Croix Rousse

Croix Rousse

La Croix-Rousse

La Croix-Rousse est une colline de la ville de Lyon. Mais c'est également un quartier situé sur cette même colline, que l'on distingue en 2 éléments : les pentes (une partie du 1er arrondissement), et le plateau (4e arrondissement), qui culmine à 254 mètres.
La Croix-Rousse, ancienne commune du département du Rhône, est un quartier original, profondément marqué par son passé de haut-lieu de l'industrie de la soie.

Sommaire

Histoire

L'amphithéâtre des trois Gaules

De Condate à la montagne Saint-Sébastien

A l’époque romaine, le bas de la colline est occupé par le bourg celtique de Condate. Elle est voisine de Lugdunum, prospère ville romaine établie sur la colline de Fourvière, de l’autre côté de la Saône. Les pentes seront peu habitées. Mais, le long de la voie du Rhin, elles vont être utilisées pour la construction du sanctuaire fédéral des trois Gaules, composé de :

  • l'autel des Gaules (12 av. J-C) dédié à Rome et Auguste
  • l'amphithéâtre des Trois Gaules (19 ap. J-C), qui recevra les délégués des 60 nations gauloises, chaque année à partir au mois d'août

Après la destruction de Lugdunum (197) et les invasions des Alamans, les édifices gallo-romains sont abandonnés.

Au Moyen Âge, la ville de Lyon s’arrête vers les Terreaux. La montagne Saint-Sébastien fait partie du Franc-Lyonnais, province indépendante placée sous la protection des rois de France. Les pentes et le plateau sont consacrés aux cultures (en particulier de la vigne).

Étymologie

La croix en pierre dorée de la Croix-Rousse

En 1512, Louis XII décide la construction de fortifications au sommet de la colline pour défendre la ville de Lyon. Ce rempart, nommé Saint-Sébastien, intègre alors les pentes à Lyon, mais isole le plateau, créant ainsi un nouveau faubourg.

Sensiblement au même moment, une croix est érigée sur le plateau [1] et réalisée en pierre de Couzon, de teinte ocre. Elle donnera son nom au bourg nouvellement créé.

On suppose que cette croix était située au carrefour de 2 voies : l’une vers la Dombes (direction Bourg), l’autre vers Neuville.

Elle sera détruite et reconstruite à plusieurs reprises (abattue par les protestants en 1562, détruite à la Révolution, supprimée en 1881 par décision du conseil municipal de Lyon). Finalement, en 1994, une réplique a été érigée place Joannès Ambre.

De la colline qui prie…

Après la construction de fortifications, les pentes, jusque là terrains à vocation agricole, s'urbanisent du fait de leur intégration à Lyon. Au XVIe et XVIIe siècles, de nombreuses congrégations religieuses s'y installent. Ce seront d'abord les Chartreux, en 1580, puis les Carmélites, les Sœurs de l'Annonciade, etc.

Contrairement aux pentes, le plateau fait toujours partie de Cuire et reste donc intégré au Franc-Lyonnais. Mais à la fin du XVIIIe siècle, le plateau de la Croix-Rousse, qui n'a été pendant longtemps qu'un hameau, a pris de l'importance. Comme sur les pentes, des religieux s'y sont installés, mais également de nombreux commerçants (en particulier parce que les taxes y sont moins élevées qu'à Lyon[2]).

…à la colline qui travaille

A la Révolution, les biens appartenant aux communautés religieuses sont vendus, libérant ainsi un grand nombre de terrains. L'opposition entre les ruraux de Cuire et les citadins de la Croix-Rousse agite alors la commune de Cuire-la-Croix-Rousse. Finalement, en 1797, le Conseil des Cinq-Cents décrète le rattachement de Cuire à Caluire (loi du 5 mai 1797), entérinant ainsi la scission (mais étrangement, il faudra attendre un arrêté du gouvernement consulaire en date du 22 octobre 1802 pour que, de son côté, la commune de la Croix-Rousse soit créée).

Au début du XIXe siècle, Lyon est la première ville ouvrière de France. L'arrivée massive d'ouvriers de la soie (les Canuts) va alors profondément transformer la Croix-Rousse, marquant son histoire et son urbanisme. La Croix-Rousse devient un haut lieu du tissage industriel de la soie (voir l'article sur l'histoire de la soierie lyonnaise).

« Vivre en travaillant, ou mourir en combattant »

Pour accueillir les ouvriers (ainsi que leurs familles et leurs métiers à tisser), la construction de lotissements s'accélère (ex : le Clos Dumenge). Il s'agit d'immeubles de 5 ou 6 étages, abritant des appartements/ateliers construits très hauts sous plafond, en fonction de la taille des imposants métiers à tisser Jacquard (en moyenne 4 mètres de hauteur). Ils sont dotés de hautes fenêtres (la lumière facilite le travail de la soie) et d'une soupente (mezzanine utilisée pour la vie de la famille). Les plafonds sont renforcés par des poutres en chêne, dont l'écartement permet de fixer le métier.

Sous la pression des lotisseurs qui morcèlent des anciens terrains religieux, l'est de la colline change radicalement de physionomie. Le nombre d'habitant explose et de nouvelles rues apparaissent, parfois de manière anarchique sans que la municipalité ait son mot à dire.

Jules Michelet écrit alors sur l'opposition de la montagne du travaille et de la montagne mystique (la colline de Fourvière, qui rassemble un grand nombre de couvents et d'églises) [3]. Transformée par les années, l'expression de Michelet deviendra la colline qui travaille face à la colline qui prie[4].

Les canuts, soumis à de rudes conditions de travail, se révoltent à de nombreuses reprises (cf. l'article détaillé la Révolte des Canuts). Leur première révolte d'octobre 1831 est considérée comme l'une des premières révoltes ouvrières. Ils occupent Lyon aux cris « Vivre libre en travaillant ou mourir en combattant ! ». Le roi Louis-Philippe Ier envoya 20 000 hommes de troupe et 150 canons pour réprimer « l'émeute ».

Le 14 février 1834, les Canuts se révoltent de nouveau en occupant les forts de la Croix-Rousse. Pendant 6 jours, ils font face à 12 000 soldats.

Une troisième insurrection a lieu en 1848, au moment de la proclamation de la Seconde République, menée par les Voraces.

Les mêmes Voraces mèneront une quatrième insurrection en 1849, en écho au soulèvement des républicains parisiens. Circonscrite sur le faubourg Croix-Rousse, elle sera violemment réprimée.

Lyon en 1869 depuis la Croix-Rousse

Le rattachement à Lyon

En 1818, la Croix-Rousse est élevée au rang de ville. Mais elle est morcelée lorsque le 26 octobre 1832, une ordonnance royale érige les quartiers de Serin et Saint-Clair en communes indépendantes. Ce sera de courte durée puisqu'en 1834, Serin et Saint-Clair sont de nouveau réunies à la commune de la Croix-Rousse.

En 1852, la Croix-Rousse, qui compte désormais 30 000 habitants, est rattachée à Lyon (décret impérial du 24 mars 1852). Le préfet Vaïsse va alors entreprendre une série de grands travaux (création du réseau d'eau potable, construction de l'Hôpital de la Croix-Rousse, etc). En 1862, la Croix-Rousse est reliée au centre de Lyon par le premier funiculaire du monde. Il sera rapidement surnommé la "ficelle" par les lyonnais. En 1865, pour faciliter l'intégration de la Croix-Rousse à la ville, les remparts sont détruits, permettant la réalisation du boulevard de l'Empereur. La mairie y est construite, et des arbres sont plantés.

Depuis 1952, la colline est traversée par le tunnel routier de la Croix-Rousse, qui relie les quais des bords du Rhône à ceux des bords de la Saône (tracé de la RN6).

L'activité du textile a été très fortement marquée par une crise dans les années 1980. Les rares survivants ont réussi en se reconvertissant dans des textiles « techniques » ou très haut de gamme (ex : Tassinari, Brochier, Bianchini-Férier).

Aujourd'hui encore, la Croix-Rousse est un quartier à l'urbanisme singulier, marqué à la fois par sa géographie (colline), par son histoire (histoire de la soierie lyonnaise), par la permanence du mouvement social et par sa très forte densité d'habitation (l'une des plus élevées d'Europe).

Un laboratoire social

La Croix-Rousse jouit d'une réputation particulière : quartier ouvrier au XIXe siècle, c'est ici qu'à pris forme la première insurrection sociale caractérisée de l'ère industrielle (cf. l'article détaillé la Révolte des Canuts). C'est également ici qu'essaimeront de nombreuses innovations sociales : le premier conseil des prud'hommes, les premières expériences mutualistes, les premières boutique "coopérative" française, etc (cf. l'article détaillé sur les Canuts).

Au XXe siècle, le quartier (en particulier les pentes) reste un véritable « laboratoire social » : squatts, restaurants autogérés, crèches parentales, imprimeries parallèles, collectifs militants, associations en tous genres…

Au début du XXIe siècle, même si la population change sous l'effet de la hausse des loyers (arrivée des Bourgeois-bohème ?), le quartier reste un lieu particulièrement vivant, donnant encore naissance à des initiatives intéressantes (ex : commerce équitable sur les pentes, crieur public sur le plateau, etc).

Géographie

Située entre Saône et Rhône dans le prolongement nord de la Presqu'île, la Croix-Rousse est l'une des 2 collines dominant Lyon (l'autre étant la colline de Fourvière). Elle culmine à 250 m (contre 300 m pour Fourvière), soit une petite centaine de mètres au-dessus du reste de la ville.

Certains versants, appelés "Balmes" et abimés par l'érosion fluviatile, sont de véritables falaises de 20 à 40 m de hauteur. Des éboulements spectaculaires ont d'ailleurs eu lieu en 1932 et 1977.

La colline de la Croix-Rousse est en fait la partie sud d'un plateau qui se poursuit au nord sur les communes de Caluire-et-Cuire, Sathonay-Camp, Rillieux-la-Pape et Fontaines sur Saône.

La Croix-Rousse, deux quartiers distincts

Pentes de la Croix-Rousse

La montée de la Grand'Côte

Les pentes de la Croix-Rousse (1er arrondissement) s'étagent depuis la place des Terreaux jusqu'au sommet de la colline.

Le quartier des Pentes se caractérise par sa géographie toute en déclivité. Ainsi, certaines artères ont été nommées de manière explicite "montée" (Montée de la Grande Côte, Saint Sébastien, des Carmélites, Neyret…).

La montée de la Grande Côte affronte une dénivellation importante en traversant le quartier en un axe méridien. La montée des Carmélites, reprend le parcours de la voie du Rhin. Cette voie romaine allait de Lugdunum vers la Germanie. Au départ de la montée des Carmélites, le Jardin des Plantes offre une vue sur la presqu'île et la colline de Fourvière. C'est ici que se trouve l'amphithéâtre antique, autrefois élément constitutif du Sanctuaire fédéral des trois Gaules.

Outre ces "montées" et les artères classiques, on trouve de nombreuses traboules, différentes de celles du Vieux Lyon. Ces passages entre immeubles, parfois couverts et constitués de volées d'escaliers, permettent de circuler sur les pentes de manière parfois plus directe.

Les pentes est un quartier plus adapté aux piétons qu'à la circulation automobile (rues étroites, en pente, escalier, sens-uniques, manque de place de stationnement).

Le quartier des pentes est également distinct du reste de Lyon par sa culture canut. Il hérite d'une forte culture syndicale et associative issue de l'industrie textile.

De nos jours, les pentes restent marquées par une culture informelle et associative qui les rend attractives, notamment auprès des étudiants et artistes. C'est un village rempli d'une culture alternative. Le foncier s'est considérablement revalorisé depuis qu'une importante rénovation et réhabilitation urbaine a été initiée dans les années 1990 et le quartier perd peu à peu son caractère populaire devenant un pôle d'attraction pour les bourgeois-bohème (bobos).

Le plateau de la Croix-Rousse

Place de la Croix-Rousse

Le plateau (4e arrondissement), comme son nom l'indique, est un plateau entre Rhône et Saône, grosso modo depuis le boulevard de la Croix-Rousse jusqu'aux confins avec Caluire-et-Cuire. Quartier résidentiel, le plateau se distingue du reste de la ville de Lyon par une ambiance particulière que l'on dit proche d'un « village ». Cette impression est renforcée par les terrains de boule (comme celui du Clos Jouve) ou le "petit marché" quotidien, situé place de la Croix-Rousse et entouré de bistrots. Les habitants y cultivent effectivement une certaine insularité vis-à-vis du reste de la ville. Les pentes agissent de fait comme une frontière naturelle séparant le plateau du reste de Lyon, et les habitants disent souvent qu'ils "descendent en ville" lorsqu'il s'agit de rejoindre d'autres arrondissements.

Le plateau est traversé par deux artères commerçantes majeures :

La partie Est du plateau est principalement composé d'immeubles canuts. On y trouve également des traboules, mais elles sont moins nombreuses que sur les pentes.

Patrimoine

Édifices civils et lieux remarquables

La Cour des Voraces, sur les pentes

Architecture canut et traboules

Le Gros Caillou

L'un des symboles du quartier est le Gros Caillou, gros rocher dont la composition minéralogique laisse à penser qu'il a été transporté depuis les Alpes par les glaciers (voyez aussi bloc erratique).

Déterré en 1892 lors du percement de la "ficelle" reliant la Presqu'île à la Croix-Rousse, il a été déplacé et installé en bordure est du boulevard, d'où il domine le Rhône et toute la plaine jusqu'aux Alpes.

Le Gros Caillou était autrefois à cheval sur le 1er arrondissement (les pentes) et le 4e arrondissement (le plateau). Suite à la construction d'un parking souterrain et d'un parc (nommé "Espace Gros Caillou"), il est désormais uniquement dans le 1er arrondissement.

Le Gros Caillou a été immortalisé dans la littérature jeunesse comme point de ralliement des Six Compagnons de la Croix-Rousse, dans la série écrite par Paul-Jacques Bonzon dans la Bibliothèque Verte.

Selon la légende, le Gros Caillou représente le cœur d’un huissier cupide qui aurait mis à la rue une famille de canuts déshérités.

Les souterrains

Il existe un réseau de galeries souterraines sous la colline de la Croix-Rousse, mais elles sont interdites au public par un arrêté municipal de 1989.

Les galeries lyonnaises les plus anciennes sont le souvent des galeries de drainage creusées par les romains, soit pour capter, soit pour évacuer l'eau afin d'éviter tout effondrement de la colline. Plus tard, certains des nombreux couvents qui couvraient la colline, semblent avoir utilisé ces galeries romaines, en les adaptant à leurs besoins. Enfin, plus récemment, des galeries militaires ont été bâties au XVIe siècle ou XVIIe siècle, en même temps que la ceinture de forts autour de Lyon.

On suppose que les « Arêtes de poisson » du « réseau des Fantasques », qui portent ce nom à cause de leur forme faisant penser à un squelette de poisson, sont d'origine militaires. Elles auraient servies à entreposer du matériel. Mais il ne s'agit pour l'instant que d'une hypothèse.

La plupart des galeries souterraines semblent être tombées dans l'oubli après que les problèmes d'approvisionnement en eau des Croix-Roussiens eurent été réglés, c'est-à-dire à la fin du XIXe siècle.

Patrimoine religieux

Les pentes de la Croix-Rousse ayant été occupée dès l'époque gallo-romaine, on peut y admirer les restes de l'amphithéâtre des Trois Gaules. Au centre de cet amphithéâtre antique, un poteau évoque les supplices de sainte Blandine, saint Pothin et des Martyrs de Lyon.

Également

Patrimoine culturel

Films tournés à la Croix-Rousse

Sources : Rhone-Alpes cinéma[5]

Références littéraires

Références musicales

  • St Jean Croix Rousse, de Zen Zila (2001)
  • Montée Bonafous, de Kent

Personnalités

Evénements

  • Le "grand" marché de la Croix-Rousse, qui s'étend le long du boulevard (sur près d'1 km) tous les jours sauf le lundi
  • La vogue des Marrons, tous les automnes.
  • Les samedi et dimanche matin, le crieur public.
  • Tous les ans en septembre, les vendanges de la République des Canuts (au Parc de la Cerisaie).
  • Durant le deuxième week-end de septembre, la Grande Braderie occupe la Grande-Rue et la Place de la Coix-Rousse.

Accessibilité

Métro-M-Lyon.svg
Ce site est desservi par les stations de métro : Croix-PaquetHénon et Croix-Rousse.

Références

  1. Le Guichet du Savoir → Croix Rousse
  2. la commune fait partie du Franc-Lyonnais, ce qui lui permet d'être dispensée de l'octroi
  3. Je vis bien dès ce jour l'opposition des deux montagnes, de la montagne mystique et de celle du travail : mais je ne sentis pas leur guerre. Jules Michelet dans Le Banquet, 1878.
  4. Pentes de la Croix-Rousse : la citoyenneté économique et sociale sur le site du Ministère français de la Culture
  5. http://www.rhone-alpes-cinema.fr

Voir aussi

La Croix-Rousse à Oyonnax

Un quartier de la ville d'Oyonnax et la place qui en forme le centre sont également appelés « Croix-Rousse ». Les industriels lyonnais qui travaillaient en liaison avec leurs homologues oyonnaxiens soulignaient ainsi la ressemblance géographique entre les deux sites, une colline surplombant la vieille ville dans la vallée, accessible par de fortes rampes (rue du Château, rue du Muret et rue du 8 mai 1945 pour Oyonnax), ressemblance également sociologique puisqu'il s'agit d'un quartier de petite industrie dispersée, comme partout ailleurs à Oyonnax. Pour la différencier de la lyonnaise, la Croix-Rousse oyonnaxienne a longtemps porté un « s » terminal (Place de la Croix-Rousses) qui n'apparait désormais plus sur les panneaux et plans).

Commons-logo.svg

Sources

  • Le Monde, A Lyon, la Croix-Rousse demeure un quartier rebelle, 01/08/2003
  • Jean Pelletier : Connaître son arrondissement – le 4e, éditions lyonnaises d’art et d’histoire, (ISBN 2-84147-043-1)
  • Louis F. Lacroux, La Croix-Rousse en flânant, Éditions Xavier Lejeune
  • Bernard Collonges, Le quartier des Capucins - Histoire du bas des pentes de la Croix-Rousse, éditions Aléas, septembre 2004, 115 p., (ISBN 2-84307-100-0)
  • Josette Barre, La colline de la Croix-Rousse, Éditions Lyonnaises d’Art et d’Histoire
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