Cartographe

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Cartographie

La cartographie désigne la réalisation et l'étude des cartes. Le principe majeur de la cartographie est la représentation de données sur un support réduit représentant un espace réel. Ceci se fait par une prise d'informations sur le terrain, avec deux champs distincts et majeurs

  • le relevé des contours et de l'espace support à représenter ;
  • le relevé des données statistiques à représenter sur cet espace avec comme objectif la simplification et la meilleure compréhension des phénomènes (politiques, économiques, sociaux, etc.) qui y sont à l'œuvre.
Carte de l'île de Corfou. Cette carte utilise des données satellites pour définir l'espace et la topographie, y sont ajoutés des données routières et humaines sélectionnées.

Sommaire

Description

Depuis l'Antiquité, jusqu'au milieu du XVIe siècle, les relevés sont issus de témoignages (cartographie de Ptolémée), puis sont assemblés par des cartographes experts et alimentés par les premiers essais de statistiques rassemblés par les représentant de l'autorité (époque antique romaine, époque des moines savants du Moyen Âge, époque des grandes découvertes). Le véritable développement intervient avec l'amélioration des outils de mesure géométriques, ainsi que l'amélioration des registres de tous types, devenant de larges sources statistiques. Aussi, les traits et les données s'affinent. Les recherches en matière de projection cartographique avancent (Projection de Mercator, etc.). La ramification des champs d'étude, des outils statistiques, et la rationalisation des États – source de données et commanditaire majeur de cartes – augmentent le nombre d'applications cartographiques.

L'utilisation des engins aéronautiques (dirigeables, avions, hélicoptères) à partir du début du XXe siècle permet d'affiner et de mettre à jour plus rapidement la couverture cartographique, mais pour des espaces à chaque fois relativement limités et concernant presque uniquement les terres émergées. Dans la dernière partie du XXe siècle, un pas technique majeur est franchi avec l'utilisation et le traitement numérique des ondes émises par des satellites : les contours terrestres sont alors pour la première fois photographiés depuis le ciel. Des cartographies du fond des océans ou des zones inaccessibles deviennent beaucoup plus précises. La cartographie complète de la Lune et de Mars est réalisée grâce aux satellites d'exploration ou sondes spatiales.

Le support généralement employé pour la cartographie est le support papier, mais il a existé des réalisations sur pierre, métal[1], parchemin, etc., généralement de forme plate et rectangulaire ou ronde aux bords flous, car inconnus. Depuis l'ère des grandes découvertes, les expéditions et l'amélioration des techniques de cartographie ont permis une amélioration des représentations d'un globe cohérent qui devient enfin réaliste. Un pas décisif est finalement franchit avec l'exploration spatiale et la cartographie satellitaire et numérique, la précision devenant impressionnante. Les supports émergent devenant aussi respectivement les globes personnels, puis l'informatique avec cartes planes où les pseudo-globes virtuels.

Grâce à des avancées mathématiques et informatiques, on obtient avec facilité toujours plus de projections planes innovantes, qui doivent toujours arbitrer entre conservation des parallèles, des aires, et des longueurs. Des cartes amorphes sont aussi apparues.

De nombreuses sous-branches existent. La plus élémentaire étant la cartographie politique, qui définit les frontières, historiquement très liée à la cartographie physique, qui définit les éléments du relief que sont monts et collines, plaines et rivières, et maintenant développée en une précise cartographie topographique exposant précisément les élévations ou dépressions. D'autres branches notables sont la cartographie humaine, avec la cartographie socio-statistique qui expose sur l'espace du papier les aspects sociaux que sont les densités humaines, les richesses, l' IDH, etc. La cartographie des flux (économiques, humains, biologiques) et la cartographie géopolitique qui expose les forces et faiblesses d'entités exposés sont également très appréciées pour illustrer, simplifier (sélectionner), communiquer et comprendre en surface des phénomènes complexes.

La cartographie constitue un des moyens privilégiés pour l'analyse et la communication en géographie. Elle sert à mieux comprendre l'espace, les territoires et les paysages. Elle est aussi utilisée dans des sciences connexes, démographie, économie dans le but de proposer une lecture spatialisée des phénomènes.

L'apparition d'une cartographie dont le contenu est fait par des citoyens bénévoles est un principe de représentation sélective jusque là inédit.[2] Des projets bénévoles comme OpenStreetMap, relevant les données sur le terrain afin de constituer une couverture mondiale, ou Wikipédia, créant des cartes encyclopédiques, ont un but non commercial, et une origine non-gouvernementale, qui aboutit à des représentations où les frontières et l'espace des nations voient leur importance réduite. Ces projets sont également pensés pour être constamment modifiables : les icônes peuvent être mis à jour, les informations affichées et cachées pareillement, suivant les décisions de cette communauté bénévole.

Indépendamment de sa précision croissante, la cartographie est toujours régie par un principe de sélection des informations représentés, pour les besoins d'un commanditaire et/ou en fonction d'un public. Philippe Rekacewicz le résume ainsi : « La carte géographique n'est pas le territoire. Elle en est tout au plus une représentation ou une « perception ». La carte n’offre aux yeux du public que ce que le cartographe (ou ses commanditaires) veut montrer. Elle ne donne qu'une image tronquée, incomplète, partiale, voire trafiquée de la réalité. »[3].


Histoire

Carte du littoral français rectifiée par l'Académie Royale en 1692, en particulier par des mesures de longitudes basées sur l'observation des satellites de Jupiter. Bien que très éloignée de la précision actuelle des cartes marines ou terrestres, elle s'en approchait de façon remarquable.
Quand il doit couvrir de grandes surfaces, une des premières difficultés du cartographe, est de choisir un système de projection

À l'époque moderne, les cartes se veulent une reproduction fidèle d'un paysage, d'une portion de l'espace terrestre : tous les éléments constitutifs d'un paysage sont représentés selon des conventions, avec des symboles. Chaque élément est représenté à l'échelle de la réalité ; les éléments trop petits en surface plane sont remplacés par des symboles d'une taille proportionnelle à leur importance relative (noms des villes de plus en plus grands selon leur population ou leur fonction administrative).

Cela n'a pas toujours été le cas

Dans l'antiquité le grec Ptolémée vers 150 ap.J.C prépare une carte générale du monde connu avec des cartes secondaires qui fournissent des noms de fleuves, de peuples, de villes ou de promontoires dont la localisation est basée sur une réflexion scientifique dont la réalisation pratique est incertaine.

Au IXe siècle, l'Église représente le monde de façon cosmogonique: les cartes en T. Jérusalem est au centre, seules existent l'Europe, l'Afrique et l'Asie, entourés d'un océan. Ces représentations sont directement inspirées des connaissances de la période biblique. Ce type de cartes ne servait pas à se repérer. Elles étaient un support à la réflexion philosophique et religieuse. Les premières représentations cartographiques naissent au XIIe siècle. La Table de Peutinger sert alors d'itinéraire entre plusieurs villes et/ou régions, de façon linéaire.

Vers la fin du XIIIe siècle, un nouveau type de carte apparut : le portulan, très utile aux marins. Il représentait les ports de commerce, les amers (objets fixes et visibles servant de point de repère en mer ou sur la côte), les îles et les abris, etc., mais l'intérieur des côtes restait vierge.

En 1553, la première carte de France est dressée par Oronce Fine (disponible sur le site de la Bibliothèque nationale de France). Elle témoigne de la volonté du pouvoir politique de marquer sa présence sur le territoire, de s'affirmer, de se construire des limites, des frontières, pour aménager son territoire, entre autres par la fiscalité et la consolidation des marchés économiques internes. À la même époque, apparaissent les premiers plans terriers, ancêtres du cadastre actuel.

Au XVIe siècle apparait à Dieppe une importante école de cartographie. Menée par Pierre Desceliers, celle-ci permet la réalisation de nombreuses cartes et mappemondes, basés à la fois sur les portulans des marins portugais et sur les dernières connaissances acquises par l'exploration du Canada à laquelle les marins dieppois participaient activement.

Ensuite la cartographie progressera de plus en plus, par la mise au point de nouvelles techniques et par la volonté des pouvoirs politiques de maîtriser leurs territoires, en témoigne le soutien que recevaient les missions cartographiques des toutes puissantes sociétés géographiques de la fin du XIXe siècle.

Deux étapes décisives ont été l'élaboration des techniques de détermination de la longitude et de la latitude[4],[5].

France

Extrait de la carte d'état-major
Couverture de la carte d'État-Major de 1866
Extrait de la carte au 1/50 000

En France, la première carte générale du territoire fut dressée par la famille Cassini au XVIIIe siècle, à l'échelle d'une ligne pour cent toises, autrement dit une échelle de 1/86 400. Un centimètre sur la carte correspond à environ 864 mètres sur le terrain.

Cette carte constituait pour l'époque une véritable innovation et une avancée technique décisive. Elle est la première carte à s'appuyer sur une triangulation géodésique dont l'établissement prit plus de cinquante ans. Les quatre générations de Cassini se succédèrent pour achever ce travail. Cette carte, encore dénommée Carte de Cassini ou carte de l'Académie, est toujours consultée de nos jours par les chercheurs (géographes, historiens, généalogistes, etc.). Le travail des Cassini laissa même son empreinte sur le terrain : on trouve encore aujourd'hui des toponymes dits Signal de Cassini, qui révèlent les lieux où s'effectuèrent les mesures de l'époque. Ces points de repère correspondent aux sommets des quelques mille triangles qui formaient le géodésique de la carte de Cassini.

En 1808, Napoléon Ier décida l'établissement d'une carte destinée à remplacer celle de Cassini ; sa mise en œuvre se fera entre 1817 et 1866 en essayant plusieurs échelles différentes. C'est une carte à l'usage des militaires : la carte de l'état-major, à l'échelle du 1/80 000. Cette désormais célèbre carte d'état-major fut levée et dessinée par le Dépôt de la Guerre, devenu ensuite le Service géographique de l'armée, et remplacé plus tard par l'Institut géographique national (IGN).

Les cartes au 1/80 000 se présentaient le plus souvent sous la forme d'une mosaïque de carrés de papier collés sur une toile, elle-même pliée et protégée par une couverture cartonnée et entoilée très dure ; elle pouvait ainsi répondre aux contraintes de terrain des militaires et des gendarmes.

Dès le début de la Première Guerre mondiale (1914-1918), les difficultés de lecture à cette échelle amenèrent l'état-major à réaliser une carte au 1/50 000, plus commode, sur laquelle apparaît un quadrillage kilométrique très pratique sur le terrain.

C'est sur la base de cette carte au 1/50 000 que sera créée la carte au 1/25 000 de l'IGN, appelée aujourd'hui carte de randonnée mais que les Français ont appelé longtemps, par habitude, carte d'état-major.

Plagiat

Puisque la cartographie est un travail difficile et parfois même dangereux, il n'est pas étonnant que de nombreux cartographes aient copié le travail d'autres cartographes.

Au XVIIe siècle il était normal d'utiliser le travail des autres et de l'ajouter au sien ; ce n'était pas perçu comme du vol. Une des premières cartes de l'Amérique du Nord est connue sous le nom de Beaver Map (Carte du castor). Elle a été publiée en 1715 par Herman Moll, mais Nicolas de Fer est le véritable auteur de la Beaver Map bien que ce soit Herman Moll qui en ait tiré profit. À tour de rôle, sa carte comprenait des images des chutes du Niagara et de castors qui ont été originalement publiées dans des livres par Louis Hennepin, en 1697, et par François du Creux en 1664.

Au XVIIIe siècle, les cartographes ont commencé à souligner le nom de l'auteur original. Lorsqu'ils utilisaient le travail de quelqu'un d'autre, ils écrivaient sur leurs cartes une phrase semblable à celle-ci : « d'après le croquis de M. Chose »[6].

Étapes de la fabrication d'une carte

Tout d'abord il faut savoir quel va être le sujet de la carte que l'on va créer, et s'inquiéter du contexte dans lequel cette carte va être placée (la date aura donc son importance). Une carte présente dans un atlas va devoir être plus neutre qu'une carte thématique.

Ensuite il faut savoir à quelle échelle va devoir être réalisée cette carte, si les informations seront précises ou plus générales (1/25 000 ou 1/10 000 par exemple).

En général, le demandeur fait une préparation à la main au cartographe avant que celui-ci ne commence son travail. Cependant, il arrive qu'il se repose sur le cartographe pour faire une carte avec seulement des indications écrites. Si le cartographe a besoin de compléments, il suffit qu'il les trouve par ses propres moyens.

Sur une carte, le titre doit résumer l'information que l'on souhaite représenter, la légende doit être claire, l'échelle notée, et la source indiquée. L'information doit apparaître clairement et ne pas être trop importante. La typographie ne doit pas cacher, ou gâcher l'information présente.

Lorsque le projet de la carte est terminé, l'auteur et le cartographe se réunissent pour apprécier les modifications à effectuer, jusqu'à ce que le demandeur soit satisfait. Ensuite la carte peut être imprimée.

Emplois modernes

Auparavant, les cartographes dessinaient des cartes à chaque fois originales. Le travail du dessinateur de cartes est maintenant de plus en plus orienté vers la mise à jour des cartes existantes avec un apport de données, des modifications de tracés. Les systèmes d'information géographique et les modèles numériques de terrain sont de plus en plus utilisés par les cartographes.

L'aménagement du territoire est un grand consommateur de cartes. C'est pour cette discipline qu'ont été conçues des cartes représentant l'occupation du territoire, telles que les Corine Land Cover.

Dans la mesure où elle élabore une représentation particulière, la cartographie est aussi un instrument idéologique et politique, dont l'impact sur les consciences, pour être discret, est souvent considérable. Ce que montre particulièrement bien une étude critique et comparative des atlas.

Limites

Propriétés commerciales

Comme œuvres de l'esprit et comme bien marchand, les cartes sont soumises à des droits de reproduction et à des droits d'exploitation commerciales. Elles ne sont pas librement modifiables par leurs utilisateurs, quand bien même contiendraient-elles des erreurs involontaires, voire même volontaires pour détecter les reproductions illégales.

Le fait qu'elles soient désormais vendues sous forme numérique a suscité une sorte d'agacement chez ceux qui disposent d'outils de modification et souhaiteraient adapter les cartes à leurs besoins propres. De là sont nés plusieurs projets de réalisation d'une couverture mondiale par carte glissante et zoomables analogues aux réalisations de Google, Yahoo !, Microsoft, la NASA, etc.). Le projet, le plus abouti dans la cartographie libre, c'est-à-dire diffusable librement sous licence Creative Commons est OpenStreetMap.

Représentations des communautés autochtones

Les techniques cartographiques ont permis le développement de revendications territoriales, d'une géographie culturelle et d'une gestion des ressources (Harley and Woodward, 1987 ; Harley, 1988 ; Peluso, 1995). Elles ont produit plusieurs travaux remarquables : Nunavut Atlas (1992), Wet’suwet’sen and Gitxsan (Sparke, 1998). La cartographie biographique (MS Weinstein) s'est même appuyée sur la perception autochtone de l'histoire et de leurs traditions.

Sur le plan conceptuel, les traditions multiples ou alternatives de cartographie ont été soutenues, à divers degrés, par des géographes (Chapin et al., 2001; Harley and Woodward, 1987; Lewis, 1998; Louis, 2004; Pearce, 1998; Rundstrom, 1987; Sparke, 1998; Woodward and Lewis, 1998). Toutefois, la cartographie autochtone étant transmises par les chansons, les histoires, les rituels ou des expériences vécues (telle que la chasse), elle est rarement reconnue comme une représentation cartographique à part entière.

Comme Rundstrom (1998) le fait observer, la cartographie dite scientifique se fonde sur des principes cartésiens et newtoniens dont l'épistémologie s'accommode mal aux caractéristiques de la pensée autochtone : non-anthropocentrisme, concept cyclique du temps, construction des connaissances géographiques plus synthétique qu'analytique, pensée non binaire, imbrication des faits et des valeurs, emphase sur la transmission orale, omniprésence de l'éthique dans les actions portées sur un territoire. Jay T. Johnson, Renee Pualani Louis et Albertus Hadi Pramono (2006) s'appuient sur les travaux de Paulo Freire (2000) pour initier une lecture critique des valeurs cartographiques implicites, par les Aborigènes.

Un aspect des projets cartographiques autochtones illustre bien cette problématique : la perte d'informations dans la transcription de frontières fixes (Brody, 1982; Chapin, 1998; Chapin et al., 2001; Fox, 1998; Kosek, 1998; Peluso, 1995; Rundstrom, 1998). Tandis que les communautés autochtones admettent des frontières souples et mouvantes pour l'usage des ressources, la fixation de limites définitives par la cartographie occidentale impose un carcan à un mode de pensée plus flexible et fluide. Tobias (2000) a tenté de dépasser ce clivage en introduisant la distinction entre terres occupées et utilisées (générant des superpositions de cartes).

Notes et références

  1. En -499, lors de la Révolte de l'Ionie, Aristagoras de Milet demande le soutien de Sparte, et dévoile une carte de métal désignant la Turquie actuelle, en notant que les faibles guerriers mèdes ne résisteraient pas aux légendaires troupes spartes.
  2. Creating maps for everyone and network effects for the data driving them, Sean Gorman, on receiver.vodafone.com
  3. Philippe Rekacewicz : La cartographie, entre science, art et manipulation, Le Monde diplomatique, février 2006
  4. Florence Trystram, 2001, Le procès des étoiles. Récit de la prestigieuse expédition de trois savants français en Amérique du Sud, 1735-1771, Paris, Petite Bibliothèque Payot
  5. Dava Sobel, 1996, Longitudes, Paris, Lattès
  6. En quête de la vérité: Contrefaçon, imitation et tromperie, une exposition de musée virtuel à Bibliothèque et Archives Canada

Voir aussi

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Logiciels de visualisation aérienne

Bibliographie

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