Technologies de l'information et de la communication pour l'enseignement

Technologies de l'information et de la communication pour l'enseignement
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Les Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Enseignement (TICE) recouvrent les outils et produits numériques pouvant être utilisés dans le cadre de l'éducation et de l'enseignement (TICE = TIC + Enseignement).

Les TICE regroupent un ensemble d’outils conçus et utilisés pour produire, traiter, entreposer, échanger, classer, retrouver et lire des documents numériques à des fins d'enseignement et d'apprentissage.

Sommaire

Historique

Au cours du XXe siècle, l'école a tenté de s'approprier les médias et les dispositifs techniques, avec plus ou moins de volonté et plus ou moins de moyens : radio scolaire (années 1930), télévision scolaire (années 1950), informatique (années 1970), magnétoscope (années 1980), multimédia (années 1990).

Les gouvernements donnent parfois un signal fort dans cette direction, comme le Plan Informatique pour Tous présenté le 25 janvier 1985 en France. Ce premier projet d'envergure échoua en partie : le souci protectionniste avait conduit au choix d'un matériel inadapté, le Thomson MO5 et le Thomson TO7 (mais il faut replacer ce choix dans le contexte technique de l'époque).

Néanmoins, la politique volontariste du gouvernement a permis à un grand nombre d'enseignants de se former pendant leurs vacances, en échange d'une modeste indemnité financière. Nombre de ces enseignants s'engageront activement dans les développements de l'informatique pégagogique qui vont suivre.

En 1995, un certain nombre d'écoles françaises prennent l'initiative d'une connexion internet. En 1996, plusieurs académies proposent leurs sites web. Cette même année, l'Anneau des Ressources Francophones de l'Éducation, dit l'ARFE, voit le jour. Il est créé par des chercheurs, des enseignants et étudiants. Il est l'un des premiers lieux historiques sur la toile, où apparaissent des ressources éducatives en ligne à télécharger. C'est en 1997 qu'est lancé un plan national pour l’équipement et la connexion de tous les établissements de l’enseignement public, de la maternelle à l’université.

En septembre 1997, la Direction de l’Information Scientifique et des Technologies Nouvelles du Ministère de l’Éducation Nationale estimait que "l’École ne peut rester à l’écart de ces évolutions, sous peine de faire apparaitre des handicapés de la société de l’information" (… Dans l'éducation spécialisée ...) et le secteur sanitaire et social, la majorité du parc informatique est utilisé pour du travail d’administration et de gestion interne ou de traitement des dossiers des usagers, une autre partie du parc est immobilisée (matériels inactifs, non exploités, archaïques), la plus petite part concerne les actions socio-éducatives ou d’éducation spécialisée[1].

Au terme proposé, l'an 2000, les lycées étaient équipés, mais les collèges et surtout les écoles devaient souvent attendre encore.

Les efforts français peuvent également être placés dans le contexte de la vision de la société de l'information telle que définie par la Commission européenne et plus particulièrement des programmes eEurope qui fixent des objectifs ambitieux afin d'équiper et connecter l'ensemble des écoles européennes à l'Internet.

Enjeux et bilans

Il s'agit seulement de lutter contre la fracture numérique, encore bien réelle. Le développement des TICE correspond aussi à une volonté forte de formater les jeunes pour qu'ils fassent un usage commercial et responsable de ces technologies, notamment dans le domaine Internet, à savoir :

  • éviter les comportements de « zappeur » sur la toile, c’est-à-dire leur apprendre à rechercher et à trier les informations en fonction de leurs besoins ;
  • avoir un regard critique sur l'information délivrée par ce réseau de communication (importance de l'analyse critique des sources d'information) ;
  • les protéger des intentions malveillantes (pornographie, escroquerie, sites marchands plus ou moins déguisés) ;
  • expliquer les bienfaits du partage de connaissances, l'aberration de la propriété intellectuelle.

Cette liste n'est pas exhaustive. L'objectif est de guider l'élève dans l'apprentissage de ces technologies, sachant que, dans les familles, il est souvent livré à lui-même.

Ces notions, en plus des aspects techniques, sont notamment mises en avant dans le brevet informatique et internet français, sous l'intitulé « Adopter une attitude citoyenne face aux informations véhiculées par les outils informatiques ».

Ceci pose le problème de la formation des enseignants. Tous ne sont pas compétents dans ce domaine pointu. Cette technologie fait peur à certains, d'autres encore résument l'informatique à Microsoft et utilisent un vocabulaire étroit (Word au lieu de traitement de textes, etc). Les règles de mise en page, de typographie, sont souvent inconnues. A partir de 2008, l'obtention du C2i2e par les professeurs stagiaires devient obligatoire dans les IUFM (Institut Universitaire de Formation des Maîtres). De plus, l'infrastructure des écoles est souvent insuffisante : les écoles ont rarement les moyens d’offrir un poste de travail par élève, les ordinateurs ne sont pas équipés de logiciels de gestion de classe, ou la connexion Internet est trop lente.

Nouvelles ressources, nouvelles pratiques

Au-delà de cette initiation à l'informatique, outil désormais indispensable au citoyen, dont l'usage appelle aussi bien une familiarisation technique qu'une formation intellectuelle, les TICE représentent également un important potentiel d'innovations pédagogiques et un réservoir quasi infini de nouvelles pratiques pour les enseignants comme pour l'ensemble du système éducatif[2].


Pour esquisser une typologie rapide des ressources apportées par les TICE, on retiendra 5 familles de ressources :

  • Banques de données et d'informations (documents numériques : textes, images, vidéos...) pouvant être utilisés comme supports de cours et d'illustrations par l'enseignant ou pouvant servir comme source d'information pour les élèves lors de recherche documentaire.
  • Manuels numériques enrichis de données nouvelles (vidéos...) et d'outil de navigation unique[3].
  • Outils de travail personnel (exerciseurs, laboratoires personnels) capables de s'adapter au niveau des apprenants, à leurs objectifs et à leurs parcours.
  • Simulateurs, systèmes experts, permettant de modéliser les phénomènes étudiés et d'en faire varier les paramètres.
  • Dispositifs de travail collectif, de mise en réseau, de communication.

Mais les exemples d'outils existants sont nombreux. Ils vont du simple didacticiel, à la plate forme d'apprentissage en ligne. Et surtout les méthodes d'appropriation des outils et l'usage de ces outils sont excessivement variables d'un "Éducateur" à l'autre. Une pédagogie des TICE prenant sa source dans les savoirs issus des sciences de l'éducation se façonne actuellement.


Exemple 1 - Le didacticiel

Article détaillé : Didacticiel.

Un didacticiel (contraction de « didactique » et « logiciel ») peut désigner deux choses :

  • un programme informatique relevant de l'enseignement assisté par ordinateur (EAO) ; plus précisément, il s'agit d'un logiciel interactif destiné à l'apprentissage de savoirs (et plus rarement de savoir-faire) sur un thème ou un domaine donné et incluant généralement un auto-contrôle de connaissance ; la DGLF préconise dans le sens strict l'emploi de l'expression « logiciel éducatif » ;
  • un document (papier ou support numérique) visant à former à l'utilisation d'un logiciel ; on parle aussi de tutoriel.

S'agissant d'un néologisme, il n'y a pas de référence indiquant qu'une acception est correcte et l'autre erronée.

On utilise aussi le terme exerciseur lorsque le logiciel est réalisé à base d'exercices d'entraînement, ou environnement interactif multimédia (l'activité pouvant être libre).

Exemple 2 - L'apprentissage en ligne

Article détaillé : Apprentissage en ligne.

Etymologiquement l'apprentissage par des moyens électroniques, peut être caractérisé selon plusieurs points de vue : économique, organisationnel, pédagogique, technologique.

La définition de l'apprentissage en ligne (e-learning) donnée par l'Union Européenne est : « l’e-learning est l’utilisation des nouvelles technologies multimédias de l’Internet pour améliorer la qualité de l’apprentissage en facilitant d’une part l’accès à des ressources et à des services, d’autre part les échanges et la collaboration à distance ».

En anglais, le terme E-learning, employé par le monde économique, résulte d’une volonté d’unifier des termes tels que : « Open and Distance Learning » (ODL) pour qualifier sa dimension ouverte et qui vient du monde de la formation à distance, « Computer-Mediated Communication » (CMC) pour traduire les technologies de communication (Mails, Forum, Groupware) appliquées à la formation « Web-Based Training » (WBT) pour traduire la technologie dominante sur Internet pour la formation, « Distributed Learning » qui traduit plus une approche pédagogique de type constructiviste et fondée sur la Cognition Distribuée (Grabinger et al., 2001).

L'apprentissage en ligne est une modalité pédagogique et technologique qui concerne la formation continue, l’enseignement supérieur mais aussi la formation en entreprise, c’est-à-dire pour un apprenant adulte ayant une certaine autonomie dans l’organisation de son processus d’apprentissage, comme en entreprise par exemple. Cependant, il faut remarquer qu’aux États-Unis, dans des textes officiels récents, E-learning est souvent décliné sous la forme « Enhanced-Learning through Information Technologies », pour tout type de public, de la maternelle à la formation continue, et qu'il inclut toutes les technologies éducatives que nous avons déjà connues : didacticiels, CD/Rom, Hypermédias, Tuteur Intelligent…(US DoE, 2000).

Ainsi, le E-learning serait un assemblage, tant de pratiques pédagogiques que de technologies éducatives qui existaient, et dont le développement proviendrait de l’explosion de la Toile (2000/2001) avec son potentiel d’ubiquité. Il semble cependant, comme pour les évolutions récentes des organisations, que le E-learning, tel qu’il est en train d’émerger, possède des caractéristiques qui le font différer des approches des technologies de l’éducation telles que nous les connaissions.

Plusieurs termes sont utilisés pour traduire le terme e-learning. La traduction la plus fidèle est apprentissage en ligne. Le « e » comme dans e-learning étant une référence explicite aux technologies de l'information et de la communication. L'apprentissage mixte conjugue les notions d'apprentissage en ligne et d'apprentissage hors ligne. L'apprentissage mixte désigne une méthode d'acquisition d'un savoir ou de construction de connaissance utilisant des interactions (acteur-acteur ou acteurs-ressources) relayées par un système télématique (électronique, informatique connecté par réseau). L'apprentissage électronique peut avoir lieu à distance (en ligne), en classe (hors ligne et/ou en ligne) ou les deux. L'apprentissage en ligne est une spécialisation de l'apprentissage à distance (ou formation à distance), un concept plus général qui inclut entre autres les cours par correspondance, et tout autre moyen d'enseignement en temps et lieu asynchrone.

C'est une méthode de formation/d'éducation qui permet théoriquement de s'affranchir de la présence physique d'un enseignant à proximité. En revanche, le rôle du tuteur distant apparaît avec des activités de facilitateur et de médiateur.

La plate-forme d'apprentissage en ligne

Une plate-forme d'apprentissage en ligne, appelée parfois LMS (Learning Management System), est un site web qui héberge du contenu didactique et facilite la mise en œuvre de stratégies pédagogiques.

On trouve aussi les appellations de centre de formation virtuel ou de plate-forme e-learning (FOAD).

Une plate-forme e-learning (ou LMS) est un produit dérivé des logiciels CMS (content management system) mais présente des fonctions différentes pour la pédagogie et l'apprentissage.

Il s'agit d'une composante d'un dispositif e-learning mais ce n'est pas la seule.

Exemple 3 - Les Espaces Numériques de Travail (ENT) ou Les Espaces Numériques d'Apprentissage (ENA)

Article détaillé : Espace numérique de travail.

L'Espace numérique de travail est un portail en ligne sécurisé qui permet à l'ensemble des membres de la communauté scolaire (élèves, personnels enseignants, personnels non-enseignant, parents) d'accéder à des services en lien avec des activités d'éducation et d'accompagnement des élèves.

ENT dans les établissements publics

Les ENT sont généralement offerts par les collectivités qui le proposent aux établissements avec l'aide des Rectorats qui débloquent les moyens humains de formation et d'accompagnement nécessaires à la diffusion des usages.

L'ENT répond à de nombreuses problématique des TICE. Il a pour objectif de :

  • moderniser l'Etat en permettant à chaque agent de mieux piloter son système d'information (pour manager, gérer, enseigner, etc.) ;
  • moderniser le service public en offrant à tous les usagers et à leurs familles des services numériques pour apprendre ou accompagner la scolarité de leurs enfants ;
  • familiariser les élèves avec des usages des technologies qui non seulement leur permettent de mieux apprendre mais encore de mieux comprendre la société de la connaissance dans laquelle ils auront à prendre place ;
  • rendre possible par tous et pour tous le recours à des formes d’enseignement et d’apprentissage alternatives.

De nombreux témoignages (Projets ENT) montrent que ces impacts sont profonds. Pour répondre aux enjeux de fracture numérique les décideurs territoriaux s'appuient en complément sur des espaces publics numériques pour donner non seulement l'accès aux personnes éloignées d'Internet, mais également l'accompagnement pour apprendre à s'en servir.

Actuellement, dix plaque territoriales généralisent les ENT à l'ensemble de leurs établissements (un tiers des établissements du secondaire seront touchés à terme). Vingt-trois projets territoriaux sont accompagnés nationalement.

Les ENT (ou ENA) dans les établissements privés

Les établissements du privé mettent en place des ENT pour atteindre des objectifs similaires aux établissements publics. Les ENT permettent de s'adapter aux modes de vie des apprenants et ont modifié les modes d'apprentissages, d'enseignement et de suivi des parcours. L'apprentissage et l'enseignement se font désormais à distance, les contenus et les informations deviennent accessibles, quel que soit l'endroit et le moment. Les ENT ne sont pas seulement dans les lycées, collèges et universités. De nombreux autres établissements mettent ou ont mis en place des ENT : grandes écoles, centres de formation d'apprentis (CFA), écoles spécialisés...

L'ENT peut dans certains cas, faire partie intégrante du projet d'établissement [4]. L'ENT permet à l'apprenant de retrouver les informations, les outils et les ressources utiles à sa formation ou à la préparation de son diplôme, de visualiser ses progrès, d'accéder à ses cours, à des outils en ligne (dictionnaires, bases de données, logiciels...), etc.

Exemple 4 - Le tableau blanc interactif

Un tableau blanc interactif lors du CeBIT 2007
Article détaillé : Tableau blanc interactif.

Le tableau blanc interactif (TBI) est un dispositif alliant les avantages d'un écran tactile et de la vidéoprojection.

Un écran blanc tactile est relié à un ordinateur via un câble (généralement USB). Il est capable de lui transmettre diverses informations, dont la nouvelle position du curseur de la souris, par toucher. Un vidéoprojecteur se charge d'afficher l'écran de l'ordinateur, sur le tableau blanc.

Il est donc possible d'effectuer à la main ou à l'aide d'un stylet (selon le modèle), tout ce qui est possible de réaliser à l'aide d'une souris, sur un format d'écran assez important (jusqu'à plus de 2m de diagonale). En règle générale, le tableau est fourni avec un logiciel dédié, qui permet de tirer parti des possibilités nouvelles de cette technologie.

L'ordinateur relié au TBI n'a pas besoin d'être très puissant.

En milieu scolaire, le TBI offre de nombreuses applications : en sciences physiques, en géométrie ou encore comme un outil de pédagogie différenciée (témoignages vidéos). Cependant, son utilisation doit répondre à un besoin pédagogique réel pour trouver toute son efficacité[5]. Pour plus d'information sur l'usage du TBI, ainsi que des recommandations pratiques, voir "Enseigner et apprendre avec le tableau interactif". Dans le cadre du projet 1000 visioconférences pour l'école [1] l'ancien ministre de l'éducation nationale, Xavier Darcos, a favorisé l'émergence d'applications pédagogiques du TBI autour de l'apprentissage de l'anglais, avec par exemple goFLUENT Education dans les villes de Rosny sous Bois et du Havre [2].

Les applications du TBI se retrouvent dans le domaine des entreprises (conférences et réunions), ou dans le domaine scolaire. Le prix du dispositif complet est d'environ 3 000 euros (tableau et vidéoprojecteur compris), ce qui fait qu'il n'est pas destiné au particulier. À noter qu'il existe maintenant des solutions de TBI mobiles à partir de 700 euros environ (sans le vidéoprojecteur). Il existe depuis peu la possibilité de réaliser son propre tableau numérique en utilisant la manette d'une célèbre console de jeu la wii et en bricolant un stylet infra-rouge. Ceci pour un cout modeste (moins de 45€). La méthode est présentée ici [3]

Bibliographie

  • CEE. (1995). Enseigner et apprendre. Vers la société cognitive. Luxembourg :Office des publications officielles des Communautés Européennes.
  • Derouet, J-L. (1988). La profession enseignante comme montage composite : les enseignants face à un système de justification complexe. Education permanente, 96.
  • Duchâteau, C. (1992). L'ordinateur et l'école ! Un mariage difficile ?. Namur : CeFIS, Facultés N-D de la Paix.
  • Duchâteau, C. (1994a). Faut-il enseigner l'informatique à ses utilisateurs?. Actes de la quatrième rencontre francophone de didactique de l'informatique. Québec, avril 94. Montréal : AQUOPS.
  • Duchâteau, C. (1994b).Socrate au pays des ordinateurs. Bulletin trimestriel de l'EPI, 74, 159-177. Paris : Editions de l'Epi.
  • Duchâteau, C. (1995a). The computer : ally or alien. In D. Watson et D. Tinsley. (Eds.), Integrating Information Technology into Education, (pp. 13-26). London : Chapman & Hall.
  • Duchâteau, C. (1995b). Enseigner l'informatique à l'université à de futurs utilisateurs. In 50 ans d'informatique. 25 ans d'informatique dans l'enseignement, (pp. 1-12). Fribourg : Université de Fribourg.
  • ERTI, (1995). Une éducation européenne. Vers une société qui apprend. Bruxelles : The European Round Table of Industrialists.
  • Hodgson, B. (1995). The role and needs of mathematics teachers using IT. In D. Watson et D. Tinsley. (Eds.), Integrating Information Technology into Education, (pp. 23-37). London : Chapman & Hall.
  • Lasfargue, Y. (1988). Technojolies, technofolies ?. Paris : Les Editions d'organisation.
  • Lafontaine, D., Grisay, A., et Orban, M. (1987). Enseignement et enseignants : mutations et perspectives à l'heure des nouvelles technologies. Liège : Laboratoire de Pédagogie Expérimentale, Université de Liège.
  • Meirieu, P. (1989). Enseigner, scénario pour un métier nouveau. Paris : Editions ESF.
  • OCDE. (1984a). Nouvelles fonctions des enseignants et implications en matière de qualification. In Conférence internationale sur l'Education et les nouvelles technologies de l'information. Paris : CERI, OCDE.
  • OCDE. (1984b). Les technologies de l'information et l'éducation. Choisir les bons logiciels. Paris : CERI, OCDE.


Références

Voir aussi

Liens internes

Liens externes


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