Chamant

Chamant
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49° 13′ 14″ N 2° 36′ 42″ E / 49.2205555556, 2.61166666667

Chamant
L'église Notre-Dame de Chamant, classée M.H.
L'église Notre-Dame de Chamant, classée M.H.
Administration
Pays France
Région Picardie
Département Oise
Arrondissement Senlis
Canton Senlis
Code commune 60138
Code postal 60300
Maire
Mandat en cours
Philippe Charrier
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes des Trois Forêts
Site web www.chamant.fr
Démographie
Population 925 hab. (2007)
Densité 77 hab./km²
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 14″ Nord
       2° 36′ 42″ Est
/ 49.2205555556, 2.61166666667
Altitudes mini. 57 m — maxi. 117 m
Superficie 12 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Chamant est une commune française, située dans le département de l'Oise et la région Picardie.

Sommaire

Géographie

Chamant se situe au sud du département de l'Oise, dans le Valois, à la lisière sud-est de la forêt d'Halatte, sur l'ancienne route nationale 32, l'actuelle D 932a, au nord-est de Senlis. La distance à vol d'oiseau entre les centres des deux communes est de seulement 2,4 km, et elles forment toutes les deux une petite agglomération au sens de l'INSEE, à la fois unité urbaine et aire urbaine[1] comptant ainsi 17 381 habitants[2]. La commune de Chamant se compose du bourg ainsi que de trois hameaux : Le Poteau, à la sortie de Senlis sur la RD 932a ; le Plessis-Chamant, entre le bourg et la lisière de la forêt d'Halatte ; et Balagny-sur-Aunette, à 1,8 km au nord-est. Le hameau de Malgenest a disparu et ne reste plus qu'un lieu-dit à mi-chemin entre Chamant et Ognon.

La commune de Chamant est traversée par l'autoroute A1, dans un sens nord-est - sud-ouest, en dehors des zones habitées. Un péage autoroutier se situe par ailleurs à Chamant. La sortie la plus proche est la sortie n° 8 à Senlis, située également pour partie sur le territoire de Chamant. Paris est éloigné de 50 km environ par l'autoroute, et l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle de 50 km. Chamant est proche de Creil et son agglomération, à 13 km par la RN 330. Outre les routes déjà mentionnées, Chamant est concernée par la RN 324 / RD 1324 Senlis - Crépy-en-Valois, qui constitue la limite sud de la commune pendant 1 600 m, ainsi que par la RD 1017, qui constitue la limite ouest de la commune sur 1 050 m. - Chamant ne dispose pas d'une gare. Les transports en commun se réduisent aux transports scolaires, des cars pour le marché de Senlis, le mardi et vendredi (aller-retour dans la matinée)[3], ainsi qu'à une navette mise en place par la commune, effectuant un aller-retour pour Senlis dans la matinée[4].

Communes limitrophes de Chamant
Villers-Saint-Frambourg
Ognon
Chamant Barbery
Senlis Mont-l'Évêque

Avec une superficie de 12 km², le territoire de Chamant est plus étendu qu'une commune moyenne de l'Oise, qui ne fait que 8,46 km²[5], mais est pour moitié plus petit que celui de Senlis, qui fait 24,05 km². Ainsi, bien que Senlis se situe au sud-ouest de Chamant, les deux communes se côtoient sur 7,8 km², soit 46 % environ de la circonférence de Chamant. De ce fait, Senlis est limitrophe aussi bien au nord et au sud qu'à l'ouest. Par contre, Villers-Saint-Frambourg ne touche à Chamant que sur moins de 1 100 m, et Barbery sur moins de 1 400 m. Au poteau des Blancs-Sablons en forêt d'Halatte, à l'extrémité nord-ouest du territoire communal, quatre communes se rencontrent : Senlis, Chamant, Villers-Saint-Frambourg et Fleurines, sans que cette dernière commune soit toutefois limitrophe de Chamant. Une autre particularité est à signaler : la forêt communale de Chamant, au sud du temple gallo-romain de la forêt d'Halatte, est située sur le territoire d'Ognon[6].

Vue sur Balagny-sur-Aunette depuis le chemin rural n° 19 en direction de Chamant.

La RD 932a se présente encore sous la forme d'une allée, structurant positivement le paysage. Plus d'un tiers du territoire de Chamant est occupé par la forêt domaniale d'Halatte, et les petits bois privés sont nombreux. Ils se trouvent notamment sur le terrain des deux haras du Plessis-Chamant et dans la vallée de l'Aunette. Par contre, au-delà de l'autoroute, la nature du paysage change radicalement : Les grandes surfaces agricoles n'y laissent pas la place aux arbres. L'Aunette, ruisseau prenant sa source à Rully, est le seul cours d'eau de Chamant. Il est presque entièrement situé sur des propriétés privés inaccessibles au public, et ne peut être aperçu que depuis les ponts. Seul à l'ouest du vieux pont de Chamant, un sentier permet de découvrir l'Aunette sur une petite distance. À la sortie du ruisseau du territoire communal, se trouve le point le plus bas de la commune, à 57 m au-dessus du niveau de la mer. Le point le plus haut, à 116,4 m, est au poteau des Blancs Sablons déjà mentionné. Le relief est peu varié en dehors de la nette dépression le long de la vallée de l'Aunette. L'on constate une augmentation progressive de part et autre de cet axe nord-est - sud-ouest.

Chamant entre dans le périmètre du Parc naturel régional Oise-Pays de France pour la totalité de son territoire. La Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) type 1 n° national 220005064 « Massif forestier d'Halatte[7] » couvre à Chamant la forêt d'Halatte et un bois privé au nord du Plessis-Chamant. Sur la commune, la zone protégée au titre de la ZNIEFF correspond au site naturel classé de la forêt d'Halatte et de ses glacis agricoles (classement par décret du 5 août 1993)[8]. En outre, l'ensemble de la commune de Chamant fait partie du site naturel inscrit de la vallée de la Nonette (inscription par décret du 6 février 1970)[9]. Ce site inscrit à préfiguré le Parc naturel régional, son découpage étant à peu près identique avec la partie du Parc située dans l'Oise. Finalement, Chamant compte un site inscrit d'origine plus ancienne, faisant double emploi avec le site inscrit de la vallée de la Nonette. Il s'agit du parc du château de Chamant, inscrit par arrêté du 17 décembre 1948, pour une superficie de 60 ha environ, correspondant au triangle délimité par la chaussée Pontpoint, la RD 932a et l'avenue du maréchal Foch. Cette protection n'a pas empêché la démolition du château du Plessis-Chamant en 1960. Propriété privée, le site n'est pas accessible au public[10].

Histoire

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001   Denis Massion UMP Retraité
mars 2008 en cours Philippe Charrier non inscrit Expert assurance
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique

D’après le recensement Insee de 2007, Chamant compte 925 habitants (soit une diminution de 3 % par rapport à 1999). La commune occupe le 10 030e rang au niveau national, alors qu'elle était au 8 976e en 1999, et le 167e au niveau départemental sur 693 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Chamant depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 1999 avec 957 habitants.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 264 372 409 298 479 449 423 427 468
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 478 471 440 480 567 615 628 593 672
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 616 533 479 523 514 450 514 473 551
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 -
Population 590 619 720 665 953 957 929 925 -
Notes, sources, ... Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusqu'en 1962[11], base Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[12],[13]

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (18,1 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,6 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 49,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 21 %, 15 à 29 ans = 15,3 %, 30 à 44 ans = 23,9 %, 45 à 59 ans = 22,8 %, plus de 60 ans = 17 %) ;
  • 50,6 % de femmes (0 à 14 ans = 20,1 %, 15 à 29 ans = 13,9 %, 30 à 44 ans = 22,6 %, 45 à 59 ans = 24,4 %, plus de 60 ans = 19 %).
Pyramide des âges à Chamant en 2007 en pourcentage[14]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,2 
90  ans ou +
0,2 
2,8 
75 à 89 ans
6,6 
14,0 
60 à 74 ans
12,2 
22,8 
45 à 59 ans
24,4 
23,9 
30 à 44 ans
22,6 
15,3 
15 à 29 ans
13,9 
21,0 
0 à 14 ans
20,1 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[15]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,2 
90  ans ou +
0,8 
4,5 
75 à 89 ans
7,1 
11,0 
60 à 74 ans
11,5 
21,1 
45 à 59 ans
20,7 
22,0 
30 à 44 ans
21,6 
20,0 
15 à 29 ans
18,5 
21,3 
0 à 14 ans
19,9 

Lieux et monuments

Monuments historiques

Chamant compte trois Monuments historiques, dont un au chef-lieu, un à Balagny (les deux églises) et un en forêt d'Halatte.

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  • Église Notre-Dame de la Nativité de Chamant, rue de la Baronne Leonino (classée Monument historique depuis le 4 mai 1921[16]) : Les éléments les plus anciens de cette église sont l'avant-chœur, de la fin du XIIe siècle siècle, et le clocher de la première moitié du XIIe, bel exemple de clocher francilien à flèche octogonale avec des pinacle aux quatre angles du carré. Sa réalisation était un défi technologique pour les architectes de l'époque, en raison de la répartition des masses sur la base du clocher difficile à mettre en œuvre. Le portail latéral sud, en anse de panier, est remarquable. Il est surmonté de trois niches, dont celle au milieu abrite un Christ prêchant, et les deux autres, dans le prolongement vertical des piédroits, des anges. Les vantaux en bois sont encore du XVIe siècle, et présentent un décor de serviettes. Le chœur se termine par un chevet plat, percée d'un large triplet aux baies trilobées du XIVe siècle, surmontées de deux rosaces quadrilobée et d'une rose pentalobée, au centre. Les vôutes du chœur et de la nef ont été remplacées par un plafond plat lors de la restauration discutable de milieu du XIXe siècle, avec des nervures simulant des voûtes d'ogives. L'unique bas-côté, au sud, a également été refait au XIXe siècle, dans le style troubadour. Le gros œuvre subsiste toutefois dans son état primitif, dans le style gothique rayonnant. L'intérieur de l'église avec ses décors de l'époque de Napoléon III ne présente pas d'intérêt particulier[17].
  • Église Sainte-Foy à Balagny-sur-l'Aunette, place Jean-Baptise Moquet (inscrite Monument historique par arrêté du 20 février 1970[18]) : Cette petite église a été édifiée aux XIIe et XIIIe siècles, mais a été profondément remaniée aux XIVe et XVe siècles. La nef composée de deux travées se termine par un chevet plat, et est dépourvue de chœur. Probablement, l'église comportait initialement une travée de plus à l'ouest. Le petit clocher a été construit au XVIIe ou XVIIIe siècle, et le porche à l'ouest a été ajouté à la même époque. À l'intérieur, l'église présente des chapiteaux réalisés maladroitement[19].
  • Château d'eau de Chamant (inscrit Monuments historiques par arrêté du 1er juillet 1998[20]) : Il s'agit du seul château d'eau métallique du nord de la France, construit en 1895, sans doute par un élève de Gustave Eiffel, pour alimenter les écuries de courses d'Albert Menier, industriel chocolatier. D'une hauteur de 30 m, l'édifice est surmonté d'un belvédère permettant une vue sur toute la forêt. Depuis l'adduction de l'eau courante à Chamant en 1955, il sert de réservoir pour Chamant et Le Plessis-Chamant, Balagny possédant son propre château d'eau[21].

Autres éléments du patrimoine

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  • Chapelle Notre-Dame du Bon Secours, rue Notre-Dame du Bon Secours à Senlis : La chapelle est situé sur le territoire communal de Chamant, mais au quartier Bon Secours de Senlis près du « parc écologique », non directement accessible depuis Chamant. Le chemin rural reliant jadis la chapelle au village, par la vallée de l'Aunette, a été intercepté lors de la construction de la déviation de la RN 330. Par ailleurs, la chapelle n'est historiquement pas lié à Chamant. Elle est issue de la fondation du couvent des capucins par la Reine Margot en 1609, à l'écart de Senlis. Les établissements réligieux y étaient déjà nombreux, si bien que la ville était opposé à l'installation d'un monastère supplémentaire. La chapelle a été construite de 1610 à 1614. En 1642, les religieux parviennent à se loger à l'intérieur de Senlis et quittent les lieux. À partir de 1667, le séminaire de Senlis en devient le propriétaire et le reste jusqu'à sa suppression, à la Révolution. D'importants flux de pèlerins viennent vers Notre-Dame du Bon Secours à partir de 1859, mais à la fin du XIXe siècle, la chapelle est ruinée. Une nouvelle chapelle est ainsi construite en 1894, grâce à un don de la famille Geoffroy, de Balagny. Seul le chœur de l'ancienne chapelle fut conservé[22].
  • Le monument des otages de Senlis, rue des Otages : « Passant, arrête-toi et souviens-toi ! Dans ce champ, ont été fusillés par les Allemands le 2 septembre 1914 comme otages de la ville de Senlis : Eugène Odent, maire de Senlis ; Émile Aubert, mégissier ; Jean Barbier, charretier ; Lucien Cottrau, garçon de café ; Pierre Dewerdt, chauffeur ; J.B. Élysée-Pommier, garçon boulanger ; Arthur Rigault, tailleur de pierres ». Le monument a été élevé le 4 septembre 1927 par souscription publique sous les auspices du Souvenir français[23]. Il ne se situe pas sur la commune de Senlis, mais à proximité ; aujourd'hui, le lieu d'exécution n'est plus un champ mais une zone pavillonaire.
  • Le haras de Plaisance, au hameau du Plessis-Chamant, avenue du maréchal Foch : Bâtiments pittoresques agencés autour d'une cour carrée, aux volumes multiples, avec des colombages peints en blanc, au remplissage en brique rouge.
  • Calvaire de Chamant, au carrefour de la rue Eugène-Odent avec la rue du Moulin : Le crucifix en fer est montée sur une haute colonne monolithique émergeant d'un pupitre pouvant servir d'autel lors de processions.
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  • Vieux pont sur l'Aunette et abreuvoir, rue Alain-de-Rothschild : Le pont est de facture assez archaïque, consistant à sa base de deux étroits passages couverts de dalles de pierre. L'abreuvoir au nord-est du pont prend la forme d'un gué unilatéral, permettant aux animaux de descendre boire dans la rivière.
  • L'ancien presbytère de Chamant, rue de la Baronne Leonino, à l'ouest de l'église : La tourelle d'escalier au centre de la façade sud date de la fin du XVIe siècle, et le presbytère a été agrandi de deux ailes au XVIIIe siècle. Depuis la suppression de la cure de Chamant, la commune utilise la maison comme logement de fonction pour le garde champêtre ou la secrétaire de la mairie[24].
  • Le puits public de Balagny-sur-Aunette, place Jean-Baptise Moquet : Petit bâtiment carré au toit en bâtière, abritant le puits derrière une portière en bois. Le mécanisme était actionné par une roue métallique montée à l'extérieur, à gauche.
  • La ferme de Balagny-sur-Aunette, Grande rue, à l'ouest de la place : Les façades sur la rue sont particulièrement austères et sans grand intérêt, mais l'on peut apercevoir de loin une haute et étroite tour du XIIIe siècle. Elle est placée dans un angle des bâtiments et de forme octogonale jusqu'au premier étage, puis rond jusqu'au sommet[25].
  • La ferme domaniale à Balagny-sur-Aunette, Grande rue, au sud de la place : Cette ferme possède un colombier-porche, donnant sur la place. Les autres bâtiments de la ferme sont dissimulés derrières des hauts murs d'enceinte.

Personnalités liées à la commune

Georges-Émile Lebacq, 1928, Soir, Chamant (Oise)
  • Alain de Rothschild, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) de 1976 à 1982, décédé en 1982, habita à Chamant. Sa propriété appartient aujourd'hui à ses descendants.
  • La société de Gustave Eiffel fit construire le château d'eau de Chamant, seul château d'eau métallique du nord de la France.
  • Georges-Émile Lebacq (1876-1950), peintre belge impressionniste et post-impressionniste vécut à Chamant à partir de 1924 jusqu'à la guerre. Il réalisa de nombreux dessins, fusains, pastels et toiles de ce village et de ses alentours : Balagny, Ognon, Senlis. Certaines de ses œuvres sont au musée de la vénerie de Senlis.
  • Charlie Mills (1888-1972), entraineur de chevaux, habita à Chamant de 1947 jusqu'à sa mort 1972. Il est vainqueur du Prix d'Amérique de 1934.

Notes et références

  1. Cf. Composition de l'Unité urbaine sur INSEE. Consulté le 28 août 2011.
  2. Cf. Dossier statistique de l'Aire urbaine de Senlis sur INSEE. Consulté le 28 août 2011.
  3. Cf. Horaires sur Oise Mobilité. Consulté le 28 août 2011.
  4. Horaire non répertorié sur le site Oise-Mobilité, mais affiché à la gare routière de Senlis sous la dénomination « Commune de Chamant ».
  5. Cf. Résumé statistique national (fichier Excel). Consulté le 28 août 2011 sur le site INSEE ; l'Oise compte 693 communes pour 5 860 km².
  6. Communes limitrophes et autres renseignements topographiques selon la carte topographique 1 : 25 000e « TOP 25 » de l'IGN, consultable en 3D sur le site Geoportail. Consulté le 22 juillet 2011. Distances mesurées par l'outil proposé dans le mode de visionnage en 3D.
  7. Cf. Présentation de la znieff Massif forestier d'Halatte sur le site DREAL Picardie - Recherche par commune des zonages du patrimoine naturel et paysager de Picardie. Consulté le 23 juillet 2011.
  8. [PDF] Forêt d'Halatte et es glacis agricoles sur le site DREAL Picardie - Recherche par commune des zonages du patrimoine naturel et paysager de Picardie. Consulté le 22 juillet 2011.
  9. [PDF] Vallée de la Nonette sur le site DREAL Picardie - Recherche par commune des zonages du patrimoine naturel et paysager de Picardie. Consulté le 22 juillet 2011.
  10. Cf. [PDF] Chamant - parc et château du Plessis-Chamant sur le site DREAL Picardie - Recherche par commune des zonages du patrimoine naturel et paysager de Picardie. Consulté le 28 août 2011.
  11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 26 octobre 2010
  12. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 26 octobre 2010
  13. Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 26 octobre 2010
  14. Évolution et structure de la population à Chamant en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 26 octobre 2010
  15. Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 26 octobre 2010
  16. Notice no PA00114572, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  17. Cf. Marc Durand et Philippe Bonnet-Laborderie, Senlis et son patrimoine : La ville en ses forêts, Beauvais, GEMOB, 2004 (réédition revue, corrigée et augmentée), 170 p.  ; p. 137 et 140 ; et Raymond Poussard, « Chamant : village neuf fois centenaire », dans Bulletin du G.E.M.O.B., Beauvais, no 70-71, 1er octobre 1995 (ISSN 02240475)  ; 61 p. ; p. 4-5.
  18. Notice no PA00114573, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  19. Cf. Raymond Poussard, Chamant : village neuf fois centenaire, op. cit., p. 9-10.
  20. Notice no PA60000014, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  21. Cf. Le château d'eau de Chamant sur Chamant (site officiel). Consulté le 28 août 2011.
  22. Cf. Eugène Müller (chanoine), « Essai d'une monographie des rues, places et monuments de Senlis : XXXIV. Capucins (Les) », dans Comité Archéologique de Senlis, Comptes-rendus et Mémoires, Senlis, Imprimerie de Ernest Payen, 2e série, vol. IV, 1878, p. 123-125 [texte intégral (page consultée le 28 août 2011)]  ; et Raymond Poussard, Chamant : village neuf fois centenaire, op. cit., p. 18-19.
  23. Inscriptions gravées sur le monument.
  24. Cf. Raymond Poussard, Chamant : village neuf fois centenaire, op. cit., p. 29.
  25. Cf. Raymond Poussard, Chamant : village neuf fois centenaire, op. cit., p. 9.

Bibliographie

  • Raymond Poussard, « Chamant : village neuf fois centenaire », dans Bulletin du G.E.M.O.B., Beauvais, no 70-71, 1er octobre 1995 (ISSN 02240475)  ; 61 p.
  • Raymond Poussard, « Halatte : deux mille ans d'art et d'histoire autour d'une forêt royale : 2de partie : Autour de la forêt : Aumont, Beaurepaire, Chamant, Fleurines, Ognon, Pontpoint, Pont Sainte Maxence, Roberval, Senlis, Verneuil en Halatte, Villeneuve sur Verberie, Villers St Frambourg », dans Bulletin du G.E.M.O.B., Beauvais, Groupement d’Étude des Monuments et Œuvres d’art de l’Oise et du Beauvaisis (GEMOB), vol. 92-94, 1er octobre 1999  ; 119 p. ; p. 100-101.

Voir aussi

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