Dynastie Zhou

Dynastie Zhou
Page d'aide sur l'homonymie Cet article concerne la première dynastie Zhou, durant l'Antiquité. Pour la seconde, voir Wu Zetian (VIIe siècle) unique monarque de cette dynastie éphémère.

Dynastie Zhou
周朝 (zh)

-1045 – -256

Accéder aux informations sur cette image commentée ci-après.

Territoire approximatif des Zhou vers -1000

Informations générales
Statut Monarchie
Capitale Hao, puis Luoyang
Histoire et évènements
-1045 Di Xin est détrôné par Wu Wang, qui fonde la dynastie Zhou
-1045 - -771 Période des Zhou occidentaux (la capitale est Hao)
-771 - -246 Période des Zhou orientaux (la capitale est Luoyi)
-450 - -221 Période des Royaumes combattants
-256 Chute de la dynastie
Rois
(1er) -1122 Zhou Wen Wang
(Der) -314 - -256 Zhou Nanwang

Entités précédentes :

Entités suivantes :

Zhou La dynastie Zhou, (Tcheou en transcription EFEO) est la troisième dynastie chinoise, fondée au XIe siècle av. J.‑C. (vers 1046 av. J.-C.), et qui domina le pays jusqu’en 256 av. J.-C., date où s'acheva le règne du dernier roi des Zhou.

Une autre dynastie nommée Zhou exista entre 690 et 705 (voir Wu Zetian).

Sommaire

Histoire de la dynastie

La période d'unité

La dynastie Zhou fut la dynastie la plus longue de l'empire chinois, elle dura presque un millénaire. Elle succéda peu avant l'an -1000 à la dynastie Shang qui, d'après les chroniques chinoises, était devenue tyrannique. Son fondateur qui s'appelle Ji Fa (姬发), le deuxième fils de Ji Chang (姬昌) fut le roi Wu (Wu Wang). Le prédécesseur de celui-ci, qui n'avait eu que le rang de duc, reçut le titre posthume de « roi Wen ». La première capitale fut la cité de Hao, sur la rivière Wei, dans l'actuelle province du Shaanxi.

Après avoir renversé les Shang, Wen Wang fondateur de la dynastie Zhou essaie d’administrer le pays avec Zhougong, son oncle. Parallèlement, il souhaite mettre par écrit tout le cérémonial de la vie quotidienne et la vie de la cour des Zhou. À la mort du roi Wu, des querelles de successions voient le jour, mais Zhougong organise la régence et stabilise l’Empire.

Les Zhou occidentaux

La civilisation des Zhou occidentaux

La première période de cette dynastie, de sa fondation jusqu'à l'an -771, est dite des Zhou occidentaux. L'un des grands rois de cette période semble avoir été le roi Mu (Zhou Muwang), qui aurait régné entre -1001 et -947. Il lutta contre un peuple tokharien appelé les Quanrong, probablement dans l'actuelle province du Xinjiang.

Dans le bassin du Yangtse se trouvait le royaume de Chu. Autour de –900, -850, Chu refusait de se soumettre au royaume de Zhou, qui souhaitait annexer son territoire. Durant la guerre entre ces deux États, des révoltes apparaissent entre –862 et –841 contre Li Wang, le souverain Zhou tyrannique qui finit par devoir se retirer. Une régence fut alors instaurée pendant environ 14 ans car le fils de Li était alors trop jeune pour régner.

Le roi Xuan (Xuan Wang), qui régna jusqu’en -782, était un souverain énergique. Il lutta avec succès contre les barbares, mais son successeur, You, ne fut pas à sa hauteur. Le comte de Shen, qui avait aidé le roi Xuan à vaincre les barbares, avait donné sa fille en mariage au roi You.

Pendentif en quart de cercle décoré d’entrelacs de dragons, milieu de l’époque des Zhou occidentaux

Entiché d’une autre épouse, qui s’appelait Baosi, You répudia la fille du comte de Shen et exila le fils qu’il avait eu d’elle, permettant au fils de Baosi de devenir le nouvel héritier présomptif. Le comte de Shen fit alors alliance avec les Quanrong. En -771, ils prirent d’assaut la capitale, Hao, et tuèrent le roi You. La dynastie des Zhou parvint à se rétablir, mais elle dut installer sa nouvelle capitale plus à l'est, à Luoyang, sur la rivière Luo. C'est ainsi que commença l'époque des Zhou orientaux.

Selon la légende, épris d'amour pour Baosi, You convoqua les barons de la cour et leur dit faussement que la capitale était attaquée. Les barons pris de panique accoururent partout dans la capitale pour la défendre. Quand le roi leur annonça que c'était une plaisanterie, Baosi, qui était d'habitude triste, se mit à rire. Le roi renouvela ses frasques, et plus tard, quand les barbares envahirent réellement la capitale, personne ne défendit l'empereur.

Les Zhou orientaux

Sous les Zhou orientaux, le pouvoir des rois fut de plus en plus symbolique et les principautés vassales devinrent pratiquement des royaumes indépendants, entraînant le morcellement de la Chine.

Pingwang, petit-fils de Youwang, régna de -771 à –721. Après avoir déplacé sa capitale et s'être installé à Luoyang, il maintint le mode de gouvernement des Zhou de l’Ouest. Cependant, il répartit son territoire en sept provinces héréditaires. À la tête de chaque province, il plaça un des alliés qui l’avait aidé à conquérir le pouvoir. À la mort de chaque prince, la province était partagée entre tous ses fils : la Chine d'alors est morcelée.

Ce fut la période des « Printemps et Automnes », jusqu'en -481, puis celle des « Royaumes Combattants », qui s'acheva par la chute des Zhou en -256, dont le territoire fut conquis par l'État de Qin. La dernière période vit l'émergence de nombreuses écoles philosophiques, celles des légistes, des confucéens, des taoïstes, des mohistes..., qui transformèrent en profondeur la société chinoise.

Des progrès techniques se produisirent également. La période des Printemps et des Automnes vit l'apparition de la métallurgie du fer en Chine. Très rapidement, grâce à leur maîtrise des hautes températures, les Chinois apprirent à faire fondre ce métal. Durant la période des Royaumes Combattants, ils remplacèrent le char de guerre par la cavalerie montée, sur le modèle des peuples de l'Asie centrale et de la Mongolie.

Les plus anciens textes écrits de la Chine remontent à l'époque des Zhou occidentaux. Ce sont le Shi Jing, un recueil de poèmes, le Shang Shu, encore appelé Shu Jing, qui rassemble des documents historiques, et le Yi Jing, un manuel de divination.

Sur le plan mythologique, les Zhou disaient descendre d'un dieu appelé Houji, le Prince Millet, qui était lui-même le fils de Shangdi, le Seigneur d'En Haut. Houji aurait enseigné l'agriculture aux hommes et établi le premier sacrifice. Quant à Shangdi, c'était le dieu du Ciel. C'est avec les Zhou que le titre de « Fils du Ciel » est pour la première fois utilisé pour désigner les empereurs.

Selon l'historien Sima Qian, les Zhou étaient à l'origine des nomades, qui se sont sédentarisés et ont adopté les coutumes chinoises après leur installation dans la vallée de la Wei: leur souverain « renonça aux mœurs des Rong et des Di (des peuples nomades) ; car il construisit un rempart et une enceinte, des maisons et des salles ; la ville fut alors un lieu distinct. Il attribua les cinq fonctionnaires, qui eurent des attributions ». Il est alors certain que les Zhou n'étaient pas des Chinois. Ils figurent, comme les Mongols ou les Mandchous, parmi les peuples étrangers qui ont pu gouverner la Chine

Mode de gouvernement des Zhou orientaux

Il s’inspire directement du modèle des Shang. Il y a un souverain : le fils du ciel, un premier ministre, issu d’une grande famille : Qinshi ; puis Trois sages/vieillards : ce sont trois ministres sur le même rang :

  • ministre de la guerre (directeur des chevaux)
  • ministre de l’agriculture (directeur de la multitude)
  • ministre des affaires spéciales.

En dessous, il y a trois ministres de second rang. Ils s’occupent :

  • de l’intendance impériale, c’est-à-dire tout ce qui touche à l’empereur
  • des rites
  • de la justice

En dessous, il y a des fonctionnaires (scribes, ce sont plus des gestionnaires) pour l’administration centrale. Ils appartiennent souvent à de grandes familles. Ils sont recrutés sur les « 6 arts libéraux » : il faut savoir lire, écrire, compter, connaître un peu de poésie, savoir tirer à l’arc, conduire un char et avoir des connaissances de bases sur les rites.

Les rois Zhou fondent leurs conquêtes et leur domination sur une idéologie qui constituera le fondement de l’État chinois durant des millénaires : le pouvoir leur est donné par la divinité suprême mais celle-ci ne leur permet de gouverner que s’ils sont vertueux. S’ils manquent à leur devoir une rébellion ou une invasion extérieure peuvent leur retirer ce « mandat du ciel ».

Religion

Culture

Arts

Théories sur les Zhou

Sima Qian nous dit que les Zhou étaient une tribu semi-nomade du nord-ouest et possiblement barbare à cause de ses coutumes, semble-t-il, non chinoises. Cette origine soulève des débats dans l'historiographie sur un développement endogène de la culture chinoise ou bien un apport externe:

Les Zhou, peuple han

Il faut se rappeler que les Shang eux-mêmes, étaient une tribu et les Xia avant eux aussi. Et que fait-on des Sanxingdui retrouvés dans le Sichuan dont les coutumes, (dont quelques unes, pratiquement étrangères) étaient semblables à celles des Zhou ? Dans les écrits des disciples de Confucius, le Maître ne semble aucunement considérer les Zhou comme des étrangers, les citant même très souvent comme exemple de droiture et d'intégrité. Or Confucius vécut des siècles avant Sima Qian, et la plupart des écrits antérieurs à Sima Qian contredisent ce dernier, et certaines biographies laissées par l'auteur (dont celle de Lao Zi) semblent carrément douteuses. Aussi les écrits de Sima Qian sont à prendre avec une certaine réserve.

Les Zhou étaient en fait originaire du Shaanxi, (et non du nord-ouest comme on le prétend faussement) et ils étaient comme les Shang, des vassaux des Xia. Cependant, ils se sont déplacés vers l'ouest, pour échapper aux persécutions de Jie Gui l'infâme souverain Xia. Comme c'était dans un temps très reculé, il semble qu'il fût impossible pour Sima Qian de l'avoir su. Cela dit, il semble avoir extrapolé que les Zhou étaient nomades, ce qui semble hautement improbable, si l'on considère qu'ils se sont déplacés seulement pour échapper aux tyrannies de Jie Gui et qu'ils furent à l'origine des vassaux des Xia.

Les Zhou, peuple d'origine nomade

La position adverse prend en considération le témoignage de Sima Qian ; ainsi Christopher Beckwith[1] les assimile à des nomades indoeuropéens pour trois motifs : Premièrement le fondateur mythique, Hou Chi, suit un parcours typique des mythes de l'Eurasie centrale (Rome, Koguryo (Corée), Ashvins (Inde)). Deuxièmement, la mère de Hou Chi était une Qiang, les pires ennemis des Chang, et les Qiang étaient non-han, peut-être tibéto-birmans (interprétation traditionnelle), et sans doute indo-européens. Enfin, linguistiquement, s'il est vrai qu'il y a une continuité avec le chinois des Chang, il n'y a pas d'évidence de la thèse isolationniste (la langue chinoise se serait développé de manière autonome, sans influence étrangère) et les Chang auraient eux-mêmes pu subir l'influence d'une langue étrangère[2].

Rois de la dynastie Zhou

La dynastie Zhou compta 39 rois :

Rois Zhou occidentaux

Vase qizhong hu pour conserver les boissons. Bronze, époque du règne du roi Gong, Zhou occidentaux. Shanghai Museum

Noms posthumes (wang signifie « roi ») - Noms personnels

  1. Zhou Wen Wang 周文王 (-1122/-1122) - Ji Chang 姬昌 Il n'a pas été roi (Wang) mais un duc (Gong).
  2. Zhou Wuwang 周武王 (-1122/-1110) - Ji Fa 姬发 Il devient roi en 1049 avant Jésus Christ en renversant le dernier roi des Shang.
  3. Zhou Chengwang 周成王 (-1110/-1078) - Ji Song 姬诵
  4. Zhou Kangwang 周康王 (-1078/-1052) - Ji Zhao 姬钊
  5. Zhou Zhaowang 周昭王 (-1052/-1001) - Ji Xia 姬瑕
  6. Zhou Muwang 周穆王 (-1001/-946) - Ji Man 姬满
  7. Zhou Gongwang 周共王 (-946/-934) - Ji Yi Hu 姬繄扈
  8. Zhou Yiwang 周懿王 (-934/-909) - Ji Jian 姬坚
  9. Zhou Xiaowang 周孝王 (-909/-894) - Ji Bi Fang姬辟方
  10. Zhou Yiwang 周夷王 (-894/-878) - Ji Xie 姬燮
  11. Zhou Liwang 周厲王 (-878/-841) - Ji Hu 姬胡
  12. Régence de Gonghe (共和) - Les Duc Zhou de Lu et Shang de Yan gouvernent pendant la vacance du trône
  13. Zhou Xuanwang 周宣王 (-827/-781) - Ji Jing 姬静
  14. Zhou Youwang 周幽王 (-781/-771) - Ji Gong Nie 姬宫涅
  15. Zhou Mi Grande impératrice de Lianyungang 周幽王 (-789/-781)

Rois Zhou orientaux

Noms posthumes (wang signifie « roi ») - Noms personnels

  1. Zhou Pingwang 周平王 (-771/-719) - Ji Yijiu 姬宜臼
  2. Zhou Huanwang 周桓王 (-719/-696) - Ji Lin 姬林
  3. Zhou Zhuangwang 周莊王 (-696/-681) - Ji Tuo 姬佗
  4. Zhou Xiwang 周僖王 (-681/-676) - Ji Huqi 姬胡齊
  5. Zhou Huiwang 周惠王 (-676/-651) - Ji Lang 姬閬
  6. Zhou Xiangwang 周襄王 (-651/-618) - Ji Zheng 姬鄭
  7. Zhou Qingwang 周頃王 (-618/-612) - Ji Renchen 姬壬
  8. Zhou Kuangwang 周匡王 (-612/-606) - Ji Ban 姬班
  9. Zhou Dingwang 周定王 (-606/-585) - Ji Yu 姬瑜
  10. Zhou Jianwang 周簡王 (-585/-571) - Ji Yi 姬夷
  11. Zhou Lingwang 周靈王 (-571/-544) - Ji Xiexin 姬泄心
  12. Zhou Jingwang 周景王 (-544/-519) - Ji Gui 姬貴
  13. Zhou Daowang 周悼王 (-519) - Ji Meng 姬猛
  14. Zhou Jingwang 周敬王 (-519/-475) - Ji Gai 姬[勹+亡]
  15. Zhou Yuanwang 周元王 (-475/-468) - Ji Ren 姬仁
  16. Zhou Zhendingwang 周貞定王 (-468/-440) - Ji Jie 姬介
  17. Zhou Aiwang 周哀王 (-440) - Ji Qubing 姬去病
  18. Zhou Siwang 周思王 (-440) - Ji Shu 姬叔
  19. Zhou Kaowang 周考王 (-440/-425) - Ji Wei 姬嵬
  20. Zhou Weiliewang 周威烈王 (-425/-401) - Ji Wu 姬午
  21. Zhou Anwang 周安王 (-401/-375) - Ji Jiao 姬驕
  22. Zhou Liewang 周烈王 (-375/-368) - Ji Xi 姬喜
  23. Zhou Xianwang 周顯王 (-368/-320) - Ji Pian 姬扁
  24. Zhou Shenjingwang 周慎靚王 (-320/-314) - Ji Ding 姬定
  25. Zhou Nanwang 周赧王 (-314/-256) - Ji Yan 姬延

(1) Les dates mises en crochet (Li Wang [861-841]) ont été calculées d'après l'éclipse du 16 octobre 1876 avant Jésus Christ(4° roi de la dynastie des Xia).

Divers

En astronomie chinoise, le terme de Zhoubo est parfois utilisé pour décrire l'apparition d'un astre nouveau, phénomène alors appelé « étoile invitée ». Dans de rares circonstances, cet événement est personnifié sous le terme de Zhoubo (litt. « comte de Zhou »), auquel est attribué une importance astrologique majeure.

Voir aussi

Notes et références

  1. Christopher Beckwith, Empires of the Silk Road: A History of Central Eurasia from the Bronze Age to the Present, Princeton University Press, 2009, ISBN 978-0-691-13589-2, p45-49
  2. "The mounting evidence against the isolantionnist position, especially from archeology, indicates that the intrusive Indo-European people who brought the chariot had a powerful influence on the Shang culture" in Christopher Beckwith, Empires of the Silk Road: A History of Central Eurasia from the Bronze Age to the Present, Princeton University Press, 2009, ISBN 978-0-691-13589-2, p46

Notes

  1. Notice du Musée Cernuschi rédigée par Gilles Béguin :[1]].
  2. Notice du Musée Cernuschi rédigée par Gilles Béguin : [2].
  3. Notice du Musée Cernuschi rédigée par Gilles Béguin : [3].

Bibliographie

L'art chinois du néolithique à la fin de l'Empire / l'art durant la dynastie Shang

  1. Danielle Elisseeff, Art et archéologie : la Chine du néolithique à la fin des Cinq Dynasties (960 de notre ère), Paris, École du Louvre, Éditions de la Réunion des Musées Nationaux (Manuels de l'École du Louvre), 2008, 381 p. (ISBN 978-2-7118-5269-7)  Ouvrage de référence, bibliographie et Sites Internet.
  2. Danielle Elisseeff, Hybrides chinois : la quête de tous les possibles, Paris, Hazan, 2011, 224 p. (ISBN 978-2-7541-0540-8) 
  3. Jean François Jarrige, Jacques Giès, Pénélope Riboud, Yu Hui, Michael Loewe, Marie-Catherine Rey, Valérie Lavoix, Stéphane Feuillas, Jean-Pierre Diény, Montagnes célestes. Trésors des musées de Chine. Galeries Nationales du Grand Palais, Paris, Éditions de la Réunion des Musées Nationaux, 2004 (ISBN 2711847705) 
  4. Alain Thote, Robert Bagley et Antoine Gournay, Rites Et Festins De La Chine Antique. Bronzes du musée de Shanghai. Musée Cernuschi, Paris, Éditions Findakly, 1998, 189 p. (ISBN 2-87900-365-2) 
  5. Ma Chengyuan, directeur du Musée de Shanghaï, Chen Peifen, Bronzes de la Chine antique, du XVIIIe au IIIe siècle avant J.C. Lyon, Musée de la civilisation gallo-romaine, Electa, 1988, 159 p. ISSN02945606
  6. Lion-Goldschmidt Daisy, Arts de la Chine : volume 1 : Bronze, Jade, Sculpture, Céramique, Fribourg, Office Du Livre, 1980 (ISBN 2851090976) 
  7. Gabriele Fahr-Becker (sous la direction de), Les Arts de l'Asie orientale. Tome 1, Cologne, Könemann, 1999, 406 p. (ISBN 3-8290-1743-X) .
  8. John Chinnery, Trésors de Chine - Les splendeurs de la Chine ancienne, Paris, HF Ullmann, 2011, 223 p. (ISBN 978-3-8331-4694-7) .
  9. (en) Jessica Rawson (sous la direction de), Chinese Art, London, The British Museum Press, 2007, 395 p. (ISBN 9780714124469)  Tout le champ artistique est découpé en six ensembles fondés chaque fois sur la fonction de l'objet d'art - œuvre d'art, étudiée dans son contexte social, culturel et politique. Des synthèses remarquables.

Histoire, histoire des idées, société.

  1. Jacques Gernet, Le Monde chinois. Tome 1, De l'âge du bronze au Moyen Âge (2100 av -Xe siècle après J.-C.), Paris, Armand Colin. Pocket, Agora, 2006, 380 p. (ISBN 2266153684) .
  2. Jacques Gernet, La Chine ancienne, Paris, PUF, Que sais-je ? n°1113, 2005, 127 p. (ISBN 2-13-053984-X)  Réédition du texte de 1964.
  3. (en) Loewe, Michael et Shaughnessy, Edward Louis, The Cambridge history of ancient China : from the origins of civilization to 221 B.C, Royaume-Uni, Cambridge, U.K. ; New York : Cambridge University Press, 1999, 1148 p. (ISBN 0-521-47030-7) 
  4. (en) Loewe, Michael et Shaughnessy, Edward Louis, The Cambridge history of ancient China : from the origins of civilization to 221 B.C, Royaume-Uni, Cambridge, U.K. ; New York : Cambridge University Press, 1999, 1148 p. (ISBN 978-0-521-47030-8) .



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