Economie du Maroc

Economie du Maroc

Économie du Maroc


Maroc
Données générales
Monnaie 1 dirham = 100 centimes, 20 riel dans le comptage traditionnel courant citadin, 100 franc dans le langage rural (expression désuète tout de même)
Année fiscale Année calendaire
Organisations économiques Banque mondiale, FMI et OMC
Statistiques [1]
Classement IDH 126 en 2008 ({{{année3}}})
PIB (milliards) $ 81.5 milliards ({{{année4}}})
Classement PIB à parité de pouvoir d'achat par volume : {{{classement PIB PPA}}}e ({{{année1}}})
per capita : {{{classement PIB per capita}}} ({{{année2}}})
PIB par habitant $ 7000 $ en 2008 ({{{année6}}})
Croissance 5.8 % (2008)
Inflation 2.0 % (2007)
Chômage 9,8% (2008)
PIB par secteur agriculture : 19,3%
industrie : 35,5%
services : 45,2% (2008)
Population active (millions) 16,68 (2007)
Population active par secteur agriculture : 40%
industrie : 15%
services : 45% (2008)
Pop. sous le seuil de pauvreté 10,0% (2007)
Industries principales Phosphate , Aéronautique , Automobile, Construction navale, Textile ,

Agroalimentaire , Siderurgie , Electronique , Pharmaceutique , Chimique, Parachimique , Artisanat , Mécanique , Caoutchouc, Bois, Services , Sous-traitance, Cinématographie, Plastique, Audio visuel et Tourisme

Partenaires commerciaux
Exportations (milliards) $ 15 milliards (2008)
Principaux partenaires France, Espagne, Royaume-Uni, Italie et Inde
Importations (milliards) $ 21,841 milliards (2007)
Principaux partenaires France, Espagne, Arabie saoudite, Russie, Italie, République populaire de Chine,États-Unis, Japon, Brésil, Inde, Thaïlande, Corée du Sud et Allemagne
Finances publiques
Dette 19.5% du PIB
Dette externe (millions) $ 15 610
Aide (millions) $ 685 (2006)
n/d= non déterminé(e)

L'économie du Maroc évolue sur un rythme de croissance relativement rapide. Elle a enregistré durant les cinq dernières années un taux de croissance moyen de 5%. En effet, en 2001 et dans un contexte de contre performance du secteur agricole, de morosité de la conjoncture internationale, l'économie marocaine a enregistré un taux de croissance estimé à 6,5 % contre 1 % en 2000, 3,2 % en 2002, 5,5 % en 2003 et plus que 8% en 2006

Les équilibres financiers sont progressivement restaurés. De 12% du produit intérieur brut (PIB) en 1982, le déficit budgétaire a été ramené à 2,7% en 2001 et à 3.5% en 2003.

L’inflation est maîtrisée : de 6,1% en 1995, la hausse des prix a été ramenée sous la barre des 3%. En 2000, elle a été contenue à 2,5%, à 1.4% en 2001, à 2.1% en 2002 , à 1.2 en 2003 et 1,5 en 2006.

La dette extérieure publique marocaine s'est établie à environ 13,6 milliards de dollars au terme de l'année 2006, enregistrant ainsi une légère baisse de 0,6%, alors que le taux d'endettement extérieur s'est amélioré de 2,3 points du PIB, pour passer à moins de 20%.

La reprise de l'investissement est également très nette dans le bilan de l’année 2003. Cette reprise a connu une hausse de 8% par rapport à 2002. Le lancement de grands travaux dans le secteur du bâtiment et travaux publics explique largement cette embellie des investissements.

Autre signe de consolidation macroéconomique, le niveau de l’épargne nationale qui se situe aux environs de 26% du PIB, grâce essentiellement à la progression des transferts des marocains résidents à l’étranger (4.7%), au maintien à un niveau élevé des placements des avoirs extérieurs à l’étranger et à la baisse des charges et intérêts de la dette extérieure publique.

Ainsi l’économie marocaine dispose d’un cadre macroéconomique sain susceptible de constituer un levier efficace pour la réalisation des objectifs de croissance durable, de résorption de chômage qui est de l'ordre de 9,6% Sourceset de réduction de la pauvreté qui est de l'ordre de 10% Sources.

Le Maroc a eu la notation A4 par la Coface, et il améliore la perspective de sa notation pour sa dette à long terme en devises de «stable» à «positive», selon l'agence de notation Standard & Poor's de BB il passe a BB+ en avril 2007.

Sommaire

Présentation générale

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Aujourd’hui le Maroc fait partie de la catégorie des pays émergents, au même titre que l'Inde ou la Turquie.

Le Maroc dispose d'une économie de marché libérale régie par la loi de l'offre et de la demande (bien qu’aujourd’hui certains secteurs économiques restent encore dans les mains du gouvernement).

Le système économique du pays présente plusieurs facettes. Il se caractérise par une grande ouverture vers l'extérieur, à ce titre nous pouvons citer les différents accords de libre échange que le Maroc a ratifié avec ses principaux partenaires économiques :

  • L’accord de libre échange avec l'Union européenne dans l’objectif d'intégrer la (ZLE) Zone Européenne de Libre Échange à l'horizon 2012.
  • L’accord d'Agadir, signé avec l'Égypte, la Jordanie, et la Tunisie, dans le cadre de la mise en place de la Zone Arabe de Libre Échange.
  • L’accord de libre échange avec les Émirats arabes unis.
  • L’accord de libre échange avec la Turquie.
  • Et dernièrement l'accord de libre échange avec les États-Unis est rentré en vigueur le 1er janvier 2006.

Le Maroc est le premier producteur et exportateur au monde de phosphates, ce dernier constitue une entrée importante en devises pour le pays, concentrées dans le nord, 60 % des terres agricoles dans cette région sont vouées à cette activité hautement lucrative.

Il exporte chaque année près de deux millions de mètres carrés de tapis aux couleurs et aux motifs variés.

Les céréales (blé et orge) occupent 50% des terres arables. Importantes pour l'économie, ces cultures sont exploitées sur la base de deux systémes:le premier très moderne l'autre archaïque.Lors des moissons la faucille cotoie la moissonneuse batteuse dernier cri.

Dès l'indépendance, les dirigeants ont décidé d'exploiter les possibilités immédiates qu'offrait le pays. Les objectifs gouvernementaux, avaient plusieurs buts :

  • Dont la valorisation de l'aspect rural et agricole du pays afin de bâtir une agriculture moderne et performante, malgré les conditions climatiques dont souffre le pays. Ceci dans l’objectif d’alimenter l’exportation, les marchés intérieurs du pays, et l’industrie agro-alimentaire. Il faut aussi noter que le secteur de la pêche contribue fortement aux exportations.
  • Les autorités ont opté pour l’exploitation à grande échelle des gisements de phosphates dont le pays possède environ un tiers des réserves mondiales connues à ce jour, entraînant ainsi la mise en place d’un important pôle chimique pour la transformation et la mise en valeur des phosphates.
  • Le secteur de l’industrie de transformation n’est pas demeuré en reste, puisque le pays cherche toujours à attirer de plus en plus d’investisseurs étrangers. Le gouvernement vise le renforcement de plusieurs secteurs comme le textile, les industries de transformation légère, l’industrie mécanique, automobile, pharmaceutique, électronique, les nouvelles technologies et dernièrement le secteur de l’aéronautique grâce aux entreprises nationales et surtout aussi aux nombreuses délocalisations européenne dans ce domaine vers le Maroc.
  • Au Maroc le développement du tourisme a retenu une grande attention de la part du gouvernement d’ailleurs ce dernier a depuis toujours fortement incité les investisseurs privés marocains et les grands groupes internationaux à investir massivement dans ce secteur.
  • Le développement du domaine tertiaire s’est fortement accéléré depuis plus d’une dizaine d’années, avec notamment, les secteurs de la banque, de la finance, de la grande distribution, de la téléphonie mobile et de l’offshoring (délocalisation des centres d’appels, et de services, ainsi que des SSII européennes…)

Aujourd’hui les grandes réformes et les grands chantiers entamés par le pays ont commencé à donner de bons résultats, notamment avec la hausse continue du PNB, et ceci même durant les mauvaises saisons agricoles dues à des périodes de sécheresse très aigues.

PIB

Selon les dernières informations et déclarations du premier ministre le PIB en 2008 est de 128.4 milliards de dollars soit 4 600 $/habitant. Sources Sur le plan économique Africain, le Maroc se classe 5e puissance économique derrière l'Afrique Du Sud, l'Algérie, le Nigeria et l'Égypte.

Points forts de l'économie marocaine

Le Maroc bénéficie de sa proximité avec l'Union Européenne, possède une population jeune bien formée et à faible coût.

Le Maroc jouit d'une stabilité politique, évolue dans le sens de la démocratie, ce qui lui assurent le soutien de la communauté international.[1]

Répartition du PIB en 2006

  • agriculture: 17.7% [2],[3]
  • industrie: 35.7%
  • services: 46.6%

Le Maroc en chiffres

Taux d'analphabétisme (2006) :

  • Urbain = Masculin : 7,1 % | Féminin : 8,1 %
  • Rural = Masculin : 28,9 % | Féminin : 38,7 %

Taux d'équipement (2006) en :

  • Réfrigérateur = Urbain : 94,8 % | Rural : 71,5 %
  • Téléviseur = Urbain : 98,4 % | Rural : 80,2%
  • Voiture = Urbain : 86 pour 1000 | Rural : 47,8 pour 1000

Conditions d'habitat (2006) accès :

  • Eau potable = Urbain : 96,5 % | Rural : 63,5 %
  • Électricité = Urbain : 94,9 % | Rural : 67,3 %
  • Téléphone = Urbain : 99,7 % | Rural : 91,3 %

PNB marocain en 2006

2006: Les indicateurs économiques dans le vert et ce de puis 1999

Tous les indicateurs économiques font ressortir que l'année 2006 a été "excellente", et sans précédent dans l'histoire du Maroc.

"Les projets structurants qui ont été lancés arriveront à maturation entre 2008 et 2010, ce qui est de nature à créer un effet vertueux de levier pour l'économie nationale", a souligné Driss Jettou, lors d'une rencontre avec des responsables et journalistes des médias du secteur public, pour les entretenir de l'évolution de la situation économique et sociale et de l'action gouvernementale en la matière. Le Royaume, qui ambitionne de se positionner en tant que principale plate-forme d'exportation au Sud de la Méditerranée, connaîtra, grâce à cette dynamique, "un véritable décollage économique", a dit Driss Jettou, lors de cette rencontre, qui s'inscrit dans le prolongement de ses contacts avec la presse. Pour arriver à ce résultat, le Premier ministre a rappelé les principes qui président à l'action gouvernementale, à savoir l'assainissement et la recapitalisation des établissements publics et l'accélération du rythme d'exécution des programmes, lancés dans les différentes régions. Le Troisième principe, a-t-il dit, consiste à donner de la cohérence à tous ces programmes et de les inscrire dans le cadre d'une vision à long terme. L'Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH), lancée par SM le Roi Mohammed VI, "est venue apporter cette cohérence dont on avait tant besoin, avec de surcroît une dimension sociale", a tenu à préciser le Premier ministre. Et de souligner que l'opération de restructuration et de recapitalisation des établissements publics à eu pour effet de rendre ces derniers "les fers de lance" de l'économie nationale, citant à cet égard les actions de restructuration ayant touché notamment le Crédit Immobilier et Hôtelier (CIH), la Caisse Nationale de Crédit Agricole (CNCA), la Caisse Nationale de Sécurité Sociale et les Etablissements Régionaux d'Aménagement et de Construction (ERAC). Le Premier ministre a, en outre, passé en revue, les différents chantiers lancés par le gouvernement dans les secteurs de l'éducation nationale, "la priorité des priorités", avec comme objectif d'assurer une adéquation entre la formation et le marché de l'emploi. Il fallait également faire face à un secteur public pléthorique, ainsi qu'aux difficultés que connaît le monde rural, à savoir des déficits sociaux importants et une agriculture de subsistance, basée sur la céréaliculture dans des zones arides, a-t-il rappelé.

MAP (Mis en ligne le 7 février 2007 MAP [4]

Entreprises

Article détaillé : Liste d'entreprises marocaines.

Agriculture

Article détaillé : Agriculture au Maroc.

Le Maroc est un pays avec 40% de vivant du secteur agricole qui dispose d'une surface agricole utile (SAU) estimée à environ 9 500 000 hectares ce qui représente 95 000 km² l'équivalent de 3,11 fois la surface d'un pays comme la Belgique. Les principales productions agricoles du pays sont constituées par les céréales (le blé, l'orge et le maïs), la betterave à sucre, la canne a sucre, les agrumes (oranges, clémentines...), le raisin, les légumes, les tomates, les olives, et l'élevage. Mais la production céréalière en particulier et la production agricole générale restent très dépendantes des conditions et des aléas climatiques que rencontre le pays.

Les céréales

Les céréales figurent comme étant la principale culture agricole du Maroc. La production céréaliére fait vivre une grande partie de la population rurale du pays, mais malgré les progrès de l'irrigation dans le centre et le sud du pays, les céréales restent dépendant d'une bonne pluviométrie, leurs volumes de production peut d’une année à une autre varier du simple au triple (de 30 000 000 q à 100 000 000 q) en fonction des conditions climatiques. Au Maroc le secteur céréalier présente plusieurs facettes, on trouve l'existence d'un secteur d’exploitation moderne concentré sur la cote Atlantique, et le centre du pays, cohabitant avec une agriculture de subsistance.

Les fruits et légumes

Grâce à la construction de nombreux barrages et à la mise en valeur d'importantes zones irriguées le secteur des fruits et légumes est celui qui offre à long terme les plus grandes possibilités d'évolutions. Ce secteur a permis le développement d’une production arboricole performante (agrumes, pommes, nectarines, ...) qui offre de nombreux avantages. Le secteur permet aux populations rurales d'obtenir de très bons revenus, leurs évitant de venir faire grossir les flux d'exodes en direction des centres urbains. Les récoltes permettent d'alimenter les exportations du pays, tout en leurs offrant d'importants débouchés vers l’industrie agro-alimentaire locale. Les principaux produits d’exportations sont la tomate, les agrumes (oranges, mandarines, clémentines, etc.), ainsi que les légumes comme la pomme de terre, la courgette, et les aubergines produits principalement dans le sud du pays, (région d’Agadir).

Viticulture au Maroc

Article détaillé : Viticulture au Maroc.

Les exportations agricoles

Le Maroc est l'un des plus importants producteurs d'olives et d'huile d'olive : 3e mondial en olives consommées et 5e en huile d'olive exportée vers le monde. Les exportations d'agrumes sont également une des plus grandes ressources agricoles du pays. Le Maroc est le 2e exportateur mondial d'agrumes. Quant aux autres exportations maraîchères le Maroc exporte également divers produits dont la valeur ajoutée est estimée à 800 millions $US [5].

L'élevage

Troupeau bovin : 17,5 millions de têtes [5]. *

La pêche

Le pays est l'un des plus grands producteurs de poisson dans le monde. Avec 17 ports le Maroc affiche une production de 589 928 tonnes en 2003 et 593 966 tonnes en 2004 pour une valeur respective de 227 627 400 € et 246 368 700 € soit une variation 0,7% en volume et 8,2% en chiffre d'affaires.

Les 17 principaux ports de pêches au Maroc

Les sardines "Titus" sont pêchées et mises en boîte au Maroc.

Pour les 9 premiers mois de l'année 2005 le volume des débarquements s'élève à 593.966 tonnes

Exportation

  • Exportation en 2003 : 340 169 t pour une valeur de 964 243 900 € [6]
  • Exportation en 2004 : 267 336 t pour une valeur de 727 333 800 €
  • Exportation en 2005 : 333 174 t pour une valeur de 936 897 900 €

L'extraction minière

L'extraction minière est dominée par le phosphate, qui représentait en 1999 95% de l'activité minière[7].

En 2006, le Maroc est le troisième producteur mondial de phosphates, avec 27,0 milliards de tonnes (Chine : 30,7 ; États-Unis : 30,1)[8]. La production est effectuée par l'Office chérifien des phosphates (OCP). Le Maroc est le premier exportateur de phosphates au monde.

Les principaux sites d'extraction se trouvent à Khouribga, Benguérir/Youssoufia, Meskala et Boukraa (Sahara occidental)[9].

Selon l'USGS[10], le Maroc (en incluant le Sahara occidental) détient les deuxièmes plus grandes réserves prouvées de phosphate du monde, avec 5 700 milliards de tonnes (Chine : 6 600), et les plus grandes réserves potentielles, avec 21 000 milliards de tonnes (Chine : 13 000).

Industrie

Depuis l'indépendance, le Maroc s'est lancé dans d'importants investissements pour développer et doter le pays d'infrastructures industrielles de bases. Le secteur industriel représente près de 28% du PIB. Longtemps dominé par les industries agro-alimentaires, du textile et du cuir, le secteur industriel s’est diversifié rapidement grâce à l’essor des secteurs de la chimie et parachimie, du papier et des cartons, des équipements automobiles et de montage de véhicules, les services aux entreprises, l’informatique, l’électronique et l’industrie aéronautique.


Les différentes branches industrielles existantes au Maroc :


  • L'industrie manufacturière : Le Maroc est un pays moyennement riche en matière de ressource énergétique et minière, ( surtout les phosphates). Donc dès son indépendance le gouvernement a veillé à mettre sur pied une industrie manufacturière pour la transformation des produits locaux qui vise à satisfaire le marché intérieur et à nourrir les exportations.


  • L'industrie textile : [11]L'industrie textile est un des secteurs clef de l'économie marocaine, il représente 42% de l'emploi et 34% du secteur manufacturier. Face à la concurrence asiatique, le Maroc veut profiter de sa proximité avec l'Europe et mise sur le Fast Fashion.[12][13]


  • L'industrie agroalimentaire : L'industrie agroalimentaire au Maroc est très performante, le Maroc exporte une bonne partie vers l'étranger il s'agit principalement de biscuits, de boissons, de conserves, de produits laitiers et ses dérivés, de oléagineux, de poissons et produits de mer, de transformation de légumes et fruits.


  • L'industrie navale : Le Maroc produit des bateaux de pêches modernes principalement des chalutiers et des navires de transports...) la principale ville qui abrite cette industrie est Agadir. La société Chantier Naval Agadir Founty (CNAF) a vu le jour en 2002. Elle a pour activité la construction de bateaux de pêches : En 2007 le 1er bateau de pêche marocain exporté fut vers l'Algérie.


  • L'industrie pharmaceutique : [14]L’industrie pharmaceutique marocaine est la deuxième en termes de taille et de chiffre d’affaire au niveau du continent africain. Cette industrie généré un chiffre d’affaire de 900 000 000 €/an soit 9 milliard de Dhs/an. Le Maroc assure entre 80% et 90% de ses besoins en termes de médicament. Le pays exporte notamment vers de nombreux pays européens et africains. Le reste des besoins sont importés depuis l’étranger et principalement depuis la France.


  • L'industrie de l'automobile : Le Maroc produit et assemble depuis 1959 des voitures mais aussi des camions de transports à Casablanca où la société marocaine SOMACA produit les modèles automobiles "Dacia Logan", "Peugeot Partner", "Citroën Berlingo" et "Renault Kangoo". En février 2007 plus de 5000 voitures marocaines ont été exportées vers l'Espagne et la France [réf. nécessaire]. L'Égypte constitue un marché automobiles potentiel important à la suite des accords commerciaux.

En 2007, Renault-Nissan a signé avec l'État marocain des contrats pour la construction d'une usine de production automobile près de Tanger pour une valeur de 1 milliard d'euros et qui va assurer à terme l'exportation de 400 000 véhicules par an à l'horizon 2012, ce qui conduira à un total de 440 000 voitures exportés par an [réf. nécessaire].

Début 2009 une levée d'emprunt bancaire d'un montant de 400 millions (sur un plan d'investissement de 500 millions) de dirhams a été réalisé par la SOMACA auprès de 3 banques marocaines. Ce qui permettra de porter la capacité annuelle de production de 45.000 à 90.000 à fin septembre [réf. nécessaire].


  • L'industrie artisanale : Une bonne partie du produit de cette industrie est exportée vers l'Europe, les principales villes marocaines réputées pour leurs industries artisanales sont Marrakech, Fès, Essaouira, Safi et bien d'autres.


  • L'industrie aéronautique :
    • Cette industrie comporte deux branches : l'aviation civile et l'aviation militaire.

Le Maroc possède une certification ISO dans le domaine de l'entretien et de la réparation des engins d'avions notamment les réacteurs d'avions de tout type (Boeing, Airbus, Jets, avion à hélice).

En outre, la fabrication de composants spécifiques pour les avions tels que les câblages et autres… est destinée à l'export. Les partenaires sont Snecma, BOEING et d'autres firmes internationales. Le secteur aéronautique est un des secteurs ciblé par le plan émergence pour dynamiser l'économie du pays, les villes marocaines ou l'industrie aéronautique est implanté sont par ordre d'importance sont Casablanca, Tanger et Rabat [15]. Ce secteur est en plein boom et une cinquantaine d'entreprises sont installées au Maroc. [16]


  • L'industrie chimique : L'industrie chimique marocaine est la meilleure du continent africain, après celle de l'Afrique du Sud. Elle est resté dominée par la valorisation des phosphates. Les ports de Safi et de Jorf Lasfar ont une industrie pétrochimique extrêmement développée. Mais l'industrie chimique est également florissante à Tanger et à Nador (sidérurgie très développée). La production de ciment est également stimulée par la marché de la construction immobilière (en pleine essor) et est très florissante grâce à l'implantation de sociétés de calibre international comme "Lafarge".

La raffinerie de pétrole de Sidi Kacem et surtout celle de Mohammedia sont parmi les plus grandes raffineries d'Afrique.


  • L'industrie électronique : Le Maroc dispose d'un certain nombre d'atouts pour développer le secteur de l'électronique: L’industrie électronique est née au Maroc dans le courant des années 1950-1960 avec l’implantation de « STMicroelectronics » en 1952, ex-Société de Fabrications Radioélectriques Marocaine. Aujourd’hui, le secteur connaît un véritable engouement pour les branches de montage de cartes électroniques, de circuits intégrés, de centraux téléphoniques et de fabrication de composants électroniques.

Le pays compte plus de 30 unités industrielles, génératrices de près de 7000 emplois. Elles réalisent des exportations pour un montant global de 940 millions de dirhams par an.

La fabrication des composants électroniques dépend, à elle seule, de plus de 11 sociétés et réalise un chiffre d’affaires de plus de 1,2 milliards de dirhams dont 98% de la production est destinée à l’exportation principalement vers la France, aux États-Unis et au marché local.

la proximité géographique de l'Europe une disponibilité d'ingénieurs et de techniciens qualifiés des infrastructures suffisantes et de bonne qualité. ASEL (Association du Secteur de l'Electronique) regroupe les principales industries de l'électronique basées au Maroc. sources


  • Cinématographie : L'industrie du cinéma au Maroc, passant de quelques millions de chiffre d'affaires à un volume d'opérations qui dépasse deux cents millions de dollars par an. L'industrie du cinéma au Maroc est concentrée dans la ville de Ouarzazate (sud est)où beaucoup de films ont été tourné.


  • Les nouvelles technologies de l'information : Classée cinquième mondial en termes de parts de marché, la technologie marocaine dispose de « compétences hautement spécialisées et de solutions performantes, reconnues au niveau international dans les secteurs de la banque, de la poste, des télécoms, de la grande distribution, de l’e-gov et de l’identité électronique, le Maroc est un acteur mondial leader dans la conception et le développement de solutions permettant de dématérialiser les flux d’information, d’effectuer tout type de transaction électronique et de sécuriser les échanges informatisés.

Cette industrie a été développé au Maroc fin des années 1990 elle concerne la technologie 3D. Le Maroc produit des cartes a puces, des cartes crédits...)


  • Les hautes technologies : Elles concernent principalement l'aéronautique, l'électronique, l'informatique, les technologies de communication militaire, spatiales, NTIC et offshoring. Les "H-T" sont situées dans la ville de Casablanca avec le TechnoPark située au Hay hassani.


  • Les zones franches : Le Maroc possède une zone franche à Tanger à 15 km de l'Europe, appelée Tanger free zone qui est une terre d'investissements grâce à sa proximité avec l'Europe, aux facilités administratives, fiscales et logistiques. Sa stratégie consiste à être liée au Port Tangermed qui sera à terme le plus grand port de Méditerranée et d’Afrique. Renault-Nissan à prévu d'y investir 600 millions d'euros et d'y produire 200.000 véhicules par an dès 2010 et 400.000 en 2012.

[17] [18] [19]

Services

Le secteur des services au Maroc est sans doute l'un des plus développé en Afrique du Nord. Les services sont très dynamique grâce notamment au secteur du tourisme (hôtellerie, services touristiques, services de loisirs...), et aux secteurs bancaires et de la finances. Aujourd'hui Casablanca est le plus grand centre financier et industriel du Maroc et au Maghreb. De nombreuses entreprises multinationales qui opèrent au Maghreb et en Afrique de l'ouest ont leurs sièges à Casablanca. En 2008, Casablanca est devenu la deuxième place financière du continent Africain et représente 48% des investissements et 60% du PNB du Maroc [20] . Casablanca est aussi la deuxième place financière arabe derrière la bourse de Ryad en Arabie Saoudite, avec une capitalisation d'environ 800 milliard de dirhams en 2008, ce qui équivaut à environ 87 milliard $. Les années 2005 et 2006 ont été très profitables pour la place casablancaise grâce à un afflux record de capitaux en provenance du moyen orient.

Banques, finances

La bank centrale du Maroc (Bank Al Maghrib)

Sources d'informations :

  • Banque nationale pour le développement économique BNDE
  • BMCI

Le marché boursier de Casablanca

Article détaillé : Bourse de Casablanca.

2 ème place financière d'Afrique après celle de Johannesburg et devant celle du caire et 4e a l'échelle arabe, La capitalisation boursière s'élève à 87 milliards de dollars avec près de 80 entreprises cotées.[21]

Les services aux entreprises (délocalisations)

Aujourd'hui et durant la période 1980-1995, le Maroc a réussi à tirer profit des mouvements de délocalisation en Europe occidentale. Dans ce phénomène là, on peut mettre en évidence deux périodes bien distinctes :

  • La première concerne les délocalisations dans le secteur du textile, et de la petite industrie de transformation.
  • La seconde concerne les délocalisations dans les domaines de l'industrie des hautes technologies, de l'automobile, et des services (call center, services dédiés aux entreprises...)

Les principaux pays émetteurs de mouvement de délocalisation sont la France qui arrive largement en tête, suivie de l'Espagne, de la Belgique et de l'Italie. Mais aujourd'hui le Maroc doit faire face à des pays très compétitifs au niveau de l'absorption des flux de délocalisation, comme la Chine, les pays de l'Est en Europe, l'Inde, l'Égypte, ou encore la Turquie.

La France est le premier client du Maroc, le premier fournisseur, le premier investisseur étranger (en 1989, elle a investi 60 fois plus qu'en Algérie) ; 1200 entreprises françaises environ étaient installées au Maroc en 1990, tandis que les sociétés industrielles à participation totale ou partielle françaises étaient au nombre de 550.

Le commerce et la grande distribution

Au Maroc on dénombre environ 5 enseignes dans la grandes distribution :

  • Aswak Assalam appartenant au groupe Chaabi en collaboration avec le groupe Français Casino.
  • Label'Vie groupe marocain opérant dans la grande distribution en collaboration avec le géant français Carrefour.
  • Hanouty operant dans les quartiers à proximité du client.
  • BIM Géant Turque opérant dans le hard discount de proximité.

Le tourisme

Depuis toujours le Maroc a fondé de gros espoirs sur le tourisme. Durant ces 4 dernières années le nombre d'arrivées de touristes étrangers n'a pas cessé d'augmenter pour atteindre plus de 6,7 millions de touristes en 2006, après une période très difficile pour le tourisme mondial suite aux attentats 11 septembre 2001. Cela dit, les atouts touristique du Maroc sont inestimables. La beauté et les mystères du désert, les rieuses et agréables vallées pré-sahariennes, les neiges éternelles de l'Atlas, les forêts et les lacs aux eaux turquoise, les magnifiques plages de sable fin, la présence de cités impériales d'une beauté sans égal, ainsi qu'une multitude d'autres curiosités, font du Maroc l'un des pays aux potentiel touristique parmi les plus élevés au monde.En 2008 le nombres d'arrivés de touristes étrangers a atteint 8 millions .

Le Maroc présente une carte touristique très variée.

Tourisme culturel

Les villes impériales :

Les monuments romains :

  • M'soura
  • Sala Colonia

Il y a bien d'autres sites romains. Ceux cités sont ceux qui méritent absolument le détour.

Tourisme balnéaire

Pour dynamiser le secteur du tourisme, le gouvernement marocain a récemment lancé le programme Plan azur qui consiste en la création de 6 nouvelles stations balnéaires (Saidia, Lixus, Mazagan, Mogador, Taghazout et Plage blanche) afin de drainer environ 10 millions de touristes à l'horizon 2010. Le nombre de touristes qui ont visité le Maroc en 2006 était de 7.7 millions.

Tourisme de découverte écologique

  • Tourisme saharien
  • Les trekkings

Tourisme sportif

  • Tourisme golfique et équestre
  • Surf

Tourisme médical

De nombreux étrangers affluent chaque année vers le Maroc pour se faire opérer (chirurgie esthétique et cardiaque en grande partie). Cela s'explique par le coût moyennement élevé des interventions et une très bonne qualité des soins.

Les ressources minières

Les principaux produits miniers qui sont actuellement en cours d'exploitation au Maroc sont :

Infrastructures

Routes

Le Maroc dispose d'un réseau routier d'environ 95 000 km en 2006 d'assez bonne qualité mais qui doit encore être renforcé pour faire face au besoin de développement du pays.

Autoroutes

Le Maroc a le plus grand réseau autoroutier du Maghreb et 2e d'Afrique après l'Afrique du Sud.

L'infrastructure autoroutière se compose de plusieurs tronçons:

Au second semestre 2005 on compte environ 290 km en cours de construction :

- Les tronçons en construction:

- Tronçons encore en projet démarrage des travaux prévus pour octobre 2006 sont:

Agadir - Taroudant et Tanger-Oujda (appelés la rocade Méditerranée) seront réalisés sous la forme d'une voie express 2*2 voies sans péage.

Source informations: -ADM [(http://www.adm.co.ma)]

Chemin de fer

Le réseau ferroviaire marocain est le plus développé d'Afrique, il relie toutes les villes principales du royaume.

Carte du réseau ferroviaire marocain

  • Le réseau :

Ce réseau s'étend sur une longueur de 2 120 km dont :

    • 1 060 km de lignes électrifiées.
    • 1 520 km de lignes à voie unique.
    • 600 km de lignes à double voie.
  • Les projets à court terme :

L'ONCF est une entreprise publique et se trouve sous le tutelle du ministère des transport. Cette entreprise envisage à court et moyen terme la réalisation de plusieurs projets de rénovations et d'extensions du réseaux ferroviaire dont voici quelque exemple :

- Construction d'un tronçon d'environ 50 km reliant la ville de Tanger au nouveau port 'Tangermed' inauguré le Mercredi 17 juin 2009 .[2] .

- Construction du tronçon reliant la ville de Taourirt à la ville de Nador sur une distance d'environ 120 km réalisé en 2009.

- Construction du tronçon reliant Sidi Yahya à Mechra Bel Ksiri sur environ 40 km réalisé en 2009.

- Doublement de la voie entre Fès et Meknès sur 60 km réalisé en 2007.

- Doublement de la voie entre Casablanca et Settat sur environ 60 km réalisé en 2008.

  • Les projets à moyens termes :

Pour les projets à moyen terme l'ONCF envisage la réalisation de deux lignes de TGV aux alentours de 2020 en partenariat avec la France.

La première relira les villes de Tanger, Kénitra en 2014, les autres lignes seront réalisés entre 2015 et 2030, Rabat, Casablanca, Marrakech et Agadir.

Et la seconde relira la ville de Rabat, Meknes, Fez, Taza et Oujda pour continuer vers l'Algérie dans le cadre du projet de TGV trans-Maghrébin.

La construction d'une ligne classique reliant Agadir, Goulmine et Laâyoune sur une distance d'environ 450 km.

Source informations:

ONCF (http://www.oncf.ma)

Infrastructures aéroportuaires

  • Aéroports :

Au Maroc on compte environ 19 aéroports internationaux dont celui de Casablanca, le plus important du pays et un des plus grands d'Afrique.

  • Compagnies aériennes marocaines :

Les filiales africaines du Groupe Royal Air Maroc :

Sources d'informations:

La mise en place de la compagnie Air Cémac est encore en cours de négociation avec les pays de la Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale.

La RAM s'est portée candidate à l'appel d'offre lancé par l'état camerounais pour la privatisation de sa compagnie nationale Air Cameroun.

Infrastructures portuaires

  • Les ports de pêches
  • Les ports de commerces et d'industries
  • Les ports pétroliers et minéraliers

Barrages, canaux et irrigation

  • Les barrages
Certains barrages du Maroc
Barrages Bassins Ville la plus proche Date de mise en service Capacité (Mm3)
El Kansera Sebou Khemisset 1935 267,0
Bine El Ouidane Oum Errabiaa Azilal 1953 1 384,0
Mohamed V Moulouya Berkane 1967 410,0
Moulay Youssef Oum Errabiaa Demnate 1969 175,0
Hassan Addakhil SUD ATLAS Errachidia 1971 347,0
Youssef Ben Tachfine Souss-Oued Massa Tiznit 1972 303,5
Mansour Eddahbi Sud Atlas Ouarzazate 1972 529,0
Idriss 1er Inaouen Fès 1973 1 186,0
Sidi Mohamed Ben Abdallah Bouregreg Rabat 1974 486,0
Oued El Makhazine Nord Ksar el-Kébir 1979 773,0
Al Massira Oum Errabiaa Settat 1979 2 760,0
Abdelmoumen Souss-Oued Massa Agadir 1981 216,0
Hassan 1er Oum Errabiaa Azilal 1986 262,5 ----- Mechra Hammadi Moulouya Debdou 1990 269,5
Aoulouz Souss-Oued Massa Aoulouz 1991 110,0
09-avr-47 Nord Tanger 1995 300,0
Saqui El Hamra Sud Atlas Laayoune 1995 110,0
Al Wahda Sebou Ouezzane 1997 3 800,0
Sidi Chahed Sebou Meknes 1997 170,0
Asfalou Sebou Taounate 2000 317,0
Ahmed El Hansall Oum Errabiaa Zaouiyat Echeikh 2001 740,0
Moulay Abdallah Souss-Oued Massa Agadir 2002 110,0
Eaux Usees Bouregreg Dar Maghogh 2006 0,0

La capacité de stockage des barrages au Maroc est passée de 2,3 milliards de m3 en 1967, à près de 16 milliards de m³ en 2004.

Evolution du nombre de barrage au Maroc

Évolution du nombre des grands barrages au Maroc
  • Les canaux
  • Les zones irriguées

Plusieurs autres barrages sont en cours de construction, notamment sur l'oued Guir (Bouanane) et sur l'oued Aït Ameur (Côte entre Essaouira et Agadir)

Les ressources d'énergie : électricité.

  • Puissance installée (2006) : 5 232 MW [22]
  • Energie nette appelée (2006) : 21 105 GWh
  • Production d’énergie électrique (2006) : 19 822 GWh

Répartition de la production :

  • Energie thermique : 18 053 GWh
  • Energie hydroéléctrique : 983 GWh
  • Energie STEP : 603 GWh
  • Energie éolienne : 183 GWh

Liens externes

Reportage: 3D au maroc

Sources

  1. Investir en Maroc : Panorama général
  2. https://www.cia.gov/cia
  3. CIA - The World Factbook
  4. Le Groupe de la Banque Mondiale
  5. a  et b APEFEL
  6. Office National de la pêche
  7. Morocco - Country overview, Location and size, Population, Agriculture, Farming, Fisheries, Industry, Mining, Manufacturing
  8. United States Geological Survey, fiche Phosphate Rock, 2006 Minerals Yearbook, tableau 13 lire en ligne
  9. Voir http://www.mining-technology.com/projects/benguearir/benguearir1.html
  10. United States Geological Survey, fiche Phosphate Rock, Mineral Commodity Summaries, January 2006 lire en ligne
  11. http://www.amith.org.ma/default.asp
  12. www.aed.auf.org/IMG/doc/Comm_Achy.doc
  13. Le Maroc mise sur le Fast Fashion
  14. Pharmacies.ma: Tout savoir sur la pharmacie au Maroc
  15. Le plan « Emergence » pour améliorer la compétitivité industrielle - ARGANA : BdD Développement Durable et Humain
  16. Les ambitions du Maroc sur 'Les Echos'
  17. La zone franche de Tanger. :: Jeune Afrique
  18. Tanger, futur premier port d'Afrique et de Méditerranée : Le roi Mohammed VI a inauguré la première phase du projet portuaire Tanger-Med - Pan Afrique - Maroc - Transport - Af...
  19. Tanger: Le projet Renault-Nissan se concrétise
  20. Selon «Le Point» : Casablanca est devenue la deuxième place financière en Afrique
  21. voir Site officiel de la Bourse de Casablanca
  22. Groupe ONE


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