Roger Martin (écrivain)

Roger Martin (écrivain)
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Roger Martin
RogerMartin.jpg
Activités Romancier, écrivain
Professeur de français
Naissance 19 février 1950
Langue d'écriture français,
Genres roman policier
Distinctions Prix Sang d'Encre
Prix Maurice-Renault

Roger Martin est un écrivain et un homme politique français, né le 19 février 1950 à Ronchin (Nord).

Il est l’auteur d’une trentaine d’ouvrages et de plusieurs centaines d’articles dans divers journaux et magazines.

Sommaire

Biographie

Jeunesse et engagement

Il n’a que deux ans lorsque ses parents, enseignants, s’installent à Aix-en-Provence. Il y vivra jusqu’en 1974, fréquentant le lycée Mignet jusqu'en 1re. Son engagement politique précoce (il adhère aux Jeunesses communistes à 14 ans) lui attire les persécutions de groupes d’extrême-droite implantés au lycée Mignet et l’inimitié brutale du responsable d’Europe-Action, Max Guazzini[réf. nécessaire], qui deviendra beaucoup plus tard P.D.G. du groupe NRJ puis président du Stade français.

Il les quitte en 1967 pour rejoindre les Jeunesses Communistes Révolutionnaires (devenues plus tard la Ligue communiste révolutionnaire). Sa critique en mai 68 de certaines orientations de son organisation lui vaut d’être rétrogradé du rang d’observateur à celui de sympathisant. Exit les JCR, il retrouve l’Union des Étudiants Communistes et adhère au Parti communiste français.

Des études d’Anglais, puis de Lettres modernes, sanctionnées par un CAPES et c’est la nomination en 1974, à Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle), ville limitrophe de Longwy, capitale de l’acier.

Politique et polar

En 1977, il est élu maire-adjoint communiste de cette ville de 11 000 habitants. Une commission municipale à la culture voit le jour. Sa première tâche : sauver l’église romane de la ville. Pendant 15 ans, la municipalité, en collaboration avec les Monuments de France, multiplie des travaux qui se poursuivront après son départ. La « vieille église », restaurée, mise en valeur, est aujourd’hui un fleuron de la région.

Passionné de littérature, il crée alors les Rencontres policières de Mont-Saint-Martin, inaugurées par un Didier Daeninckx à l’orée de sa carrière et qui accueillent en quinze ans la fine fleur du roman policier et du cinéma noir. On y rencontre des écrivains (Georges J. Arnaud, Brice Pelman, Jean Mazarin, Tito Topin, Gérard Delteil, Robert Deleuse, Marc Villard, Jacques Mondoloni, Didier Cohen, Jean-Loup Craipeau), des spécialistes de la littérature populaire (Alfu, Robert Bonnaccorsi, René Guise, Claude Mesplède, Jean-Paul Schweig, Jean-Jacques Schleret), des dessinateurs comme Tibet et Michel Gourdon, des cinéastes comme Yves Boisset, Michel Favart, Med Hondo et John Berry, des acteurs comme Jean-Pierre Bisson, Paul Crauchet ou Christian Rauth, ou encore des personnalités connues pour la « fracture de leur vie », René la Canne ou Charlie Bauer.

Parallèlement, Roger Martin a créé un fanzine, Hard-Boiled Dicks, écrit, tapé, publié et encarté « maison » avec l’aide d’un ami, Gilberto Boni, et de toute sa famille. Ce fanzine de 50 à 100 pages selon les livraisons, comprendra 22 numéros consacrés à des auteurs américains (Elmore Leonard, Chester Himes, Joseph Hansen, etc.) ou européens (Manuel Vasquez Montalban, Giorgio Scerbanenco, Paul Berna).

Ce travail attire l’attention sur sa grande connaissance du roman noir et lui vaut de devenir directeur de deux collections successives, Étiquette Noire, qui publiera une trentaine de titres, puis L’Instant noir qui ressuscitera les romans d’Émile Gaboriau et fera connaître des auteurs étrangers tels que Julian Semionov et -Ky.

Il publie également des articles dans diverses revues spécialisées, 813, Thriller, Encrage, Asphalte, L’Almanach du Crime, L’Année du polar et tient la chronique policière, « Haut les mains et bas les masques », au journal L’Humanité.

Turbulences politiques

En 1987, ses critiques à l’égard de la politique du Parti communiste, suivies de son soutien à Pierre Juquin, lui font quitter le parti. Maintenu sur sa liste par le maire, il est néanmoins rétrogradé et perd sa position de « dauphin ». Il abandonne sa chronique à L’Humanité et se consacre davantage à ses travaux. À la demande de Suzanne Beaufils, co-directrice des éditions Fleuve noir, il s'est lancé peu avant dans une série sur le Ku Klux Klan, sous le pseudonyme de « Kenneth Ryan ».

Après un roman noir chez Calmann-Lévy, Skinheads, qui lui attire l’hostilité des milieux skins, et un texte pour enfants, il publie chez le même éditeur en 1989 un document intitulé AmeriKKKa : Voyage dans l’Internationale néo-fasciste, qui connaîtra deux rééditions et qui est considéré comme le meilleur ouvrage sur le sujet.

Ciel, mon mardi !

Le succès de ce document suscite l’attention des responsables de l’émission Ciel, mon mardi ! qui décident de consacrer une soirée au Ku Klux Klan français où Roger Martin doit être opposé à trois klanistes en cagoules. Mais Christophe Dechavanne, pour une raison que Roger Martin ne connaîtra que par la suite, change son fusil d’épaule et organise le 6 février 1990 un face à face entre skinheads, néo-nazis, négationnistes, responsables d’associations antiracistes et spécialistes de l’ultra-droite. Une émission qui se déroulera dans la confusion la plus totale et se terminera en bagarre rangée.

De retour en Lorraine, Roger Martin est contacté par le service juridique de TF1 : la chaîne est l’objet d’une vingtaine de plaintes dont 14 concernant des propos qu’il a tenus. Il fournit toutes les preuves de ses affirmations mais, quelques jours plus tard, un huissier lui délivre une assignation à comparaître. Pierre Sidos, président de l’« Œuvre française », un groupe d’extrême-droite, lui réclame 50 millions de francs pour diffamation. Un an plus tard, défendu par Maître Antoine Comte et fort d’un Comité de soutien de plus de trois cents personnalités (dont l’acteur Roger Hanin et le chanteur Jean Ferrat), Roger Martin gagne le procès. Le succès d’AmeriKKKa lui permet alors d’attaquer la biographie de Georges Arnaud, l’auteur du Salaire de la peur, qu’il admire depuis ses quinze ans, malgré les pressions et les mises en garde de la veuve de l’écrivain qui prétend annoter son manuscrit et le corriger.

Retour en Provence-Alpes-Côte d'Azur

En 1992, Roger Martin quitte la Lorraine pour le Vaucluse, en Provence-Alpes-Côte d'Azur, où il est nommé au collège de Pernes-les-Fontaines. Il publie alors un western picaresque, Mémoires de Butch Cassidy, et une enquête, L’Affaire Peiper. Elle retrace la mystérieuse disparition du colonel SS Joachim Peiper, « héros » de la Bataille des Ardennes et criminel de guerre patenté, et déclenche une avalanche de lettres et coups de téléphone anonymes de menaces. En février 1994, il est roué de coups à Épinal par des agresseurs qui ne seront pas retrouvés, mais dont le journaliste de La Liberté de l'Est, Dominique Leroy, affirme qu’ils venaient de la base militaire de la ville.

Ce n’est pas la dernière fois que Roger Martin sera la cible de pareilles intimidations. Signataire de l’« Appel des 250 », qui voit la naissance de Ras l’Front, il milite au cœur de ce mouvement à Carpentras avant que la venue de Jean-Marie Le Pen dans la ville, le 11 novembre 1995, le conduise à diriger un rassemblement antifasciste régional plus large, Le Sursaut. Il réintègre au même moment le Parti communiste français dont il sera le candidat aux législatives de 1997, obtenant 11% des suffrages.

À cette époque, il met en chantier un ouvrage destiné à informer sur le danger frontiste, persuadé que s’il existe nombre de livres qui théorisent sur le Front National, très peu le montrent directement dans ses œuvres au jour le jour. En 1998, paraît donc Main basse sur Orange (Une ville à l’heure lepéniste) aux éditions Calmann-Lévy. Ce document-pamphlet est l’occasion d’une nouvelle vague de menaces. Jacques Bompard et André Yves Beck expédient à l’éditeur une lettre recommandée annonçant qu’ils vont porter plainte pour diffamation et faire interdire le livre. Au cours de près de 100 conférences autour de l’ouvrage, dont une à Orange même, Roger Martin réitère ses révélations. Aucune plainte ne suivra.

Début février 2011, Roger Martin fait partie des 47 enseignants qui renvoient leurs Palmes académiques pour protester contre la casse de l’école publique. Il publie dans l’Humanité du 17 février sa lettre – très corrosive - à Luc Châtel, qui ne daignera pas lui répondre.

Roman noir et bande dessinée

Il se lance alors pour les éditions du Seuil, entre plusieurs campagnes électorales (dont l’une lui permet d’atteindre 48% des voix dans le canton de Pernes traditionnellement à droite), dans le récit des aventures d’Héléna Rénal, condamnée injustement pour meurtre puis innocentée des années plus tard et qui fonde l’« Agence du dernier recours » qui vient en aide à des victimes d’erreurs judiciaires.

Parallèlement, il crée une série BD, AmeriKKKa, avec le concours du dessinateur Nicolas Otéro, qui présente des faits authentiques et actuels mettant en scène Ku Klux Klan et néo-nazis. Six volumes sont parus à ce jour et le septième, Objectif Obama est prévu pour octobre 2010.

Depuis 2005, Roger Martin est de nouveau chroniqueur à L’Humanité où il s’efforce, entre autres, de faire découvrir des auteurs peu ou pas connus publiés parfois chez de petits éditeurs sans oublier cependant des écrivains qu’il revendique pour maîtres es-roman noir, Didier Daeninckx, Catherine Fradier, David Peace ou Dennis Lehane.

En 2008, il publie un gros roman noir, Jusqu’à ce que mort s’ensuive, dans lequel il révèle des faits totalement inconnus de la Seconde Guerre mondiale et l’existence d’un cimetière clandestin américain en Picardie qu’il appelle le « Cimetière des hommes perdus ». Une option cinématographique est prise sur ce roman auquel s’intéresse le réalisateur de Welcome, Philippe Lioret.

Œuvre

Romans

  • 1985 : KKK (sous le pseudonyme de Kenneth Ryan), Fleuve Noir,
  • 1986 : Guerre au Klan (sous le pseudonyme de Kenneth Ryan), Fleuve Noir,
  • 1987 : Opération Rio Grande (sous le pseudonyme de Kenneth Ryan), Fleuve Noir,
  • 1988 : Skinheads, Calmann-Lévy. Réédit.augmentée de huit nouvelles sous le titre Skinheads et autres récits noirs, éditions Mélis, 2009.
  • 1989 : Opération Chien Rouge, éd. Caribéennes ;
  • 1992 : Contes de l’évasion ordinaire, éd. La Brèche ;
  • 1994 : Les Mémoires de Butch Cassidy, éd. Dagorno ;
  • 1996 : Le GAL, l’égout ("Le Poulpe"), éd. Baleine, Rééd. Le Seuil/Baleine, 2000.
  • 1997 : Mort clandestine, éd. de la Voûte ;
  • 1999 : Une affaire pas très catholique, Seuil, « Points »n°p. 671 ;
  • 2000 : Un chien de sa chienne, Seuil, « Points » n°p. 717 ;
  • 2001 : Quai des désespoirs, Seuil, « Points » n° p. 911 ;
  • 2008 : Jusqu’à ce que mort s’ensuive, Le Cherche Midi.
  • 2010 : Les Ombres du souvenir, Le Cherche Midi. ISBN 978-2-7491-1497-2

Jeunesse

  • 1988 : Le Piège d’Alexandre, Syros, coll. Souris Noire
  • 2011 : Les Ombres de la nuit, (KKK N°1) Oskar édition

Enquêtes

  • 1988 : AmeriKKKa, voyage en Amérique fasciste, Calmann-Lévy. Réédit. revue et augmentée sous le titre AmeriKKKa, Voyage dans l'Internationale néo-fasciste (1995) ;
  • 1994 : L’Affaire Peiper, éd. Dagorno ;
  • 1998 : Main basse sur Orange: une ville à l’heure lepéniste, Calmann-Lévy.

Essais

  • 1984 : Le Livre d’or de l’Humanité, éd. Encre,
  • 1985 : Œuvres complètes de Claude Tillier, Slatkine, 3 volumes,
  • 1986 : Panorama des maîtres du polar étranger, Éd. de l’Instant.
  • 1993 : Georges Arnaud : vie d’un rebelle, Calmann-Lévy. Édition revue et augmentée aux éditions À plus d’un titre (2009).
  • 2005 : L'Empire du mal, dictionnaire iconoclaste des États-Unis, Le Cherche Midi.

Bandes dessinées

  • 2002 : Les Canyons de la mort (AmeriKKKa no 1), Hors Collection, É.P. éditions (2004) ;
  • 2003 : Les Bayous de la haine (AmeriKKKa no 2), Hors Collection, É.P. éditions (2004) ;
  • 2003 : Les Neiges de l’Idaho (AmeriKKKa no 3), É.P. éditions ;
  • 2003 : Cent Tueurs dans la plaine (La Légende de Cassidy no 1), É.P. éditions ;
  • 2004 : Les Aigles de Chicago (AmeriKKKa no 4), É.P. Éditions ;
  • 2005 : Le Syndicat des pilleurs de trains (La Légende de Cassidy no 2), É.P. éditions ;
  • 2005 : Les Commandos de Philadelphie (AmeriKKKa no 5), É.P. éditions ;
  • 2007 : Atlanta, cité impériale (AmeriKKKa no 6), É.P. éditions.
  • 2010 : Objectif Obama (AmeriKKKa no 7), É.P. éditions.

Recueils et anthologies

  • 1985 : Nouvelles noires, vingt-quatre nouvelles d’Apollinaire à Villiers de l’Isle Adam, éd. Encre ;
  • 1987 : Récits noirs de l’Antiquité, avec Claude Leroy, éd. de l’Instant ;
  • 1987 : Black Label, 12 nouvelles noires, éd. de L’Instant ;
  • 1991 : Une saison d’enfer, éd. Messidor ;
  • 1999 : Requiem pour un muckraker, éd. Baleine ;
  • 2000 : La Dimension policière, Librio no 349 ;
  • 2001 : Corse Noire, Librio no 444 ;
  • 2004 : 36 Nouvelles noires pour l’Humanité, éd. Hors Commerce.
  • 2010 : Corse Noire, éd. (revue et augmentée) Albiana

Publications diverses

Radio

Télévision

2002 : « Par accident », épisode de la série Les Enquêtes d'Éloïse Rome.

Distinctions

  • 1984 : Prix Maurice-Renault de la meilleure revue policière pour Hard-Boiled Dicks au Festival de Reims.
  • 2008 : Prix Sang d'Encre du meilleur roman noir pour Jusqu’à ce que mort s’ensuive au Festival de Vienne.
  • 2010 : Prix Thierry Jonquet pour Jusqu’à ce que mort s’ensuive
  • 2011: Prix des Ancres Noires pour Jusqu'à ce que mort s'ensuive au Festival des Ancres Noires au Havre.

Anecdotes

  • Roger Martin a été cité à comparaître comme spécialiste de l’ultra-droite lors de trois procès importants : à Metz, en 1988, où étaient jugés cinq skinheads membres de groupes néo-nazis, qui avaient agressé violemment deux jeunes punks ; à celui du « cimetière de Carpentras », à Marseille, où il démêla l’écheveau des ramifications de divers groupes néo-nazis dont le PNFE ; enfin, toujours à Marseille, à celui de deux militants antifascistes accusés d’avoir plastiqué une salle à Vitrolles, où se déroulaient des concerts Rock Against Communism.
  • Alors que Tony Hillerman était encore inconnu en France, Roger Martin a fait traduire Pour qui dansent les morts pour les éditions Encre. Celles-ci n’ayant pas acquitté les droits du livre, se retrouvant avec ce manuscrit sur les bras et le traducteur impayé, Martin a fait le tour des éditeurs. François Guérif ne s’est pas trompé sur la qualité du livre : Hillerman est devenu un des grands auteurs des éditions Rivages et le traducteur, Pierre Bondil, un de ses meilleurs traducteurs.
  • C’est Roger Martin qui a recommandé à Patrick Raynal, alors directeur des éditions Série Noire les écrivains Donald Goines, auteur afro-américain qui connut une destinée tragique puisqu’il fut assassiné et James McClure, anglais né en Afrique du Sud et auteur d’une saga policière mettant en scène un policier blanc et son co-équipier zoulou.

Sources

Notes et références


Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Roger Martin (écrivain) de Wikipédia en français (auteurs)

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