Diocletien

Diocletien

Dioclétien

Dioclétien
Empereur romain
DSC04500i Istanbul - Museo archeol. - Diocleziano (284-205 d.C.) - Foto G. Dall'Orto 28-5-2006.jpg
Tête de Dioclétien, musée archéologique d'Istanbul.

Règne
D’abord usurpateur puis légitime
mars 285 - 1er mai 305 (~20 ans)
Tout l’Empire (285286) puis en Orient
Période Première Tétrachie
Prédécesseur(s) Carin
Co-empereur(s) Maximien Hercule (Occident)
Usurpateur(s) Domitius Domitianus (296 - 297)
Successeur(s) Galère (Orient)
Constance Chlore (Occident)
Biographie
Naissance c.22 décembre 244
Dioclée (Dalmatie)
Nom originel Dioclès
Décès 3 décembre 311 (~66 ans)
Palais de Dioclétien (Dalmatie)
Consort(s) Prisca
Descendance Galeria Valeria

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Liste des empereurs romains
Série Rome antique

Dioclétien, de son nom complet Gaius Aurelius Valerius Diocletianus (c.245 - 313), est empereur romain du 20 novembre 284 au 1er mai 305. Il est né en Dalmatie en 245 et est mort en 313.

Sommaire

La conquête du pouvoir (284-285)

Diocles et Illyrien de parents de basse extraction (son père est un scribe ou un affranchi), il gravit les échelons, devient officier et se distingue sous les empereurs Probus et Aurélien jusqu'à devenir consul. Après le meurtre de l'empereur Numérien, le 11 septembre 284, Dioclétien se trouve accusé de cet assassinat avec le préfet du prétoire Arrius Aper. Il s'en tire en chargeant Arrius Aper et en le poignardant devant l'assistance. Dioclétien est proclamé empereur par ses soldats de l'armée de Chalcédoine.

L'empereur Carin, le frère de Numérien, conteste ce titre et met en déroute les forces de Dioclétien à la bataille du Margus en mars 285 en Mésie (actuelle Serbie). Cependant, Carin est tué par l'un de ses officiers, ce qui assure le pouvoir à Dioclétien malgré sa défaite militaire.

De la dyarchie à la tétrarchie ou la division au service de l'unité (286-305)

Article détaillé : Tétrarchie.

Dioclétien n'est en 284 que le dernier d'une longue série d'usurpateurs. Les auteurs anciens Lactance et Eutrope en font un esprit habile, doué d'une intelligence aigüe et d'une grande capacité de calcul. Il gouverne seul jusqu'en 285 mais sa légitimité reste précaire jusqu'à l'élimination de Carin (il est victorieux « par défaut ») et sa reconnaissance par le Sénat.

Il met en place un régime politique décentralisé qui procède lentement et au gré des circonstances, comme aux temps de Pupien et Balbin (238), de Valérien et Gallien (253-260), de Carus et Carin (282-283). Il est amené à diviser ses pouvoirs entre les parties orientale et occidentale de l'Empire. Il fait alors appel à un officier de Pannonie, Maximien. Il le promeut à la dignité de César en 285 puis à celle d'Auguste en 286, lui confiant l'Occident, conservant pour lui-même l'Orient.

Huit ans plus tard, en 293, sentant que l'accent devait être mis sur les problèmes civiques et militaires et pour assurer la défense et l'administration de l'Empire, il renforce la division du pouvoir en nommant deux « empereurs auxiliaires ». Ces deux collaborateurs supplémentaires, généraux sortis du rang, sont promus à la dignité de Césars, placés en dessous de chaque empereur principal, qui se réservent le titre d'Augustes. Dioclétien s'associe son gendre Galère et attache à Maximien son préfet du prétoire Constance Chlore.

Fragment de l'édit dit du Maximum pris par Dioclétien : copie trouvée à Aigeira, datée de 301 (Musée épigraphique d'Athènes)

L'Empire romain, devenu une tétrarchie (ou gouvernement des quatre). Aux deux Augustes et à leurs Césars est dévolue une partie du territoire de l'Empire : il ne faut cependant pas parler de division mais de répartition, l'Empire demeurant indivis. Chaque tétrarque dispose d'une résidence principale et d'un théâtre d'opérations :

  • Dioclétien, depuis Nicomédie, suit les affaires d'Asie et d'Égypte;
  • Maximien, à Milan, a la responsabilité de l'Italie et l'Afrique et de l'Hispanie.
  • Galère, à Sirmium, est responsable de l'Illyrie et des régions du Danube;
  • Constance Chlore, à Trèves, est chargé de la Bretagne, et de la Gaule.

Rome perd de son importance mais elle reste la capitale théorique de l'Empire et le siège du Sénat. Dioclétien n'a honoré Rome de sa présence qu'à deux reprises : dans les mois qui ont suivi sa victoire sur Carus en 283 et lors des vicennalia de 303.

Les responsables de l'Empire doivent être dans la force de l'âge pour être capables de faire face aux problèmes qui se posent et commander l'Empire. Dioclétien fixe à vingt ans la durée de règne des Augustes qui, lors des fêtes des vicennalia, devront transmettre les pouvoirs à leurs Césars après avoir procédé à la nomination de deux nouveaux Césars choisis en fonction de leur valeur et non de leur parenté avec les Augustes (sortants ou entrants : ainsi semble réglé le problème de la succession selon une conception remontant aux Antonins (le choix du meilleur) très populaire à Rome. Chaque décret est signé conjointement par les quatre souverains mais les décisions prises par les Augustes, la plus haute dignité, et par Dioclétien qui conserve la suprématie, prévalent. La volonté d'unité est symbolisée par le groupe des tétraques de Venise : ils sont associés deux à deux et se donnent l'accolade, symbolisant la nouvelle concorde impériale; ils sont habillés et armés à l'identique (ce qui démontre l'importance de l'élément militaire), ne se distinguant que par le port de la barbe réservé aux Augustes.

Une hiérarchie à base religieuse est néanmoins imposée :

  • Dioclétien conserve la prééminence : il est appelé jupitérien alors que Maximien est dénommé herculéen (Hercule est le fils de Jupiter) : c'est le moyen d'exclure de la communauté impériale ceux qui n'ont pas reçu l'investiture divine et de condamner par avance toutes les tentatives d'usurpation.
  • Chaque César est subordonné à un Auguste : il ne bénéficie ni des salutations impériales ni du grand pontificat.

Les bas-reliefs de l'Arc de Galère à Thessalonique figurent le fonctionnement virtuel de l'action gouvernementale, à savoir un partage des rôles entre les Augustes trônant et les Césars volant au secours des provinces.

La restauration de l'Empire

Pièce de Dioclétien

La défense de l'Empire et les réformes militaires

La situation militaire héritée par Dioclétien et ses collègues comporte en gros les mêmes points chauds qu'à la mort d'Aurélien en 275. Les tétrarques s'emploient activement à restaurer l'autorité de Rome.

Les usurpateurs sont éliminés les uns après les autres : en Occident, Carausius en 293 puis Allectus en 296; en Égypte Domitius Domitianus en 298.

Les frontières sont pacifiées et, après dix années de lutte, les frontières du IIe siècle sont rétablies à l'exception des Champs Décumates et de la Dacie : les barbares sont refoulés au-delà du secteur Rhin Danube et les Perses au-delà de l'Euphrate (une paix est conclue en 298 avec le roi Narsès qui dure quarante ans, jusqu'en 337).

L'action militaire de Dioclétien s'inspire d'un constat, les échecs répétés subis par l'armée romaine au cours du IIIe siècle, et de deux principes, la qualité doit suppléer la quantité et la pierre remplacer les hommes. Les légions sont fragmentées parallèlement à la réforme de l'organisation provinciale : les plus anciennes conservent leurs unités tandis que les autres sont réduites à 1000 hommes. Le supplément d'effectifs pose la question du recrutement. Dioclétien utilise toujours les moyens traditionnels (volontariat, engagement de marginaux et de barbares) mais modifie le mode de conscription, étendu aux soldats de la frontière qui ont l'obligation de faire entrer un fils dans l'armée et aux populations rurales, la fourniture de recrues étant imposée comme une obligation fiscale.

Dioclétien consacre parallèlement beaucoup d'efforts et d'argent au renforcement du limes. Lactance lui reproche une "passion de bâtir jamais satisfaite". Tous les fronts sont garnis de forts et de castella et le limes est renforcé par des routes stratégiques, la construction de remparts dans les principales villes est généralisée. Sur le Danube, des avant-postes sont poussés sur la rive barbare et en Afrique, le désert sert de glacis parcouru par des patrouilles de barbares auxiliaires au service de Rome.

Une nouvelle administration territoriale

Article détaillé : Diocèse (Rome antique).

Dioclétien procède à une refonte totale des provinces complétée par ses successeurs.

  • les provinces sont morcelées en unités plus petites (elles passent de 47 à 85), l'Italie perd les privilèges qui étaient les siens depuis l'instauration du principat et est alignée sur le modèle administratif des autres parties du monde romain également provincialisée (à l'exception du district proche de Rome) et ne se distingue des autres que par la dénomination de « regio » qui continue de leur être attribuée et l'Égypte perd son statut particulier de propriété personnelle de l'empereur. Cette mesure doit tout à la fois multiplier le nombre de fonctionnaires attachés aux bureaux des gouverneurs et rapprocher l'administration des habitants de l'Empire.
  • les nouvelles provinces sont regroupées, à l'instar des légions, en douze diocèses gérés par des vicaires, intermédiaires entre les gouverneurs et les préfets du prétoire, systématiquement recrutés dans l'ordre équestre et dépendant uniquement de l'empereur.

Parallèllement, des changements sont opérés dans le personnel administratif :

  • Les gouverneurs sont tous des préfets équestres à l'exception de ceux d'Asie et d'Afrique qui restent proconsuls.
  • La préfecture du prétoire devient une fonction purement administrative.
  • La multiplication des bureaux entraîne un accroissement de leurs effectifs : ils sont organisés militairement comme le personnel de l'administration centrale.

Un nouveau régime fiscal

Dioclétien manifeste un réel intérêt pour les questions économiques et particulièrement pour les finances. Dès 294, il réforme le système monétaire fondé sur l'or (aureus), l'argent (argentus) qui remplace définitivement l'antonianus et des émissions de bronze de qualité.

Un nouveau régime fiscal est décidé pour l'ensemble de l'Empire (il est attesté en Égypte dès 297) avec la création d'un nouvel impôt payable par tête et un autre sur les terres cultivées payable en nature : il doit être révisé tous les cinq ans (puis tous les quinze ans sous Constantin).

Un édit du maximum institué en 301 tente d'enrayer la hausse des prix et des salaires, prévoyant la peine de mort pour les contrevenants mais il semble avoir peu d'effets.

Un pouvoir de plus en plus monarchique et sacré

Arc de Dioclétien, Sbeïtla, Tunisie

Les témoignages littéraires sont très attentifs à l'apparition de rites qui sacralisent l'empereur et au-delà la fonction impériale : ils les rattachent expressément aux réformes de Dioclétien. Les empereurs continuent à porter les titres impériaux traditionnels et à revêtir chaque année la puissance tribunicienne et le grand pontificat mais ce sont là des vestiges du passé : d'autres titres plus ouvertement monarchiques apparaissent.

  • L'empereur est de plus en plus fréquemment appelé dominus (seigneur).
  • Le qualificatif sacré se répand de plus en plus et concerne aussi bien la personne de l'empereur que la Cour ou le Conseil impérial : la sacralisation du pouvoir concerne davantage la fonction impériale que la personne qui l'exerce (après son abdication, Dioclétien redevient un simple particulier).
  • Dioclétien ajoute au diadème d'Aurélien le manteau brodé de pierreries, remplace le siège curule des magistrats par un trône richement orné, est séparé du public par un rideau avant toute audience et impose à partir de 291 le rite de de l'adoration (baiser du bas du manteau impérial et génuflexion). Ammien Marcellin remarque que Dioclétien est le premier à agir ainsi : auparavant, les empereurs se faisaient saluer à la manière des gouverneurs de provinces.

La grande persécution anti-chrétienne de la tétrarchie (303-311)

Article détaillé : Persécution de Dioclétien.

La persécution contre les chrétiens redémarre à partir de 303. Il semble que Galère, craignant la vengeance des dieux tutélaires, ait encourager Dioclétien à sévir pour assurer l'unité de l'Empire. Les chrétiens ne sont pas les seuls visés : en 297, en liaison avec la guerre contre la Perse, l'État romain se retourne contre les manichéens.

Quatre édits universels sont promulgués en 303-304 et affichés dans toutes les villes d'Orient. Ils entendent désorganiser complètement les communautés chrétiennes en rendant le culte impossible;

  • les églises et les livres sacrés doivent être brûlés.
  • les évêques sont emprisonnés et les chrétiens qui occupent des fonctions officielles sont radiés, les esclaves ne peuvent plus être affranchis.
  • les repentis doivent être libérés.
  • la peine de mort est appliquée contre tous ceux qui refusent les sacrifices.

Eusèbe en est le témoin direct à Césarée. Les crieurs publics convoquent tous les habitants (hommes, femmes et enfants) pour les y contraindre : il est difficile de s'y soustraire puisque l'appel est nominatif.

La persécution est cette fois systématique et repose davantage sur l'administration lcale, plus présente depuis les réformes de la tétrarchie. Elle dure jusqu'en 311 en Orient où l'édit de Sardique promulgué par Galère suspend les édits de 303-304 mais elle est mise en sommeil très tôt en Occident : Constance Chlore qui gouverne en Gaule met si peu de peine à y appliquer les édits qu'on y connaît aucun martyr.

Les auteurs antiques parlent de milliers de victimes, surtout dans la partie orientale de l'Empire (ce qui révèle que la part des chrétiens dans la population de l'Empire s'est considérablement accrue).

Dioclétien abandonne volontairement le pouvoir

Palais de Dioclétien

Depuis vingt ans, l'Empire a vécu dans une relative stabilité politique tandis que les menaces extérieurs ont été fortement diminuées durant la dernière décennie tant sur la frontière rhéno-danubienne que sur le front perse. Les contemporains ont été frappés par la résolution prise par Dioclétien en 305 de quitter volontairement le pouvoir pour le laisser à ses successeurs déjà intronisés : l'engagement, pris solennellement en 303 lors des vicennalia, prend effet le 1er mai 305.

Dioclétien et Maximien abdiquent en faveur de leurs Césars en 305, évitant d'être déposés ou de mourir en poste (ou d'être assassiné, ce qui n'est pas une méthode si rare pour changer d'empereur durant le IIIe siècle). Dioclétien passe ses dernières années dans un palais magnifique dit palais de Dioclétien, sur la mer Adriatique, près de Salone, la capitale de la Dalmatie. Il s'est fait construire ce palais qu'il a dévoué à Jupiter et dans lequel figure un sphinx du XVe siècle av. J.-C. que Dioclétien a fait ramener d'Égypte. Dans les ruines s'est édifiée la ville de Split (en italien, Spalato, en latin Spalatum) aujourd'hui en Croatie. Maximien se retire en Lucanie sans pour autant se retirer de la vie politique.

À l'hérédité, Dioclétien préfère le choix des meilleurs qui a popularisé la dynastie des Antonins, donnant une preuve supplémentaire de son attachement aux principes de l'ancienne Rome : rien n'est plus étranger aux conceptions romaines que le principe de l'hérédité. Ainsi sont écartés, quoique adultes et capables, le fils de Maximien, Maxence, et celui de Constance Chlore, Constantin : deux officiers proches de Galère sont élevés au rang de Césars, Maximin Daïa, son ami, et Sévère, son neveu.

Le système de la tétrarchie ne survit pas à ses concepteurs et sombre dans les guerres qui suivent ces abdications. En 308, Dioclétien consent à sortir de son palais pour participer à la réunion de Carnuntum en Pannonie, avec ses anciens collègues Maximien Hercule et Galère. Il convainc Maximien d'abdiquer à nouveau pour remédier à la confusion, ce qui n'a guère d'effet. Dioclétien meurt dans son palais en 313.

Noms successifs

  • Naît Dioclès
  • 284, accède à l'Empire : Imperator Caesar Caius Aurelius Valerius Diocletianus Pius Felix Invictus Augustus
  • 285, reçoit les surnoms Germanicus Maximus Sarmaticus Maximus
  • 286, prend le surnom de Jovius : Imperator Caesar Caius Aurelius Valerius Diocletianus Pius Felix Invictus Augustus Germanicus Maximus Sarmaticus Maximus puis en 286 Imperator Caesar Caius Aurelius Valerius Diocletianus Pius Felix Invictus Augustus Germanicus Maximus Sarmaticus Maximus Jovius
  • 295, reçoit le surnom de Persicus Maximus
  • 297, reçoit les surnoms Britannicus Maximus Carpicus Maximus
  • 298, reçoit les surnoms Armenicus Maximus Medicus Maximus Adiabenicus Maximus
  • 313, titulature à sa mort : Imperator Caesar Caius Aurelius Valerius Diocletianus Pius Felix Invictus Augustus Germanicus Maximus VII Sarmaticus Maximus IV Persicus Maximus II Britannicus Maximus Carpicus Maximus Armenicus Maximus Medicus Maximus Adiabenicus Maximus, Pontifex Maximus, Jovius, Tribuniciae Potestatis XXII, Consul X, Imperator XXI, Pater Patriae

Bibliographie

  • Bernard Rémy, Dioclétien et la Tétrarchie, « Que sais-je ?», PUF, Paris, 1998 ;
  • Stephen Williams, Dioclétien, le renouveau de Rome, Infolio éditions, 2006 (ISBN 2884742085)

Voir aussi

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