étage de la rue de Verdun, René Robin s'est reconstitué un monde, avec ses pastels et ses dessins, où il revit la paix et la solitude du Bocage environnant, interprétation de la Vendée qu'il va bientôt exposer au cours d'une exposition que va présenter son ami Henry Simon, si ouvert lui aussi, à la pénétration des paysages qu'étale son pays giras.

En 1977, René Robin présente à la galerie, 66 rue de Verdun tenue maintenant par son fils Patrick, ses pastels du bocage vendéen. Cet homme qui a toujours présenté ses amis les peintres, se livre pendant sa retraite à sa raison de vivre, la peinture, et s'offre enfin au regard du public. A parcourir la quinzaine de toiles, la natures profonde de cet artiste, se révèle. René Robin a cheminé bonhomement dans son pays natal et a tenté de traduire les mouvements et les souffles de cette contrée. Des amis l'ont quitté. Il oriente nombre de jeunes. Il témoigne encore solidement et garde la main sûre. Né à la fin du XIXe siècle, il s'enracine dans cette Vendée chérie et y puise son inspiration. Ses pastels prouvent une sensibilité toujours à fleur de peau[10].

  • 81 ans de fidélité à la royauté et à la peinture.

Quatre-vingt un ans, en 1979, une canne fleur-de-lysée qui projette son ombre sur le portrait de Charette, René Robin ne laisse pas de doute sur ses engagements de jeunesse. Je suis royaliste et je ne m'en cache pas...affirme t-il sur un ton qui ne prête pas à l'humour. Il faut attendre qu'il nous parle de sa chère grand'mère pour remonter à la source de ses prises de position. Ma grand'mère, issue des Lucs-sur-Boulogne, m'a toujours élevé dans le respect des petits martyrs brûlés par les Colonnes infernales[11].

  • Hommage à quatre grands Yonnais.

Du 24 juillet au 12 septembre 1981, une exposition est ouverte au Salon de La Roche-sur-Yon en l'honneur de quatre peintres de la Vendée, Benjamin Rabier, André Astoul, Paul Baudry et René Robin, le seul encore vivant, dont la galerie est un lieu de regroupement de jeunes et moins jeunes talents. « Cet hommage rendu à ces hommes dévoués est bien mérité », estime le journaliste François Dauvergne[12].

  • Exposition à la galerie B3

René Robin apporte son soutien et un dévouement à l'histoire de la peinture à La Roche-sur-Yon selon les peintres présents à son exposition du 8 au 30 octobre 1982[13]. René Robin est représenté à cette exposition par quelques unes de ses œuvres. Cela peut-être considéré comme un événement à double titre. D'une part, cet artiste s'expose que très rarement préférant laisser la place à tous les peintres que cette galerie attire, et d'autre part, il est le témoin de la vie artistique de La Roche-sur-Yon, Henry Simon est là pour dire mieux que personne, qui est René Robin: peu soucieux des modes et du snobisme, il n'a de cesse de cerner ce qui, en peinture, est authentique communication. Son œuvre est le reflet de ses préoccupations esthétiques et l'harmonieux langage d'un esprit équilibré. L'art de René Robin est désintéressé. Henry Simon (peintre) parle à des convaincus qui ont tous connu et bénéficié en toute amitié de ce désintéressement[14].

  • L'harmonieux langage d'un esprit équilibré.

En 1982, René Robin n'est pas au vernissage de son exposition vendredi soir à la galerie B3. Physiquement parlant du moins, car ses pastels, sa femme, sa familles et ses amis réunis pour l'occasion, restituent chacun à sa façon sa présence. Quand bien même son accord donné à l'exposition est un événement, toute une vie portée par la peinture lui donnent le droit de s'abriter de l'émotion dans le calme de son appartement, à l'heure où il n'est question que de lui. Il a fallu pour que cette exposition est lieu, que son gendre, Raphaël Toussaint, le persuade et prenne en charge l'organisation de cette manifestation. Raphaël Toussaint, un gendre mais aussi dans ses débuts un élève attentif, et qui ne manque jamais de représenter René Robin dans chacun de ses tableau[15].

  • Nécrologie - René Robin l'ami des peintres.

René Robin remise pour de bon ses pinceaux en 1986. La mort l'emporte un vendredi soir, à La Roche-sur-Yon, dans sa quatre vingt dixième année. Personnage que René Robin, à qui beaucoup de peintres vendéens doivent d'avoir pu se faire connaître. Il est le beau-père de Raphaël Toussaint à qui il a apporté beaucoup. En 1930, après avoir découvert la science du vernissage et de la restauration des tableaux (ce qui lui vaudra de se voir confier la remise en état de plusieurs œuvres de Paul Baudry), René Robin rachète l'ancienne droguerie Laurenceau, rue de Verdun, qu'il transforme en galerie d'art en 1958. Entre-temps, il contribue à la création du Salon yonnais. Il a surtout ouvert la première galerie de peinture de La Roche-sur-Yon où au rythme d'une demi-douzaine d'expositions par an, les artistes vendéens viennent montrer jusqu'en 1972, leur savoir-faire[16].

  • L'adieu à René Robin.

Malade depuis plusieurs années, René Robin, né le 28 juin 1897, dit au revoir à la vie dans la nuit du vendredi au samedi, le 5 décembre 1986. Catholique intransigeant, Royaliste de conviction, René Robin incarne une certaine image de la Vendée. Militant désintéressé car sincère, ce yonnais de vieille souche est aussi un homme d'avant garde. C'est à lui que revient le mérite d'avoir créé dans la cité napoléonienne, la première galerie de peinture. C'est à lui que revient l'insigne honneur d'avoir formé la jeune escouade des futurs peintres yonnais parmi lesquels Albert Deman, pour ne citer que l'un des plus illustres. A sa famille et plus particulièrement à son épouse, notre journal présente ses condoléances attristées[17].

En 1988, Raphaël Toussaint, élève et gendre de René Robin, apporte son témoignage: «Sa peinture est à l'image de son caractère. Forte et sensible, délicate et vigoureuse, harmonieuse et toujours bien construite. Ses pastels qu'il travaille jusqu'à la fin de sa vie sont sûrement les œuvres maîtresses de cet artiste méconnu de ses contemporains. Sa forte personnalité lui a fait travailler le pastel avec vigueur. Ce matériau, employé avec délicatesse au XVIIIe siècle, devient entre ses mains un procédé de création tout en vibrations vigoureuses et enlevées. L'œuvre de René Robin provoque l'émotion parce qu'elle est belle et que son langage est celui du cœur»[18].

Bibliographie

  • Chemins-50 ans de peinture en Vendée, Le Poiré-sur-Vie, Dominique Giles, 1982, 86 p., p. 12 et 43.
    Hommage au Salon Yonnais-Musée municipal de La Roche-sur-Yon
     
  • Raphaël Toussaint et René Robin exposent au Poiré-sur-Vie, , 1988, 29 p., p. 3-4 et 18.
    catalogue d'exposition
     

Expositions personnelles et collectives

Notes et références

Sur les autres projets Wikimedia :

  1. Hervé Louboutin, « René Robin à La Roche-sur-Yon », dans Vendée/Presse Océan, octobre 1982, p. 3 
  2. Pierre-Marie Hériaud, « On ne cède pas un tableau comme on vend un chou-fleur », dans Presse Océan, août 1986, p. 7 
  3. Y. Bechet, « René Robin-Succession de talents », dans Presse matin/éditions Vendée, octobre 1982, p. 4 
  4. Hervé Louboutin, « Le nez de Combes en 1928 », dans Presse Océan, édition Vendée, janvier 1979, p. 5 
  5. Valentin Roussière, « René Robin peint le ciel que les hommes n'ont pas réussi à abîmer », dans Presse Océan/éditions Vendée, janvier 1974, p. 2 
  6. Valentin Roussière, « René Robin peint le ciel que les hommes n'ont pas réussi à abîmer », dans Presse Océan/éditions Vendée, janvier 1974, p. 3 
  7. Y. Bechet, « René Robin, ami des peintres », dans Vendée matin, juin 1982, p. 7 
  8. Valentin Roussière, « L'aventure de René Robin, peintre du bocage », dans Presse-Océan-édition Vendée, février 1973, p. 7 
  9. Valentin Roussière, « «Ciel et terre de Vendée» René Robin expose à sa galerie », dans Presse Océan, édition Vendée, mars 1977, p. 5 
  10. Valentin Roussière, « René Robin: Un peintre enraciné dans le bocage », dans Presse Océan, édition Vendée, mars 1977, p. 4 
  11. Hervé Louboutin, « René Robin, 81 ans de fidélité à la royauté et à la peinture », dans Vendée/Presse Océan, janvier 1979, p. 2 
  12. François Dauvergne, « Hommage à quatre grands Yonnais », dans Ouest-France, août 1981, p. 9 
  13. D.L, « René Robin à la galerie B3-Un événement.! », dans Ouest France-Arts et spectacles, octobre 1982, p. 3 
  14. Y. Bechet, « René Robin, artisan du rayonnement de l'art pictural en Vendée », dans Vendée matin, octobre 1982, p. 3 
  15. Eugène Brulé, « L'harmonieux langage d'un esprit équilibré », dans Ouest France, octobre 1982, p. 4 
  16. Eugène Brulé, « Nécrologie – René Robin, l'ami des peintres », dans Ouest France, décembre 1986, p. 2 
  17. Valentin Roussière, « Nécrologie – Adieu René Robin », dans Presse Océan, édition Vendée, décembre 1986, p. 5 
  18. Raphaël Toussaint et René Robin exposent au Poiré-sur-Vie 1988, p. 18

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article René Robin de Wikipédia en français (auteurs)

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