Diacritiques De L'alphabet Latin

Diacritiques De L'alphabet Latin

Diacritiques de l'alphabet latin

Alphabet latin
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O P Q R S T U
V W X Y Z    
Lettres additionnelles
Æ Ʌ Ɓ Ɗ Ð
Ɛ Ə Ǝ Ƒ Ɠ Ɣ Ɩ
Ʒ Ŋ Ɲ Ɔ Œ Ƥ
ß Ʃ Þ Ȣ Ʊ Ʋ
Ƴ Ƈ
Historiques ou obsolètes
Ȝ Ƅ ĸ Ƕ Ƽ Ч
Ɋ Ƣ ſ Ƨ Ȥ Ƿ Ɯ
Avec diacritiques jointifs
Ç Ð Ħ Ɨ Ƙ Ł Ø
Ɵ Ş Ţ Ŧ Ų
Avec diacritiques séparés
À Å Ã Č ʠ É Ê
Ñ Ǩ Š Ƭ Ʈ Ü
Ȥ Ž
Digrammes
Ch Dz Dž Dx Gb IJ Kp
LJ LL Mb Mp Nd Ng Nh
NJ Nk Ns Nt Ny Nz Ou
Sh Th            
Trigrammes
C’h Ngb Nkp Sch Tsh    
Diacritiques

L'alphabet latin a connu, d'abord dans le monde occidental puis après les différentes périodes de colonisation, partout dans le monde, une extension géographique considérable : tout au long de son histoire, il a été conservé ou emprunté par de nombreux peuples qui s'en sont servi pour noter leur langue. À l'origine destiné à la langue des Romains, qu'il ne transcrivait déjà pas très fidèlement, son nombre réduit de lettres en a montré les limites : les langues l'utilisant ont dû, pour étendre les possibilités d'une transcription plus fidèle, soit façonner de nouvelles lettres, soit créer de nouvelles unités au moyen de plusieurs signes (comme les digrammes) soit, enfin, modifier des lettres existantes au moyen de diacritiques.

Les signes obtenus peuvent être considérés comme de nouveaux graphèmes (ils sont dans ce cas inclus dans l'alphabet de la langue), ou comme des variantes du graphème fondamental qui les porte (ils ne sont alors pas répertoriés dans l'alphabet). Cette distinction est très importante pour le classement alphabétique des mots d'un dictionnaire, par exemple. Ainsi, en castillan, la lettre diacritée ñ (n tildé) est considérée comme une lettre indépendante, classée à la suite de n, tandis qu'en français aucune des variantes diacritées de e (soient é, è, ê et ë) n'est classée autrement que si elle ne portait aucun diacritique. En castillan, toujours, á, é, í, ó, ü et ú ne sont cependant pas considérées comme des graphèmes mais comme des variantes.

L'alphabet phonétique international fait grand usage de diacritiques ; ceux qui lui sont propres seront aussi traités dans cette série d'articles. Enfin, les diacritiques utilisés en français font l'objet d'articles supplémentaires.

Sommaire

Introduction

L'utilisation de diacritiques s'est avérée très féconde et le mouvement s'est accéléré au XVIIIe siècle quand il s'est agi de transmettre rigoureusement des textes ou des énoncés de langues lointaines qu'on découvrait : les transcriptions et translittérations en lettres latines, c'est-à-dire la romanisation, a nécessité l'utilisation en nombre important de diacritiques. Il ne serait en effet pas aisé de lire une transcription dans laquelle certaines lettres seraient inventées. Les divers alphabets phonétiques, issus des recherches nouvelles en phonétique et phonologie, ont eux aussi eu recours à ce procédé pour étendre leur nombre de caractères. Sachant, enfin, que de nombreuses langues ne sont pas écrites ou depuis peu, c'est maintenant presque exclusivement en alphabet latin étendu qu'elles sont notées par les linguistes, au moyen d'outils comme l'alphabet phonétique international. L'alphabet pan-nigérian est à cet égard représentatif.

Apex et i long latins

Dans les premiers temps de l'alphabet latin, il n'existait pour ainsi dire aucune ponctuation (si l'on exclut l'usage sporadique du point médian séparateur de mots), aucun diacritique. Cependant, dès la fin du IIe siècle av. J.-C., apparaît un premier diacritique, dit apex (en latin : « pointe »), qui n'est pas d'usage systématique, tant s'en faut, ni toujours utilisé à « bon » escient, si son rôle est bien d'indiquer la présence de voyelles longues. Il est assez courant sous l'Empire romain. L'apex, qui ressemble à un accent aigu, ne se place cependant pas sur la lettre I qui, elle, est tracée plus grande que la normale. L'apex est légèrement décalé sur la droite de la voyelle qui le porte et que l'i long dépasse en hauteur mais ne descend pas sous la ligne de base.

Détail d'une stèle funéraire avec deux i longs Détail d'une stèle funéraire avec un apex Détail d'une inscription latine avec apex

Dans les images ci-dessus, on lit :

  • CORVINUS et SILANUS (à gauche) ;
  • FÉCIT (au centre) ;
  • RÓMVLVS·MÁRTIS·FILIVS·VRBEM·RÓMAM (à droite ; noter les points médians séparateurs).

Dans les ouvrages didactiques, on marque la quantité longue des voyelles latines au moyen du macron, signe inventé par les grammairiens grecs : on aurait dans ce cas Corvīnus, fēcit, Rōmulus Mārtis fīlius Urbem Rōmam.

L'apex et l'i long apportent des informations importantes sur la phonologie latine : en effet, outre par la connaissance de la phonétique historique de cette langue, c'est très souvent par la scansion des vers latins qu'on connaît les quantités vocaliques des mots. Or, la scansion ne révèle que la quantité des syllabes : pour la métrique latine, /mar/, dans Martis, est une syllabe longue (car fermée) quelle que soit la quantité du /a/. L'apex sur la lettre A indique ici que la syllabe longue est composée d'une voyelle longue.

Signes abréviatifs et éditoriaux devenus des diacritiques

L'apex et le i long ne se sont pas suffisamment répandus pour être passés dans les usages postérieurs et se limitent au seul latin (si l'on excepte le tchèque, qui de nos jours encore utilise l'apex). Ce qui, en revanche, a pris une ampleur importante depuis les débuts de l'alphabet latin, ce sont les marques indiquant des abréviations présentes en épigraphie puis, et surtout, dans les manuscrits.

Au départ, les signes et procédés utilisés pour signaler de telles abréviations ne sont certes pas des diacritiques au sens réel du terme mais, changeant de fonction au fil des années, ils ont pu par la suite (généralement au Moyen Âge) le devenir, les scribes étant de plus en plus souvent confrontés au problème de la notation de leur langue natale par un alphabet qui s'y prête mal. En effet, la langue latine, après la chute de l'Empire romain, avait cessé d'être – pour ainsi dire – la seule qui fût écrite.

Parmi les signes abréviatifs réutilisés, on compte le titulus (« titre » ; le mot est devenu tilde), trait suscrit (devenu ensuite un trait ondulé) utilisé pour indiquer qu'une lettre, le plus souvent une nasale, a été omise pour des raisons d'économie de place (ou de matériau). Par exemple, annu(m) a pu être écrit an̅u dans les manuscrits espagnols pour devenir enfin año, « an », en castillan, puisque /nn/ latin est passé à /ɲ/ (de gnon) dans cette langue.

Des lettres suscrites ou souscrites sont aussi utilisées dans une fonction diacritique ; c'est le cas du z qui, d'abord placé après un c pour signaler qu'il devait se prononcer /ts/ (maintenant /s/) devant des voyelles comme a, o et u, a été finalement écrit au-dessous du c. Ce z souscrit, nommé zedilla en castillan, soit « petit z », est devenu notre cédille (voir aussi Lettre diacritique). Il a cependant existé, avant la cédille, un diacritique graphiquement proche (ou proche d'un ogonek) attesté dès le VIe siècle en onciale sous le e, dit alors E caudata (« e doté d'une queue »), remplaçant parfois le digramme ae (écrit parfois æ, coutume qui s'est étendue par la suite) servant à noter le plus souvent un /ɛ/ ouvert. Il est notable que cette lettre, qu'on peut représenter ici par ę (avec un ogonek) ou ȩ (avec une cédille), ait été conservée dans la transcription des romanistes alors que c'est le digramme ae (maintenant présenté sous la forme liée æ et nommée ash) qui l'ait été dans la transcription des langues germaniques (sachant que ę était aussi utilisé dans les manuscrits en vieil anglais de l'onciale insulaire).

Enfin, des symboles éditoriaux plus généraux (servant à indiquer des erreurs du copiste, par exemple) ont aussi pu accéder au statut de diacritiques ; le cas se présente avec le punctum delens (« point effaçant »), très fréquent dans les manuscrits irlandais, qui signale que la lettre le portant est une erreur et ne doit pas se faire entendre. Par extension, il signale ensuite les lettres muettes issues d'une mutation consonantique puis toutes les mutations consonantiques ; ainsi en gaélique mo ḟele, « mon incantation », mo ċú, « mon chien » (écrits actuellement mo fhele, mo chú). Consulter Point suscrit pour plus de détails.

Certains de ces signes ont donné des symboles typographiques, comme le croisillon (#), ancien N surmonté d'un titulus, abréviation pour numerus, « numéro ».

Liste des diacritiques

Différents diacritiques utilisés par l'alphabet latin

Suscrits

Les diacritiques suscrits sont placés au-dessus de la lettre qu'ils modifient:

Souscrits

Les diacritiques souscrits sont placés en-dessous de la lettre qu'ils modifient:

  •  : cédille
  •  : point souscrit
  • ǫ : ogonek
  •  : virgule
  •  : crochet palatal
  •  : crochet rétroflexe
  • ɕ : boucle souscrite
  •  : tilde souscrit
  •  : accent circonflexe souscrit
  •  : ligne souscrite
  •  : ligne verticale (voir également l'article sur l'apostrophe)
  •  : virgule souscrite
  •  : brève souscrite
  •  : brève renversée souscrite
  •  : ligne verticale souscrite
  •  : rond souscrit

Adscrits

Les diacritiques adscrits sont placés sur le côté de la lettre qu'ils modifient:

Inscrits

Les diacritiques inscrits sont placés à travers la lettre qu'ils modifient:

Tableau récapitulatif

Le tableau suivant dresse une liste des combinaisons de lettres latines et de diacritiques effectivement utilisées dans les langues utilisant un dérivé de l'alphabet latin. La police de caractère "TITUS CYBERBIT BASIC" possède 9568 caractères (un peu moins qu'Arial Unicode MS) mais dont plus de 4500 sont des caractères latins accentués, on y trouve des caractères possédant jusqu'à cinq accents en même temps.

A Æ B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Accent aigu Á Ǽ Ć É Ǵ Í Ĺ Ń Ó Ŕ Ś Ú Ý Ź
Accent circonflexe  Ĉ Ê Ĝ Ĥ Î Ĵ Ô Ŝ Û Ŵ Ŷ
Accent grave À È Ì Ǹ Ò Ù
Apostrophe C’ D’ J’ L’ M’ N’ O’ S’ T’
Barre Ƀ Ð Ǥ Ħ Ł Ø Ŧ Ƶ
Brève Ă Ĕ Ğ Ĭ Ŏ Ŭ
Cédille Ç Ȩ Ģ Ķ Ļ Ņ Ŗ Ş Ţ
Corne Ơ Ư
Crochet Ɓ Ƈ Ɗ Ɠ Ƙ Ƥ Ƭ Ƴ
Double accent aigu Ő Ű
Hatchek Ǎ Č Ď Ě Ǧ Ȟ Ǐ ǰ Ǩ Ľ Ň Ǒ Ř Š Ť Ǔ Ž
Macron Ā Ǣ Ē Ī Ō Ū Ȳ
Ogonek Ą Ę Į Ǫ Ų
Point souscrit
Point suscrit Ȧ Ċ Ė Ġ İ Ȯ Ż
Rond en chef Å Ů
Tilde à Ĩ Ñ Õ Ũ
Tréma Ä Ë Ï Ö Ü Ÿ
Virgule Ș Ț
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16
Point en chef 1 · ṥṤ ṧṦ ǡǠ
ȱȰ
ɟ ṩṨ
Accent aigu  2 ṥṤ · ắẮ ḉḈ ấẤ
ếẾ
ốỐ
ḯḮ
ǘǗ
ḗḖ
ṓṒ
ǻǺ ǿǾ ṍṌ
ṹṸ
ớỚ
ứỨ
Brève 3 ắẮ · ḝḜ ằẰ ẵẴ ẳẲ ặẶ
Caron 4 ṧṦ · ǚǙ
Cédille 5 ḉḈ ḝḜ ·
Circonflexe 6 ấẤ
ếẾ
ốỐ
· ầẦ
ềỀ
ồỒ
ẫẪ
ễỄ
ỗỖ
ẩẨ
ểỂ
ổỔ
ậẬ
ệỆ
ộỘ
Tréma 7 ḯḮ
ǘǗ
ǚǙ · ǜǛ ǟǞ
ȫȪ
ǖǕ
ṏṎ
Accent grave 8 ằẰ ầẦ
ềỀ
ồỒ
ǜǛ · ḕḔ
ṑṐ
ờỜ
ừỪ
Macron 9 ǡǠ
ȱȰ
ḗḖ
ṓṒ
ǟǞ
ȫȪ
ṻṺ
ḕḔ
ṑṐ
· ǭǬ ȭȬ ḹḸ
ṝṜ
Ogonek 10 ǭǬ ·
Rond en chef 11 ǻǺ ·
Barrés 12 ɟ ǿǾ ·
Tilde 13 ṍṌ
ṹṸ
ẵẴ ẫẪ
ễỄ
ỗỖ
ṏṎ ȭȬ · ỡỠ
ữỮ
Cornu 14 ớỚ
ứỨ
ờỜ
ừỪ
ỡỠ
ữỮ
· ởỞ
ửỬ
ợỢ
ựỰ
Crochet 15 ẳẲ ẩẨ
ểỂ
ổỔ
ởỞ
ửỬ
·
Point souscrit 16 ṩṨ ặẶ ậẬ
ệỆ
ộỘ
ḹḸ
ṝṜ
ợỢ
ựỰ
·

Diacritiques en français

Le français utilise les diacritiques suivants (les liens renvoient vers des articles spécifiques à l'utilisation de ces diacritiques dans la langue française et non aux articles généraux) :

  • l'accent aigu, sur la lettre e (é) ;
  • l'accent grave, sur les lettres a (à), e (è) et u (ù). C'est à l'initiative de Corneille que cet accent a été introduit en français, afin de faire la différence entre la voyelle ouverte (è) et la voyelle fermée (é), qui étaient jusque là notées de la même manière (é ou e) ;
  • l'accent circonflexe, sur les lettres a (â), e (ê), i (î), o (ô) et u (û), d'un usage relativement complexe ;
  • le tréma, sur les lettres e (ë) et i (ï), o (ö) et u (ü) pour des mots empruntés à d'autres langues, pour forcer la prononciation d'une voyelle normalement muette parce qu'utilisée dans un digramme (maïs, aigüe...), ou encore sur y (ÿ) dans de très rares cas ;
  • la cédille au-dessous du c (ç).
  • le tilde (~), utilisé pour quelques rares mots de la langue française pour les hispanismes. Dans le Petit Robert[1], on trouve 'cañon' ou 'canyon'. On y trouve 'señorita' qui désigne alors un petit cigare mais pas 'seniorita'. Le TLFi possède des entrées pour 'cañon'[2] et 'señor'[3] et mentionne aussi 'doña'[4].
    • le tilde était aussi couramment utilisé pour les abréviations dans les manuscrits du Moyen Âge (bõ pour bon, q̃ pour que, etc.).

Notes et références

  1. Le Petit Robert, ISBN 2-85036-066-X
  2. (fr) Définitions lexicographiques et étymologiques de cañon du CNRTL.
  3. (fr) Définitions lexicographiques et étymologiques de señor du CNRTL.
  4. (fr) Définitions lexicographiques et étymologiques de doña du CNRTL.

Articles connexes

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