Christine Angot

Christine Angot
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Christine Angot
Christine Angot dans les années 1990, par François Alquier.
Christine Angot dans les années 1990, par François Alquier.

Nom de naissance Christine Schwartz
Activités Romancière
dramaturge
Naissance 7 février 1959 (1959-02-07) (52 ans)
Châteauroux, France
Genres Roman
Théâtre
Distinctions Prix Bernard Dort 1999
Prix France Culture 2005
Prix de Flore 2006

Christine Angot, née Christine Schwartz le 7 février 1959 à Châteauroux (Indre), est une romancière et dramaturge française. Elle pratique fréquemment la lecture publique de ses textes, notamment sur scène.

Sommaire

Biographie

Christine Schwartz passe son enfance à Châteauroux, avec sa mère et sa grand-mère. Son père, traducteur auprès des institutions européennes, a quitté le foyer familial avant sa naissance. Quand elle est âgée de 14 ans, ce dernier la reconnaît officiellement. Elle prend alors le nom d'Angot. Elle quitte Châteauroux et s'installe à Reims avec sa mère. Après son baccalauréat, obtenu dans un lycée privé de jeunes filles, elle entame des études d'anglais et de droit. Elle obtient alors un DEA de droit international public, puis se spécialise en droit européen à Bruges. Elle se désintéresse alors de ses études et commence ses premières années d'écriture jusqu'au jour où elle rencontre son style, puisé dans le réel :

« Il y a eu un jour où j'ai écrit. Écrit vraiment. Ce fut quelque chose de très important. Claude [son mari à l'époque] et moi étions allés à Amsterdam, mais le séjour ne s'est pas bien passé et nous sommes repartis aussitôt. Nous avons pris un hôtel au Touquet. J'étais très énervée. Je n'acceptais pas la réalité de ce week-end gâché. Je me souviens que nous avions acheté une tablette de chocolat. J'ai pris son papier d'emballage et j'ai commencé à écrire ce qui s'était passé durant le week-end. J'ai demandé du papier à l'hôtel pour continuer. Puis j'ai fait lire ce que j'avais écrit à Claude : “C'est bien !” J'ai pris peur alors : “Ne me redis pas ça, je suis capable de tout laisser pour écrire.” »

Dès lors, pendant six ans (elle est mariée, mère d'une petite fille et réside à Nice), ses manuscrits lui sont retournés par les maisons d'édition à qui elle propose ses textes. Elle ne publie son premier roman qu'en 1990 chez Gallimard dans la collection « L'Arpenteur ». Il s'agit de Vu du ciel. Ce premier roman et les deux suivants, Not to be et Léonore, toujours connaissent une faible résonance médiatique et se vendent peu[1].

Son quatrième manuscrit, Interview, est refusé par son éditeur. Christine Angot quitte la maison Gallimard à la suite d'un rapport de lecture qui lui est défavorable :

« Ils refusent mon quatrième roman, Interview. Je repars à la recherche [d'un éditeur]. Léonore, toujours [son précédent roman], les avait choqués. Le rapport de lecture dit que je suis dangereuse pour mon entourage, ils faisaient déjà la confusion entre ma vie et mes livres. »

Elle intègre alors la maison Fayard puis les éditions Stock, où elle est éditée par Jean-Marc Roberts.

Elle est propulsée sur le devant de la scène littéraire en 1999 avec la publication de L'Inceste qui défraiera la chronique littéraire et qui se vendra à près de 50 000 exemplaires[2].

Au début des années 2000, elle tient une chronique récurrente dans le magazine Epok : « Le mot d'Angot ». Elle y mêle alors traitement de l'actualité culturelle et écriture plus personnelle.

En 2006, elle quitte les éditions Stock pour la maison Flammarion, avant d'intégrer les éditions du Seuil en 2008. Ce dernier transfert fut largement médiatisé au vu de la somme déboursée par la maison d'édition, à savoir 240 000 €[3]. En 2011, Christine Angot fait son retour chez Flammarion.

En 2006, elle intervient régulièrement dans l'émission Campus[4], animée par Guillaume Durand sur France 2.

En 2008, à la suite de la publication du Marché des amants, Christine Angot se voit obliger de dédommager, à hauteur de 10 000 euros, Élise Bidoit, qui avait explicitement reconnu une partie de sa situation personnelle transcrite dans l'œuvre[5]. En 2011, lors de la publication du roman Les Petits, Élise Bidoit accusera à nouveau l'auteure d'atteinte à sa vie privée et familiale[6].

Après avoir quitté Nice pour Montpellier, Christine Angot réside aujourd'hui à Paris. Depuis 2007, l'agent littéraire Andrew Wylie travaille pour elle.

Littérature

Écriture

On classe souvent les textes d'Angot dans la catégorie autofiction. L'auteur refuse pourtant cette étiquette :

« Le terme [autofiction] ressemble trop à “autobiographie”. Je crains qu'une fois de plus on en déduise : “Ce n'est pas vraiment du roman”. L'autofiction est portée par l'usage du “je”. Si ce “je” est celui du miroir, je ne fais pas d'autofiction. Si on reconnaît que ce “je” peut s'élaborer dans l'imaginaire, alors oui, je fais de l'autofiction. Le roman, je le répète, n'est pas du témoignage. C'est pourquoi ce qu'il dit de la société est politique[7]. »

Si Christine Angot déclare ne rien raconter (au sens purement narratif du terme) mais simplement écrire[8], elle conçoit la littérature comme une « aventure, d'autant plus que c'est un aventure, dit-elle, qui concerne la personne qui écrit l'écriture mais aussi ceux qui sont en mesure de recevoir ou de ne pas recevoir l'écriture[9]. »

Son œuvre se caractérise par le déploiement d'un discours qui met à l'épreuve les rapports entre la vérité et la fiction dans le roman autobiographique :

« La vérité, fût-elle littéraire, est un engagement, à condition que plane, au-dessus de chaque affirmation, l'ombre du doute. Il faut faire en sorte que le lecteur croie en la véracité. Qu'il soit persuadé que la plus grande part s'est réellement passée. La littérature n'a pas d'autre but[10]. »

Dès lors, œuvre qui mêle dénudement confessionnel et fiction, les livres de Christine Angot, pour qui, en littérature, « il n'y a ni morale ni responsabilité[11] », sont le résultat de la rencontre frontale entre la vie et l'écriture : « La vie tout le temps, comme ça, infecte tout ce que je suis en train de faire[12]. »

On notera par ailleurs l'emploi du récit « métafictif »[13], racontant et commentant l'écriture, la lecture et la réception médiatique de ses textes dans, entre autres, Sujet Angot et Quitter la ville. Ce qui l'amène à pratiquer parfois le name dropping.

Christine Angot s'efforce aussi de sonder le rapport de la société à la parole de l'écrivain sur la place publique, parole qu'elle qualifie de « performative » dans les premières pages de Quitter la ville :

« La vie des écrivains, c'est plus important en tout cas que les livres. On entend le mensonge et on entend la vérité, on entend le dedans et on entend le dehors, on est en soi et hors de soi [...]. La parole est un acte. C'est un acte quand on parle. Et donc ça fait des choses, ça produit des effets, ça agit. Ce n'est pas un jeu, un ensemble de règles de toutes sortes [...] Ce n'est pas une merde de témoignage, comme on dit. »

L'exploration du motif incestueux (ou des liens entre l'espace sociétal et l'interdit fondamental de l'inceste) est un thème récurrent de son œuvre.

Influences littéraire

Les influences littéraires de Christine Angot sont nombreuses, et vont de Louis-Ferdinand Céline à Marguerite Duras en passant par Marcel Proust — qu'elle cite d'ailleurs en exergue à Pourquoi le Brésil ?. Elle déclare :

« Je ne suis pas autant intimidée par Duras ou Proust que par Céline. Voilà quelqu'un qui parle sa langue. Duras, ce qui est bien, c'est qu'elle ne s'emmerde pas. Dans C'est tout, dans Emily L.… Ce que j'aime aussi, c'est qu'elle a fait en sorte qu'on se demande toujours si elle est un écrivain ou pas[14]. »

Elle évoque aussi son admiration pour Samuel Beckett : « Lui, on ne peut pas se demander si c'est un écrivain ou non. On sait que c'en est un[14]», mais aussi Hervé Guibert qu'elle reconnaît être « un auteur important qui a ouvert des portes ». Elle déclare s'être intéressée tardivement au genre poétique, notamment au travers d'Henri Michaux : « Je me rends compte que la poésie, c'est bien. Je croyais qu'il y avait trop de “regardez, je fais de la belle littérature” alors que le roman peut traîner partout et peut flirter avec le vulgaire. La poésie c'est un art noble, le roman est une forme bâtarde. Qui, donc, me convient mieux[14]. »

Parmi ses contemporains, elle souligne son goût pour les romans de Camille Laurens : « Ce que j'aime bien chez elle c'est qu'elle ne s'embarque pas dans des contradictions. Chez elle, les phrases ne se détruisent pas les unes les autres comme chez moi. Avec elle, la phrase, rien ne peut l'arrêter[14] » et Mathieu Lindon qu'elle soutiendra lors de la polémique suscitée par la publication de son roman Le Procès de Jean-Marie Le Pen. Par ailleurs, l'œuvre de Christine Angot est souvent rapprochée de celle de Guillaume Dustan qui serait son « alter-Angot[15] ».

En revanche, elle exprime une répulsion toute particulière pour, entre autres, les œuvres de Nathalie Sarraute, Marguerite Yourcenar ou encore Jean-Marie Laclavetine et évoque, lorsqu'on lui parle de Georges Bataille, un « côté esthétisant » qui ne la séduit guère[14].

Emprunts et réécritures

Dans L'Inceste, Christine Angot note : « Toujours m'appuyer sur des choses annexes, faire des rapprochements, depuis que j'écris, il y a toujours eu d'autres voix, d'autres textes, d'autres choses, un autre angle sous lequel j'essaie de me montrer[16]. » De fait, la plupart de ses œuvres sont le produit d'un processus de réécriture et de citations d'autres livres - emprunts explicites ou cachés au lecteur.

On évoquera, en premier lieu, la réécriture de l'incipit d'A l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie d'Hervé Guibert qui ouvre L'Inceste, ainsi que les nombreuses citations qui émaillent le texte. Quant à son roman suivant, Quitter la ville, il contient de nombreux emprunts (réécrits ou fidèles), à la pièce Œdipe, ainsi que des citations extraites de Cet amour-là de Yann Andréa, dernier compagnon de Marguerite Duras. En outre, le texte est largement composé de citations d'article de presse, de chroniques et critiques littéraires.

Christine Angot avoue aussi s'être servie des Cahiers de Vaslav Nijinski et du Livre noir élaboré par Ilya Ehrenbourg et Vassili Grossman (destiné à recueillir des témoignages et documents sur la Shoah), afin de rédiger son ouvrage Les Autres. Quant à Léonore, toujours, le texte évoque Sexus d'Henry Miller et L'Usage de la vie mentionne quant à lui des liens avec C'était tout une vie de François Bon[14]. En outre, Interview contient une citation voilée du chanteur Dominique A.

L'exercice de l'emprunt et de la réécriture est par ailleurs abordé frontalement dans Léonore, toujours ou l'auteur propose au lecteur un poème qu'elle aurait rédigé pour sa fille avant d'avouer, quelques pages plus tard, l'avoir simplement recopié à partir d'un recueil.

Réception critique

Les premiers textes d'Angot eurent une faible résonance médiatique, comme l'auteur l'écrit dans L'Usage de la vie lorsqu'elle évoque cette période passée à « vendre [son] rien » (elle confesse que les ventes de ses trois premiers ouvrages n'ont jamais dépassé les 500 exemplaires).

C'est plus particulièrement en 1999, avec la publication de L'Inceste, qu'elle devient une des figures majeures et médiatiques de la nouvelle scène littéraire française. Controversée, se révélant parfois pythique voire radicale, Christine Angot défraya alors la chronique littéraire. Qualifiée par les uns d'« écrivain provocateur et histrionique[17] » auteur d'une œuvre racoleuse « rédigée dans un style brouillon[18] », L'Inceste fut qualifiée par d'autres (Les Inrockuptibles, Libération, Le Monde des livres) d'œuvre au modernisme certain, à l'écriture et au style acérés et aux qualités littéraires indéniables. L'Inceste se vendra à près de 50 000 exemplaires.

Par la suite, la réception de ses textes se fait toujours dans une profonde dichotomie, entre critiques élogieuses et critiques négatives.

Lors de la publication de son roman Les Désaxés, la revue Lire se demande : « Faut-il lire Angot ? »[19]. Dès lors, si la critique littéraire note que « la romancière reste unique, seule aujourd'hui à être reconnaissable dès les premières lignes », elle souligne aussi que Christine Angot « a épuisé son sujet dès les vingt premières lignes [et que] les pages, répétitives, se suivent alors sans le moindre rythme, à peine heurtées par quelques clichés sur le monde du cinéma et de nombreuses marques d'élégance (“vie de merde”, “grosse vache”, “pisse-copie”, etc.) ».

Il en est de même, pour illustration, de son livre Le Marché des amants, considéré par Benjamin Berton, critique littéraire, comme « le meilleur de l’auteur », mais qui souligne aussi que le livre est « le plus ridicule que vous pourrez jamais lire si vous aimez, disons, la littérature d'ambition, la littérature d'aventure, la littérature qui raconte des histoires amples, historiques ou dramatiques », avant de conclure, à propos de Christine Angot : « C'est une tragédienne magnifique et affligeante[20]. »

Prix

Œuvres

Romans et récits

Monographie

Recueil

Textes

  • « Nous sommes tous des Jean-Marie Le Pen[21] », Les Inrockuptibles, semaine du 27 octobre au 2 novembre 1999.
  • « La Page noire », Libération, 6 novembre 1999.
  • « Sujet : l'amour », L'Infini, n° 68, 1999.
  • « Les Naturistes », Le Sexe, collectif, La Découverte, coll. « Les français peints par eux-mêmes », 2003.
  • « Plexus, solaire », portrait de BHL, Le Point, n° 1951, 4 février 2010.
  • « La Carte chance[22] », Télérama, n° 3181, 2011.
  • « Essayez de vous souvenir[23] », Next, supplément du journal Libération, 5 mars 2011.
  • « Ce qui m'est reproché », site officiel de l'auteur, 2011.
  • « Le Problème de DSK avec nous[24] », Libération, 24 mai 2011 : ce texte de Christine Angot n'est pas sans rappeler la tribune « Sublime, forcément sublime Christine V. » de Marguerite Duras, lors de l'affaire Grégory, elle aussi très médiatique[25],[26],[27].
  • « Van Gogh - Le Suicidé de la société », Le Monde, 2 juin 2011.

De nombreux textes ont été publiés dans le magazine Epok, lorsque l'auteur y tenait une chronique : « Le mot d'Angot ».

Théâtre

Audios

Vidéos

Études sur l'œuvre de Christine Angot

  • Claude Burgelin, « Donner son corps à la littérature ? Brèves remarques sur l'écrivain et son image en l'an 2000 », dans Portraits de l'écrivain contemporain, éditions Champ Vallon, 2003.
  • Jeannette Den Toonder, « L'autoreprésentation dans une époque massmédiatisée : le cas Angot », dans Territoires et terres d'histoires : perspectives, horizons, jardins secrets dans la littérature française d'aujourd'hui, éditions Rodopi, coll. « Faux titre », 2005.
  • Eva Domeneghini, « Impression sur l'œuvre de Christine Angot », La Revue des ressources, 3 juillet 2002.
  • John Faerber, « Le bruissement d'elles ou le questionnement identitaires dans l'œuvre de Christine Angot », dans Nouvelles écrivaines : nouvelles voix ?, éditions Rodopi, coll. « Faux titre », 2002.
  • Éric Fassin, « Le Double “Je” de Christine Angot. Sociologie du pacte autobiographique », Le Sexe politique. Genre et sexualité au miroir transatlantique, Éditions EHESS, coll. « Cas de figure », 2009.
  • Pierre Jourde, « 140 000 francs pour Christine Angot », La Littérature sans estomac, L'Esprit des péninsules, 2002.
  • Éric Naulleau, « Christine Angot », Le Jourde et Naulleau. Précis de littérature du XXIe siècle, Mot et Cie, 2004.
  • Anne-Marie Picard-Drillien, « L'intime livré au danger : la solution onirique de Christine Angot », dans Intimité, Presses Universitaires Blaise Pascal, 2005.
  • (en) Marion Sadou, « Christine Angot's autofiction : literature and/or reality? », dans Women's writing in contemporary France : news writers, new literatures in the 90's, Manchester University Press, 2002.

Annexes

  • Frédéric Beigbeder pastiche le style de Christine Angot, en 2000, dans un texte intitulé « Quitter Lavil », en référence au roman Quitter la ville[28].
  • Christine Angot est le personnage principal d'un roman de Frédéric Andrau intitulé Quelques jours avec Christine A., paru en 2008 chez Plon.

Sources

Sources biographie et citations :

Voir aussi

Lien interne

  • Catégorie:Œuvre de Christine Angot

Liens externes

Notes et références

  1. Le premier ouvrage, Vu du ciel, s'est vendu à 1500 exemplaires, quant Not to be et Léonore, toujours, 800 exemplaires chacun. (source : Christine Angot, L'Usage de la vie, Fayard, 1998, p. 31)
  2. Selon les chiffres annoncés par Christine Angot dans Quitter la ville et selon les déclarations de Jean-Marc Roberts dans le magazine Lire, n° 384, avril 2010
  3. Article sur les agents et transferts littéraires sur La Fabrique du livre, 2008.
  4. Article sur Buzz... littéraire
  5. « Christine Angot attaquée par l'un de ses personnage », blog de Pierre Assouline, 18 février 2011.
  6. Pierre Assouline, « Christine Angot face à la révolte de ses personnages », Le Monde des livres, 18 février 2011.
  7. « Angot, Millet : deux enquêtes sur l'amour », Le Monde des livres, 28 août 2008 ; modifié le 29 août 2011.
  8. « Je ne suis pas quelqu'un qui écrit quelque chose, je suis quelqu'un qui écrit [...] J'écris MOI, mais ce n'est pas même chose que de dire “je raconte MOI” » Interview dans l'émission Tout le monde en parle de Thierry Ardisson.
  9. Ibid.
  10. Christine Angot, L'Usage de la vie, Paris, Mille et une nuits, 1999, p. 21, 26.
  11. Déclaration dans Libération, 29 juin 1999.
  12. Christine Angot, Rendez-vous, Paris, Flammarion, 2006.
  13. « ANGOT, Christine (écrivain) », Autofiction, 1er novembre 2008.
  14. a, b, c, d, e et f « Bibliothèque utilitaire », Le Matricule des anges, no 21, novembre-décembre 1997.
  15. « “Merde à la dictature du Vrai roman” par Guillaume Dustan (extrait de Nicolas Pages) », buzz-litteraire.com, 7 mai 2007.
  16. Christine Angot, L'Inceste, Paris, Stock, 1999, quatrième de couverture.
  17. Jacques Pierre Amette, « Christine Angot : bluff médiatique ou chef-d'œuvre ? », Le Point, 10 septembre 1999.
  18. Éric Naulleau, « Christine Angot », Le Jourde et Naulleau. Précis de littérature du XXIe siècle, Paris, Mot et Cie, 2004.
  19. « Critique. Faut-il lire Angot ? », Lire, 1er septembre 2004.
  20. « Christine et les garçons », fluctuat.net.
  21. (fr) Christine Angot, « Nous sommes tous des Jean-Marie Le Pen » sur eva.domeneghini.free.fr. Consulté le 14 juillet 2011
  22. (fr) Christine Angot, « La Carte chance » sur Christine Angot.com. Consulté le 14 juillet 2011
  23. (fr) Christine Angot, « Essayez de vous souvenir » sur Christine Angot.com. Consulté le 14 juillet 2011
  24. (fr) Christine Angot, « Le Problème de DSK avec nous » sur Christine Angot.com. Consulté le 14 juillet 2011
  25. (fr) Jérôme Garcin, « Tendance – Christine Angot, forcément sublime », biblionouvelobs.com, 11 juin 2011.
  26. « Affaire DSK : ce qu'en pense Angot (et les autres) », Fluctuat.net, 24 mai 2011.
  27. « Écrivains et faits divers », France Culture, 9 juin 2011.
  28. (fr) Frédéric Beigbeder, « Christine Angot pastichée par Frédéric Beigbeder, Quitter Lavil (2000) » sur Style : mode d'emploi.fr. Consulté le 17 juillet 2011

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