Chateauroux

Chateauroux

Châteauroux

Châteauroux

Église Saint-André
Église Saint-André

Armoiries logo
Administration
Pays France
Région Centre
Département Indre
(préfecture)
Arrondissement Châteauroux
(chef-lieu)
Canton Châteauroux-Centre, Châteauroux-Est,
Châteauroux-Ouest, Châteauroux-Sud
(chef-lieu des quatre cantons)
Code Insee abr. 36044
Code postal 36000
Maire
Mandat en cours
Jean-François Mayet
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération Castelroussine
Site internet Châteauroux.fr
Démographie
Population 47 513 hab. (2006)
Densité 2 445 hab./km²
Gentilé Castelroussins
Castelroussines [1].
Géographie
Coordonnées 46° 48′ 37″ Nord
       1° 41′ 28″ Est
/ 46.8102777778, 1.69111111111
Altitudes mini. 154 m — maxi. 164 m
Superficie 19,43 km²

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Voir la carte administrative

Châteauroux est une commune française, située dans le département de l'Indre et la région Centre.

Sommaire

Géographie

Situation

La commune est située dans le centre du département dans l'espace naturel de la Champagne berrichonne.

Elle bénéficie d’un cadre privilégié avec 450 ha d’espaces verts.

Les communes et agglomérations voisines

Les communes[2] voisines :

Les agglomérations[3] voisines :

Les grandes communes [4] :

Hydrographie

Histoire

Toponymie

Le château de Raoul

Le château de la ville n’est ni rouge ni roux. Cependant le Castellum Radulphi appartenait à Raoul le Large dont la famille le fit construire au Xe siècle. C’est un des hauts lieux touristiques de la ville.

Rue de la Catiche à Châteauroux

Une catiche (du vieux verbe français « se catir », se coucher en rond) est un lieu où se tapissaient les loutres.

Allée de la Grosse Éraine

« Éraine » dériverait du patois berrichon et signifierait « araignée » ou « reinette ».

Historique

Naissance du Château Raoul en 1112

La Ville de Châteauroux a été précédée dans l’histoire par celle de Déols. La présence gallo-romaine y est attestée par des pierres sculptées, des monnaies de la céramique, des urnes. Vers 937, le seigneur Raoul le Large délaissa son palais de Déols, en raison de l’insécurité, ou pour doter l’abbaye fondée en 917. Il fit bâtir une forteresse sur un côteau de la rive gauche de l’Indre. À partir de 1112, ce château fut nommé « château Raoul », en raison du prénom fréquent chez les seigneurs de Déols. La période féodale vit naître à l’abri de cet emplacement fortifié une bourgade d’artisans et de commerçants.

À la fin du XIIIe siècle, le château fut l’un des enjeux de la lutte entre roi de France et roi d’Angleterre. Le dernier seigneur du nom de Déols était mort en 1176 en revenant de croisade. La « principauté » de Déols, qui s’étendait du Cher à la Gartempe, échouait à une fillette de cinq ans, Denise, laquelle fut menée en Angleterre. En 1188, Philippe Auguste put s’emparer par surprise du château Raoul, et il fallut attendre 1200 pour qu’un traité reconnût au roi la suzeraineté de la terre de Déols. Denise et son mari firent une entrée solennelle dans leur château.

Création du comté de Châteauroux en 1498

La guerre de Cent Ans apporta l’insécurité. En 1356, le Prince Noir, fils du roi d’Angleterre, n’ayant pu prendre le château Raoul, fit brûler la ville. Des pillages eurent lieu en 1374. Il fallut fortifier la cité, ce qui fut autorisé par le roi en 1447. Le château Raoul fut reconstruit à cette époque. En 1498, la baronnie de Châteauroux devint comté. Mais en 1503 survint le décès d’André III de Chauvigny et la succession conduisit en 1519 à l’attribution du château Raoul à la Maison de Maillé, et du château du Parc à celle d’Aumont. Les contestations entre les héritiers ne prirent fin qu’en 1612 quand Henri de Bourbon, prince de Condé, acheta les deux lots. Il obtint en 1627 que la seigneurie fût duché-pairie. Son fils, le Grand Condé, ne s’occupa guère de son patrimoine, sauf pour y envoyer son épouse en résidence surveillée pendant vingt-quatre ans. Louis XV acquit le duché en 1737 et en fit don en 1743 à la marquise de Tournelle. Madame de Châteauroux mourut l’année suivante sans avoir pu faire son entrée solennelle dans sa ville. L’administration royale fut bénéfique pour Châteauroux avec la création, en 1751, de la Manufacture de draps et le nouveau tracé de la route Paris - Toulouse. Des promenades furent créées (actuelles places Gambetta et La Fayette). De belles demeures furent édifiées.

Châteauroux devient le chef-lieu du département

La Révolution fit de Châteauroux, qui comptait alors 8 000 habitants, le chef-lieu du département. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Indrelibre puis Indreville[5].

Au début du siècle dernier, la reprise de la manufacture de draps et la création d’ateliers des équipages militaires assurèrent du travail à une population ouvrière et militaire. En 1847, le chemin de fer arriva, et, avec lui, un nouvel essor de la cité. En 1851, la cité compte 15 921 habitants. Elle a rasé ses murs, ses portes et même le donjon du château et s'est dotée, aux limites de son octroi, d'une vaste ceinture de boulevards. Elle est encore bien loin d'occuper tout cet espace et l'hôtel de ville de 1821, néoclassique, contemplant le Châteauroux de l'époque, tourne aujourd'hui le dos à sa ville.

L'année 1856 est décisive à deux titres. Châteauroux inaugure alors des unités industrielles de production. Un député de l'Indre, le comte Eugène de Bryas, obtient l'ouverture à Châteauroux d'ateliers de cigares qui emploient huit cents personnes dès l'année suivante. En 1872, la population dépasse 18 000 habitants. Édifiée de 1858 à 1863, La Manufacture des Tabacs compte en 1873, 70 cadres, 82 ouvriers et … 1 580 ouvrières. La Manufacture des Tabacs achevée en 1863, les deux brasseries, les deux fonderies, des ateliers de confection faisaient déjà de Châteauroux une ville industrielle.

Un industriel de Lodève Jean Pierre Balsan, rachète le 10 avril 1856,la Manufacture du Parc et crée un ensemble parmi les plus importants - six hectares d'usine - et les plus modernes du pays. Renouvelant une industrie du drap aux fondations médiévales, il dote Châteauroux de son deuxième géant économique et emploie huit cents ouvriers en 1872. Sur une population de vingt-cinq mille habitants, trois mille sont employées en 1900 par le comte Eugène de Bryas et mille deux cents le sont par Pierre Balsan (chiffres de 1910).

Les deux dernières guerres ont précipité le développement de la cité. Une usine d’aviation installée en 1936 à Déols et une importante base américaine à la Martinerie, créée entre 1951 et 1967, ont entraîné la construction de cités, de résidences et de maisons individuelles. Aujourd’hui, la création de nouveaux quartiers et de zones de loisirs, la restructuration de la ville, le fleurissement confèrent à Châteauroux son caractère agréable et digne d'une ville de Préfecture.

Renseignements tirés de l'ouvrage «Châteauroux d'Hier et d'Aujourd'hui», page 13.

Administration

Maires de Châteauroux

Article détaillé : Liste des maires de Châteauroux.

Depuis 1945, ont été élus maires de la ville de Châteauroux :

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
1945 - 1947 Pierre Gautier
1947 - 1959 Édouard Ramonet
1959 - 1967 Louis Deschizeaux
1967 - 1971 Gaston Petit
1971 - 1989 Daniel Bernardet UDF Député de l'Indre
1989 - 2001 Jean-Yves Gateaud PS Député de l'Indre
2001 - en cours Jean-François Mayet UMP sénateur de l'Indre.

Démographie

Évolution démographique
(Source : Cassini[6] et INSEE[7])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7 503 8 049 8 512 10 429 11 587 13 847 13 551 14 517 15 931
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
18 237 16 170 17 161 18 670 19 442 21 179 22 860 23 924 23 863
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
24 957 25 437 26 095 26 566 25 806 26 707 28 578 34 611 36 420
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
45 063 49 138 53 429 51 942 50 969 49 632 47 513 [8] - -

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Économie

Située à deux heures de Paris, sur un carrefour du grand axe nord-sud, Châteauroux est une plaque tournante de l'économie nationale et européenne. La logistique, la métallurgie et l'agroalimentaire ont un rôle important dans l'économie locale. Une assise industrielle renforcée par des sociétés du secteur aéronautique, électronique et informatique assurent à la cité castelroussine un développement économique dans les secteurs de pointe.

Outre de nombreuses PME et PMI, plusieurs entreprises internationales sont implantées à Châteauroux : Harry's France, le Groupe André, Arc International Cookware (AIC), Hydro Aluminium, Mead Emballage, Montupet ainsi que l'usine de cosmétiques Pier Augé. La multinationale mexicaine de matériaux de construction, Cemex, y possède une unité de béton prêt à l'emploi.

Châteauroux est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de l'Indre.

Transports et voies de communications

Réseau routier

La commune est desservie par la route nationale N143 ainsi que par les routes départementales D40 - D81 - D101 - D151 - D920 - D925 - D943 - D956 - D990.

Desserte ferroviaire

La commune possède sa propre Gare SNCF.

La gare SNCF

Bus

Lieux et monuments

  • Musée du Compagnonnage[9]
  • Le musée Bertrand : dans un ancien hôtel du XVIIIe siècle ayant appartenu au général Bertrand, se trouvent des collections napoléoniennes, des souvenirs du général Desaix, de bons specimens de peinture flamande du XVIIe siècle, et des écoles régionales de peinture et de sculpture XIXe-XXe s, dont le sculpteur Ernest Nivet
  • Le musée des Arts et Traditions Populaires, situé au cœur du parc Balsan, regroupe des collections basées sur le thème de la culture berrichonne, ainsi que sur la vie rurale en Berry. Photographies, gravures, coiffes, objets en tout genre, font renaître la vie des paysans d'antan, au cœur de cette province de France
  • Le couvent des Cordeliers : ancien couvent franciscain du XIIIe siècle, il héberge aujourd'hui une partie de l'école des Beaux-arts et des expositions d'art contemporain. Situé dans la partie historique de la ville et dominant la vallée de l'Indre, c'est un lieu de promenade agréable
  • L'église Saint-Martial : située à deux pas du Musée Bertrand, l'église Saint-Martial est une curiosité de la ville de Châteauroux qui mérite le détour. Dépendant de la paroisse Saint-Denis, elle fut construite au XIIe siècle. C'est une nef unique d'origine romane couverte d'un berceau de bois, éclairée de baies tréflées ouvertes dans une arcature du chevet plat. Son clocher de style Renaissance, édifié par un bourgeois de Châteauroux, Pierre Vurignon, date des dernières années du XVe siècle. Cette église cache dans ses murs des lithographies découvertes lors de travaux de réfection de l'autel en 1960. Situées à gauche de l'autel, ces lithographies comportent des inscriptions latines sculptées en caractères romains. À cette architecture, s'ajoute un trésor artistique datant du XVe siècle avec des raretés telles que des statues en bois peint, représentant Saint-Denis, Saint-Thomas, la Vierge, Jésus … Au XVIIIe siècle, cette église abritait la Confrérie de Saint-Blaise qui groupait "les Tixiers" en drap. Jadis, la petite place de l'église Saint-Martial accueillait traditionnellement les feux de la Saint-Jean
  • L'église Saint-André : en 1876, alors que les Berrichons sont en deuil (George Sand vient de mourir à Nohant), la ville de Châteauroux voit la consécration de l'église Saint-André, aboutissement de longues années d'efforts et d'interruptions de travaux. En effet, l'idée de l'édification remonte à l'année 1844 lorsque M. Grillon, alors maire de la Ville, décide la reconstruction de l'église Saint-André détruite à la fin du XVIIe siècle. C'est en 1845, après un vote du Conseil Municipal, que commencent les travaux. Après vingt ans d'interruption, les travaux reprennent en 1869 avec un nouveau projet de l'architecte départemental de l'Indre, Alfred Dauvergne. Mais, la guerre de 1870 vient une nouvelle fois arrêter les travaux de l'église Saint-André. Ainsi, c'est seulement en 1876 que l'édifice montre son visage définitif aux Castelroussins. Malgré des moyens réduits, l'église Saint-André présente un intérêt artistique certain. Des dessins d'Isidore Meyer viennent compléter les plans de l'architecte Dauvergne et l’industrie locale a profité de cette construction. En effet, tout l'intérieur est construit en granit du pays pour les soubassements et en pierre de taille des carrières d'Ambrault pour les œuvres en élévation. Les deux tours atteignent soixante mètres de hauteur. La longueur totale de l'édifice est de 87 mètres et peut contenir 3000 personnes. D'un point de vue architectural, l'église principale de Saint-André est de style gothique
  • L’église Notre-Dame : elle a été construite sur le fossé d’enceinte de l’ancien Château-Raoul en 1882. Malgré sa situation désavantageuse (elle a été édifiée sur un terrain bas), cet édifice garde tout son charme avec son style inspiré de l’église romane d’Issoire et ses détails architecturaux remarquables. En effet, des chapiteaux s’élèvent successivement et ceux de l’intérieur représentent chacun une scène différente de l’écriture sainte (elles ont été exécutées par M. Girault-Dupin, sculpteur à Châteauroux). L’église Notre-Dame comporte également un chœur avec des colonnes de marbre et une coupole surmontée d’une vierge en bronze doré
  • Le quartier Saint-Christophe : il renferme une histoire généreuse et ne cesse d’évoluer au fil des siècles. Ce quartier fut longtemps dominé par l’abbaye bénédictine fondée par les moines de Saint-Gildas-de-Rhuys en 1127. Hélas, cet édifice fut démoli et abandonné. Mais au XVe siècle se créa une agglomération autour d’une modeste église, ce qui redonna naissance au quartier Saint-Christophe. Quelques vestiges de l’ancienne abbaye bénédictine de Saint-Gildas sont à découvrir près du Colombier dans la rue de la Fuie ou dans la rue des Jeux Saint-Christophe. Le quartier accueille chaque année de traditionnelles manifestations telles que la fête des Vignerons (Saint-Vincent) et le pèlerinage automobile créé par l’abbé Paviot (figure légendaire du quartier). Celui-ci fit sculpter une statue monumentale de Saint-Christophe sur le parvis de l’église et la plaça au-dessus du portail au début du siècle. Ses successeurs maintiennent le pèlerinage automobile mais l’ont déplacé sur le mail Saint-Gildas
  • Ville fleurie : la cité castelroussine est une des plus belles villes fleuries de France (Distinction : "Quatre fleurs")
  • La Prairie Saint-Gildas : à deux pas du centre-ville, offre un site naturel privilégié où l’on peut apercevoir hérons, chauve-souris et ragondins
  • Équinoxe : médiathèque et scène nationale, avec une programmation à la fois riche et variée (théâtre, danse contemporaine, mais aussi jazz, chanson, lectures) résultant de l'importante politique culturelle dédiée à la seule grande scène de la ville. Équinoxe accueil aussi le festival du clown : "La barrière de dégel" en janvier
  • Le Tarmac : le zenith de Châteauroux qui a ouvert ses portes fin d'année 2007

Personnalités liées à la commune

  • Jean-Claude Guymon de la Touche, poète et dramaturge (1723-1760)

Fils du procureur du roi au bailliage de Châteauroux, mort à Paris.

  • Pierre Leroux, journaliste fondateur du "Globe" (1797-1871)

Né et mort à Paris (17 avril 1797 – 12 avril 1871). Journaliste et philosophe. En 1824, il fonda le journal « Le Globe », organe du Saint Simonisme. Il lança l'Encyclopédie Nouvelle (1836-1843) et la revue Indépendante (1841-1848) et il fut député en 1848 et 1849.

  • Napoléon Chaix, imprimeur, inventeur de l'indicateur horaire des trains (1807-1865)
  • Adolphe Combanaire, voyageur et essayiste (1859-1939)

Né Place Lafayette en 1859 de parents aubergistes – décédé rue Lamartine en 1939. A la suite de ses nombreux voyages à l’étranger, il se consacra à la rédaction de ses souvenirs qui furent publiés dans de nombreux ouvrages au style assez percutant et tranché (!) : Au pays des coupeurs de tête - Mensonges et vautours coloniaux - Châteauroux pendant la guerre de 1870/71, etc.

  • Fernand Maillaud, peintre (1862-1948)

Né à Mouhet (Indre) en 1862, décédé à Paris en 1948, inhumé à Guéret. À 25 ans, il se consacre à la peinture et commence d’être connu en 1894. Diverses expositions particulières en 1899-1900 consacrent la notoriété de cet artiste qui demeurera toujours attaché à sa terre natale.

  • Bernard Naudin, peintre (1876-1946)

Né le 11 novembre 1876, il grandit place Sainte – Hélène. Dessinateur, peinture et graveur il devint vite un artiste estimé et reconnu. Décédé en 1946 à Paris.

  • Abbé Paviot, fondateur du pèlerinage annuel des automobiles.

Curé de Saint - Christophe de 1919 à 1935, décédé avant la seconde guerre mondiale à l'âge de soixante-quinze ans. Fondateur de la Confrérie de St. Christophe.

  • Louis Suard, architecte.

Architecte de la « belle Époque » qui signa un grand nombre de constructions au style très marqué. Figure très connue dans le département de l'Indre. Il disparut dans les années 1957/58.

  • Jack Claude Nezat, auteur (né en 1943)
  • Max Ploquin, médecin, promoteur de l’accouchement sans douleur en France

Climat

Article détaillé : Climat de l'Indre.

Les données climatiques à Châteauroux de 1893 à 2005 (cliquer sur la carte de France).

Environnement

La ville a été récompensée par quatre fleurs et la distinction Grand prix au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[10]

Activités festives

Juin

  • Vendredi… Musique

Tous les vendredis, concerts gratuits sur la Place de la République organisés sous l’égide de l’École Nationale de Musique et de Danse.

  • Festival Multirythmes

Festival inter-ethnies : expositions, soirées interculturelles, repas de quartiers, tournois sportifs, tremplin musique, théâtre, fête des associations. 30 associations de Châteauroux se réunissent avec l’envie de faire la fête ensemble et de partager avec tous, France, Portugal, Maroc, Turquie, Sénégal, Algérie, Antilles, Viêt Nam…

  • Festival populaire du Folklore

C’est l’occasion de se souvenir ou de s’initier aux danses traditionnelles, avec les costumes du Berry dans le Parc Balsan, avenue François Mitterrand.

  • Rock à Belle-Isle

Festival des musiques nouvelles, concerts gratuits offerts par la ville dans la plaine de Belle- Isle pour animer les soirées de l’été.

août

  • Stage festival de danse de Châteauroux (DARC)

Le stage Festival international fête son 30e anniversaire cet été. 30 disciplines enseignées et 8 spectacles La recette de sa longétivité : près de cinq cents stagiaires venus de tous les horizons, même au-delà de nos frontières, plus de vingt disciplines (danse classique, modern jazz, claquettes, danses de salon, hip hop …) enseignées par des professionnels ; un festival pour la plupart gratuits et en point d’orgue, un grand spectacle auquel participent tous les stagiaires en fin de stage.

  • La Châteauroux Classic de l'Indre Trophée Fenioux

L'un des derniers dimanche du mois d'août, chaque année, l'association de La Petite Reine Fenioux organise avec l'aide de plus de 800 bénévoles, une course cycliste professionnelle.

Tous les ans en août

  • La Biennale de Céramique contemporaine

Accueillie au Couvent des Cordeliers, cette exposition de renommée internationale présente, en juillet et en août tous les deux ans, de jeunes céramistes français et étrangers. En alternance avec la Biennale se tient une grande exposition d’art contemporain. La prochaine Biennale aura lieu en juillet-août 2001.

Novembre

  • Les Litztomanias

Manifestation internationale de musique classique, elle réunit chaque année les adeptes du genre, au travers de concerts et de représentations se déroulant dans toute la ville.

  • Salon du livre de Châteauroux

La Ville de Châteauroux accueille tous les ans, plus d'une centaine d'auteurs dans le Hall des Expositions de Belle-Isle. Des expositions, des conférences, des animations autour du livre ont lieu durant ce week-end où se déroule la plus grande manifestation littéraire de l'Indre. En 2006, c'est Irène Frain qui était la marraine du salon.

  • Forum des associations

Tous les 2 ans, 250 associations de l'Agglomération Castelroussin se réunissent dans le Hall des Expos de Belle-Isle pour présenter leurs activités.

Sport

Élue 3e ville la plus sportive de France lors du "Challenge l'Équipe" en 1997, Châteauroux offre la possibilité aux 12 500 licenciés des 137 associations sportives et sections omnisports de pratiquer 52 disciplines dans plus de 70 équipements sportifs mis à leur disposition.

À Châteauroux, 17% de la population pratique un sport. Avec 52 disciplines et 137 associations, la population castelroussine n'a que l'embarras du choix en ce qui concerne les activités sportives amateurs ou professionnelles. Ce large éventail permet à plus de 12 500 licenciés d'exercer les activités de leur choix. Afin de soutenir la pratique sportive de haut niveau, la Ville signe tous les ans un « contrat d'objectifs » avec six grandes formations sportives. Au-delà du plaisir, du bien-être et de l'esprit de compétition qui en émanent, le sport est aussi synonyme d'image de marque d'une ville. L'organisation de rencontres sportives de renommée nationale est régulière à Châteauroux : Tournoi International Féminin de Basket de l'ASPTT tous les ans, Championnat de France de Tir à l'Arc en 1994, Ville-départ du Paris Nice en 1996, Tennis Tour et France Basket Tour en 1997, Ville-étape du Tour de France en 1998, Adidas Kid Foot en 1998, Championnats de France de Roller en 1999, Coupe de France de triathlon et de duathlon en 2004, 2005 et 2006 et tout dernièrement le Championnat de France de pétanque des pompiers et le Trophée Pétanque Canal Plus.

Les équipements traditionnels - 10 gymnases omnisports permettent à chacun de pratiquer, dans son quartier, son sport favori : Basket, Hand, Volley, Tennis, Badminton etc. 2 clubs de Basket évoluent au niveau National : la Berrichonne avec une équipe féminine en Nationale 2, le CBC 36 avec une équipe masculine en Nationale 3.

- 23 stades qui permettent aux amateurs de Football, de Rugby et de Football-Américain, d'applaudir leurs équipes favorites. Pour accueillir les rencontres de football de 1re division, la Ville de Châteauroux a fait agrandir le stade Gaston Petit à 17.500 places. Un club de football évolue au niveau National avec 4 équipes à ce niveau : la Berrichonne, une équipe en Division 2 ( finaliste de le Coupe de France en 2004), une équipe en CFA2, une équipe de moins de 18 ans nationaux, une équipe de moins de 16 ans nationaux et une de 14 ans fédéraux. De nombreux joueurs issues du centre de formation de la LBC jouent actuellement en 1re division comme Razak Boukary, Sébastien Roudet ou même Florent Malouda actuel milieu latéral de Chelsea, et joueur titulaire de l'équipe de France. De jeunes pousses jouent actuellement en équipe de France dans les catégories de jeunes comme Lamine Koné et Bakary Sako qui évolue en équipe de France des moins de 19 ans, Gilles Sunu capitaine de l'équipe de France des moins de 16 ans partit finir sa formation à ARSENAL .

  • Un club de rugby : le R.A.C.C. évolue en 3e Division.
  • Un club de football américain, "Les ORCS" évolue en division professionnelle.
  • Une équipe de triathlon 3e de la dernière Coupe de France.
  • Une équipe de duathlon qui a remporté la Coupe de France en 2005.
  • Carole Péon, championne de France de thiathlon en 2006.

- 25 courts de tennis couverts ou en plein air permettent à tous d'apprécier et de pratiquer ce sport toute l'année sur surface en dur ou sur terre battue comme à l'ASPTT Châteauroux ou prochainement au comité de l'Indre de tennis.

Les équipements spécifiques - 8 salles de sports pour pratiquer : escrime, boxe française, boxe anglaise, karaté, judo, haltérophilie, musculation, gymnastique, skate, mur d'escalade, tennis de table, - 3 piscines : une piscine couverte été hiver ; une piscine d'été ; une piscine à vagues, - 1 complexe de Motocross et d'autocross «Les Tourneix» où chacun peut s'essayer aux sports mécaniques, - 1 salle de skate et de roller avec pistes de skateboard et de roller indoor et outdoor. - les terrains à ciel ouvert : hippodrome, boulodrome, pistes de voitures téléguidées, pistes d’aéromodélisme, plateau EPS, équipements de proximité ... - 1 plan d'eau de 8 hectares sur le superbe site de Belle-Isle, où l'on peut pratiquer les sports nautiques, la baignade et la pêche.

Jumelages

La ville est jumelée aux communes suivantes :

Anedocte

Pèlerinage

Étape précédente
Déols
Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle
08 Coquille.jpg
Via Lemovicensis
Étape suivante
Velles

Notes et références

Voir aussi

Articles connexes

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