Domaine royal de Randan

Domaine royal de Randan

Château de Randan

Ruines du château de Randan

Le château de Randan dans le Puy-de-Dôme a été construit en 1204.

Acquis en 1821 par la princesse Adélaïde d’Orléans, sœur du roi Louis-Philippe, qui après avoir créé exprès une briqueterie, fait restaurer et agrandir le château, construire des dépendances et créer un parc sous la direction de Pierre-François-Léonard Fontaine.

De 1819 à 1831, ce célèbre architecte travailla pour le futur roi dans son château de Neuilly et de 1830 à 1833 transforma à sa demande celui voisin de Maulmont à Saint-Priest-de-Bramefant, acquis par Adélaide en 1829, en rendez-vous de chasse pour lui et sa cour.

Fontaine aurait également dessiné l'aile de la "Galerie des Batailles" créée par le roi au château-musée de Versailles, qu'il initia le 1er septembre 1833 [1], où figurait son effigie par le peintre d'histoire et de portraits Joseph-Désiré Court.

Sommaire

Histoire

Les Riches Heures de Randan

Une description du château et du parc contemporaine de Madame Adélaide est citée parGeorges Touchard-Lafosse[2] :

« (...) La royale propriétaire de ce domaine ne le visite pas souvent; cependant c'est un séjour enchanteur. Le parc, artistement dessiné, est coupé d'allées nombreuses bien sablées; il est aussi planté de beaux bouquets d'arbres et d'arbustes. Des fleurs y répandant partout leur parfum; d'admirables perspectives y sont adroitement ménagées. C'est une vue superbe, qui, à elle seule, vaut le voyage. Le château n'a rien de positivement curieux : c'est une vaste et splendide maison bourgeoise. L'intérieur est tout moderne aussi : c'est fort propre, fort élégant, fort riche. On visite donc Randan pour sa terrasse, pour sa chapelle, pour ses cuisines, pour sa salle à manger; les cuisines sont si grandes, les fourneaux, les foyers, les broches y sont si vastes, si multipliés, que Rabelais s'en fut inspiré pour les apprêts du dîner de Pantagruel. »

À la fin du XIXe siècle, la comtesse de Paris, Marie-Isabelle d'Orléans-Montpensier, fille ainée d'Antoine d'Orléans, le 9e enfant de Louis Philippe Ier, et épouse de son cousin germain, Louis Philippe d'Orléans II, remanie et modernise le domaine, électrification, eau courante, etc.

L'écrivain Henri Pourrat a évoqué ce château bourbonnais et « ses tapisseries de briques noires et roses (...) l'esplanade à nobles ombrages (...) On faisait proverbe de ses immenses cuisines, si bien agencées que les fumets ne pouvaient en se croisant altérer la saveur des sauces »[3].

Henri d'Orléans, 4e comte de Paris de 1929 à 1999 et prétendant à la Couronne de France le 25 août 1940, séjourna enfant avec ses parents dans cette propriété familiale, où fin juillet 1914 ils apprirent la déclaration de guerre.

En 1915, après y avoir installé un hôpital militaire, comme d'autres châtelains français, dont son fils le duc de Guise au Nouvion-en-Thiérache, la marquise de Castellane à Rochecotte ou Gaston Menier à Chenonceau, la comtesse de Paris et ses filles se firent infirmières pour y soigner les soldats blessés.

Déclin et ruine

À sa mort en 1919 dans son autre propriété andalouse, le domaine échut à son plus jeune fils Ferdinand, dernier duc de Montpensier, qui, à 37 ans, y épousa sur les instances de ses sœurs, le 20 août 1921, Marie-Isabelle Gonzalez de Olaneta e Ibarreta (1895-1958), 3e marquise de Valdeterazzo, fille du vicomte de Las Antrinas ; le couple y vivra seulement trois ans, jusqu'à la mort inexpliquée du duc - par overdose involontaire de drogue ? - qui avait testé en faveur de sa jeune femme.

Dans la nuit du 25 au 26 juillet 1925, lors d'un séjour de la duchesse et de quelques amies, le château - dont elle avait résilié le contrat d'assurance - est ravagé par un incendie, « peut-être dû à une imprudence de fumeuses[4] », ne laissant que des ruines qui ne furent pas relevées, d'où émergent encore, quatre-vingts ans après, les hautes cheminées de brique. Entre autres pièces artistiques de valeur disparut ainsi un précieux cabinet chinois.

L'essentiel du contenu du château, décoré et meublé depuis un siècle, sauvé du brasier fut rapidement transporté en Espagne - où la duchesse vécut jusqu'en 1958 - tandis que furent entreposées dans ses dépendances les nombreuses autres œuvres et objets d'art, peintures et meubles, dont un musée cynégétique, composé de quatre-cent-cinquante trophées rapportés du monde entier par la comtesse de Paris et par son fils, naturalisés par le meilleur taxidermiste de l'époque et mis en scène dans des dioramas très réalistes :

« L'importance de ce goût britannique de la famille d'Orléans (...) Même dans les collections de taxidermie, l'Angleterre est dominante. Les animaux naturalisés pour le duc d'Orléans (museum d'Histoire Naturelle de Paris) ou ceux conservés à Randan proviennent de la maison Rowland-Ward à Londres. De même les équipages, la sellerie et les véhicules, etc[5] »

D'autres exemples de ce type de cabinets d'histoire naturelle particuliers sont visibles au Musée africain du baron Napoléon Gourgaud – qui participa aux safaris africains du baron suédois Bror Blixen – à l'île d'Aix (17) et au musée de la chasse et de la nature à Paris, ancienne collection de M. et Mme François Sommer.

Le 25 juillet 1940 fut élaborée dans la vaste clairière de la forêt de Randan la charte constitutive des « Compagnons de France », mouvement créé par le régime de Vichy « pour encadrer les adolescents perdus dans l'exode et les jeunes garçons défavorisés », dirigé par Guillaume de Tournemire.

Le 26 juillet 1942, leur protecteur Philippe Pétain, chef de l'État français, vint à Randan, où 5 000 jeunes avaient monté un immense camp de tentes blanches, rendre hommage à leur action, journée dont le journal parisien L'Illustration rendra compte le 8 août 1942 ; un chêne est planté à cette occasion[6].

Après la seconde Guerre Mondiale le comte de Paris, héritier présomptif du duc jusqu'à son mariage, revendiqua sans succès un lot important d'argenterie et de bijoux de famille issu du « legs Montpensier » - il fut débouté en justice, peut-être sur intervention personnelle du général Franco - tant auprès de la duchesse que de son légataire universel José Maria Duarte, aristocrate espagnol qui fut son majordome et second époux secret[7].

Sauvetage et résurrection

En 1991, l'État français, soucieux d'empêcher la dispersion des souvenirs Orléans remisés là depuis soixante-dix ans, et dont la chapelle néo-classique (1831) abrite trois cénotaphes copiés sur ceux de la nécropole familiale de Dreux - dont celui d'Adélaide d'Orléans au "gisant" dû à Aimé Millet - les classe Monuments Historiques en qualité d'ensemble mobilier lié à une demeure ancienne.

Le comte de Paris intervint auprès de Valéry Giscard d'Estaing, président du Conseil régional d'Auvergne, afin que Randan ne soit pas vidé et démantelé.

En 1999, les héritiers Duarte mettent en vente aux enchères publiques le dernier domaine royal français du XIXe siècle, immeubles et meubles - le catalogue de l'importante vacation prévue les 23 et 24 mai 1999 est établi par l'étude de commissaires-priseurs parisiens Millon et associés - mais l'État[8] s'y oppose et achète en 2000 les collections, soit 280 pièces d'armes et 4 896 objets mobiliers divers, tandis que début 2003 le Conseil régional d'Auvergne fait l'acquisition des bâtiments, sur lesquels il engage un vaste programme de rénovation.

Le 30 octobre 2000 eut lieu à l'Hôtel Drouot, à Paris, la vente de "Souvenirs historiques provenant de la succession de Mgr Henri d'Orléans, comte de Paris"...

En 2005 a été créée « l'Association des Amis du domaine royal de Randan » pour appuyer ces efforts et recueillir les documents historiques relatifs au domaine.

En 1996 plusieurs photographies de la comtesse de Paris, au château au milieu d'un groupe d'infirmières et de soldats avec sa fille Amélie, dernière reine du Portugal (détrônée en 1910), sur son lit de mort à Séville, du jeune duc de Montpensier devant la facade Est du château, du couple ducal sortant de l'église de Randan le jour du mariage, et du duc Philippe d'Orléans (1869-1926) devant son atelier de naturaliste, et d'une salle du musée cynégétique qu'il créa dans sa résidence anglaise de Woodnorton, ancienne propriété de campagne du duc d'Aumale - offertes par lui à la Ville de Paris qui les installa au Jardin des Plantes (museum d'Histoire Naturelle) - documents issus des archives familiales du comte de Paris, ont été publiées dans son Album de famille, texte de Michel de Grèce (Perrin).


Vestiges royaux à l'encan.

Une série de cinq dessins à l'encre et au lavis du XIXème siècle représentant le château de Randan sera vendue aux enchères publiques à Paris-Drouot le 18 mai 2009, entre autres souvenirs historiques (provenant) de familles royales dont un coffret revêtu de cuir contenant "les clefs des jardins royaux", offerts par Louis-Philippe à Madame Adélaide.


Article détaillé : Randan.

Propriétaires

Chatelains de Randan[9]

Jusqu'au XIe siècle, les gens ne se connaissaient que par leur surnom[10]. C'est à partir de cette époque que les nobles adoptèrent des noms fixes et héréditaires[11]. C'est donc en 1204 qu'on relève l'existence d'un Beaudoin de Randan, dont on ne sait pratiquement rien, si ce n'est sa descendance.

Comtes et Ducs de Randan
Nom des possesseurs de Randan Renseignements complémentaires
Beaudoin de Randan (1204) une fille, Jeanne, dame de Randan
un fils (ou un frère), Chatard
Guillaume de Randan, fils ou neveu de Chatard
Chatard de Randan
Jeanne de Randan (1208) qui épouse Hugues Ier du Château
leur fils, Hugues II, épouse vers 1240, l'héritière de la maison Saligny en Bourbonnais et devient :
Hugues II du Château-Randan-Saligny deux fils : Guillaume Ier et Hugues III
une fille, Blanche
Guillaume Ier du Château-Randan-Saligny (1284) on ignore le nom de son épouse
deux fils : Étienne du Château et Jean (sans postérité)
Étienne du Château-Randan-Saligny épouse Isabeau de Bléneau
meurt en 1316, sans postérité, l'héritage échoit à son oncle :
Hugues III du Château-Randan-Saligny (1309) épouse Agnès de Suzy
deux fils : Guillaume II et Hugues IV
Guillaume II du Château-Randan-Saligny (1316) épouse Marguerite de Sully
un fils, Guillaume III
Guillaume III du Château-Randan-Saligny on ignore le nom de son épouse
sans postérité, l'héritage échoit à son oncle Hugues IV
Hugues IV du Château-Randan-Saligny épouse Anne de Sully
un fils, Jean, dit Lourdin, († 1373)
Jean Lourdin du Château-Randan-Saligny (1340) épouse Louise de Merry, sans postérité,
puis Catherine de la Mothe-Saint-Jean
deux enfants, Jean Lourdin II (qui n'hérite pas) et Marguerite-Catherine du Château
Marguerite-Catherine du Château-Randan-Saligny épouse le 27 août 1378, Pierre-Armand de Chalençon, vicomte de Polignac († 1436)
un fils, Louis-Armand de Chalençon-Polignac
Louis-Armand de Chalençon-Polignac († 1451) épouse Isabeau de la Tour, sans postérité,
puis Françoise de Montmajour
un fils, Guillaume-Armand
Guillaume-Armand, vicomte de Polignac († 1473) épouse Amédée de Saluces
leur 4e fils : Jean
Jean de Polignac, seigneur de Randan, gouverneur de Livourne épouse en 1495 Jeanne de Chambes
une fille, Anne

" Elle semble avoir préféré Verteuil (à La Rochefoucauld) où le château est moins imposant mais plus confortable et ensuite, elle se rendit à Randan où il semblerait que sa famille l'ait quelque peu spoliée. Alors, elle se retira et mourut à Verteuil (et) fut inhumée à Onzain".

(René-Paul Flohic, "La Rochefoucauld - Pourquoi ? la Famille /le Château/la Cité" éd. Gestraud, 1981, p.65) .

Anne de Polignac épouse Charles de Bueil († 1515), un fils, Jean de Bueil, meurt à 22 ans, sans postérité
puis le 5 février 1518, François II de La Rochefoucauld, fait comte par lettre patentes du roi ( de 1528 ?) († 1533)
sept enfants, le second, Charles, hérite
Charles de La Rochefoucauld, seigneur de Randan épouse Fulvie de La Mirandole († 1607) dont il a :
* Jean-Louis, comte de Randan
* François (1585-1609), évêque de Clermont
* Alexandre, abbé de St-Pourçain
* Marie-Sylvie, épouse Rochechouard
* Charles (?)
La terre de Randan est érigée en comté en mai 1566
Jean-Louis de La Rochefoucauld († 1590) épouse Isabelle de La Rochefoucauld
une fille, Marie-Catherine
Marie-Catherine de La Rochefoucauld († 1677) épouse le 8 août 1607 Henri de Bauffremont, marquis de Senecey († 1622)
devient duchesse de Randan en 1661
2e fils, Louis, hérite et meurt sans postérité
fille, Marie-Claire
La terre de Randan est érigée en duché-pairie en 1661
Louis de Bauffremont
Marie-Claire de Bauffremont, duchesse de Randan († 1680) épouse le 28 septembre 1637 Jean-Baptiste-Gaston de Foix
deux fils, Jean-Baptiste-Gaston († 1665) et Henri-François (1640-1714)
Jean-Baptiste-Gaston de Foix épouse une Chaulnes d'Ailly
une fille qui meurt à dix ans ;
l'héritage échoit à Henri-François de Foix
Henri-François de Foix († 1714) épouse une Roquelaure († 1711) ; pas de postérité, avec lui s'éteint le duché-pairie de Randan
par ses dispositions testamentaires, l'héritage échoit à la maison Nompar de Caumont, au comte de Lauzun
La terre de Randan redevient comté en 1714
Antoine de Caumont, duc de Lauzun (1632-1723) épouse le 21 mai 1695 Geneviève-Marie de Durfort (fille du maréchal de Lorge)
Geneviève-Marie de Durfort, duchesse de Lauzun elle décède le 17 mai 1740 sans postérité ;
l'héritage échoit à son neveu Guy-Michel de Durfort
Guy-Michel de Durfort
dit « Maréchal de Randan »
épouse Élisabeth-Adélaïde de Poitiers de Riz († 1778) ;
une fille, Marie-Geneviève (née le 3 février 1734/35 et morte le 10 décembre 1762 à Paris) marié en 1751 à Jean Bretagne Charles de La Trémoille, duc de Thouars ;
l'héritage échoit au frère de Guy-Michel, Louis
Louis de Durfort, duc de Lorge et de Randan († 1775) épouse Marie-Marguerite Butaud
deux fils qui meurent jeunes donc n'héritent pas
deux filles pour lesquelles le domaine de Randan est en indivision jusqu'au 5 septembre 1781, date à laquelle l'une d'elles, Guyonne-Marguerite-Philippine, l'acquiert par adjudication (moyennant 920 000 livres)
Guyonne-Marguerite-Philippine de Durfort épouse en 1754 Raynaud-César-Louis de Choiseul, duc de Praslin († 15 octobre 1785)
une fille, Bonne-Désirée († 1829) qui épouse Charles-Eugène-Antoine, comte de Grollier
un fils, Antoine-César, duc de Praslin, qui épouse Miss O'Brien Thomond de qui il a un fils, duc de Praslin, qui devint pair de France
À la Révolution, la terre de Randan appartient aux deux enfants de Raynaud-César-Louis de Choiseul, duc de Praslin, la comtesse de Grollier et Antoine-César de Choiseul, duc de Praslin
Charles-Raynaud-Laure-Félix de Choiseul, duc de Praslin, pair de France, fils d'Antoine-César
et sa tante, la duchesse de Praslin, sont adjudicataires (en 1806)
Partage définitif entre les sus-nommés (en 1818) La comtesse de Grollier vend sa part en 1819 en deux lots au comte de Lavalette et au baron de Forget.

Période récente

Propriétaires du domaine de Randan
Nom des possesseurs de Randan Renseignements complémentaires
Adélaïde d'Orléans achète en 1821 la part de Félix de Choiseul, duc de Praslin cette portion comprenait le château
Adélaïde d'Orléans achète en 1826 les parts du comte de Lavalette et du baron de Forget
Louis Philippe II de 1847 à 1894 petit-neveu
Marie Isabelle d'Orléans, comtesse de Paris de 1894 à 1919 épouse
Ferdinand d'Orléans de 1919 à 1924 fils
Maria Isabel Gonzales de Oleñata y Ibaretta, sa veuve 1924 à 1958 épouse
José María De Huarte 1958 à 1999 Archivero-Jefe de la Diputación Foral de Navarra, Académico Correspondiente de las Reales Academias de la Historia y de Bellas Artes de San Fernando, Vocal del Consejo de Cultura de Navarra, Caballero de la Orden de Malta, Marié en secret avec Maria Isabel Gonzales de Oleñata y Ibaretta, puis légataire universel de cette dernière
Conseil régional d'Auvergne à partir de 1999

Photos

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Notes

  1. source : site du château-hôtel-restaurant de Maulmont, janvier 2007
  2. Georges Touchard-Lafosse, Loire historique, pittoresque, et biographique, ...etc, Tours, Lecesne, 1851, tome II, pp. 23 à 25
  3. Henri Pourrat, En Auvergne, Arthaud, 1966, p. 20
  4. Henri Pourrat, op. cit.
  5. Olivier Meslay, Le duc d'Aumale et l'anglophilie des Orléans, catalogue de l'exposition « L'art anglais dans les collections de l'Institut de France », musée Condé - château de Chantilly, 13/10/2004 - 3/01/2005 (Somogy -éditions d'art, 2004, p.21)
  6. Michèle Cointet, Vichy capitale 1940 -1944, Perrin, 1993, puis le Grand Livre du Mois, 1998, p. 203
  7. Michel de Grèce, Mémoires Insolites, éd XO, 2004, puis éditions Pocket, 2006
  8. Catherine Trautmann étant Ministre de la Culture
  9. Bouillet, Nobiliaire d'Auvergne, T. II, p. 147
  10. Dr Lère, dans une étude sur Randan, dans le Bulletin de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Vichy et des environs, avril-septembre 1951, n° 45, p. 283
  11. Mezeray, Abrégé chronologique de l'Histoire de France

Voir aussi

Articles connexes

Lien externe

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