Canadiens français

Canadiens français
Page d'aide sur l'homonymie Le terme « Canadiens français » est fréquemment confondu avec Québécois, qui désigne un habitant du Québec.
Canadiens français
Samuel de Champlain (Québec).jpg

Samuel de Champlain - fondateur de la Ville de Québec en 1608
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Maurice richard profile.jpg Hubert Reeves mg 4591-c.jpg
Jean Chretien 2008.jpg Kerouac by Palumbo.jpg
Louise Arbour.jpgCeline Dion Concert Singing Taking Chances 2008.jpg
(de gauche à droite) La BolducGabrielle RoyMaurice RichardHubert ReevesJean ChrétienJack KerouacLouise ArbourCéline Dion

Populations
Population totale 10 421 365[1]
Drapeau du Canada Canada (principalement au Québec, mais aussi en Ontario et au Nouveau-Brunswick)[2]
Autre
Région d'origine Nouvelle-France
Langue(s) Français
Religion(s) Catholicisme principalement
Groupe(s) relié(s) Québécois
Diaspora québécoise
Franco-Canadiens, Franco-Américains, Acadiens, Brayons, Cadiens

La collectivité des Canadiens français regroupe les gens de descendance neufrancienne dont les ancêtres s'établirent sur les terres du Canada historique et qui y demeurèrent après la Conquête de 1760. Fondée sur la filiation par le sang, la nation canadienne-française est donc — en conséquence de son évolution historique — formée d'individus natifs de divers lieux dans le monde, mais principalement de leur terre ancestrale. Marqués par la dualité identitaire canadienne, les Canadiens français sont aussi traditionnellement désignés sous la dénomination Canadiens, en tant qu'elle signifie l'appartenance collective à leur groupe d'origine culturel et linguistique[3], plutôt qu'à la société politique actuelle du Canada.

Le critère anthropologique commun est la langue française, malgré les effets historiques de l'assimilation culturelle et linguistique. Bien que le taux d'adhésion populaire à la croyance catholique romaine soit de l'ordre des grands pays tels que l'Italie, la pratique du rite latin par les laïcs n'est plus aussi importante que par le passé[4]. En dépit de leur intégration à la société confédérale de 1867, les Canadiens français maintiennent encore et toujours de forts liens avec la Francophonie, notamment l'Acadie et le Pays des Cadiens[4] ,[5],[6].

Dans la seconde moitié des années 1960, les États généraux du Canada français déterminèrent l'avenir collectif du peuple canadien-français, en circonscrivant son milieu politique à celui de la société québécoise et son territoire national à celui de l'État québécois. La nation ethnique canadienne-française s'appropriait ainsi l'appareil étatique de la province de Québec, afin d'y reconstituer ses éléments culturels sous une identité nationale parallèle de forme civique.

Sommaire

Terminologie

Cette appellation est la traduction du terme anglais French Canadian[réf. nécessaire] employée pour la première fois dans les journaux de Toronto durant la fin du XIXe siècle pour identifier les Métis de l'Ouest canadien revendiquant, avec Louis Riel, leurs droits sur des territoires qu'ils habitaient, désormais convoités par la migration venant du Haut-Canada (Ontario actuelle)[réf. nécessaire]. Progressivement, à compter de la pendaison de Louis Riel (16 novembre 1885), cette appellation traduite en « Canadien français » a été endossée par les Canadiens d'ascendance française jusqu'en 1960. Identifier les populations françaises de Nouvelle-France ou d'ascendance française du Canada comme étant canadienne-française avant la fin du XIXe siècle est un anachronisme. À l'extérieur du Québec, ce terme est parfois utilisé dans un contexte contemporain pour faire référence à tous les Canadiens francophones. Cependant, au Québec le terme a été remplacé par « Québécois » depuis la Révolution tranquille des années 1960. Par extension, les Franco-Américains sont des habitants des États-Unis qui ont une ascendance française.

Les « Canadiens français » ont pour ancêtres des Français qui se sont établis à compter de 1608 sur un territoire correspondant au bassin hydrographique du Saint-Laurent (ce qui recouvre partiellement l'actuelle province de Québec (1608), de l'Ontario, et les États du Michigan, de l'Illinois, de l'Indiana et du Wisconsin durant la colonisation de la Nouvelle-France, qui débute au XVIIe siècle.

Histoire

Les Français furent les premiers Européens à s'établir durablement sur le territoire actuel du Québec (voir colonisation française de l'Amérique). La Nouvelle-France couvrait un territoire correspondant aujourd'hui aux Provinces maritimes, au sud du Québec et de l'Ontario, à tout le pourtour des Grands Lacs, au Manitoba et en Saskatchewan ainsi qu'à toute la vallée du Mississippi, soit dans les États actuels du Minnesota, du Wisconsin, de l'Iowa, de l'Illinois, du Missouri, du Tennessee, de l'Arkansas, du Mississippi et de la Louisiane moderne. Le premier établissement européen permanent en territoire de la Nouvelle-France fut construit en 1605 à Port Royal. Le premier établissement européen permanent toujours en occupation continue en territoire de la Nouvelle-France fut construit à Québec en 1608. À cette époque, les territoires faisant partie de la Nouvelle-France se divisaient en « provinces » Canada, Acadie et Louisiane. À la Conquête, les trois quarts des Français et Françaises de Nouvelle-France avaient pour mère ou grand-mère une des Filles du Roy, venues de France entre 1663 et 1673.

Dans les années qui suivirent la Guerre de la Conquête, qui fit passer la Nouvelle-France sous administration britannique, l'apport de la population d'origine « neufrancienne », largement majoritaire démographiquement, demeura important pour les colonies.

Les Britanniques, qui avaient obtenu l'Acadie par le traité d'Utrecht en 1713, avaient déporté 75 % des Acadiens vers d'autres colonies britanniques en 1755. Ailleurs en Nouvelle-France les habitants échappèrent à ce sort en partie grâce aux articles de la capitulation, qui firent d'eux des sujets britanniques. Puis, l'Acte de Québec de 1774 leur permit d'utiliser à nouveau le code civil français. Les Canadiens du Bas-Canada firent connaissance avec le système parlementaire britannique à partir de 1791, avec la création d’une assemblée législative composée de députés élus.

Cette assemblée législative n'ayant pas de pouvoirs réels, cette situation aboutit à la révolte des Patriotes de 1837-1838, qui fut plus virulente dans le Bas-Canada que dans le Haut-Canada et à l'issue de laquelle les deux provinces furent unifiées. Cette union avait notamment pour but de restreindre les pouvoirs politiques des Canadiens d'origine française. Au cours des années 1850, après plusieurs décennies d'immigration britannique, les Canadiens d'origine française devinrent minoritaires au Canada-Uni. Cette immigration majoritairement irlandaise et écossaise commença à se nommer « Canadian » et non plus britannique.

Pour se distinguer des « Canadiens » d'origine française, l'appellation French Canadian a commencé à être utilisée dans les journaux de Toronto pour stigmatiser les Métis de l'Ouest qui voulaient protéger leurs territoires et pour susciter l'appui des « Canadians » (l'immigration d'origine écossaise, irlandaise et britannique). Au début du siècle dernier, l'appellation « French Canadian » avait toujours ce caractère dénigrant, comme le démontrent les films tournés à Hollywood à cette époque quand ils concernaient l'histoire du Canada. Les vilains étaient des French Canadians.

« En 1975, le journaliste et historien populaire Pierre Berton publie Hollywood’s Canada, the Americanisation of Our National Image. Cette magistrale étude recense 575 productions hollywoodiennes se déroulant au Canada depuis 1907 et elle révèle les caractéristiques thématiques, presque constantes, dans l'ensemble des films : le rôle négatif, le « vilain », est attribué à des Canadiens français frustrés, laids, barbus, puants, gros bras sans intelligence, retors, souvent violeurs, alors que l'agent de la « Police Montée » « qui attrape toujours son homme », bel homme, propre, intelligent, séducteur, a toujours un nom anglais. L'héroïne, la jeune fille toujours séduisante et tentation pour le héros, parfois très pure, mais souvent un peu putain, est généralement une Canadienne française. Quant aux Métis, toujours engendrés par des francophones, ils sont doublement dangereux puisqu'ils allient la sauvagerie des Indiens et de celle des Canadiens français[7]). » L'expression dénigrante a choqué les Canadiens d'origine française, mais pour se montrer solidaires des Métis et de Louis Riel ayant vécu à Montréal, ils endossèrent progressivement cette appellation après la pendaison de Louis Riel le 16 novembre 1885, et ce, jusque dans les années 1960, soit plus ou moins 75 ans.

La contribution des Canadiens d'origine française fut essentielle pour assurer l'établissement d'un gouvernement responsable et la mise en place de la Confédération canadienne en 1867. Cependant, vers la fin du XIXe siècle et du XXe siècle, le mécontentement des Canadiens d'origine française s'accentue au sujet de leur rôle au sein du Canada (voir Québec, histoire du Canada, politique canadienne).

À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, environ un million de Canadiens d'origine française quittèrent le Québec pour s'établir aux États-Unis, principalement en Nouvelle-Angleterre. Les raisons de cet exode furent principalement économiques, mais également politiques. Le premier ministre Wilfrid Laurier avait nommé comme ministre de l'Immigration Clifford Sifton, qui jugeait d'un mauvais œil plus de francophones dans les provinces de l'Ouest. Il préférait recruter les immigrants anglais, allemands, ukrainiens et américains pour défricher les terres des provinces de l'Ouest. Avec un coût de transport deux fois plus élevé que les immigrants venant de l'Angleterre, les Canadiens français ont préféré se rendre en Nouvelle-Angleterre pour travailler dans l'industrie du textile, où le transport pour s'y rendre avait été payé par ces entreprises[8].

Le français fait partie des deux langues officielles du Canada depuis 1968. C’est la seule langue officielle du Québec et l'une des langues officielles du Nouveau-Brunswick, des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut. Le français parlé au Canada diffère notablement de celui parlé en France (voir les articles Français québécois et Français acadien).

Usage actuel

En anglais, on utilise peu les termes servant à désigner les habitants des différentes provinces, mais lorsqu'on le fait, on les désigne soit par leur province de résidence, soit par le terme « French Canadian ». Bien que la dénomination « French Canadian » soit la plus courante pour les désigner en anglais, beaucoup de Canadiens d'ascendance française la considèrent comme dépassée, surtout au Québec. La plupart des Canadiens francophones qui utilisent une dénomination provinciale utilisent celle dont ils sont originaires, même s'ils n'y résident plus. Par exemple, un Québécois qui s'établit au Manitoba ne s'identifiera pas en tant que Franco-Manitobain, mais bien en tant que Québécois.

Les dénominations provinciales sont de plus en plus utilisées pour souligner les dimensions culturelles et linguistiques des institutions et organismes francophones par opposition à leurs dimensions ethniques et religieuses. Le terme « Canadien français » est toutefois encore utilisé dans des contextes culturels et historiques ou lorsqu'il est nécessaire de faire référence aux Canadiens d'origine française, par exemple dans le contexte d'un organisme qui sert les intérêts des minorités francophones du pays.

Francophones au Canada

Cathédrale de Saint-Boniface, foyer culturel principal des Franco-Manitobains.

La dénomination des Canadiens francophones varie en fonction de leur province d'origine :

Les Acadiens des Provinces maritimes et les Métis sont des Canadiens français dans le sens original du terme de French Canadian employé par les Canadians pour décrire les Métis de l'Ouest, par opposition à Canadians, les anglophones d'ascendance irlandaise, écossaise et britannique. Mais ils forment des communautés francophones distinctes. À l'origine, les termes Canadien et Acadien référaient aux habitants de ce qui étaient les « provinces » françaises du Canada et d'Acadie en Nouvelle-France. Après la Conquête, la « province » française du Canada est appelée Province of Québec, plus tard appelé Bas-Canada, puis Canada-Uni, puis Québec. L'Acadie était l'une des trois régions de la Nouvelle-France. Une partie de l'Acadie a été rattachée aux 13 colonies anglaises à compter de 1713.

Le traité d'Utrecht est signé en 1713. L'article 12 rend définitivement l'Acadie au Royaume-Uni, de même que la Terre de Rupert et Terre-Neuve[27]. La France conserve tout de même l'île Saint-Jean (île du Prince-Édouard) et l'île Royale (île du Cap-Breton). De plus, la France considère que toute l'Acadie lui appartient toujours, correspondant à l'actuel Nouveau-Brunswick ainsi que l'est du Maine et la Gaspésie.

Centre-ville du Grand Sudbury, foyer culturel principal des Franco-Ontariens.

Après la Conquête de 1759-1760, la Grande-Bretagne obtient de la France ses possessions en Nouvelle-France, à savoir, l'Île Royale, l'Isle Saint-Jean (Île-du-Prince-Édouard), une partie de l'Acadie appartenant toujours à la France, et sa « province » de Nouvelle-France appelée le Canada, y compris le bassin des Grands Lacs et la rive gauche du Mississippi, une partie de la « province » de Nouvelle-France appelée Louisiane.

Néanmoins, depuis ce temps (où le terme "Canada" ne désigne plus uniquement les basses-terres du Saint-Laurent, appelées Province of Québec après la Conquête, mais bien l'ensemble des provinces appartenant à la Confédération), les Acadiens sont évidemment considérés comme des Canadiens de langue française.

Les États-Unis comptent également une communauté franco-américaine. Présente surtout en Nouvelle-Angleterre, mais également au Michigan et dans les autres États du Midwest, elle est d'ascendance neufrancienne, principalement issue des Canadiens de Nouvelle-France, mais parfois aussi des Acadiens, surtout près de la frontière entre le Maine et le Nouveau-Brunswick. Les Cadiens de Louisiane sont essentiellement d'ascendance neufrancienne dont de nombreux Acadiens de Nouvelle-France déportés de Nouvelle-Écosse dans les années 1750, peu avant la Conquête, mais aussi provenant des possessions françaises de Saint-Domingue (Haïti), de l'Alabama ou directement de la France. Dans « L'Avenir du français aux États-Unis », Calvin Veltman constate que la langue française a été délaissée si massivement qu'aujourd'hui le terme « Canadien français » fait davantage référence à l'ascendance française et « neufrancienne » qu'à l'usage de la langue française.

Au Québec

Symbole des Québécois

Au Québec, le terme « Canadien français » a été de plus en plus massivement renié depuis la montée du nationalisme québécois au cours de la Révolution tranquille des années 1960. À un point tel que depuis lors toutes les institutions publiques de la province de Québec ont adopté le terme « Québécois » pour désigner les habitants du Québec. Le gouvernement fédéral a aussi adopté ce terme pour parler des gens du Québec[9].

Ce changement reflète la profondeur des liens sociaux, politiques et culturels que les Québécois francophones entretiennent avec le Québec. Cependant, du fait que le terme « Québécois » désigne également tous les résidents du Québec, l’utilisation de ce terme en tant que signifiant ethnique pour désigner les Canadiens d'origine française depuis la Révolution tranquille a rendu sa signification ambigüe, laquelle a souvent joué dans les dossiers politiques.

Aujourd'hui, les résidents du Québec préfèrent souvent le terme « Québécois(e) » pour exprimer leur identité culturelle et nationale. Les francophones qui s'identifient comme Québécois, mais qui ne sont pas d'origine française, ne se reconnaissent pas dans le terme « Canadien français », et plusieurs francophones d'origine française, bien qu'ils connaissent la signification de l'expression « Canadien français », la considèrent comme archaïque, anachronique, voire péjorative, comme elle l'a été dès son origine puisqu'il s'est agi de franciser l'appellation péjorative de French Canadian utilisé à la fin du XIXe siècle pour distinguer les Canadians des Canadiens, les habitants de la « province » française du Canada en Nouvelle-France.

En novembre 2006, la Chambre des communes a adopté une motion reconnaissant que les Québécois forment une nation dans un Canada uni.

Ailleurs au Canada

Un nombre significatif de Canadiens d'origine française est recensé dans de nombreux autres endroits au pays. Ils comprennent les villes et localités suivantes (liste non exhaustive) :

  • Ottawa, Ontario
  • Cornwall, Ontario
  • Hawkesbury, Ontario
  • Sudbury, Ontario
  • Hearst, Ontario
  • Windsor, Ontario
  • Winnipeg, Manitoba
  • Gravelbourg, Saskatchewan
  • Prince Albert, Saskatchewan
  • Regina, Saskatchewan
  • Falher, Alberta
  • Peace River/St-Isidore/Marie-Reine, Alberta

Sont également recensées des communautés francophones importantes dans les localités suivantes, mais il ne s'agit pas de Canadiens français :

  • Péninsule de Port-au-Port, Terre-Neuve-et-Labrador (Franco-terre-neuvien)
  • Grand-Sault, Nouveau-Brunswick (Cadiens)
  • Edmundston, Nouveau-Brunswick (Acadiens)
  • Moncton, Nouveau-Brunswick (Acadiens)

En vertu de la Charte canadienne des droits et libertés, les francophones hors Québec bénéficient depuis 1982 de certains droits en tant que minorité linguistique, notamment dans le domaine de la langue d'enseignement[10], ce qui les met à l'abri des gouvernements provinciaux traditionnellement considérés comme indifférents, ou même carrément hostiles, à leur présence. En conséquence, les Canadiens d'origine française hors Québec peuvent s'identifier plus volontiers au terme « Canadien français », quoique cette dénomination sert généralement à compléter plutôt qu'à remplacer celle de leur province. Cela dit, des variations peuvent s'observer d'une province à l'autre.

Organisations et ressources francophones

Pan-canadiennes

Provinciales

Personnalités canadiennes-françaises

Peuples issus de la colonisation en Nouvelle-France

Canadiens français

Drapeaux en Nouvelle-France

Drapeaux après la Conquête

Drapeaux des groupes issus du morcellement canadien-français

Drapeaux des groupes en terre d'origine
Drapeaux des groupes issus de l'émigration canadienne-française

Autres peuples

Notes et références

  1. Population très majoritairement concentrée au Québec et dans ses alentours. 23 000 000 de Français en Amérique du Nord dont 11 800 000 aux États-Unis.
  2. Diaspora : Nouvelle-Angleterre, Louisiane, Michigan, Manitoba, Alberta.
  3. Statistiques Canada : Enquête nationale auprès des ménages - Question sur l'ethnicité.
  4. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte ; aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Levinson.
  5. Les "Canadiens français"? sur Virgile. Consulté le 21 novembre 2008
  6. Rocher Guy, « Du nationalisme canadien-français au projet souverainiste: quelle continuité? », dans [Devoir], 16 avril 2007 
  7. Dictionnaire de la Censure : littérature et cinéma - Fides Par Pierre Hébert,Kenneth Landry,Yves Lever page 603-604 ISBN 978-2-7621-2636-5
  8. Voir page 492 Canada-Québec Synthèse Historique.
  9. Exemple : Le premier ministre a présenté aux Communes sa propre motion reconnaissant que les Québécois forment une nation au sein d'un Canada uni.
  10. Michel Paillé, Les écoliers du Canada admissibles à recevoir leur instruction en français ou en anglais, Québec, Conseil de la langue française, 1991, xv-114 p., et idem, « Portrait des minorités francophones et acadiennes au Canada : un bilan démographique », dans : Réal Allard (dir.), La recherche en éducation en milieu francophone minoritaire : Bilan et prospectives, Association canadienne d'éducation de langue française et Centre de recherche et de développement en éducation, Faculté des sciences de l’éducation, Université de Moncton, 2003, p. 21-29
  11. Fédération culturelle canadienne-française
  12. Fédération de la jeunesse canadienne-française
  13. Assemblée communautaire fransaskoise
  14. Association des francophones du Nunavut
  15. Association franco-yukonnaise
  16. Fédération acadienne de la Nouvelle-Écosse
  17. Fédération des francophones de la Colombie-Britannique
  18. Fédération des francophones de Terre-Neuve et du Labrador
  19. Fédération franco-ténoise
  20. Société de l'Acadie du Nouveau-Brunswick
  21. Société franco-manitobaine
  22. Société Saint-Thomas-d'Aquin

Annexes

Articles connexes


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