Chapelle-lez-herlaimont

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Chapelle-lez-Herlaimont

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Drapeau communal Chapelle-lez-Herlaimont
L'église Saint-Germain
Belgium location map.svg
Chapelle-lez-Herlaimont
Armoiries Situation de la commune dans l'arrondissement de Charleroi et la province de Hainaut
Géographie
Pays Flag of Belgium (civil).svg Belgique
Région Drapeau de la Région wallonne Région wallonne
Communauté Drapeau de la Communauté française de Belgique Communauté française
Province Flag of Hainaut.svg Province de Hainaut
Arrondissement Charleroi
Coordonnées 50°28′N 04°17′E / 50.467, 4.283
Superficie
– Surface agricole
– Bois
– Terrains bâtis
– Divers
18,10 km² (2005)

59,04 %
4,25 %
29,70 %
7,02 %

Données sociologiques (source : statbel.fgov.be)
Population
– Hommes
– Femmes
Densité
14.164 (1er janvier 2008)

47,35 %
52,65 %
783 hab./km²

Pyramide des âges
– 0–17 ans
– 18–64 ans
65 ans et +
(1er janvier 2008)

21,83 %
61,83 %
16,34 %

Étrangers 17,13 % (1er janvier 2008)
Économie
Taux de chômage 20,35 % (janvier 2009)
Revenu annuel moyen 11.206 €/hab. (2005)
Politique
Bourgmestre Patrick Moriau (PS)
Majorité PS
Sièges
PS
MR
cdH
23
16
4
3
Sections de commune
Section Code postal
Chapelle-lez-Herlaimont
Godarville
Piéton
7160
7160
7160
Autres informations
Gentilé Chapellois(e)
Zone téléphonique 064
071 (Piéton)
Code INS 52010
Site officiel chapelle-lez-herlaimont.be

Chapelle-lez-Herlaimont (en wallon El Tchapele) est une commune francophone de Belgique située en Région wallonne dans la province de Hainaut.

Sommaire

Type de Ville

Armoiries-Chapelle-lez-Herlaimont.jpg Blasonnement : Blasonné bandé d'or et d'azur à l'ombre de lion brochant sur le tout et à la bordure engrêlée de gueules

Semi-urbaine, deux villages et un centre mi-urbain ( Piéton - Godarville - Chapelle-lez-Herlaimont ).

Situation géographique

  • Entité située entre deux villes : Charleroi et La Louvière
  • Communication - Autoroute (E42-E19), R3 (gd. ring de Charleroi), gares de Piéton et Godarville

Économie

  • « La Valériane » (ensemble de PME),
  • « Le Chêne au Bois » (complexe commercial)

Enseignement

  • 4 écoles communales sur 11 sites
  • 1 école libre sur 3 sites
  • 1 école provinciale sur 1 site

Culture et Sport

  • centre culturel
  • salle des fêtes
  • bibliothèques
  • troupe théâtrale
  • chorale
  • multiples associations
  • halls omnisports
  • terrains de foot
  • piscine
  • mini-stade
  • infrastructures de quartier
  • salles privées pour arts martiaux et affinitaires.

Santé/sécurité/social

CPAS, asbl Symbiose, police, crèche, services sociaux, polyclinique, maisons de repos, ONE, Maison de la Solidarité, Comité Solidarité, Proxemia

Emploi

  • Maison de l'Emploi
  • Agence Locale pour l'Emploi
  • Agence de développement local

Logement

Société d'habitations sociales La Ruche, Agence Immobilière Sociale Prologer

Environnement

1 Eco-Conseiller, 1 parc à conteneurs

Histoire

Chapelle-lez-Herlaimont coupe une portion de territoire couvert dans l'Antiquité par la forêt d'Ardenne devenue forêt Charbonnière jusqu'au haut Moyen Âge. Celle-ci était une immense zone boisée s'allongeant du nord au sud et rattachant à travers l'est du Hainaut, la Forêt de Soignes à la fagne chimacienne. Actuellement, le bois de Mariemont en contiendrait quelques reliques.

Après la conquête de la Gaule par Jules César, huit grandes chaussées romaines furent créées, reliant toutes Bavai. L'une d'elles se dirigeait vers Cologne en passant par les localités actuelles de Waudrez, Morlanwelz, Gembloux, Tongres et Maestricht, traversant la forêt charbonnière d'ouest en est et, par la même occasion, le territoire de l'actuelle commune de Chapelle-lez-Herlaimont qui en garde les traces.

Pendant la période franque, le long de cette chaussée romaine, de nombreux colons ouvrirent des clairières et essarts pour s'adonner à l'agriculture et s'implantèrent dans la région en repoussant de plus en plus la forêt. Ils installaient ce qu'en termes d'archéologie on appelle des "Villas" (villas romaines, villas franques), c'est-à-dire des établissements agricoles, des fermes, auxquels venaient s'adjoindre des relais de poste et des auberges. Tel fut le noyau des premiers villages qui se formèrent en ces temps anciens. Mais à cette époque lointaine, il n'est pas encore question de Chapelle-lez-Herlaimont. En effet, les premières traces du village se dévoilent à l'époque féodale lorsque le régime de la possession du sol par les grandes abbayes mérovingiennes (par ex. Lobbes) a fait place à une multitude de petites seigneuries occupées par des Laïcs voués au métier des armes et formant la classe des chevaliers.

Les premiers documents relatifs à Chapelle-lez-Herlaimont datent du XIIe siècle. Le village faisait alors partie de la seigneurie de Trazegnies. On peut supposer qu'il avait dû se former vers l'an 1000. C'est aussi au XII siècle que le village de Forchies-Bulaine (faisant partie des deux Forchies; l'autre appelé Forchies-la-Marche) s'est appelé « Pié »ton du nom du cours d'eau qui y a sa source.

En 1136, le Seigneur de Trazegnies fit abandon à l'Abbaye de Floreffe de la terre située entre la Chaussée romaine et la rivière le Piéton au lieu-dit "Herlaimont". Un prieuré, sous la direction des Prémontrés y fut érigé et l'Évêque de Liège assista à l'inauguration de l'Église en 1184. À cette époque, le village se composait d'un certain nombre de feux (ménages) plus ou moins groupés autour d'une chapelle servant au culte d'où son nom La Chapelle, en patois "L'Tchapelle" Chapelle près d'Herlaimont ou Chapelle-lez-Herlaimont.

Le village occupait une situation spéciale parmi les grandes circonscriptions qui se partageaient alors le pays.

Dans l'ordre ecclésiastique, il faisait partie du diocèse de Cambrai avec Seneffe, Morlanwelz, Carnières, les deux Forchies, Anderlues tandis que Trazegnies, siège principal de la Seigneurie, faisait partie du diocèse de Liège ainsi que Gouy, Pont-à-Celles, Obaix, Courcelles et Jumet.

Dans l'ordre politique, il était limitrophe du comté du Hainaut auquel Morlanwelz, Carnières, et les deux Forchies appartenaient, mais ses propres attaches étaient indécises de même que la seigneurie de Trazegnies, c'était un territoire contesté entre le duché de Brabant qui englobait Seneffe, Pont-à-Celles, Gouy et le comté de Namur. Chapelle est restée terre franche libre.

Le Prieuré d'Herlaimont, qui a été desservi jusqu'en 1830 par les religieux, fut donné par l'Evêque de Cambrai à l'Abbaye de Floreffe en 1140.

En 1222, Chapelle reçoit de son seigneur, Othon de Trazegnies, une charte d'affranchissement qui en fait une commune distincte. Cette charte confère à Chapelle des privilèges presque inconnus depuis lors. En effet, il y est stipulé que les exactions et les corvées arbitraires, qui étaient auparavant au pouvoir du Seigneur, seraient remplacées par des redevances fixes. De plus, le titre concède à l'Abbé de Floreffe, chef du Prieuré d'Herlaimont, le droit seigneurial de nommer le maïeur (chef de la justice), les échevins (chargés de juger et de prononcer les sentences) et le forestier (exerçant la police judiciaire) parmi les bourgeois de Chapelle.

Au fil des siècles le village prit une certaine extension, mais à la révolution française, il ne comptait encore qu'un millier d'habitants. Il n'y avait que des ruelles allant du Prieuré d'Herlaimont au Village de Chapelle. La ruelle d'Herlaimont existe toujours. Les rues de Verviers et de Sainte-Catherine n'en sont que le prolongement. Si nous ajoutons la "Cour du Clerc" et la "Ruelle du croté", nous aurons une idée approximative de l'état des lieux à cette époque.

Pendant longtemps la commune est rurale mais elle ne pouvait cependant pas manquer de suivre le développement de l'industrie charbonnière, la principale richesse de son sou-sol étant la houille. En 1766, sous le règne de Marie-Thérèse et de Charles de Lorraine, des concessions sont accordées à certains capitalistes et l'extraction de la houille prend son essor. De toute nécessité, des voies de communication sont mises rapidement en place.

Peu après, une société charbonnière se constitue sous la dénomination "Mariemont-Bascoup-Chaud-Buisson" et Chapelle, toute agricole, devient foncièrement industrielle. Des voies ferrées, des routes commerciales s'organisent, ce qui permet au charbon chapellois d'être expédié dans toutes les directions.

À partir de ce moment, grâce au développement de l'industrie charbonnière à Chapelle, on assiste à un accroissement considérable de sa population.

Fin 1800, plusieurs sites de charbonnage se développent mais les investissements énormes, l'épuisement des couches, le coût exorbitant des exploitations et l'importante main-d'œuvre ont précipité la fin des charbonnages quelques 60 ans plus tard.

Le charbonnage de Mariemont-Bascoup survit en effet jusqu'en 1961, au-delà du délai escompté au début du siècle, et cela grâce à la mécanisation à outrance.

L'hôtel communal (1892).

Durant la Seconde Guerre mondiale, Chapelle connaît un triste épisode de son histoire. En effet, François Lamarche, alors bourgmestre de Chapelle depuis 1921, est démis de ses fonctions par les allemands, lesquels imposent un bourgmestre rexiste, Alexandre Want, en 1943. Cela malgré une opposition farouche du Collège et du Secrétaire communal, Monsieur Gustave Dewilde.

Plusieurs groupes de résistance agissent à Chapelle pendant la guerre et plusieurs familles juives sont d'ailleurs hébergées par des chapellois.

Le 2 septembre 1944, les américains sont à Chapelle et François Lamarche reprend le même jour son écharpe maïorale qu'il gardera jusqu'en 1949.

En ce qui concerne le monde politique, c'est en 1921 que le Parti Ouvrier Belge (POB) remporte ses premières élections. Le maïorat est confié à un socialiste, Monsieur François Lamarche, cité plus haut.

Après la Seconde Guerre mondiale, le parti socialiste va largement dominer la vie politique chapelloise jusqu'à aujourd'hui

En passant successivement d'un village agricole à un centre industriel avec ses charbonnages pour enfin être aujourd'hui un carrefour important avec des commerces qui se développent (notamment le nouveau Zoning Commercial), Chapelle-lez-Herlaimont vit bien dans l'air du temps.

Sources DARQUENNE (R.), El Tchapèl è ses Tchats, Petite histoire illustrée de Chapelle-lez-Herlaimont, Chapelle-lez-Herlaimont, 1997 DARQUENNE (R.), Images de Chapelle-lez-Herlaimont, Haine-Saint-Pierre, 1994

Tourisme et Folklore

  • Centre de délassement de Claire Fontaine (Godarville) qui accueille dorénavant le plus grand festival aux moules de Belgique durant 2 semaines environ, tous les ans en septembre.
  • Le Carnaval de Laetare: en 25 ans le carnaval de Chapelle s'est forgé une réputation dépassant largement les frontières de la région. Chaque année, ces festivités carnavalesques attirent plusieurs dizaines de milliers de personnes qui aiment venir se plonger dans son ambiance particulière, ce qui en fait, d'après les autorités communales, le deuxième carnaval le plus populaire du Hainaut après Binche. Il est un des seuls à inviter des sociétés étrangères et son célèbre feu d'artifice (Prestige des Tchats), tiré par les Maîtres Artificiers Van Cleemput (artificiers du Roi), attire plusieurs dizaines de milliers de personnes venant des quatre coins de la Belgique mais aussi de l'étranger.
  • Les premiers géants: Inconnus avant 1940 dans nos carnaval, les géants éclosent après 1950: ce sont d'abord cinq petits qui se présentent en 1951 et puis 16 en 1953. En 1958, l'idée de créer deux géants représentatifs d'une population essentiellement ouvrière prend forme. Djan d'l'Abî et Fine du P'tit Gowy sont nés ! Malheureusement, au fil des ans, la structure des géants s'est fragilisée et a fini par se casser comme du vieil osier.

D'autres géants devaient reprendre la relève....

  • Les nouveaux géants: L'idée de créer de nouveaux êtres mythiques à Chapelle provient avant tout d'une rencontre avec Xavier Pourbaix.

Après avoir mis en place l'Ordre des Tchats, le Collège des Bourgmestre et Echevins approuva le projet de mise en valeur du patrimoine et des traditions et c'est ainsi que débuta la mission de Xavier Pourbaix. Il a ainsi donné vie à Batisse du Sec Pachy et à Philomène du Bos des Més. Leur mariage fut célébré à la Laetare de l'an 1997. Amoureux des Tchats, les géants ont reçu l'édilité communale du Grand Conseil de l'Ordre des Tchats solennellement invité pour la circonstance. Lors de cette cérémonie, leur animal fétiche, le gros Poupous est venu ronronner de bonheur. Ils prirent la tête du cortège sous la direction de Pierre Champenois en étant accompagnés par une fanfare hollandaise.

  • Chapelle Festival: le Chapelle Festival, organisé par l'asbl Solidarité, créée dans la foulée de la révolution roumaine afin de venir en aide à la population roumaine (et qui a aujourd'hui "diversifié" ses activités dans tout ce qui a trait à l'entraide aux populations en difficultés (exemple: tremblement de terre en Turquie, en Iran, ...), a lieu chaque année aux alentours du 15 août. Lors des deux premières éditions, sous l'égide de Monsieur Philippe Dujardin, il était nommé Chapelle Celtic Festival, mais il a ensuite été renommé Chapelle Festival. Pour la première fois en 2006, il durera deux jours et drainera plusieurs milliers de festivaliers, appréciant la qualité de son organisation et son caractère familial et convivial (dès le matin, le public peut profiter des activités de loisirs et détentes du Domaine de Claire Fontaine et des différentes animations organisées à cette occasion (marché artisanal, fanfares, théâtre de rue, ...).

Historique du Festival :

  • 2003 : Perry Rose, Urban Trad, Cré Tonnerre, Tri Yann (6000 personnes)
  • 2004 : Carlos Nuñez, Alka Celtes Airs, Merzhin, Dan Ar Braz (officieusement 3000 personnes)
  • 2005 : Bernard Lavilliers, Jimmy Cliff, Sinsemilia, Urban Trad, Renzo Gotto, Gang of Love (nombre de personnes non communiqué, mais record dépassé)
  • 2006 :
  • Jour 1 : Les Gauff' (ex-Gauff' au Suc'), Kraj, Melchior, Gang of Love, R. Calvin
  • Jour 2 : Michel Fugain, La Grande Sophie, Eté 67, Aldo Granato, Cré Tonnerre et leurs invités.
  • La Fête du Vin, organisée durant deux week-end en septembre sur le site d'un authentique vignoble planté dans le schiste de l'ancien terril n°7 des charbonnages de Mariemont-Bascoup, entre le centre de Chapelle et Pieton (juste à côté de l'ancienne abbaye), au profit de l'entretien et de la restauration du château de Trazegnies. Il s'agit d'une organisation de la radio locale Tan Que Vive asbl (87.7fm).

Chapelle, cité des Tchats

Connue comme « cité des Tchats », Chapelle-lez-Herlaimont se revendique d'une forte référence identitaire héritée de son passé de terre franche tour à tour revendiquée et partagée entre le duché de Brabant et le comté de Hainaut. Ce statut « d'entre deux » s'est maintenu jusqu'à nos jours puisque l'entité se trouve à la fois dans la zone d'influence du pays de Charleroi et la région du Centre. Cette situation se répercute d'ailleurs très concrètement dans la vie quotidienne: partage du réseau TEC, de la zone téléphonique, du territoire des intercommunales.

Cette situation particulière présente donc à la fois des avantages et des inconvénients, mais elle ne semble en tous cas pas avoir altéré l'identité locale, bien au contraire, puisque d'aucun prétendent qu'elle a favorisé l'éclosion d'un certain esprit frondeur et indépendant. Quoi qu'il en soit, à l'origine, le terme Tcha est l'abréviation de Tchaploû, habitant de èl Tchapèl, traduction de Chapelle en wallon local. Le surnom de Tcha a été transformé en Tchat (« chat » en wallon local) par la volonté de l'actuel député-bourgmestre, Patrick Moriau, d'associer ce petit félin réputé pour son indépendance à l'image et à la symbolique de la localité. Très concrètement, cette nouvelle forme identitaire se traduit dans la désignation de l'espace puisque le site de l'ancien terril n° 7 en voie de réaffectation a été rebaptisé « zoning de la Valériane », du nom de cette herbe très prisée des chats.

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