Contraception d'urgence

Contraception d'urgence

La contraception d’urgence[1] ou contraception post-coïtale, encore appelée contraception du lendemain (communément dénommée pilule du lendemain)[2], se définit comme les méthodes contraceptives qu’une femme peut utiliser pour prévenir la survenue d’une grossesse après un rapport non protégé (RNP)[3],[4].

En contraception d'urgence, deux méthodes peuvent être utilisées pour prévenir la survenue d'une grossesse après un rapport sexuel non protégé :

Le DIU au cuivre posé en période pré-ovulatoire est la méthode la plus efficace en cas de rapport non protégé, son efficacité semble presque absolue (1 échec sur 1300 insertions)[5].

La contraception d’urgence hormonale (par progestatif seul) n’est pas efficace à 100% et est d’autant plus efficace qu’elle est débutée plus précocement après le rapport non protégé. L’utilisation opportuniste et répétitive de cette méthode en tant que méthode contraceptive est nettement moins efficace qu’une méthode continue[3]. Ainsi elle n'est pas considérée comme un substitut à une méthode contraceptive régulière.

Parmi les alternatives hormonales disponibles en France, il est recommandé d’utiliser la méthode par progestatif seul (Norlevo®/Vikela®), plutôt que la méthode œstroprogestative de Yuzpe[6]. La contraception d’urgence par progestatif seul est en effet plus efficace que la méthode de Yuzpe (niveau de preuve 1) et présente moins d’effets secondaires (niveau de preuve 1). Elle ne présente aucune contre-indication. Elle est inefficace en cas de grossesse débutante.

Sommaire

Indications de la contraception d'urgence

La contraception d'urgence est indiquée en cas de survenue d’une grossesse après un rapport non protégé (RNP) [7] :

  • échec ou défaut du moyen de contraception habituellement utilisé :
  • ou encore :
    • grossesse non désirée chez la femme n'utilisant habituellement pas de moyens de contraception ;
    • viol.

La méthode mécanique

C'est Lippes en 1976 qui, le premier, a proposé la pose d'un DIU au cuivre en contraception d'urgence[8]. Il peut être inséré jusqu'à 5 jours après la date supposée d'ovulation. De nombreuses études ont été publiées depuis, confirmant l'efficacité méthode mécanique en contraception d’urgence[9]. Cette méthode a l'intérêt en plus d'assurer une contraception au long cours.

La contraception d'urgence hormonale

Historique

Dans les années 60 de fortes doses d'œstrogènes avaient été utilisées, jusqu'à la popularisation de la méthode de Yuzpe qui consiste à administrer 2 doses à 12 heures d'intervalle, dans les 72 heures suivant un rapport non protégé, de 100 mcg d'éthinyl œstradiol associés à 500 mcg de lévonorgestrel (Stédiril® 2cp x 2), commercialisée temporairement en France sous le nom de Tétragynon® (1998)[6]. Cette première contraception d'urgence a été retirée du marché du fait de ses risques et de sa moindre efficacité au regard du lévonorgestrel.

Dans les années 80, le lévonorgestrel (Norlevo® dont la mise sur le marché français date d'avril 1999) fait son entrée dans cette indication à 0,6 mg dans les 12 heures suivant le rapport non protégé (ce qui correspond en pratique à 20 comprimés de Microval®).

Dans les années 90, l’administration de 2 doses de 0,75 mg de lévonorgestrel à 12 heures d'intervalle montre une efficacité identique avec moins d'effets secondaires comparée à la méthode de Yuzpe[10].

On note alors que l'efficacité des deux méthodes baisse avec le temps ; le taux d'échec et donc de grossesse passe de 0,4 % à 1,2 % puis 2,7 % par tranche de 24 heures. La limite des 72 heures si vite dépassée dans l'urgence, constitue alors la limite de cette méthode[11].

Le Lévonorgestrel

Le Norlevo® ne contenant qu'un progestatif, ne présentant donc pas de contre-indication, a pu ainsi être proposé sans ordonnance.

D'abord utilisé à raison de 2 prises à 12 heures d'intervalle, le Norlevo® 1,5 mg se prend en une seule prise unique depuis novembre 2004. Sa disponibilité et gratuité, alliée à sa confidentialité (décret 2002- 39 du 9 juillet 2002) ont été très attractives pour les jeunes femmes mineures.

Depuis août 2001, sa prescription médicale en permet le remboursement à hauteur de 65 % pour toutes les femmes. Il s'en est vendu en France 1,255 million de boîtes en 2009[3].

Mode d'action du lévonorgestrel

La contraception d'urgence par le lévonorgestrel retarde l'ovulation (ou la perturbe lorsqu'elle est sur le point de se produire), mais elle ne la stoppe pas lorsqu'elle est commencée, c'est-à-dire lors du pic de LH. Il est donc important de prescrire cette contraception d'urgence très rapidement, voire avant l'ovulation dont la date n'est pas fixe. Le lévonorgestrel aurait aussi un effet sur la mobilité des spermatozoïdes et leur pouvoir fécondant. En revanche, il ne rend pas l'endomètre impropre à la nidation[11]. En revanche, si le rapport sexuel a eu lieu dans les heures ou jours précédant l'ovulation, elle peut bloquer l'ovulation, empêchant la fécondation: dans ce cas, son action ne diffère pas véritablement de la pilule ordinaire. En revanche, elle est inefficace dès lors que le processus d'implantation a commencé[7]. Les recommandations de 2008 conviennent de ne pas dépasser le délai indiqué[3].

Il a été démontré que la pilule du lendemain n'a pas d'action sur l'endomètre et qu'elle ne provoque pas d'avortement[12].

L'efficacité du lévonorgestrel

L'OMS donne un taux de succès qui change suivant le moment de la prise de la contraception d'urgence[7]. L'efficacité est de 95% si elle est prise dans les 24 heures qui suivent le rapport non protégé, de 85% dans les 24 à 48 heures, de 63% dans les 49 à 72 heures, 58% dans les 72 à 120 heures[13]. L'efficacité de cette contraception d'urgence diminue donc rapidement avec le temps, d'où l'importance d'une prise la plus proche possible du RNP. Le lévonorgestrel n'est plus indiqué au delà du 3e jour[5].

Protocoles d'utilisation

La contraception hormonale d'urgence peut être pratiquée selon deux protocoles :

  • La version originale (dite « méthode de Yuzpe » ou « méthode 2x2 ») implique de hautes doses d'œstrogènes (0,1 mg) et de progestatif (0,5 mg) administrées en deux fois à 12 heures d'intervalle. Cette posologie représente l'équivalent deux doses de trois à cinq pilules contraceptives habituelles. Du fait de l'importance de ses effets secondaires, cette méthode n'est pratiquement plus utilisée depuis l'apparition de la méthode suivante[14].
  • La méthode avec progestatif seul utilise une dose de 1,5 mg d'un progestatif, le lévonorgestrel (Norlevo® et Postinor® dans les pays francophones et en Europe de l'Est ; Levonelle®, Plan B® dans les pays anglophones). Cette méthode est connue pour être entre 95 et 60 % plus efficace et mieux tolérée selon le délai d'administration que la méthode Yuzpe.

Il existe par ailleurs une autre méthode de contraception d'urgence : la pose d'un stérilet (ou dispositif intra-utérin) dans les cinq jours qui suivent le rapport sexuel. Cette méthode montre une efficacité importante avec un taux d'échec de 0,1 à 0,2% sur un échantillon de 8300 femmes[15].

Contre-Indications et Effets secondaires

Il n'y a aucune contre-indication absolue[5]. La contre-indication est une hypersensibilité au levonorgestrel ou à un des excipients.

Après la prise de lévonorgestrel, les règles surviennent généralement à la date prévue. Tout retard des règles de plus de 5 jours, ou des règles anormales doivent faire pratiquer un test de grossesse[11]. La tolérance du lévonorgestrel est bonne. Rappelons que c'est son excellente tolérance qui avait permis sa mise en vente libre en 1999.

Les effets secondaires du lévonorgestrel se manifestent principalement par des métrorragies ou ménorragies, des nausées (23%), des vomissements, des douleurs abdominales et plus rarement vertiges, asthénie, céphalées[5].

En cas de vomissements dans les trois heures suivant la prise du comprimé, il est recommandé de reprendre un comprimé immédiatement. Il existe enfin des interactions médicamenteuses avec d'autres médicaments susceptibles de diminuer l'efficacité du contraceptif.

Plusieurs prises au cours d'un même cycle menstruel peuvent provoquer des perturbations importantes du cycle ou des saignements anormaux mais sans gravité.

Cette méthode contraceptive n'est pas considérée comme un moyen de contraception habituel, mais seulement comme une éventualité d'urgence.

Les effets secondaires ou indésirables ou encore le climat d'urgence de cette méthode peuvent favoriser un stress.

Modalités de dispensation

Le lévonorgestrel est disponible sans prescription dans les pays suivants : Afrique du Sud, Albanie, Algérie, Angleterre, Belgique, Canada (Québec), Danemark, Finlande, France, Grèce, Islande, Israël, Maroc, Mexique, Pays-Bas, Norvège, Portugal, Slovaquie, Suède, Suisse, Tunisie, Taïwan, Cambodge, Thaïlande, et depuis le 22 avril 2009 aux États-Unis pour les femmes de plus de 17 ans.

En France, la loi[16] impose aux pharmacies la délivrance gratuite de la pilule du lendemain aux femmes mineures, sans vérification de leur identité (anonymat). Elle peut également être administrée aux élèves de l'enseignement secondaire par les infirmières scolaires et peut être délivrée gratuitement par les planning familiaux. Pour toutes les femmes, le médicament est remboursé à 65 % par la sécurité Sociale lorsqu'il est prescrit par un médecin ou une sage-femme.

Au Québec, les médecins et les pharmaciens peuvent prescrire ce médicament (ils peuvent toutefois refuser de le faire pour des raisons personnelles et référer la patiente à un autre professionnel). Les frais de la consultation sont couverts par la Régie de l'Assurance-Maladie du Québec (RAMQ) dans les deux cas. Pour ce qui est du médicament, il est couvert par l'assurance (publique ou privée) de la patiente.

Dans le reste du Canada, depuis avril 2005, le Plan B est vendu sans ordonnance. Les modalités exactes de vente sont déterminées par les provinces.

Thérapeutique

Norlevo Lévonorgestrel® (comprimés dosé à 1,5mg) : 1cp en une prise unique (à répéter en cas de vomissements dans les 3 heures suivantes)[5].

Acétate d'ulipristal (UPA)

En 2009, a été lancé le premier SPRM (modulateurs sélectifs des récepteurs de la progestérone) dans cette indication de contraception d'urgence. Dans cette indication l'ulipristal acetate (UPA) est dosé à 30mg (EllaOne®)[5]. D'autres SPRM avaient été proposés comme le RU486. Cette pilule est remboursée mais nécessite une prescription par un médecin ou une sage-femme.

Mode d'action et efficacité

Les SPRM sont dépourvus d'effets métaboliques indésirables, notamment sur la glycémie, les lipides et la tension artérielle.

Leur mécanisme d'action essentiel est d'inhiber ou de retarder l'ovulation. Elle peut encore agir en période pré-ovulatoire quand le risque de fécondation est maximal

L'Acétate d'ulipristal est statistiquement supérieur au lévonorgestrel. L'UPA est 3 fois efficace s'il est pris dans les 24 premières heures après un RNP, 2 fois supérieur s'il est pris dans les 72 heures, et son efficacité est maintenue jusqu'à 5 jours après un RNP, ce qui correspond à la durée de vie maximale des spermatozoïdes dans les voies génitales féminines[17],[18].

Contre-Indications et Effets secondaires

La tolérance de l'UPA est comparable au lévonorgestrel.

Les seules contre-indications sont l'hypersensibilité aux constituants du médicament, et la grossesse existante ou supposée[5]. L'allaitement n'est pas recommandé pendant au moins 36 heures après une prise d'EllaOne®[11].

Thérapeutique

EllaOne Ulipristal acétate® (comprimés dosé à 30mg) : 1cp en une prise unique (à répéter sen cas d vomissements dans les 3 heures suivantes)[5].

La sous-utilisation de la contraception d'urgence

L'accès à la contraception d'urgence fait partie des objectifs de la politique de santé publique annexés à la loi du 9 août 2004 (Objectif n° 97).

Il n'y a que 10 % des femmes demandant une IVG qui ont utilisé une contraception d'urgence et seulement 11% des femmes potentiellement à risque de grossesse non désirée qui ont recourt à la contraception d'urgence. En septembre 2010 les pouvoirs publics françaises prennent la décision de rembourser la prescription d'EllaOne®.

Les motifs de non utilisation de la contraception d’urgence évoqués sont les suivants :

  • Pensait qu'il était trop tard pour la prendre
  • Ne savait pas où se la procurer
  • Trop chère
  • Ne connaissait pas suffisamment la méthode
  • Était gênée de la demander
  • Pensait que cela ne servait à rien
  • Pensait que la contraception d’urgence rendrait malade ou était contre-indiquée
  • Pensait que la contraception d’urgence provoquait un avortement

Il convient de lutter contre les idées fausses (risque tératogène si la grossesse est poursuivie, danger de la prise répétée, possibilité d'un effet abortif de la contraception d'urgence).

Polémiques et faits de société liés

Le 31 octobre 2000, lors d'un communiqué, l'Académie pontificale pour la vie s'oppose à l'usage de la pilule du lendemain, décrivant le caractère contragestatif (ou interceptif) de la pilule comme abortif[19]. Elle considère en effet que puisqu'en général la fécondation a eu lieu et que la pilule du lendemain empêche la nidation, il s'agit bien d'un avortement, le produit ayant empêché l'embryon (fruit de la fécondation) de poursuivre son développement en se fixant à l'endomètre.

En avril 2007, au Chili, le tribunal constitutionnel interdit la distribution gratuite et anonyme de la pilule du lendemain dans les centres de santé publique au titre que la méthode serait contraceptive, sur une requête présentée par 36 députés du parti de droite, Union démocrate indépendante. Cette mesure n'interdit en revanche pas l'usage et la prescription du médicament par un médecin[20].

En mai 2007, en Espagne, des médecins catalans ont réagi contre la distribution gratuite et anonyme de la pilule du lendemain conduisant selon eux à des dérives d'utilisation, notamment à l'emploi de cette méthode en guise de méthode de contraception régulière[21].

Notes et références

  1. Appellation reconnue par l'Organisation Mondiale de la Santé
  2. Aubény E. Contraception d'urgence. Rev. Prat., 2008; 58, 50-3.
  3. a, b, c et d La Haute Autorité de santé (HAS) (Anaes/ Afssaps/lnpes). Recommandations pour la pratique clinique. Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Décembre 2004.
  4. La prévention des grossesses non désirées : contraception et contraception d'urgence
  5. a, b, c, d, e, f, g et h Philippe Dorosz, Denis Vital Durand, Claire Le Jeunne, Guide pratique des médicaments 2011, Maloine, 2011, 30e édition (10 septembre 2010)e éd., 1892 p. (ISBN 978-2224032340), p. pages 924 & 936 
  6. a et b Yuzpe AA, Thurlow HJ, Ramzy I, Leyshon JI. Post coital contraception: a pilot study. J. Reprod. Med., 1974, 13, 53— 61.
  7. a, b et c Collectif, validation AFSSAPS, Le Dictionnaire VIDAL 2008, Paris, Éditions du Vidal, 2008 [présentation en ligne]  — Monographie de NORLEVO® (nom de la spécialité du lévonorgestrel commercialisée en France).
  8. Lippes J, Tatum HJ, Maulik D, Sielezny M. Postcoital copper IUDs. Adv. Plan. Parent., 1979, 14, 87-94.
  9. S Wu, EM Godfrey, et al. Cooper T380A intrauterine device for emergency contraception :a prospective, multicenter, cohort clinical trial. 28 mai 2010 bjog.org
  10. Ho & Kwan Ho PC, Kwan MSW. A prospective randomized comparison of levonorgestrel with the Yuzpe regimen in post-coital c,ontraception. Hum. Reprod., 1993, 8, 389-92.
  11. a, b, c et d Brigitte Letombe, Ismaël Nisand, « Contraception d’urgence », dans Preuves&Pratiques, no 54, décembre 2010 
  12. Organisation mondiale de la santé, « Lévonorgestrel et contraception d’urgence, aide-mémoire N°244 », Aide-mémoire, octobre 2005. Consulté le 27 août 2008
  13. Bientôt une pilule du surlendemain sur le marché. Sandrine Cabut. 08/09/2009. lefigaro.fr
  14. (fr) Comité de médecine de l'adolescence, Société canadienne de pédiatrie (SCP), « La contraception d’urgence ». Consulté le 27 août 2008
  15. Rédaction prescrire "Contraception postcoïtale par un dispositif intra-utérin" Rev prescrire 2009;29(304):p117
  16. Décret n° 2002-39 du 9 janvier 2002 relatif à la délivrance aux mineures des médicaments ayant pour but la contraception d'urgence — NOR : MESP0123909D
  17. Anna F Glasier, Sharon T Cameron, Paul M Fine, Susan J S Logan, William Casale, Jennifer Van Hom, Laszlo Sogor, Diana L Blithe, Bruno Scherrer, Henii Mathe, Arnelie Jaspart, Andre Ulmann, Erin Gainer. Ulipristal acetate versus levonorgestrel for emergency contraception: a randomised non-inferiority trial and meta-analysis Lancet, 2010, 375, 555-62.
  18. Vidal, Lancet 2009, Agence Européenne du Médicament
  19. (fr) Académie pontificale pour la vie, « COMMUNIQUÉ SUR LA "PILULE DU LENDEMAIN" », 31 octobre 2000. Consulté le 27 août 2008
  20. (fr) Jean Boulangé, pour le journal l'Humanité, « Décision arbitraire sur la « pilule du lendemain » », 7 avril 2008. Consulté le 27 août 2008
  21. (es) C. Fuencisla, « Los médicos catalanes frente a la Generalidad: es un error dispensar la píldora del día después en farmacias y sin receta », 21 mai 2007. Consulté le 27 août 2008 Traduction française


Annexes

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