Briec

Briec

48° 06′ 10″ N 3° 59′ 50″ W / 48.102778, -3.997222

Briec / Brieg

(anciennement Briec-de-l'Odet)

La mairie
La mairie
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Quimper
Canton Briec (chef-lieu)
Code commune 29020
Code postal 29510
Maire
Mandat en cours
Jean-Paul Le Pann
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du pays Glazik
Site web Site de la mairie
Démographie
Population 5 244 hab. (2008[1])
Densité 77 hab./km²
Gentilé Briecois
Géographie
Coordonnées 48° 06′ 10″ Nord
       3° 59′ 50″ Ouest
/ 48.102778, -3.997222
Altitudes mini. 44 m — maxi. 230 m
Superficie 68 km2

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Briec - anciennement Briec-de-l'Odet - est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Sommaire

Géographie

localisation de la commune de Briec dans le Finistère
  • Située au cœur de la Cornouaille, Briec, est à environ 15 km au nord-est de Quimper. Dominée par le Menez Roc'h-Veur (230 m), la commune est vallonnée et fait partie des bassins versants de l'Odet et de l'Aulne. À l'est, une partie de la commune est enclavée entre Edern et Landudal.
  • Le centre urbain de Briec regroupe la majorité des habitants et possède l'ensemble des services publics. Le reste de l'habitat est dispersé en hameaux sauf les lotissements isolés dans la zone sud de la commune.
  • L'espace rural a évolué, du fait du remembrement en parcelles de plus grande taille, vers une typologie rurale nouvelle avec la disparition des talus et enclos.
  • L'aspect agricole de l'économie, préservé par la commune depuis la fin de la guerre, doit depuis les années 70, coexister avec une petite industrie où domine le secteur agroalimentaire et à moindre degré la mécanique et le bâtiment.

Histoire

Briec s’appelait autrefois Plebs Brithiac (au XIe siècle et en 1160), Briziac (de 1249 à 1574), Briziec (en 1675). Briec semble être un fundus gallo-romain : la tradition place en effet sur le territoire de Briec un camp romain. Un cavalier à l’Anguipède (IIe siècle), découvert à Guellen, est exposé au musée départemental. La paroisse primitive de Briec comprenait Edern, Landrévarzec, Langolen et Landudal.

Vers 1248, Landrévarzec se détache de la paroisse de Briec pour constituer une paroisse indépendante.

En 1675, Briec est un centre de la Révolte des Bonnets Rouges.

1795 : des chouans, basés à Locoal-Mendon dans le Morbihan, dirigés par Georges Cadoudal, de retour de la poudrerie du Pont-de-Buis qu'ils avaient attaqué par surprise pour y voler de la poudre, tuèrent l'instituteur et le curé constitutionnel de Briec ainsi que le curé aussi constitutionnel de Saint-Ségal[2].

La prospérité de la commune et d'une partie de ses habitants au fil des siècles sera favorisée par le développement de l'élevage et notamment d'une race particulière de chevaux les « doubles bidets ».

Démographie

Évolution démographique

D’après le recensement Insee de 2007, Briec compte 5 174 habitants (soit une augmentation de 12 % par rapport à 1999). La commune occupe le 1 908e rang au niveau national, alors qu'elle était au 2 040e en 1999, et le 32e au niveau départemental sur 283 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Briec depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 1891 avec 6 413 habitants.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 4 106 4 521 3 495 4 191 4 481 4 592 5 149 5 310 5 493
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 5 437 5 493 5 726 5 592 5 906 5 875 6 175 6 413 4 765
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 4 067 4 403 4 436 4 367 4 199 3 935 4 072 3 848 3 647
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 -
Population 3 425 3 436 3 744 4 587 4 546 4 602 5 103 5 174 -
Notes, sources, ... Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusqu'en 1962[3], base Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[4],[5]

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,3 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (24,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 48,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,8 %, 15 à 29 ans = 16,7 %, 30 à 44 ans = 23,8 %, 45 à 59 ans = 21,2 %, plus de 60 ans = 17,4 %) ;
  • 51,2 % de femmes (0 à 14 ans = 21,4 %, 15 à 29 ans = 15,6 %, 30 à 44 ans = 22,4 %, 45 à 59 ans = 17,6 %, plus de 60 ans = 23 %).
Pyramide des âges à Briec en 2007 en pourcentage[6]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,2 
90  ans ou +
1,1 
6,0 
75 à 89 ans
10,1 
11,2 
60 à 74 ans
11,8 
21,2 
45 à 59 ans
17,6 
23,8 
30 à 44 ans
22,4 
16,7 
15 à 29 ans
15,6 
20,8 
0 à 14 ans
21,4 
Pyramide des âges du département du Finistère en 2007 en pourcentage[7]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,3 
90  ans ou +
1,2 
6,7 
75 à 89 ans
11,6 
13,6 
60 à 74 ans
15,3 
21,4 
45 à 59 ans
20,2 
20,8 
30 à 44 ans
18,9 
18,4 
15 à 29 ans
16,1 
18,7 
0 à 14 ans
16,7 

Naissances

  • 63 en 2004
  • 64 en 2005
  • 77 en 2006

Décès

  • 52 en 2004
  • 58 en 2005
  • 60 en 2006

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
novembre 1791 décembre 1791 Jean Pennanech    
janvier 1792 janvier 1793 Henry Hémon    
janvier 1793 juillet 1793 Yves Le Grand    
1793 1794 François Ducap    
1794 1796 Le Gougay    
1796 1801 Le Hénaff    
1801 1803 Jean Le Louet    
1803 1806 Yves Le Gougay    
1806 1827 François CreachcadicC    
1827 1848 Hervé Le Berre    
1848 1855 Jean Kerbourch    
1855 1857 Jean Rolland    
1857 1878 Jean Bozec    
1878 1882 Pierre Dandurand    
1882 1904 Hervé Le Gac    
1904 1906 Michel Croissant    
1906 1908 Jean Pennarun    
1908 1919 Michel Croissant    
1919 1925 Jean Pennarun    
1925 1929 Pierre Kerbourc'h    
1929 1941 Hervé Merour    
1941 1945 Jean Pennarun    
1945 1959 Yves Le Page    
1959 1981 Pierre Stephan    
1981 1989 François Rolland    
1989 2001 Joseph Bernard    
2001 2008 Jean-Paul Le Pann PS  
2008   Jean-Paul Le Pann PS  
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Langue bretonne

  • À la rentrée 2007, 5,5 % des enfants de la commune étaient inscrits dans le primaire bilingue[8].

Monuments

Chapelle Saint-Sébastien de Garnilis

La fenêtre du chevet présentait en 1820, quatre panneaux, et deux oculi avec armes des Trégain, d’une Passion datée 1580. En 1921, le marquis de Plœuc « pensant sauver ce vitrail en l’installant au château de Kerambleis » offrit une verrière datée 1921 du maître verrier Léglise de Paris. Depuis aucune trace de cette Passion. Elle est mentionnée par erreur par Couffon comme existante[9]. En 1819, Désordres dans la chapelle à la suite des luttes bretonnes. Le vicaire de Briec ne veut plus y célébrer la messe, sauf ordonnance de l’évêque[10].

Chapelle Saint-Vennec

La chanoine Abgrall dans ses brouillons signale des débris de vitraux, où il reconnaît deux anges tenant une banderole, puis une sainte Vierge et un saint Sébastien[11].

Chapelle Saint-Guénolé dit de Treflez et aussi chapelle de Trolez

Vitrerie losange proche début XXe en verre blanc, sacristie 1630, avec inscription difficile à déchiffrer. La chapelle serait reliée au manoir de Trolez par « souterrain » Un vide de 2,50 mètres a été découvert menant de la chapelle vers ce manoir, le propriétaire actuel (1988) maniant le pendule. Un autre souterrain où l’on peut passer à quatre pattes a été trouvé sous le sol de la chapelle et allant du second pilier vers la fenêtre 1. Très belles adorations des mages, restes d’un triptyque ? Vitrerie losangée, en1990, petites restaurations documentation jplb

Chapelle de la Madeleine

On ne trouvait, en 1985, aucune pièce, témoin des anciens vitraux mais cependant nombreuses traces de barlotières et vergettes antérieures. De même pas de trace de vitrerie XIXe. Par contre les anciens se souvenaient de vitraux losangés en verre blanc. En 1984, du verre blanc a succédé a des fenêtres en bois encore existantes en 1948. Relevé traces de peinture XVII° sur les pierres encadrant les baies. Depuis 1985 vitraux figuratifs de l’atelier Le Bihan, aux sujets choisis par le comité. Auteurs : Antoine et Jean-Pierre le bihan[12].

Église paroissiale Saint-Pierre XVe siècle

En 1789, lors du procès-verbal en vue de reconstruire l’église on y voyait, derrière le maître-autel dans le vitrail représentant une Passion du XVIe, cinq écussons dont celui de Bretagne, celui de France ainsi que celui de la seigneurie de la Chataigneraye, présentés par un ange. En la chapelle Saint-Jean, il y a trois soufflets, le premier porte un écusson, le reste est en verre blanc ou représente le mystère de la Passion. En la chapelle de la Vierge, côté Nord, au haut du vitrail sont trois écussons[13].

  • La commune possède un patrimoine architectural remarquable : de nombreuses chapelles disséminées dans la campagne, une multitude de calvaires.
  • Chapelle de la Madeleine XVIe siècle.

Chapelle Sainte-Cécile

Actuellement seule subsiste la verrière du chevet.

Le XVIe siècle avait fourni à cette chapelle au moins deux autres verrières dont nous avons la description. Les sujets étaient, dans la grande baie du transept sud, une vie de sainte Cécile, et dans la petite baie est du transept nord une annonciation.

En dehors de ces descriptions nous savons peu de choses sur leur disparition.

En 1878, dans un ouvrage sur le vitrail en Bretagne, Auguste André reprend un article paru dans un Bulletin de la Société archéologique du Finistère. Puis ce fut en 1904, le tour du chanoine Abgrall, article qui fut repris en partie en mars 1906 par la Revue d’art sacré.

En 1922, Corroze et Gay en auraient pris des photos, donnés par la suite au chercheur Jean Lafond, photos qui demeurent introuvables.

Ces vitraux, ainsi que celui existant actuellement ont été classés en 1906.

Sur la disparition des deux vitraux, on ne sait que peu de choses. Jean Lafond indique que lors de son passage ils ont déjà péri de misère, et que celui du chœur est dans un état pitoyable. On peut se poser aussi la question d’une dépose des restes par un verrier en vue d’une possible restauration qui n’a pas abouti ; la mémoire locale semble l’affirmer.

La verrière du chevet avant 1981 

De cette verrière, avant cette date qui annonce sa restauration, il ne restait plus en place que quarante-cinq pour cent de vitraux anciens. Les parties manquantes étaient en verre dépoli et quelques morceaux de couleur bleue en verre plat qui avaient été utilisés ici et là dont la robe de la Vierge. Ces éléments peuvent nous donner une approche d’une petite restauration postérieure à la seconde partie du XIXe siècle. Cette façon de procéder, qui est plus proche de la conservation que de la restauration, est typique d’un atelier quimpérois comme celui de Cassaigne qui habitait place au Beurre, ne possédant pas de four, ni de grisaille et peut-être pas la main assez habile pour reprendre des pièces dans l’esprit des anciennes. Il restaurait ainsi, sauvant de la ruine certaine, de nombreux vitraux de la région quimpéroise.

Description de la verrière du chevet 

C'est une baie à quatre lancettes trilobées composée de 16 panneaux de vitraux de hauteurs différentes, quatre par quatre.

Les trois lancettes de gauche présentent une Crucifixion, la dernière à l’extrême droite étant réservée à la représentation de sainte Cécile.

  • Chapelle Saint-Guénolé (Trolez) XVIIe siècle
  • Chapelle Notre-Dame d'Illijour XIXe siècle
  • Chapelle Saint-Venec XVIe siècle
  • Chapelle Saint-Égarec XVIe siècle
  • Chapelle Saint-Sébastien (Garnilis) XVIe siècle
  • Chapelle Saint-Corentin (Kreisker) XVIe siècle

Château

  • Le 'château de Trohanet': une partie de la propriété est en Langolen. Le château est composé d'une partie plus ancienne datant du xvème siècle et d'une partie « moderne » datant du XVIII|ème siècle; le pignon ouest a également été "rhabillé" au 19ème siecle pour le mettre en conformité avec le reste de la facade; y était en effet adossée une longère qui servait d 'écurie et que le propriétaire a fait détruire.Vendue en 1851 par la famille Tréouret de Kerstrat à la famille La Grandière, le parc de Trohanet, sous l'impulsion du vice-amiral Pierre de La Grandière (ancien gouverneur de Cochinchine) est remodelé, en 1872, par le paysagiste Eugène Buhler.Les travaux d'aménagement du parc, à la façon anglaise, sont achevés vingt cinq ans plus tard, en 1898; Le parc et le château sont inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 2002.

Avant les Kerstrat et les La Grandière, ce sont les familles Penancoet de Kerroualle et de Liziart qui possédaient Trohanet. C'est René de Penancoet de Keroualle qui achete Trohanet en 1629 à Mauricette de Kersaudy, épouse de Christophe de Fouquet (neveu du "grand Fouquet" embastillé par Louis XIV)et descendante des Liziart. René de Penancoet de Keroualle est le père de Guillaume de Keroualle dont est issue, de son mariage en 1645 avec Marie de Ploeuc, Louise de Keroualle, la future Duchesse d'Aubigny, maitresse du Roi d'Angleterre Charles II ("Louise de Keroualle" d'Alain Boulaire aux éditions du Télégramme);elle est l'ancetre de Lady Diana , donc du Prince William, héritier du trône d'Angleterre. Les Kerstrat achetent Trohanet aux Keroualle en 1696. Les Kerstrat vendent Trohanet , en 1851, au futur amiral de La Grandière dont descend l'actuel propriétaire. Trohanet sera un centre de "chouanerie" dans les années 1794/1796; Monsieur de Kerstrat, père, a émigré en 1793; il laisse cinq enfants à la charge de sa sœur Celeste (il était veuf de Julie du Grégo, sœur du marquis du Grégo , propriétaire du chateau de Trévarez); Celeste prétendra que Trohanet lui appartient et Trohanet échappera ainsi à la confiscation et à la vente comme "bien national". Le jeune Kerstrat, Joseph Hyacinthe, qui avait rejoint son père en Angleterre, débarque à Quiberon en juin 1995, se réfugie à Trohanet où il est arreté en octobre de la meme année; conduit d'abord à Quimper , puis à Brest, il est fusillé à l'age de vingt ans. C'est "Ludovic" , le fils de son jeune frere Thomas , qui héritera de Trohanet et le vendra en 1851. Il est le père de Marie de Kerstrat qui fit connaitre le cinéma aux canadiens. Le parc et les batiments (chateau et batiments annexes dont "la basse cour")sont inscrits à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. Trohanet a pu ainsi bénéficier en 2009, pour la première fois, d'une subvention pour la refection d'une partie de la toiture; cette subvention (40% au total) a correspondu au surcout de la fixation des ardoises au clou exigée par l'Administration.

Jumelage

Drapeau du Royaume-Uni Ruthin (en) (Royaume-Uni)Sous-modèle utilisé pour la maintenance du modèle {{Jumelage}} via les pages liées.

Évènements

Le bagad Karreg An Tan de Briec lors du Festival Interceltique de Lorient en 2009
  • Un grand marché réunit les amateurs de shopping en plein air tous les premiers mardis du mois sur la Grande Place. Un marché hebdomadaire, le vendredi matin, fait la joie des amateurs de produits du terroir, fort renommés en Pays Glazik.
  • En 2007, le Bagad Brieg a été sacré champion de Bretagne des Bagadoù.

Enseignement à Briec

La commune de Briec comprend trois écoles primaires :

  • École Yves de Kerguelen (publique)
  • École de Penity (publique)
  • École Sainte Anne (privée)
Le collège Pierre-Stéphan.


et comprend deux collèges :

  • Le Collège Pierre-Stéphan (public) : construit en 1982, il occupe une surface bâtie de 4 505 m2. Les effectifs pour l'année scolaire 2010-2011 sont de 383 élèves.
  • Le Collège Privé Saint-Pierre : les effectifs pour l'année scolaire 2009-2010 sont de 253 élèves.

Voir aussi

Liens externes

Bibliographie

  • Hervé Jaouen, Les Filles de Roz-Kelenn, éditions Presses de la Cité, 2007;
  • Serge Duigou, La Révolte des Bonnets Rouges en pays bigouden, Éditions Ressac, Quimper, 1989;
  • Yves Garlan et Claude Nières, Les révoltes bretonnes de 1675, Éditions sociales, Paris, 1975;
  • Charles Le Goffic, Les Bonnets Rouges, Éditions La Découvrance, 2001;
  • Jean Lemoine, La Révolte du papier timbré ou des Bonnets Rouges, Plihon, Rennes, H. Champion, Paris, 1898;
  • Arthur Le Moyne de La Borderie, La Révolte du papier timbré advenue en Bretagne en 1675, réédité dans Les Bonnets Rouges, Union générale d'éditions (collection 10/18), Paris, 1975;
  • Boris Porchnev, Les buts et les revendications des paysans lors de la révolte bretonne de 1675, paru dans Les Bonnets Rouges, Union générale d'éditions (collection 10/18), Paris, 1975;
  • Syndicat d’initiative du Pays Glazik, Route des chapelles en Pays Glazik, 2000;
  • Serge Duigou, Marie de Kerstrat, l'aristocrate du cinématographe, Éditions Ressac, Quimper, 1978 (l'histoire d'une Briécoise (1841-1920) devenue pionnière de la diffusion du cinéma outre-Atlantique pendant seize ans).

Références

  1. Populations légales 2008 de la commune : Briec sur le site de l'Insee
  2. Journal "Le Temps" n° 15863 du 8 juillet 1903 et n° 15864 du 9 juillet 1903
  3. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 21 novembre 2010
  4. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 21 novembre 2010
  5. Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 21 novembre 2010
  6. Évolution et structure de la population à Briec en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 21 novembre 2010
  7. Résultats du recensement de la population du Finistère en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 21 novembre 2010
  8. (fr) Ofis ar Brezhoneg: Enseignement bilingue
  9. Fond Abgrall, bibliothèque municipale de Quimper, croquis de la baie
  10. Bulletin commission diocésaine 1904. Documentation jplb
  11. Documentation JPLB
  12. documentation jplb
  13. Compilation de divers bulletins de la société archéologique

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Briec de Wikipédia en français (auteurs)

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