Charles Goybet

Charles Goybet
Charles Goybet

Charles Goybet, né Charles Francisco Julio Goybet le 1er décembre 1825 à Yenne et mort en 1910, était un général français. Il est grand officier de l'ordre de la Légion d'honneur. Inspecteur Général de la Cavalerie Française.

Sommaire

Enfant

Il nait à Yenne le 1er décembre 1825.

Son père est issu d'une vieille famille de la bourgeoisie savoyarde (XIVe siècle), qui compte notamment dans ses rangs des personnes qui ont occupé des charges administratives : châtelains de Yenne et notaires royaux. Sa famille est alliée à la meilleure noblesse locale. Il descend de Louis VIII par les Artois, Grailly-Foy, Echalon, Gruel, Bavoz, Belly. Une branche fut anoblie en 1758 et porta le nom de Goybet de Lutrin de Grilly.

Le père de Charles Goybet Antoine Goybet (1787-1867) est un important propriétaire terrien maire de Yenne, Chevalier de la légion d'Honneur et des St Maurice et Lazare. C’est un notable (1787-1867). il est syndic de sa commune sous le régime sarde avant d'en être le Maire après 1860 et il partage sa vie dans le bourg d'Yenne et à son domaine de Volontaz. Chevalier de la légion d'Honneur et des St Maurice et Lazare. Il eut une nombreuse postérité dans laquelle se distinguent ses 4 fils. Charles, Pierre, Laurent et Alexis.

Son affection pour les siens se manifeste par la régularité de ses correspondances, la longueur de ses lettres, la franchise des sentiments exprimés, le souci de connaître les évènements familiaux. "Henri Putz "

Le 15 janvier 1838, à l’âge de douze ans, Charles Goybet quitte sa ville natale, Yenne, pour rentrer à l’Académie Royale militaire de Turin. La rupture est brutale pour Charles qui n’est encore qu’un enfant : la barrière des Alpes créé un isolement physique, la langue Italienne est imposée à ce Francophone, la discipline stricte exclue les vacances en famille et la visite au parloir se fait derrière une grille, il n’est pas possible de posséder aucun objet personnel (il est interdit de détenir une cassette fermant à clé). L’emploi du temps « Scolaire » n’est certes pas trop lourd : trois heures de classe et deux heures d’études ; mais l’essentiel est une mise en condition qui fait alterner les punitions sévères (le cachot au pain et à l’eau), les arrêts simples ou de rigueur, avec une émulation constante (examens, compositions, grades dans les différentes matières du programme, ainsi Charles Goybet fut sergent en calligraphie). Charles accepte son sort sans se plaindre mais il travaille sans zèle ; très attaché à la Savoie il souffre de son éloignement et de sa séparation d’avec sa famille. Ainsi débuta une carrière militaire qui fit de Charles Goybet un officier sarde puis un général français, inspecteur de la cavalerie. Cette pédagogie de l’enfermement et de la rupture pour préparer dès la jeunesse au service armé, n’est en fait que la systématisation de principes d’éducation alors reçus de manière courante.

Dans l’armée sarde

Nommé lieutenant le 8 décembre 1847, il participe à la campagne de Lombardie de 1848-1849. Héros des campagnes sardes contre l'Autriche. Mention honorable par décision royale pour s’être distingué à la bataille de Volta.

Désigné comme aide de camp du général de division comte Trotti, à Chambéry, il obtint de son chef de l’accompagner en Crimée (campagne de 1855 et 1856). Il se distingue au combat de Tchernaïa. Il est nommé capitaine le 16 novembre 1856, puis il est nommé dans les chevaux légers d'Aoste.

Il participe à la campagne de libération de l'Italie en 1859. Il assista aux combats mémorables de Palestro et de San Martino. Sa conduite lui valut d’être nommé major dans un régiment nouveau, Florence-cavalerie. Il est nommé chef d'escadron le 20 mai 1860 dans les lanciers de Florence.

Le choix de la France

C'est le plébiscite et Charles opte pour la France. Il a 35 ans. Il passe de l’armée sarde au service de son nouveau pays en retrouvant le 20 mai 1860 son grade de chef d’escadrons dans la cavalerie impériale, au 4e Dragons de Lyon. Il est nommé lieutenant Colonel le 10 août 1868.. Le 13 août 1863, cet officier supérieur reçut la croix de chevalier de la Légion d’honneur, et le 13 août 1868, étant en garnison à Lunéville, les épaulettes de lieutenant-colonel à son régiment du 4e Dragons.

Article détaillé : Traité de Turin (1860).

Guerre franco-prussienne de 1870

Durant la guerre de 1870, il chargea avec son glorieux 4e Dragon à Mars la Tour. Il sauva même à Metz l'étendard de ce régiment et lorsque plus tard le 4e Dragons vint tenir garnison à Chambéry, le Général Goybet remit la précieuse relique au colonel de Chabot. Charles Goybet reçut la croix d'Officier de la légion d'honneur sur le champ de bataille. (Décision du Maréchal commandant l'armée du Rhin. Octobre 1870) Il se trouvait à Lille au moment de la déclaration de guerre à la Prusse, le 15 juillet 1870. Il en partit pour se rendre à la 2e brigade de la division de cavalerie du 3e Corps (Bazaine puis Decaen), et fut un des premiers à la frontière. Il combattit le 14 août à Borny, où son général de division fut blessé, le 16 à Gravelotte, le 18 à Saint-Privat. Il contribua à la défense de Metz et fut envoyé prisonnier en Allemagne, ayant reçu le 19 octobre, quelques jours avant la capitulation de la ville, la croix d’officier de la Légion d’honneur. Il fut fait prisonnier en Allemagne d'octobre 1870 à mai 1871. A sa libération il est fait Officier de la Légion d'honneur.

Article détaillé : Déroulement de la guerre franco-prussienne de 1870.

Inspecteur de la cavalerie Française

À son retour d’Allemagne, M. Goybet rentra à son régiment à l’armée de Versailles. Promu colonel du 20e Dragons le 3 février 1872, il prit à Provins le commandement de son nouveau régiment, qu’il mena ensuite à Clermont-Ferrand et à Limoges à la 12ee brigade. Promu général de brigade le 5 juin 1877, il reçut à Épinal le commandement de la 1re brigade de chasseurs à cheval, et ensuite, fit partie à Fontainebleau de la modifier] Le temps des honneurs et de la retraite

Promu commandeur de la Légion d’honneur le 7 juillet 1884, puis élevé à la dignité de grand officier de la Légion d’honneur, divisionnaire en 1887, le général Goybet fut placé dans le cadre de réserve le 3 décembre 1890, après quarante-six ans de services, quatre campagnes et une citation. Il est mort en 1910. Il était officier de l’Instruction publique. Il prit sa retraite dans sa propriété de Volontaz qu'il aimait tant.

Charles devant Sebastopol durant la guerre de Crimée

Charles Goybet aide de camp du général de division le comte Trotti écrit à son père Antoine Goybet devant Sébastopol. Son père est un notable (1787-1867 Syndic de sa commune puis Maire de Yenne

kamara le 7 septembre 1855.

Mon cher Papa, l'on a commencé à bombarder Sébastopol le 4 de ce mois, et au moment où je t"écris cela continue ; c'est un roulement continuel de coups de canons, comme on n'en a jamais entendu, et cela dure jour et nuit, de sorte qu'il faut avoir bien sommeil pour s'endormir avec un tintamarre semblable. De notre camp, nous avons été spectateurs pendant la nuit d'avant hier et d'hier d'un magnifique incendie, c'étaient deux vaisseaux russes qui ont été incendiés par les batteries; d'ici l'on ne pouvait pas voir les flammes, mais l'on voyait une lueur dans le ciel du côté de Sébastopol comme le lever de soleil et cela a duré toute la nuit. J'ai été hier dans l'après-midi voir Sébastopol, mais je n'ai pu beaucoup distinguer; il y avait du vent très fort et puis la fumée de la poudre empêchait de bien voir; mais ce que j'ai pu remarquer c'est que les Russes répondent très faiblement, la tour Malakof ne répond pas du tout; tous les parapets sont endommagés, et les français ont déjà poussé leurs travaux d'approche jusque dans le fossé, aussi j'espère bien que l'on la prendra, parce qu'une fois Malakof pris, l'on peut brûler tous les vaisseaux qui sont dans le port et couper la communication de Sébastopol, avec le reste des forts. Comme la ligne de défense des Russes est très étendue, l'on a adopté dans le bombardement une très bonne méthode qui consiste en ce que l'on commence à bombarder sur la droite et puis l'on cesse tout à coup; les Russes présument qu'on va donner l'assaut, alors ils massent des troupes dans les tranchées, alors on recommence à tirer et comme les tranchées sont pleines cela leur tue beaucoup de monde et l'on continue toute la journée de cette manière là et eux sont obligés de se tenir en garde parce qu'au moment où ils s'attendront le moins, on montera à l'assaut....... Nous avons un climat très changeant et nous avons eu un vent chaud avec quelques gouttes de pluie, ce matin au contraire, c'est un vent très froid qui ressemble à nos vents froids du commencement de novembre; et tu peux voir à mon écriture qui se ressent de l'atmosphère froide. J'ai reçu hier une lettre de Laurent du 20 août, tu peux lui dire que j'ai parfaitement reçu sa lettre ainsi que la chartreuse; mais quand j'ai écrit, je ne l'avais pas encore reçue; ici c'est très facile de recevoir les lettres 8 à 10 jours plus tard de ce qu'on devrait les recevoir. Quant à la serge de Sardaigne que Laurent m'offre, cela me serait très utile mais si tu m'envoie le grand paletot que j'ai demandé, cela me suffira; il faudra aussi m'envoyer des bas de laine, mais Laurent m'a dit que la maman y travaille déjà; parce qu'il ne faut pas que l'on se fasse des illusions sur notre position, nous sommes presque certains de passer l'hiver ici; aussi les Français font des chemins de fer pour aller à leur campement et tu conçoit que si l'on devait s'embarquer, ce ne serait jamais notre armée qui serait la première. Laurent (son frère) m'a dépeint le triste état de nos vignes, c'est vraiment du malheur: Quand il n'y a pas de maladie, il faut que cette maudite tempête vienne encore s'en mêler; heureusement que les récoltes étaient presque toutes rentrées; il m'a donné aussi des nouvelles de notre machine à blé, il ne parle pas non plus d'Apollon et de la Saumette qui je crois se portent mieux que mes chevaux car la très mauvaise intendance militaire, qui pour notre malheur se trouve Crimée, les laisse deux ou trois jours sans leur donner d'avoine et se justifie en disant qu'ils n'en ont point. Imagine-toi que maintenant le temps est beau, la mer excellente, ils n'ont des provisions que pour la journée (quand ils en ont!) aussi cet hiver nos chevaux crèveront de faim; le foin qu'on leur donne est quelquefois si mauvais qu'ils ne veulent pas le manger quoiqu'ayant faim. Pour nous les distributions sont assez régulières, pourvu que cela continue ! mais ici tout le monde est d 'accord pour dire que notre intendance militaire est tout ce qu'il y a de plus mauvaise et pire que celle des Turcs. Adieu mon cher papa, embrasse bien de ma part la Maman et dis lui qu'elle se tranquillise. Embrasse aussi Alexis, Pierre Laurent et Célina ainsi qu'Antoine, qui doit déjà être un beau garçon. Donne moi des nouvelles des démarches d'Alexis. Je t'embrasse de tout mon cœur et suis ton affectueux et respectueux fils Charles

Article détaillé : Guerre de Crimée.

Les frères de Pierre Goybet

Pierre luc Goybet

Frère de Charles est né le 23 mai 1828 et décède le 6 mars 1896. Il est avocat à la Cour et conseiller Général de Savoie. Pierre Goybet, conseiller général, avocat à Chambéry, monarchiste catholique, frère du général et du secrétaire général de la préfecture se présente aux élections législatives de 1876.

les sentiments des familles conservatrices à l'égard de la commune sont très bien dépeintes dans une lettre de Pierre A son frère Charles. le 15 mai 1871.

" Lorsque tu nous a quitté, je ne pouvais prévoir que tu irai recommencer cette affreuse guerre. Heureusement tu n'es pas destiné à prendre part très directe au siège ou la cavalerie ne peut jouer un rôle principal. Cependant, si tu n'en cours pas tous les dangers, tu en as tous les ennuis et j'espère bien que tu les fais payer aux gredins qui tombent entre tes mains. Cette race de Parisiens n'inspire vraiment pas grand intérêt; perversité en bas, ou légèreté en haut. C'est à désespérer de voir Paris se relever jamais. L'auteur ajoute une indication relative à l'atmosphère de la préfecture de Chambéry ou Laurent Goybet exerçait les fonctions de conseiller." Laurent s'est presque établi à Yenne fuyant la préfecture ou sa situation est toujours plus difficile, car le mouvement républicain est accentué à Chambéry par les nouvelles élections et emporte complètement notre préfet qui vogue à toute voile dans l'élément Parent et Pyton l'avoué qui est nommé Maire sur le choix ou plutôt l'injonction du conseil municipal dans lequel trône le fameux Michard et l'énergumène Carret, francs communards assistés de 6 à 8 individus d'une notoriété moindre mais d'égale valeur." La Savoie dans la vie française. (jacques Lovie) P.U.F.

Laurent Goybet

Il est né le 13 septembre 1833 et décède le 28 juin 1912. Il est Conseiller de Préfecture à Nice puis Grand Juge à Monaco, Chevalier de la légion d'Honneur et des St Maurice et Lazare, marié sans postérité.

Alexis Goybet

Il est né le 30 septembre 1820 et baptisé le 9 octobre à Yenne, Conseiller à la Cour, il mourut à Chambéry le 29 novembre 1893. Il avait épousé en 1853 Céline Grange, 1830-1884 fille de François de Rose de la Haye du Coudray et eut 8 enfants.


Lettre d'Alexis à son frère Charles au moment de l'annexion de la Savoie par la France.

Chambéry le 29 mai 1860.

Ta nomination a été un sujet de joie pour la famille. MM Grange, Besson et tes amis de Chambéry sont charmés de te voir passer en France avec le grade de Chef d'Escadron. C'est une belle place. Les lenteurs de la Chambre à quelque chose sont utiles et ce n'est pas nous qui avons à quereller les députés. Du reste, leurs regrets nous font honneur. Ils nous connaissent et nous estiment. " Nous avons ici une garnison des plus nombreuses, au moins 4000 hommes. On rencontre des soldats partout. Ces diables de Français pénètrent dans tous les coins. Ils parcourent la campagne en tous sens, fouillent tous les recoins; ce doivent être de bons fourrageurs. Le pays est tranquille bien que le commerce souffre. La frontière est encombrée de marchandises qui attendent que la douane disparaisse. On fait provision de sucre et on laisse les draps, les cotons, les cuirs, les fers ouvrés, etc, etc, M. Grange gagnera beaucoup pour ses fontes. Il en a des quantités dont il ne veut pas se défaire. Nos appointements ont augmenté; pour moi, j'aurai plus de deux mille Francs et le rang de procureur impérial. Je ne sais si on maintiendra longtemps le bureau des pauvres; si on le supprime, Je pense ne pas y perdre. Chambéry se prépare à fêter dignement la réunion à la France. On va faire de grandes illuminations, des bals et des repas publics. Déjà la ville regorge de Français et les Hôtels sont encombrés... à cause du vote de la Chambre qu'on attend ce soir.... Je pense bien que tu auras soin d'entrer en fonction et de te faire reconnaître promptement. On a dit que les militaires de tous les grades seront appelés immédiatement à revenir, aussi ne te mets pas en grand frais de costume. Tu gagnes joliment au change car les officiers français ont des chevaux fournis par l'Etat et choisis par eux. Les chefs d'Escadron sont les premiers servis. Ps " Le télégramme apporte la nouvelle de l'adoption du traité par le parlement. M. Dullin vient d'être nommé officier de l'Ordre de de Saint Maurice et Président des Assises. Il me charge de te complimenter. Son idée était que tu opterais pour rester au service du Piemont parce que, avant peu, tu passerais Colonel, mais je ne te le conseille pas; dans l'armée française tu as des chances d'avancement. La guerre se prépare. Les officiers sardes de cavalerie ne porteront pas ombrage et tu es Français par la mère. Jules Récamier est au mieux avec le Général Forey qui a dîné chez lui à son passage pour la campagne d'Italie. Tu sais aussi que M. Baraguay d'Hlliers est très bien avec le gendre de M. Labatie. Adieu, mon cher ami, je te réserve une carte de France en relief pour que tu connaisses les plaines et les montagnes de notre nouvelle patrie..."

Charles Goybet suscite les vocations militaires

Enfants de Jules Goybet, les neveux de Charles Goybet sont trois frères ayant embrassé la carrière militaire : le Général Victor Goybet qui a pour fils le Colonel Charles Goybet, le Capitaine de vaisseau Henri Goybet, le Général Mariano Goybet. Le Général Mariano Goybet eut pour fils le Contre amiral Pierre Goybet ainsi qu’Adrien et Fréderic morts en valeureux soldats. Le fils de Pierre Goybet est le chef de bataillon Adrien Goybet qui permet à la famille de comporter une lignée consécutive de trois légionnaires au service de la Patrie. l'Honneur de servir

Liens sur Charles et la famille Goybet

Sources

  • Article rédigé par Henri Goybet : informations tirées de son siteFamille du chevalier Henri Goybet
  • Textes tirés du livre de famille de Mariano Goybet
  • Préface de Jacques Lovie, 13 Avril 1977 sur le livre de Henri Putz. ‘’Une éducation militaire Sarde.’’
  • Lettres de Charles Goybet rapportées par Henri Putz ainsi que par Jacques Lovie (La Savoie dans la vie Française)
  • Théophile Lamathiere Le Panthéon de la Légion d’honneur, tome VIII,
  • Alfred Anthonioz Généraux savoyards, Genève, 1912.

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Charles Goybet de Wikipédia en français (auteurs)

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