Déclin des populations d'oiseaux

Déclin des populations d'oiseaux

Les activités humaines ont toujours eu un effet significatif sur beaucoup d'espèces d'oiseaux. Plus d'une centaines d'espèces disparurent dans la période historique. Les plus dramatiques extinctions se sont produites dans l'Océan Pacifique après que les hommes eurent colonisé les îles de Mélanésie, Polynésie et de Micronésie entre 750 et 1800 espèces s’éteignirent[1]. Selon l’institut Worldwatch, beaucoup de populations d’oiseaux déclinent actuellement dans le monde, 1 200 espèces étant menacées d’extinction dans le siècle à venir[2]. La principale raison évoquée est la destruction de l’habitat[3] Les autres menaces incluent la chasse excessive, la mortalité accidentelle due à des collisions avec des avions, la prise accidentelle dans des palangres, la pollution, la concurrence et la prédation par des espèces invasives[4], les marées noires, l’utilisation de pesticides et le changement climatique.

La situation est très variables suivant les espèces. Si une grande majorité ont leur population qui diminue, certaines ont été sauvées de l'extinction, d'autres ont actuellement leur population en voie de stabilisation voire en phase de développement. Ceci est dû aux multiples efforts de protection. Enfin, a contrario, quelques espèces sont invasives et subissent même des plans d'extermination.

Sommaire

Le déclin des populations aviennes

Statut de conservation

le risque d'extinction

Extinction

Éteintes
Éteintes à l'état sauvage

Menacées

En danger critique d'extinction
En danger
Vulnérables

À moindre risque

Quasi menacée
Préoccupation mineure

Voir aussi

World Conservation Union
Liste rouge de l'UICN
Espèce protégée

Espèce éteinte Espèce éteinte Espèce éteinte à l'état sauvage Espèce en danger critique d'extinction Espèce en danger Espèce vulnérable Espèce quasi menacée Espèces menacées Préoccupation mineure Préoccupation mineureIUCN conservation statuses
Portail Conservation de la nature
 v · passereaux. Les Psittaciformes constituent un des groupes le plus menacé avec 130 espèces concernées.

En Europe, ce sont principalement les populations de Passeridae qui diminuent. Des études dans la région d'Hambourg montrent une diminution de 50% des oiseaux depuis les années 1980. 60% des populations de la région de Prague ont diminué depuis les années 1990, tandis qu'une baisse de 15% des populations de moineaux à Paris a eu lieu. entre 1989 et 2002, 89% des hirondelles de fenêtre ont disparu de France. Depuis les années 2000, les passereaux ont pratiquement disparu de Grande-Bretagne.

Aux États-Unis, les populations ont également beaucoup baissé depuis les années 1970, de plus de 80% pour certaines d'entre elle[5]. La situation est similaire en Asie.

En fait les variations observées ne sont pas identiques suivant les régions et les espèces. La LPO estime qu'entre 1989 et 2006, les oiseaux « généralistes » sont en augmentation de 12 %, que les populations d'espèces dans les bâtis sont constantes, que les populations vivant les milieux forestiers ont reculé de 19 %, que les effectifs de ceux liés au milieu agricole a baissé de 29% et parmi ces derniers, ce sont les oiseaux vivant au sol qui sont les plus touchés.

Histoire de la prise de conscience

Même si la prise de conscience qu’il faut protéger les oiseaux est un phénomène ancien puisque en 676 Cuthbert de Lindisfarne édicte ce qui pourrait bien être la première loi de protection de ceux-ci, l'homme est plus ou moins responsable de la disparition d'espèces depuis des siècles. Ces extinctions restaient cantonnées à des espèces précises par une action directe de l'homme sur l'espèce ou son environnement. C'est le cas des rapaces exterminé par les chasseurs en Occident.

Or, toujours en Occident, les populations d'oiseau sont dénombrées d'une façon plus ou moins rigoureuse par les organismes de protection, notamment pour les populations migratrices depuis le début du XXe siècle. C'est au cours des années 1980, que l'on a observé les premières baisses de population de passereaux.

Cause de la diminution

Destruction de l’habitat

La plus grande menace est celle de la destruction ou de la fragmentation de l’habitat[6] Les transformations des forêts, plaines et autres écosystèmes en terres agricoles, le développement des mines et des zones urbaines, l’assèchement des marais et zones humides, et l’exploitation forestière réduisent l’habitat naturel de nombreuses espèces. De plus, les zones qui subsistent sont souvent trop petites pour subvenir aux besoins des populations qui y vivent et sont sujettes à des extinctions locales, les îles étant particulièrement sensibles. La Réunion ou Hawaï[7] sont des exemples d’importantes extinctions d’oiseaux. La disparition des forêts tropicales humides est le problème le plus urgent du fait que ces forêts détiennent le plus grand nombre d’espèces susceptibles de disparaître à court terme. La destruction des habitats a déjà occasionné de nombreuses extinctions comme celles de la Paruline de Bachman ou une sous-espèce de Floride du Bruant maritime, Ammodramus maritimus nigrescens.

Le changement climatique

Le réchauffement climatique, outre les changements de faune peu perceptible pour la plupart des humains en 2008, entraîne pourtant des changements dans le comportement chez les oiseaux. On a observé depuis les années 1980 en Europe que certaines espèces trans-sahariennes comme l'hirondelle de rivage, migrent de l'Afrique plus tôt au printemps[8]. Les mésanges bleues résidentes de la côte méditerranéennes se reproduisent plus tôt, sûrement pour s'adapter aux développements plus précoce des insectes, cependant le taux de réussite des nidifications chutent. Il est vraisemblable que les adultes trouvent moins de nourriture et peinent à nourrir suffisamment leurs petits[9].

La faune planctonique a, elle aussi, changé en raison du réchauffement. Le Puffin fuligineux qui niche dans l'hémisphère sud, peine à nourrir ses couvées, faute de nourriture. On estime qu'environ 40% de la population a disparu depuis 1987[9].

Cependant il est difficile d'incriminer seul le réchauffement climatique, tant d'autres facteurs plus menaçant encore, agissant sur la dynamique de déclin des populations d'oiseaux[8].

Espèces étrangères introduites

Les renards polaires introduits dans les Îles Aléoutiennes détruisirent les populations d'Alcidae. Ici un individu avec un Starique minuscule.

Historiquement, la menace constituée par les espèces introduites a probablement causé le plus d’extinctions d’oiseaux, en particulier dans les îles. Quatre-vingt-dix pour cent des extinctions se sont produites dans les îles, et la plupart des hommes préhistoriques qui causèrent des extinctions étaient aussi des îliens. Beaucoup d’espèces se sont développées sur les îles en l’absence de tout prédateur et ont perdu beaucoup de leurs comportements de défense vis-à-vis d’eux[10]. En se déplaçant autour du monde, les humains emmenèrent avec eux beaucoup d’animaux exogènes qui ont concurrencé ou détruit les espèces autochtones. Certains de ces nouveaux animaux se sont avérés être des prédateurs comme les rats, les chats harets et les cochons, d’autres des concurrents tels que certaines espèces d’oiseaux. Certains de ces concurrents ont modifié les biotopes comme les herbivores qui dégradent les sites de nidification. Les maladies ont également joué un rôle. L’introduction de la malaria aviaire est sans doute une des premières causes d’extinctions à Hawaii[11].

Le Dodo est l’exemple le plus célèbre d’une espèce qui a été probablement conduite à l’extinction par l’introduction d’espèces nouvelles (bien que la prédation humaine ait également joué un rôle). On peut citer d’autres oiseaux qui en furent les victimes comme le Xénique de Stephens, le Po-o-uli masqué et la sous-espèce de la Rousserolle obscure de Laysan. Beaucoup d’espèces actuellement menacées d’extinction, telles que le Glaucope cendré, le Miro des Chatham, la Corneille des Mariannes et le Canard d'Hawaii, sont également vulnérables aux prédateurs introduits.

Chasse et exploitation

Les hommes ont exploité les oiseaux depuis très longtemps, ce qui a déjà occasionné des extinctions. La surchasse s’est déjà produite envers des espèces « naïves » (non habituées à l’homme) telles que le moa de Nouvelle-Zélande[12]. Les estimations de prélèvements faite par en France par l'Office national de la chasse et de la faune sauvage sur les années 1998-1999[13].

Le taux de renouvellement naturelle est inférieur aux prélèvements, seul le Colvert pour lequel des lâchés d'espèces élevées ont lieu, n'a pas des effectifs qui diminuent, mais ceci se fait au détriment d'une pollution génétique.

L’abattage par certains chasseurs de rapaces, particulièrement utiles aux agriculteurs car chassant surtout des espèces nuisibles aux cultures mais perçus comme une concurrence déloyale pour les lagoramorphes, a fortement réduit certaines populations. Les vautours fauves dans le sud de la France, accusés sans preuves formelles de tuer les moutons et vaches, ont été exterminés, avant d’y être réintroduits.

Dans d’autres cas, c’est la chasse menée à un niveau industriel qui a provoqué l’extinction. Le Pigeon migrateur était autrefois l’espèce la plus nombreuses parmi celles actuellement vivantes (et peut-être de tous les temps), la chasse intensive réduisit cette espèce qui comptait des milliards d’individus, au rang d’espèce éteinte[14]. La pression de chasse peut être due au besoin de nourriture, au sport, à la collecte des plumes, ou même à la volonté des scientifiques de collecter des spécimens pour les musées. La collecte de spécimens de Grand pingouin pour des musées provoqua la disparition totale de cette espèce déjà rare.

Entre 1 600 000 et 3 200 000 oiseaux sauvages sont capturés dans les années 1990 dont près de 25% sont des Psittacidae[15] au point de mettre certaines espèces en danger. Entre 1986 et 1988, deux millions de ces oiseaux ont été légalement importés uniquement aux États-Unis.

Ces trafics génèrent des sommes considérables et portent sérieusement atteinte à certaines espèces puisque 30% des 140 espèces de Psittacidés vivant en Amérique sont menacées. Près de 10 000 spécimens d'Ara bleu ont été capturés rien que dans les années 1980, si bien qu'il en reste aujourd'hui moins que ce nombre en liberté[16]. Ces ventes, et les trafics, sont maintenus par le fait que d'une part ces oiseaux se reproduisent souvent mal en captivité et d'autre part que ces oiseaux peuvent valoir cher.

Hybridation

Article détaillé : Hybride.

L’hybridation peut mettre les oiseaux en danger en diminuant la diversité génétique. Le Canard noirâtre a été souvent hybridé avec le Canard colvert entraînant ainsi son lent déclin.

En captivité, quelques sélectionneurs de paon favorisèrent l’hybridation du Paon bleu avec le Paon muet. Ceci a diminué le stock génétique des oiseaux en captivité, certains éleveurs prétendant faussement élever des paons bleus de race pure alors qu’ils proposaient des hybrides. Les paons sauvages vivant dans certains palais bouddhistes et certains jardins sacrés d’Asie du Sud-Est sont en réalité des hybrides et sur certains créateurs de timbres ont même confondu les hybrides avec le véritable Paon bleu[17].

Les autres menaces

Cet albatros est pris dans une palangre.

Les oiseaux font face à beaucoup d’autres menaces, certaines sont marginales comme les collisions d'autre comme la pollutionconduit à un déclin sévère de certaines espèces. Les pesticides (comme le DDT) furent responsables d’un amincissement néfaste des coquilles d’œuf chez les oiseaux nicheurs, en particulier les oiseaux marins et les rapaces situés aux extrémités des chaînes alimentaires[18]. Les oiseaux marins sont également vulnérables aux plaques d’hydrocarbure dues aux marées noires qui détruisent l’imperméabilité de leur plumage entraînant leur mort par noyade ou hypothermie[19]. La pollution lumineuse peut également causer des effets nocifs sur certaines espèces, en particulier les oiseaux marins nocturnes comme les pétrels[20].

Les oiseaux marins affrontent une autre menace, celle de la pêche accidentelle. Ils se prennent dans les filets dérivants ou s’accrochent aux palangres. On estime que 100 000 albatros sont ainsi capturés chaque année et se noient sur les lignes destinées aux thons[21]. Les oiseaux migrateurs sont menacés par la présence de hauts buildings ; un million d’oiseaux environ seraient tués de cette manière chaque année aux États-Unis. Dans le même registre, une controverse a lieu en Europe à propos des éoliennes, mais cette assertion est démentie par certaines associations de protection des oiseaux.

A la fin des années 1990, de nombreuses populations de vautours eurasiatiques ont disparu du fait d'insuffisances rénales chronique suite à l'injection de Diclofénac résiduel présent dans les chair des carcasses d'animaux domestiques[22]. Certaines espèces ont mêmes été placées comme en danger critique d'extinction par l'UICN comme le Vautour chaugoun.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Notes

  1. (en)Steadman D, (2006). Extinction and Biogeography in Pacific Tropical Birds, University of Chicago Press. ISBN 978-0-226-77142-7. Extinction et biogéographie des oiseaux tropicaux du Pacifique.
  2. (en) Worldwatch Paper #165: Winged Messengers: The Decline of Birds, institut Worldwatch. Consulté le 21/7/2006, Messagers ailés : Le déclin des oiseaux.
  3. (en) Help Migratory Birds Reach Their Destinations. Consulté le 21/7/2006, Aidez les oiseaux migrateurs à atteindre leurs destinations
  4. (en)Protect Backyard Birds and Wildlife: Keep Pet Cats Indoors. Consulté le 21/7/2006, Protéger les oiseaux et la faune de votre arrière-cour : Gardez vos chats à l’intérieur
  5. "Common Birds in Decline", National Audubon Society
  6. (en)Gill, F. (1995). Ornithology. W.H Freeman and Company, New York. ISBN 0-7167-2415-4.
  7. (en) « Ritual activity and chiefly economy at an upland religious site on Maui, Hawai'i », dans Journal of field archaeology, vol. 21, no 4, 1994, p. 417-436 [résumé] 
  8. a et b (fr)Philippe Dubois, « Les oiseaux sont aussi concernés », Impact des changements climatiques sur les oiseaux sur futura-sciences, 05/05/2007
  9. a et b (fr)Philippe Dubois, « Les diverses études », Impact des changements climatiques sur les oiseaux sur futura-sciences, 05/05/2007
  10. (en) Blumstein D., Daniel, J., « The loss of anti-predator behaviour following isolation on islands. », dans Proceedings of the Royal Society of London Series B-Biological Sciences, vol. 272, no 1573, avril 2005, p. 1663–1668 [résumé] 
  11. (en) « Pathogenicity of avian malaria in experimentally-infected Hawaii Amakihi », dans Journal of Wildlife Diseases, vol. 36, no 2, 2000, p. 197-204 [texte intégral] 
  12. (en) Holdaway, R., Jacomb, C., « Rapid Extinction of the Moas (Aves: Dinornithiformes): Model, Test, and Implications », dans Science magazine, vol. 287, no 5461, mars 2000, p. 2250 - 2254 [résumé] 
  13. « Enquête », dans Faune sauvage, cahiers techniques, vol. 251, août-septembre 2000 
  14. (en) Eckert, Allan W., L’Incroyable Extinction du pigeon migrateur [« The Silent Sky: The Incredible Extinction of the Passenger Pigeon »], Lincoln NE : IUniverse.com, 1965, 256 p. (ISBN 0-595-08963-1) 
  15. (en) Steven R. Beissinger, « Ecological mechanisms of extinction », dans PNAS, National Academy of Sciences, vol. 97, no 22, 2000, p. 11688–11689 [texte intégral] 
  16. Référence UICN : espèce num 1314 (en)
  17. (en)kickingthorn.com
  18. (en) Grier, W., « Ban of DDT and subsequent recovery of Reproduction in bald eagles », dans Science magazine, vol. 218, no 4578, 1982, p. 1232-1235 [résumé] 
  19. (en) Dunnet, G., Crisp, D., Conan, G., Bourne, W., « Oil Pollution and Seabird Populations [and Discussion] », dans Phil. Trans. R. Soc. B, vol. 297, no 1087, 1982, p. 413-427 
  20. (en) Le Correa, M., Ollivier, A., Ribesc S., Jouventin, P., « Light-induced mortality of petrels: a 4-year study from Réunion Island (Indian Ocean) », dans Biological Conservation, vol. 105, 2002, p. 93–102 [résumé] 
  21. (en) Brothers NP, « Albatross mortality and associated bait loss in the Japanese longline fishery in the southern ocean », dans Biological Conservation, vol. 55, 1991, p. 255-268 
  22. (en) R Cuthbert, RE Green, S Ranade, S Saravanan, DJ Pain, V Prakash, AA Cunningham, « Rapid population declines of Egyptian vulture (Neophron percnopterus) and red-headed vulture (Sarcogyps calvus) in India », dans Animal Conservation, vol. 9, no 3, 2006, p. 349–354 [résumé, lien DOI] 

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