Yucca filifera

Yucca filifera
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 Le Yucca filifera décrit par Chabaud en 1876 pour déterminer le taxon d'origine.Le Plantier de Costebelle, Hyères, France.(Revue Horticole no 48, p. 432, fo 97, 1876)
Le Yucca filifera décrit par Chabaud en 1876
pour déterminer le taxon d'origine.
Le Plantier de Costebelle, Hyères, France.
(Revue Horticole no 48, p. 432, fo 97, 1876)
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Liliopsida
Ordre Liliales
Famille Agavaceae
Genre Yucca
Nom binominal
Yucca filifera
Chabaud, 1876
Classification phylogénétique
Ordre Asparagales
Famille Agavaceae
Synonymes
  • Yucca baccata var. filifera
    (Chabaud) Schelle
  • Yucca canaliculata var. filifera
    (Chabaud) Fenzl
 Yucca filifera du Plantier de Costebelle : détail de la base du tronc.

Yucca filifera du Plantier de Costebelle :
détail de la base du tronc.

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Yucca filifera[1] est un arbre à rosettes de la famille des Agavaceae pouvant atteindre 15 m de hauteur et originaire du Nord-Est du Mexique. Dans son aire de distribution, il est inféodé aux zones arides du désert de Chihuahua.

Après avoir été identifié vers 1840 dans le nord-est du Mexique entre Parras et Saltillo et durant les guerres indiennes par le marchand et explorateur Josiah Gregg, Yucca filifera est introduit en Europe et plus particulièrement en France pour la première fois au milieu du XIXe siècle, par le voyageur et botaniste tchèque Bénédict Roezl.

Cette plante xérophyte est spécialement cultivée dans les régions méditerranéennes pour son aspect ornemental et sculptural, ainsi que sur la Riviera italienne. C'est au Plantier de Costebelle à Hyères, chez le baron de Prailly, que le botaniste J. Benjamin Chabaud, à l'origine de la description du taxon[2], observe sa première floraison en 1876. C'est le seul Yucca dont l'inflorescence est tournée vers le bas[3].

Sommaire

Étymologie

Le mot yucca est emprunté aux dialectes amérindiens de l'éthnie des Taïnos et des Arawaks d'Haïti, puisque le manioc amer se dit yuca en arawak[4].

Caractéristiques botaniques

Avec l'âge, Yucca filifera, yucca franchement arborescent, développe des troncs multiples (jusqu'à 40) en forme de candélabres géants, donnant à la plante un aspect impressionnant. Il ne produit pas de rejets à la base qui est très élargie sur les vieux sujets[5]. C'est l'un des plus gros yuccas en arbre qui soient ; talonné par le Yucca éléphant.

La feuille, la fleur et le fruit

Fleur et tronc de yucca collecté par C. Pringle.
Inflorescence[6] et tronc, à gauche, collecté par Cyrus Pringle.

Yucca filifera est une plante à croissance lente. Il n'est pas le yucca le plus résistant au froid mais résiste aux gels de l'ordre de -12 °C, pouvant descendre à -15 °C dans de bonnes conditions. Ce yucca possède en outre des parties comestibles, dont les fruits, les fleurs, ou les tiges florales[7]. Par contre, il ne faut pas en consommer les racines, qui contiennent des composés toxiques, surtout pour les animaux.

Cyrus Pringle en 1888, Arizona, ramène Yucca filifera pour Kew.

Les feuilles du Yucca filifera sont très raides, persistantes, linéaires et lancéolées en fer d'épée, un peu canaliculées, terminées par une solide épine, formant des rosettes d'un peu moins d'un mètre de diamètre. Elles sont érigées chez les jeunes sujets et pendantes chez les plus anciens. Au stade juvénile, Yucca filifera développe des feuilles aux marges garnies de filaments bouclés.

La hampe florale est défléchie, appliquée contre le tronc et longue de 2 m 45 environ, garnie dans toute sa longueur de 60 ramilles longues d'environ 70 centimètres, pendantes, accompagnées d'une bractée, portant chacune trente à cinquante fleurs bractéolées, pédicellées, blanches, grandes et très ouvertes, à légère odeur de citron. Cette floraison de Yucca filifera, en juillet - août, est parfois de couleur blanc-crème. Les inflorescences de cette espèce, de superbes panicules chargés de grosses clochettes, ont un port retombant[8], observé pour la première fois en Europe par le botaniste J. Benjamin Chabaud chez le baron de Prailly au Plantier de Costebelle. L'infrutescence de Yucca filifera ressemble à de petites bananes.

Le jardin botanique de Huntington à San Marino en Californie possède une collection de très vieux sujets atteignant 15 mètres de haut et comparables à ceux que l'on peut voir sur la côte méditerranéenne, à Hyères, Fréjus, Cannes, La Londe ou Saint-Tropez[9].

Le botaniste britannique John Gilbert Baker relate l'arrivée, depuis le Mexique, du tronc de Yucca filifera dessiné ci-dessus, ainsi que son acclimatation progressive, aux Jardins botaniques royaux de Kew :

« The trunk was sent to Kew in October, 1888, by Mr. [Cyrus Guernsey] Pringle[10], from Monterey, through Professor Sargent. When it arrived at Kew it appeared to be quite dead, and the trunk was consequently placed in the Museum of Economic Botany. After remaining there two years it put out rudimentary leaves and an inflorescence, and on being transferred to the Temperate House these were fully developed in September, 1890. The leaves are shorter than in the wild type and the panicle is erect and less dense[6]. »

La pollinisation

Planche gravée représentant l'insecte aux différents stades de sa vie.
T. yuccasella[11].

Dans son habitat naturel au Mexique, cette plante est pollinisée par un insecte : l'entomophilie des yuccas est uniquement réalisée par quelques espèces d'insectes, microlépidoptères vivant en symbiose avec eux comme Tegiticula yuccasella[12] et Prodoxus coloradensis[13]. La femelle de ces papillons transporte dans ses mandibules (encore présentes chez ces papillons primitifs) les grains de pollen d'une fleur vers le pistil d'une autre. En contrepartie, elle dépose quelques œufs à la base de la fleur[14]. Les larves qui en sortent consomment une partie des graines mais le yucca produit toujours ses graines en grande quantité afin qu'elles parviennent à maturité. La mue nymphale s'effectue sur le sol.

On ne retrouve pas ce phénomème en Europe car ces espèces de papillons primitifs sont absentes de l'entomofaune, les yuccas cultivés ne portent donc jamais de fruit, excepté Yucca aloifolia et pour obtenir alors une fructification, il faut polliniser manuellement ses fleurs hermaphrodites[15].

Histoire et taxonomie

Yucca filifera est découvert au Mexique vers 1840 - 1846 par l'explorateur et naturaliste Josiah Gregg[16] qui entreprend un périlleux voyage en territoire indien. Charles Sprague Sargent décrit cette découverte :

« Yucca filifera is a conspicuous object on the arid plains which rise from the Rio Grande to the foothills of the Sierra Madre. The great panicles of white flowers can be seen for miles in the clear atmosphere of that region, and look like gleaming waterfalls pouring out from the end of the branches. It first appears about fifty miles south of the Rio Grande, where, with the beautiful white-flowered Cordia Boissieri in the depression of the plain, it forms an open picturesque forest which extends almost to the valley of Monterey. The ‘Palma’ is common in the plains between Saltillo and Parras. It was seen by Dr. [Charles Christopher] Parry as far south as San Louis Potosi, and no doubt will be found to extend widely over the high dry plains of north-eastern Mexico[6]. »

Gregg donne une première description approximative du Tree yucca dans Commerce of the Prairies (1844)[17]. Quelques années plus tard, trois pionniers mentionnent encore cet arbre, entre Parras et Saltillo, l'explorateur George Thurber en 1853[18], l'explorateur Cyrus Pringley puis le botaniste américain John Torrey qui évoque Yucca filifera en 1858 dans Report of the United States and Mexican Boundary Survey. Une gravure de Yucca filifera apparait aussi dans un ouvrage de John Bartlett (1805 † 1886), membre de la commission de surveillance de la frontière avec le Mexique suite à la Guerre américano-mexicaine[19].

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Gravure du Yucca filifera du Plantier de Costebelle en 1876, inflorescence retombante sur un pied unique.
Première floraison au Plantier de Costebelle, 1876.

Les Yuccas filifera introduits en France proviennent des hauts plateaux mexicains[20] d'où le voyageur et botaniste tchèque, Benedict Roezl les ramènent pour le compte de l'horticulteur parisien Philippe André de Vilmorin[21]. En 1860, l'horticulteur hyérois Charles Huber[22] (chef-jardinier du maire d'Hyères Alphonse Denis puis fondateur de la maison Charles Huber frères et Compagnie), fait un semis avec les graines des plantes de la maison Vilmorin-Andrieux et vend cette plante avec un lot de dix pieds, en 1866 et 1867 au baron de Prailly, propriétaire du Plantier de Costebelle.

Le jardin Huber en 1882 Yucca filifera en fleur[23].

En 1869 et 1870, la maison Haage et Schmidt, d'Erfurt, cède au baron de Prailly une autre variété de yucca, Yucca albo spica, qui est plantée aux côtés des Yuccas filiferas existants. L'examen de cette seconde variété par J. Benjamin Chabaud (1833 † 1915) révèle une analogie entre les deux espèces.

Ce Palmier de Saint Pierre (nom vernaculaire de Yucca filifera, aussi appelé Palma china, Palma pita, Izote au Mexique ou Soaptree en Amérique du Nord) fleurit pour la première fois en Europe au Plantier de Costebelle le 24 mai 1876, soit trois ans avant la mort de la baronne de Prailly. Cette première inflorescence, retombante chez cette variété et alors inconnue, est décrite dans la Revue Horticole de 1876[24] par le botaniste J. Benjamin Chabaud, directeur du Jardin botanique de Toulon et qui détermine le taxon d'origine[25], alors que le botaniste John Gilbert Baker considère à l'époque qu'il s'agit d'une simple variante du Yucca baccata[26].

Chabaud précise que cette première inflorescence européenne est sans doute due à une réaction à une ancienne transplantation du yucca, en 1869, au sein même du parc du Plantier de Costebelle. Ces manipulations, connues des jardiniers et arboriculteurs, permettent de hâter la floraison de plantes qui tardent à fleurir. La date de 1876 situe l'année de publication effective de la Revue Horticole dans laquelle l'espèce et le taxon d'origine sont décrits la première fois sous le binôme « Yucca filifera ».

Distribution et habitat

Yucca filifera est endémique dans les régions arides du Nord du Mexique[27] (Chihuahua, Coahuila, Nuevo León, San Luis Potosí, Tamaulipas, Zacatecas) et dans la partie centrale du Mexique (Guanajuato, Hidalgo, Michoacán, Querétaro)[28]. Les régions où Yucca filifera a la densité la plus élevée sont les localités de Guadalcázar dans l'État de San Luis Potosi (plus de 300 pieds par hectare) et de Salinas Victoria dans l'État de Nuevo Leon[7].

Yucca filifera à Saltillo dans le désert de Chihuahua.

Il prospère dans des régions sèches et semi-arides (les précipitations annuelles moyennes sont de 250 mm, et les températures varient de 40 °C à –30 °C) au climat subtropical tempéré par la continentalité et l'altitude (l’essentiel de cette région se trouve entre 1 000 et 1 500 m d’altitude) et dont les sols drainant sont sableux ou pierreux. Les gelées sont occasionnelles dans son aire de répartition naturelle, notamment dans la partie mexicaine du désert de Chihuahua et il peut supporter des températures minimales de –15 °C[29].

Dans son aire de distribution naturelle, Yucca filifera est associé à Yucca treculiana, Yucca queretaroensis, Yucca endlichiana, Yucca rigida, Yucca potosina, Yucca carnerosana, Dazilirion longissimum, Agave striata et Agave gentry[9]. Son habitat, le désert de Chihuahua, est dégradé par l'activité humaine depuis des siècles. L'agriculture, qui représente la pression la plus importante sur la végétation endémique de cette zone aride à la biodiversité remarquable, préfère les sols drainant où Yucca filifera pousse habituellement[30]. La pâture altère aussi le développement naturel de Yucca filifera au profit d'espèces nouvelles comme le Mesquite, l'acacia mexicain.

Ethnobotanique et culture

Une allée du parc du Plantier avec un yucca filifera qui enjambe l'allée.
Yucca filifera centenaire au Plantier de Costebelle.

Les fleurs de Yucca filifera sont consommées dans l'aire d'origine de la plante, fraîches, cuites ou séchées. La tige florale est également réputé comestible, comme celle de Yucca aloifolia, et se consomme cuite à la manière d'une asperge[31]. Les fruits de certains yuccas, comme ceux de Yucca filifera sont comestibles et consommés, au Mexique, frais ou cuits. Cet arbre est surtout cultivé par les mexicains de Monterrey et Saltillo. Les jeunes sujets servent de haies impénétrables entre les maisons[32]. Les fibres du tronc servent à la fabrication de papiers et son huile entre en partie dans l'élaboration du fuel au Mexique.

L'industrie pharmaceutique utilise Yucca filifera à des fins médicinales[33] ou nutraceutique pour la préparation de stéroïdes contraceptifs puisque l'arbre est source naturelle de saponine[34]. L'industrie agricole utilise les phytocomposants actifs de la plante, la saponine, extraite des yuccas pour enrichir l'alimentation animale. Les saponines, extraites par pressage des troncs de yuccas, entrent dans la composition de divers éléments nutritionnels dans le secteur de l'élevage, notamment des bovins, des porcs et des volailles, dont ils améliorent les performances zootechniques. Les saponines permettent une meilleure utilisation de l’azote soluble en ralentissant le dégagement d’ammoniaque. Les extraits de yucca ont également des applications dans le cadre de la maîtrise de la pollution azotée dans les bâtiments agricoles d'élevage puisqu'ils réduisent les pertes d’ammoniaque dans les urines et les fèces du bétail. De nombreux travaux réalisés dans plusieurs pays ont montré que les saponines ralentissent le dégagement d’ammoniaque dans la panse des bovins en agissant sur l’action des protozoaires. La dégradation de l’azote soluble est étalée dans le temps. Les pertes d’ammoniaque par les urines et les fèces sont fortement limitées augmentant ainsi le niveau d’utilisation de l’azote soluble par les bactéries. L’ensemble de l’azote soluble est mieux valorisé. La ration est plus performante[35].

Yucca filifera est très bien adapté aux régions méditerranéennes et même aux endroits quelque peu éloignés de la côte. Contrairement à Yucca elephantipes, il est de croissance lente mais plus résistant au gel et à la sécheresse puisqu'il n'a pas été éliminé par les hivers de 1985 et 1986 où les températures sont tombées à –12 °C. Un sol drainant et une exposition très chaude sont les éléments de base pour la culture de ce yucca.

Yucca filifera en 1902 (inflorescences retombantes).

Synonymes et espèces proches

Synonymes de Yucca filifera Chabaud :

  • Yucca canaliculata var. filifera (Chabaud) Fenzl, Bull. Soc. Tosc. Ortic. 14: 278 (1889)
  • Yucca baccata var. filifera (Chabaud) Schelle in L.Beissner, E.Schelle & H.Zabel, Handb. Laubholzben : 6 (1903)

Par contre, Yucca baccata var. australis Engelm., Trans. Acad. Sci. St. Louis 3: 44 (1873) est synonyme de Yucca treculeana Carrière, Rev. Hort., IV, 7: 580 (1858).

Certains yuccas arborescents également originaires du Mexique peuvent aisément être confondus avec Yucca filifera. Le risque de confusion est « cependant limité du fait que ces espèces ne sont pratiquement pas cultivées en France. Par ailleurs, toutes ces espèces ont une inflorescence érigée et non pendante »[36]. Il s'agit de Yucca decipiens, Yucca periculosa, Yucca mixtecana et Yucca valida[9].

Références

  1. Anciennement Yucca baccata var. australis (Engelm, Monogr. Yucca, p. 44) ou Yucca canaliculata (Fenzl).
  2. J.Benjamin Chabaud, « Floraison d'un Yucca filifera », dans Revue Horticole, no 48, 1876, p. 432 . Puis Rev. Hort. 1880, p. 376 ; 1884, p. 53. Et encore Gard. Chron. 1888, vol. I, p. 743, fig.97 et p. 751, fig.100.
  3. F. Hochstätter et G. Hentzschel, Yucca III (Agavaceae) : Mexico, Selbst Verlag, 2004 (ISBN 3-00-013124-8), p. 33–34 .
  4. Georges Lobsiger, « Présences américaines dans la langue française », dans Bulletin de la Société suisse des Américanistes, Bulletin de la Société suisse des Américanistes, no 39, 1975, p. 36 .
  5. Pierre-Olivier Albano, La Connaissance des plantes exotiques, Édisud, 2007 (ISBN 978-2-7449-0389-2), p. 152 .
  6. a, b et c (en) Samuel Curtis et Sir William Jackson Hooker, « news series », dans Curtis's Botanical Magazine, London Edward Couchman, vol. XV, 1842, Tab. 7197, p. 1391 .
  7. a et b (es) Matuda E, I. Piña, Las plantas mexicanas del género Yucca, Miscelanea Estado de México. Gobierno del Estado de México, 1979 .
  8. Jean-Pierre Demoly, Un jardin botanique d’exception, Les Cèdres, Franklin Picard, 1999 (ISBN 2-913863-00-0), p. 82 et 83 note 99-100 .
  9. a, b et c (de) Hochstätter, F. & G. Hentzschel, Yucca III (Agavaceae): Mexico, Selbst Verlag, 2004 (ISBN 3-00-013124-8), p. 33–34 .
  10. Cyrus Pringle (1838 † 1911) est un quaker originaire du Vermont qui devient botaniste à la Massachusetts Horticultural Society. Il rassemble notamment pour le Gray Herbarium de Harvard, de nombreux échantillons de flore mexicaine, le tronc de Yucca filifera dont il est question dans le texte est expédié par ses soins à Kew.
  11. (en) Riley, C. V., « The Yucca Moth and Yucca pollination », dans Rept. Mo. Bot. Gard., no 3, 1892, p. 99-158 .
  12. (en) J.Powell, « Interrelationships of yuccas and yucca moths », dans Trends, Ecol. Evol, no 7, 1992, p. 10-15 .
  13. Pierre-Olivier Albano, Les Yuccas Agaves et Aloès, une ambiance de bout du monde dans votre jardin, Édisud, coll. « Pas à pas », février 2006 (ISBN 2744905992) .
  14. (es) Rentería, L. y Cantú, C., El efecto de Tegeticula yuccasella Riley (Lepidoptera: Prodoxidae) sobre la fenología reproductiva de Yucca filifera Chabaud (Agavaceae) en Linares, N.L., México, vol. 89, Acta Zoológica Mexicana (nueva serie), 2003, p. 85-92 .
  15. Pour une classification phylogénétique, (en)Olle Pellmyr, Kari Segraves, David Althoff, « The Phylogeny of yuccas » sur www.sciencedirect.com, 2007. Consulté le 4 novembre 2010.
  16. (en) Sargent C. S., « New or Little Known Plants », dans Garden and Forest, vol. 1, no 7, 1888, p. 78-79, fig.13-14 .
  17. (en) Josiah Gregg, Commerce of the Prairies, New York, Henry G. Langley, 1844  et (en) Josiah Gregg, « Lire Commerce of the prairies en ligne » sur www.kancoll.org, Kansas collection books, Dick Taylor. Consulté le 6 novembre 2010.
  18. (en) William Trelease, The Yucceae, The Missouri Botanical Garden, 30 juillet 1902 [présentation en ligne], p. 104 .
  19. (en) John Russell Bartlett, Personnal Narrative of Explorations and Incidents in Texas, New Mexico, California, Sonora and Chihuahua, 1850-1853, Volume II, 1853, p. 491 .
  20. (en) Charles S. Sargent, « New or little know plants, Yucca filifera », dans Garden and Forest, a journal of Horticulture, landscape art and Forestry, New – York, The Garden and Forest Publishing Co., février à décembre 1888, volume I, p. 78 avril 1888 , pour une description de la première floraison de ce yucca au Plantier de Costebelle et pour l'origine géographique exacte d'où il provient au Mexique (Saltillo).
  21. (es) Daniel Guillot Ortiz et Piet Van Der Meer, El Género Yucca L. en España, Valencia, 2008, p. 56 .
  22. (en) D. J. Mabberley, « Die neuen pflanzen von Ch. Huber frères and Co in Hyères », dans Taxon, Vienne, Autriche, août 1985, p. 448, volume 34 (3) .
  23. Page de couverture de : Adolphe Smith, The Garden of Hyères, J.Evans and company, 1882 . Cette gravure est une des très rares représentations de la maison Charles Huber frères et compagnie, horticulteurs hyérois à l'origine de la commercialisation des premiers pieds de yuccas en France.
  24. J.Benjamin Chabaud, « Floraison d'un Yucca filifera », dans Revue Horticole, no 48, 1876, p. 432 .
  25. A. Robertson – Proschowsky, G. Roster et B. Chabaud, La résistance au froid des palmiers, Champflour, 1998 (ISBN 2-87655-039-3), p. 180 et 210 .
  26. John Backer, in Journ. Linn. Soc. vol.  XVIII p. 229.
  27. Daniel Jacquemin, Les Succulentes Ornementales. Agavacées pour les climats méditerranéens, vol. 1, Chamflour, 2001, p. 199 et 200 .
  28. Pierre-Olivier Albano, La Connaissance des plantes exotiques, Édisud, 2007 (ISBN 978-2-7449-0389-2), p. 154 .
  29. Daniel Jacquemin, Les Succulentes Ornementales. Agavacées pour les climats méditerranéens, vol. 1, Chamflour, 2001 .
  30. (en) Oldfield, S. (Comp), Cactus and succulent plants : status survey and conservation action plan, IUCN, Cambridge, U.K., 1997 (ISBN 2831703905) , et (en) Olson, D. M. and E. Dinerstein, The Global 200 : a representation approach to conserving the earth's most biologically valuable ecoregions, 1998.
  31. François Couplan, Le Régal Végétal, Sang de la Terre, 2009 (ISBN 978-2-86985-184-9), p. 100 et 101 .
  32. (en) Sargent C. S., « New or Little Known Plants », dans Garden and Forest, no 1 (7), 1888, p. 78-79 .
  33. (en) D.H. Harris, M.D. et Tom Laga, Ph.D., « Yucca Plant Saponin in the Treatment of Hypertension and Hyper cholesterolemia », dans Journal of Applied Nutrition, no 3 et 4, 1978 .
  34. Colloque international : (en) International Round Table on Prosopis Tamarugo, Arica, Chili, 11-15 juin 1984, Mario Habit éditeur, 1985, isbn 9251024375, « The current state of knowledge on Prosopis Tamarugo, panel 2 : The management of the plant cover on arid lands », intervention de Lorenzo Maldonado.
  35. (en) Peter R. Cheeke, « Utilisation des saponines produites par le yucca dans l'alimentation humaine et animale » sur www.asas.org, American Society of Animal Science, 1999. Consulté le 23 novembre 2010.
  36. Pierre-Olivier Albano, La Connaissance des plantes exotiques, Édisud, 2007 (ISBN 978-2-7449-0389-2), p. 155 .

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

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  • (es) Daniel Guillot Ortiz et Piet Van Der Meer, El Género Yucca L. en España, Monografias dela revista Bouteloua, Jolube, Valencia, 2008 (ISBN 978-84-937291-8-9), p. 55 à 57 Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article 
  • (fr) Pierre-Olivier Albano, La Connaissance des plantes exotiques, Édisud, 2007 (ISBN 978-2-7449-0389-2) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article 
  • (fr) Daniel Jacquemin, Les Succulentes Ornementales. Agavacées pour les climats méditerranéens, vol. 1, Chamflour, 2001 Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article 
  • (fr) J. Benjamin Chabaud, « La Floraison d'un Yucca filifera à Hyères, chez le baron de Prailly », Revue Horticole, no 48, 1876 Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

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