Château de Bagatelle (Seine)

Château de Bagatelle (Seine)
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Château de Bagatelle
Image illustrative de l'article Château de Bagatelle (Seine)
Le château de Bagatelle vu du jardin à l'anglaise
Type Pavillon de chasse
Architecte François-Joseph Bélanger
Coordonnées 48° 52′ 18″ N 2° 14′ 50″ E / 48.8717439, 2.247272748° 52′ 18″ Nord
       2° 14′ 50″ Est
/ 48.8717439, 2.2472727
  
Pays Drapeau de France France
Commune Paris

Géolocalisation sur la carte : Paris

(Voir situation sur carte : Paris)
Château de Bagatelle

Le château de Bagatelle est un pavillon de chasse construit dans le bois de Boulogne à Paris pour le comte d'Artois.

Sommaire

Historique

En 1775, Charles-Philippe, comte d'Artois et futur roi Charles X en 1824, frère de Louis XVI, acquiert du prince de Chimay une petite propriété dans le bois de Boulogne, comportant un pavillon construit vers 1720 par Pierre Mouret pour le maréchal d'Estrées, qui avait été un lieu de libertinage bien connu, d'où le surnom de "Babiole" ou "Bagatelle" qui lui avait été donné.

Ces mots désignent au XVIIIe siècle une chose frivole ou de peu de valeur, donc négligeable; ainsi les deux petits pavillons édifiés pour la marquise de Pompadour dans le parc du château de Bellevue portaient l'un ce nom, l'autre celui de "Brimborion", autre synonyme; selon d'autre auteurs, le mot bagatelle serait la transcription française de l'italien bagatella, tour de bateleur (Ernest de Ganay, Châteaux de l'Île-de-France, Fréal, 1939).

Deux autres demeures françaises du même siècle portent ce nom, l'une en Bretagne, qui aurait remplacé un rendez-vous-de chasse des princes de Léon, l'autre dans la Somme, qui fut vers 1750 un petit pavillon de trois pièces où un manufacturier pouvait recevoir ses clients.

Une célèbre folie néo-palladienne

La façade du château de Bagatelle, donnant sur la cour d'honneur

Selon les Mémoires secrets pour servir à la République des Lettres de Louis Petit de Bachaumont (à la date du 22 octobre 1777), le comte d'Artois, 22 ans, paria un million de livres avec sa belle-sœur de 20 ans Marie-Antoinette, contre une résidence neuve construite en deux mois.

Commencé le 21 septembre 1777, le chantier qui employa pendant 64 jours et nuits près de 900 ouvriers - et aurait même nécessité la confiscation sur ordre de matériaux passant à proximité ! - fut achevé à temps pour l'inauguration le 26 novembre...ayant finalement coûté le triple du montant du pari.

C'est l'architecte François-Joseph Bélanger, premier architecte du comte d'Artois depuis mars 1777, qui dirigea la construction après avoir l'avoir dessinée ainsi que son décor intérieur, dû aux sculpteurs-ornemanistes Lhuillier et Dugourc, comprenant une chambre en forme de tente militaire et un « boudoir revêtu de miroirs et de panneaux peints », son mobilier ; les travaux ne furent toutefois achevés qu'en 1786 et on grava sur son fronton ces mots latins Parva sed apta (petite mais bien conçue).

Son mobilier fut exécuté par les ébénistes George Jacob et Boulard, qui avait livré huit marquises et un fauteuil du roi en noyer sculpté et doré, disposés en 1778 dans le salon en rotonde sur le parc (Eisner, op.cit p.93).

Une des maîtresses du prince, Rosalie Duthé, de l'Opéra, légère et souvent "court vêtue", aurait prêté ses traits à l'une des deux sphinges en marbre ornant la façade sur jardin (idem., p.92).

Le célèbre architecte-paysagiste écossais Thomas Blaikie réalisera sur quinze hectares des jardins dans le genre anglo-chinois d'où la description qu'en fit en 1787 un magistrat nancéien visitant le domaine :

« (...) Bagatelle, maison de plaisance du comte d'Artois. Les jardins sont dessinés à l'anglaise, et renferment des rochers, des grottes avec des eaux jaillissantes, des forêts, des prairies, des déserts, une montagne, un lac, une rivière et une cascade, le tout imitant péniblement la nature. Ce qui est étonnant c'est qu'en parcourant toutes les parties du jardin, on tourne autour du pavillon sans l'apercevoir, quoiqu'il soit considérable (...). Le prince occupe le pavillon du fond, dont la pièce principale est un salon octogone surmonté d'un dôme; les décorations ne sont qu'en plâtre, mais sont travaillées avec un très grand art; les divers appartements sont petits et meublés avec simplicité; une propreté minutieuse règne partout ».

Francois Cognel (1762-1844), La vie parisienne sous Louis XVI (1882, pp 31 et 32).


Pendant la Révolution française, il servit à des fêtes champêtres. Il fut acquis par Napoléon Ier pour servir de résidence à son fils unique, le Roi de Rome, revint à la Restauration au duc de Berry, puis à son fils le jeune duc de Bordeaux et futur comte de Chambord.

L'orangerie et les jardins

L'écrin raffiné d'une collection unique

En 1835 ou 1837 le domaine fut vendu pour 300 000 francs à un des hommes les plus riches d'Angleterre, Francis Charles Seymour (1772-1842), 3emarquis d'Hertford dit le comte de Yarmouth, vice-chambellan de la maison royale de 1812 à 1821, conseiller artistique du Prince-Régent, futur roi Georges IV, pour le compte duquel, servi par des circonstances économiques favorables, il put acquérir entre autres une quarantaine de tableaux de grands maîtres hollandais et flamands (collection royale anglaise); à cette époque furent édifiés l'orangerie, la grille de l'entrée d'honneur et les écuries.

Il passa ensuite à son fils, Richard Seymour Conway (1800-1870) qui, élevé en France, avait acquit en 1829 un hôtel particulier à Paris, 2, rue Laffitte, où il accrut considérablement la déjà très importante collection familiale de tableaux, meubles, pendules et porcelaines "montées" et autres objets rares du XVIIIe siècle français.

Célibataire et ami du couple impérial, le 4e marquis avait créé à Bagatelle un manège pour les leçons d'équitation du prince impérial, suivies par sa mère du kiosque chinois; vers 1895, la très jeune Pauline de Broglie (1888-1972) découvrit dans une remise à outils "un fauteuil délabré et tout rongé de vers, orné d'une aigle couronnée", qui pouvait être celui où prenait place l'impératrice, qui y apprit de Napoléon III la déclaration de guerre à la Prusse (été 1870).

Une photographie montre le 4ème marquis assis sur une terrasse du château en compagnie de "Madame Oger" (Suzanne Louise Bréart), en face de Richard Wallace ( Wallace collection, reprod. ds James Stourton "Petits musées, grandes collections" Scala, 2003 ).

Une photographie prise à l'époque de lord Hertford montre la façade d'entrée surmontée d'un importante marquise en fonte (?) et verre qui fut supprimée ensuite (reprod. ds Montebianco, op. cit. p.17).

Il y mourut peu de temps après la chute du régime, ayant transmis le marquisat à un cousin au second degré et, à la surprise générale, sa fortune et ses immenses biens fonciers anglais et irlandais à un employé personnel de sa mère devenu ensuite son secrétaire, infirmier et prétendu fils adoptif, Richard Jackson (1818-1890) dit Wallace, qui aurait su capter cet énorme patrimoine en falsifiant le testament du marquis, selon l'historienne d'art Lydie Perreau[1].

Transformation bourgeoise d'un "pavillon de plaisir" princier

Selon Eisner (op. cit. p.96) c'est lord Herford qui vers 1862 aurait surélevé par un dôme assez lourd le pavillon originel, modification attribuée à Wallace par Montebianco (op. cit. p.71); le domaine ayant souffert de la présence de l'armée prussienne en 1870, celui-ci y fit faire d'importants travaux : modification du porche, démolition du Pavillon des Pages, construction, pour son fils unique ou pour abriter ses collections (Eisner, idem.) du bâtiment appelé Le Trianon; dateraient aussi de cette époque les deux pavillons de gardiens symétriques et les terrasses.

Après avoir considérablement augmenté, en quantité sinon en qualité, la collection des marquis d'Hertford par l'achat à haut prix de très importantes collections particulières, notamment d'armes anciennes et d'objets d'art médiéval et Renaissance, et en avoir transféré au printemps 1872 la majeure partie à Hertford House louée et agrandie pour ce faire, Wallace, fait baronnet par la reine en 1871, s'y installa et y vécut jusqu'en 1887, à la mort de son fils, pour revenir seul en France sans sortir de Bagatelle, y conviant des personnalités sans assister aux repas mais qui, aux dires de lord Warwick, les observait par une ouverture circulaire aménagée dans un mur ( cité par Montebianco, op. cit., p.77).

Trois ans plus tard il mourait à Bagatelle, sans avoir déterminé le devenir de la collection, selon Montebianco, ou selon d'autres ayant testé en faveur de sa vieille compagne française Julie Amélie Charlotte Castelnau (1819-1897), épousée en 1871, qui hérita de tous ses biens anglais et français.


Une dame de l'aristocratie française se souvient avoir joué dans le parc vers 1895 :

"Bagatelle en ce temps-là était bien différent du parc public qu'il est devenu depuis. Sir Richard Wallace était mort et Lady Wallace, bien que française et n'ayant jamais appris à parler anglais, délaissait Bagatelle et n'y venait que très rarement. La propriété était jalousement fermée et nous partagions avec les Greffulhe et les d'Arenberg le privilège unique d'y entrer librement (...) Les jardins, les pelouses, les bosquets étaient remplis de statues. Diane chasseresse, Vénus au bain et le Faune cymbalier protégeaient nos jeux (...) Dans les nombreuses pièces d'eau les amours chevauchaient les dauphins et des crapauds fantastiques effrayaient les cygnes et les poissons rouges en vomissant des torrents d'eau (...) Dans une grotte artificielle, un éphèbe tout nu, de grandeur nature, retirait une épine de son pied. Des vases surmontés de dragons ailés ou de sphinx à têtes de femmes ornaient les carrefours. Des colonnes de marbre rose et des obélisques antiques se dressaient au milieu des prairies. Devant l'orangerie, sur la pelouse transformée aujourd'hui en roseraie, se trouvait une piste circulaire où le prince impérial avait appris à monter à cheval (...) Tout au fond du parc se trouvait le cimetière des chiens. Des colonnes brisées, des urnes paiennes (...) Bien que toujours inhabité, le domaine était très bien tenu, comme si les propriétaires étaient attendus à tout moment. Un jardinier en chef et une trentaine d'ouvriers suffisaient à peine à ce coûteux entretien (...). Un marbre noir du plus grand prix, Le Discobole, avait été volé (...) Il fut retrouvé le nez dans la fange d'un fossé du bois de Boulogne. Le régisseur se borna à faire murer les petites portes du parc et à installer des veilleurs de nuit dans des logettes (...) Un jour de printemps (1894 ?), je vis une de premières pétrolettes de la marque de Dion faire ses essais".

Comtesse Jean de Pange, née Laure Marie Pauline de Broglie, "Comment j'ai vu 1900" ( Grasset,1968, pp .33 à 37).


Nouvelle détentrice à 72 ans d'une fortune et d'une fabuleuse collection d'art, Lady Wallace légua en 1894 d'une part à la nation anglaise près de 5 500 meubles, tableaux et objets d'art - dont les plus importantes séries de meubles de Boulle et de porcelaines de Sèvres connues - à la condition qu'elle prit le nom de son défunt mari (le musée, qui comporte 25 galeries, ouvrit en 1900) d'autre part à son secrétaire et homme de confiance, sir John Murray Scott (1847-1912), la somme d'un million de livres, l'appartement parisien, Bagatelle, un domaine irlandais et...leur fabuleux contenu.

Vol de Santos-Dumont le 9 mai 1903 dans le parc de Bagatelle

Un domaine délaissé puis menacé de disparition

"Seery (John Murray Scott) avait une autre maison à Paris, dans le Bois. C'était un bijou, construit pour Marie-Antoinette, nichée au fond d'un jardin genre jardin anglais. La maison était vide, mais nous y allions pour pique-niquer".

Victoria-Mary Sackville-West (1898-1962) dite Vita, dans Portrait d'un mariage - journal publié par son fils Nigel Nicolson (Stock, 1974, p. 30 et suiv.).

En effet s'il loua la plus grande partie de l'hôtel parisien des Hertford (1 324 m²) en s'en réservant un grand appartement comme "pied-à-terre", Scott vida Bagatelle de son riche mobilier et de ses nombreux ornements extérieurs - dont plusieurs statues de parc censées provenir du château de Bercy, démoli en 1861 - le négligea, puis voulut lotir son parc de 80 hectares, projet qui fut empêché par la vente à la Ville de Paris pour 6 millions de francs - ou 6,5 millions selon les sources - en 1904; huit ans plus tard il mourait à Hertford House ayant légué ce qui lui restait des immenses biens Hertford-Wallace à son amie intime Victoria Sackville-West (1862-1936), qui préleva certains éléments pour le château de Knole avant de vendre en 1914 le contenu du mythique appartement-musée parisien estimé à 350 000 livres, au grand antiquaire Jacques Seligmann qui, sans l'avoir vu, dit-on le paya "de réputation" 270 000 livres et le dispersa.

Parmi les épaves de ce naufrage organisé sont encore visibles à Paris les deux tableaux de Guardi, les deux paravents XVIIIe et le mobilier de salon Louis XVI de George Jacob du riche musée Nissim de Camondo ; d'autres pièces ayant intégré la collection George Blumenthal, vendue à Paris en décembre 1932, comme ces quatre fauteuils en bois doré attribuables à Sené, et une rare paire de flambeaux "en carquois" (vers 1780) ont réapparu lors d'une vente aux enchères publiques le 14 décembre 2005 à l'Hôtel Drouot.

L'écrivain Paul Morand, jeune attaché d'ambassade à Londres en 1916, se souvenait avoir aperçu des meubles de la collection dans la maison londonienne de lady Sackville.

Une lente renaissance

"Si les jardins et la roseraie furent bien tenus, le pavillon, privé de tout entretien, ne cessa de se dégrader. Faute de surveillance, des cheminées disparurent encore au début des années 1970. Un nouveau départ est donné en 1977 quand Mme Jacqueline Nebout, adjoint au maire de Paris, reçoit la "Délégation à l'environnement et aux parcs et espaces verts de la capitale". En dix ans, son budget sera multiplié par dix et les travaux de restauration extérieure et intérieure ont absorbé plus de trois millions de francs depuis 1984" (Eisner, op. cit. p. 92).

Mme Nebout, attachée au souvenir de Napoléon III, présida l'association des "Amis du parc et du château de Bagatelle".

Du 18 juin au 14 juillet 1988 fut tenté un remeublement temporaire dans son état état fin XVIIIe dans un décor conçu par le décorateur Jacques Grange, grâce à l'association inédite de conservateurs de musées nationaux eu du Mobilier National et de six grands antiquaires parisiens ayant prêté entre autres meubles rares douze sièges de J.B. II Lelarge provenant d'un salon de la comtesse d'Artois au château de Saint-Cloud et une commode de Joseph Baumhauer ayant appartenu au marquis de Marigny ; à l'issue de cette présentation, ils offrirent au château la paire de faunesses en bronze qui ornaient les montants de la cheminée en marbre de la salle à manger... et en avaient été retirés, comme le montre une photo illustrant un article sur la demeure paru dans un Connaissance des Arts des années 1980 (paire similaire attribuée à Gouthière à la Frick collection, New York).

Un retour inespéré

Plusieurs des statues de Bagatelle provenant du château de Bercy, vendues vers 1900 au notaire parisien Gustave Gatine pour décorer son château normand de Bonnemare, ont été restituées au domaine par ses héritiers, après en avoir fait réaliser des copies pour les remplacer ( Châteaux de Normandie, vol. 2, hors-série de la revue Maisons Normandes, s.d., p. 138 à 149).

Eisner espérait en 1988 le retour au château de dix panneaux peints par Callet pouvant en provenir et qui avaient été repérés dix ans plus tôt "dans un château du Vendômois" (op. cit p.93).

Le bâtiment, à l'exception des bâtiments annexes, a été classé monuments historiques par un arrêté du 31 janvier 1978[2]. En 1988, 35 jardiniers y étaient employés.

Voir aussi

Bibliographie et documents

  • Francois Cognel, La Vie parisienne sous Louis XVI (Calmann-Lévy, Paris, 1882);
  • Souvenir de Bagatelle - texte français et anglais, album en deux formats différents de douze cartes postales de vues des extérieurs du château animées de quelques promeneurs et de plusieurs fabriques du parc, dont "Le Grand Rocher" (vestige des créations de Blaikie ?), des édicules de style néo-gothique, et de la célèbre roseraie créée en 1905 par Nicolas Forestier sur l'emplacement du manège du prince impérial, ornée d'un grand groupe cynégétique en bronze (ND.Phot. s.l.n.d. - archives pers.), très connue par de prestigieux concours annuels, et comptant sur un hectare 6 500 sujets en 1988;
  • Album de photographies du XIXe siècle relié au chiffre des Hertford, contenant une série de vues de Bagatelle meublé (vendu à l'Hôtel Drouot vers 1990 ; deux vues reprod. dans Montebianco, op. cit., p. 17);
  • Jacques Hillairet, Connaissance du vieux Paris ( 1965, p. 536 et 537);
  • Maurice Eisner, « Bagatelle, Un moment de perfection », Spectacle du Monde, no 307, août 1988, p. 92 à 96);
  • Pierre Cabanne, Les grands collectionneurs (Les Éditions de l'Art, 2003);
  • Roland Montebianco, Sir Richard Wallace, cet illustre inconnu (éditions Didier Carpentier, 2007).

Expositions

  • Exposition Hommage à Richard Wallace (Trianon de Bagatelle, du 7 octobre au 1er novembre 1988).

Références

Articles connexes


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