Eloise

Eloise

Éloise

Éloise
Administration
Pays France
Région Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Arrondissement de Saint-Julien-en-Genevois
Canton Canton de Frangy
Code Insee abr. 74109
Code postal 01200
Maire
Mandat en cours
Marthe Cutelle
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de la Semine
Démographie
Population 715 hab. (1999)
Densité 80 hab./km²
Géographie
Coordonnées 46° 04′ 51″ Nord
       5° 51′ 33″ Est
/ 46.0808333333, 5.85916666667
Altitudes mini. 330 m — maxi. 533 m
Superficie 8,95 km²

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Voir la carte administrative

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Héloïse (homonymie).

Éloise est une communefrançaise du département de la Haute-Savoie de la région Rhône-Alpes.

Sommaire

Géographie

Situation

Surplombant la vallée du Rhône, le village est situé au bord d'un plateau dominant le défilé de l'Écluse au nord, la ville de Bellegarde-sur-Valserine au nord-ouest et le barrage de Génissiat sur le Rhône à l'ouest.

Á l'est, la montagne de Vuache une chaîne dorsale de 13 km de long sur 1,5 km de large d'altitude 700 à 1101 m (Mont Vuache), délimitant l'extrême sud-ouest du bassin genevois.

Transport et voies de communication

La commune est située 37 km au nord-est d'Annecy, à 12 km après Frangy, et à 6 km avant Bellegarde-sur-Valserine. Elle est desservie par :

  • la RN 508 section Annecy - Bellegarde-sur-Valserine ;
  • l'autoroute A40, sortie « Eloise » (2 km) ;
  • le TGV ou TER dans les gares de Bellegarde-sur-Valserine (6 km), Seyssel (18 km) ;
  • l'aéroport international de Genève-Cointrin (34 km) ou aéroport régional d'Annecy (36 km).

Histoire

L’histoire d’Eloise est fortement influencée par l'existence de ses ponts sur le Rhône. Au pont de Grésin, le rocher au milieu de la rivière n'est qu'à six mètres de la rive droite et à trois mètres cinquante de la rive gauche. Le fleuve est guère plus difficile à franchir à Essertoux et sur la perte du Rhône. Rien n'est donc plus facile, dès la fonte des glaciers et les premières occupations humaines du paléolithique supérieur ( de - 12 000 ans à -10 000 ans), que de jeter quelques troncs d'arbres pour passer d'une rive à l'autre. Ces passages privilégiés, relativement rares sur un fleuve comme le Rhône, font d'Eloise un lieu de passage probablement fréquenté par les tous premiers chasseurs préhistoriques. François Burdeyron pense que ces hommes ressemblent aux actuels esquimaux. Des grottes sont leurs premiers abris, comme les grottes du Salève et du Vuache. Ne faisant que passer, ils n'ont probablement pas créé d'habitat en dur à Eloise. Mais peut-être y ont-ils tracé les premiers chemins que nous utilisons encore, pour certains, aujourd'hui. Possédant armes et outils de silex, ils sont chasseurs de rennes et de marmottes. Au fil du temps, ils taillent des silex plus petits. Le climat se radoucissant au mésolithique, ils suivent vers le nord leur gibier préféré.

Les tribus sédentaires du néolithique leur succèdent entre -5000 et -2500. Taillant des pointes de flèches ou polissant des haches, ils établissent les premières clairières, cultivent le sol, élèvent du bétail, tissent, confectionnent des poteries. Ces pionniers de la civilisation rurale ébauchent par défrichements et labours le paysage de nos campagnes actuelles. C’est à eux sans doute que l’on doit le choix de la plupart des emplacement de village où notre habitat succède au leur. Eloise, Fiolaz, Essertoux, sont probablement des clairières déjà habitées et les bâties d'Eloise et d'Essertoux peut-être déjà érigées dès la fin de cette époque pour protéger les populations des envahisseurs armés de cuivre puis de bronze. De fait, plusieurs spécimens de silex ont été découverts sur la commune dans les années 1970-1980 par Marius Fillon.

François Burdeyron envisage une hypothèse pour l'origine d'Eloise qui s'appuie sur une légende qui manque naturellement de preuves sérieuses. À l'âge du bronze, les métallurgistes de l'île de Chypre ont besoin d'étain, métal qui entre dans la composition du bronze. Afin d'importer de l'étain britannique, de bonne qualité, Chypre confie à Hercule et à son peuple le soin d'établir les communications terrestres nécessaires. Jalonnant le parcours de multiples bourgades Hercule donne à ces villages le nom d’Alasia. Alésia en Bourgogne serait une de ces localités. De Alasia à Aloysie, appellation trouvée par Burdeyron pour Eloise dans la reconnaissance de 1311, il n’y a pas tellement de différence. La question que s'est posée François Burdeyron a donc été de savoir si Eloise a été créé par Hercule pour le ravitaillement de ses convois et la défense du passage stratégique que constitue le pont de Grésin. L’étain aurait ensuite poursuivi sa route à dos de cheval vers Chypre via le chemin des crêtes de Fruitière, les cols des Alpes et l'Italie Etrusque. Eloise était-elle un jalon sur la voie Héracléenne ? Rien ne permet d'étayer cette hypothèse, mais c'est une belle légende...

Le site d'Eloise, propice aux traversées du fleuve, semble bien être connu depuis l'antiquité. Aristote connaît "la perte du Rhône en pays Ligure" bien qu'à partir de l'âge de fer, les Ligures aient cédé (vers - 480) la place aux Celtes. Cette civilisation brillante noue beaucoup de contacts et d’échanges commerciaux avec la Grèce, via l’Italie Etrusque. Des monnaies, des vases, des amphores de vin grec, des céramiques étrusques, et d’autres objets précieux inondent le monde celte. Une partie de ces marchandises a probablement traversé le Rhône à Eloise. Par ailleurs, au confluent, ou presque, de trois nations (Allobroges au sud du Rhône, Helvètes au nord-est et Séquanes au nord-ouest), Eloise et ses ponts stratégiques ont probablement longtemps nourri les convoitises de ces bouillants voisins et connu des passages de troupes avant l'occupation romaine. Mais la civilisation celte ne laisse pas de trace écrite et la connaissance exacte de cette époque est bien incertaine.

Au premier chapitre de la guerre des Gaules, les Helvètes qui quittent leur pays ne traversent pas le Rhône entre Genève et le Vuache comme c'était leur intention première. César a fortifié le pays. Les Helvètes suivent donc la rive droite du Rhône dans le défilé de l'Ecluse puis traversent le territoires des Séquanes en direction de la Saône. Il serait logique que les lieutenants de César aient, à cette occasion, fait sauter les ponts d'Eloise et y ait placé des légions chargées de s'opposer à la traversée du Rhône. Eloise et Fiolaz deviennent par la suite des villages gallo-romains. Les tuiles et les poteries découvertes par Marius Fillion attestent d’une passé gallo-romain à Fiolaz.

La fin de l'Empire romain et ses invasions successives et destructrices laissent la région sous-peuplée. L'Empire finissant y installe alors en 443 ce qu'il reste des Burgondes après leur défaite contre Attila. Ils y prendront progressivement le contrôle de l'administration en attendant la grande domination francque. Peut-être quelques petits chefs burgondes ont-ils régné alors sur les villages d'Eloise et de Fiolaz, remplacés plus tard par quelques petits chefs francs.

A l’époque mérovingienne les moines de l'Abbaye de Saint Claude défrichent des terres. Ils construisent sans doute la première église. Selon la légende, c'est par le chemin de Fruitière que les reliques de Saint Vincent seraient arrivées à Eloise. Ne pouvant aller plus loin que la croix qui domine le chemin venant de la bâtie, un ramoneur les aurait jetées dans un buisson. Elles y sont facilement découvertes car les vaches se mettent à danser de façon étrange autour du buisson.

Vers l’an mil, l'abbé de Saint Claude remet ses terres en fief aux seigneurs d’Arlod. Trois siècles plus tard, son lointain successeur cherche à obtenir des seigneurs qui les administrent la reconnaissance de leur vassalité à l'Abbaye. C'est la reconnaissance de 1311, l'un des plus anciens documents parlant d'Eloise, qui a été étudiée par François Burdeyron. Le Comte de Genève a pour vassaux, à Eloise, Orsinat de Bastie, seigneur de la Bâtie d'Eloise, Gilet de Loysie, Humbert et ses frères, qui possèdent une maison forte et le molard de la poype, les Beyne de Baloysie, Humbert de Fayolle, seigneur de la maison forte de Fiolaz et Guichard, probable seigneur de Méral.

Ces fiefs ne semblent pas couvrir la totalité de la commune actuelle d’Eloise. Les Certous d’Arlod, où une bâtie existe en 1237, dépendent directement d’Arlod. Il est curieux que la partie nord-est de la commune, la Cugnère, le Dos à l’âne, l’Echeire, n'appartienne pas à une seigneurie chargée d'assurer la garde du pont de la perte du Rhône. La famille de Leschieres qui vit à Eloise en 1561 (voir la Gabelle du sel) pourrait être la survivance d'une hypothétique famille centrée sur l'Echeire et l'actuelle maison du Dos à l'Ane, idéalement placée pour défendre le pont de la perte du Rhône.

La seigneurie de Méral, à l’emplacement de la ferme actuelle, est propriétaire du rocher servant de support au pont de Grésin. Bien postérieur est le fort de Méral, dont les soubassements ont été ponctuellement mis au jour dans les années 1980 par Marius Fillion. Il est construit vers la fin du XVI° siècle et figure sur la carte de Beins (1606). La maison forte de Méral ne joue plus alors aucun rôle défensif du pont de Grésin. Le Comte de Genève ayant acheté le château d'Arlod, c'est le châtelain d'Arlod qui veille à la sécurité de toute la Semine.

Le pont de Grésin retint longtemps l'attention des grands de ce monde. Souvent opposés aux rois de France, les Ducs de Savoie favorisent les Espagnols qui ont des intérêts aux Pays-Bas. Par l’Italie, la Savoie, le chemin des espagnols sur la commune de Clarafond (Fruitière), le pont de Grésin, la vallée de la Valserine et la Franche-Comté, les troupes ibériques peuvent aller, grâce à la complicité des Ducs de Savoie, de Méditerranée en Hollande sans s’exposer aux armées françaises.

En 1536, François Ier remporte la première manche en attaquant la Savoie. La Savoie est occupée vingt-trois ans, mais le pont revient de nouveau sous la coupe savoyarde en 1559. Après la déroute de la flotte espagnole en 1588, l’itinéraire du pont de Grésin devient stratégique pour l'Espagne. C’est dans cette période qu’est construit un fort à Méral pour défendre le pont.

Henri IV, à son tour victorieux du Duc de Savoie, s’empare en 1601 de la rive droite du Rhône. Bizarrement, le pont de Grésin, les paroisses de Léaz, Lancrans, Chézery et les villages de la vallée de la Valserine restent savoyards. Certes, le Duc de Savoie ne peut s'opposer aux Français qui voudraient franchir le pont de Grésin et ne peut y tenir de fort. Mais les diplomates ont préservé le passage des Espagnols et l’intérêt stratégique du pont de Grésin. La suppression du péage intéresse aussi les contrebandiers. Arrivant de Suisse ou de Savoie par la rive gauche, ils profitent du pont pour s’introduire en France.

Henri IV n'est pas dupe. En 1602, le Maréchal de Lavardin, responsable de la garde du pont sur la Valserine à Coupy, fait retirer les planches du Pont de Grésin. Le tollé diplomatique qui s'ensuit contraint Henri IV à remplacer de Lavardin par le Duc de Bellegarde. Certains historiens y voient l'origine du nom de cette commune voisine, qui n’est alors que Musinens. Mais la fragilité du pont est démontrée. La Savoie et l'Espagne cherchent des passages plus sûrs par le pays de Vaud. Après l’échec lamentable des Savoyards à l'escalade de Genève en 1602, les Espagnols doivent se contenter des trois planches du pont de Grésin. Le seigneur de Ballon assure la garde du fort de Méral, mais les effectifs restent bien modestes.

C’est Richelieu qui a le dernier mot. Pendant l’occupation française de 1630, il fait raser le fort de Méral dont l’existence fut finalement bien courte. Le Pont de Lucey sur la perte du Rhône supplante alors les ponts de Grésin et d’Arlod. Les chemins d’accès y sont meilleurs pour qui veut traverser aisément le Rhône.

Le 18ème siècle est peu favorable aux Eloisiens. L’administration sarde fait réaliser un nouveau cadastre. C’est la Mappe Sarde de 1730, avec ses Tabelles des Propriétaires, qui sert à calculer l’impôt foncier (taille). C'est l'occasion de raviver des droits seigneuriaux oubliés. Pour Eloise, la taille passe de 557 livres à 1214 livres. Le syndic et les conseillers d’Eloise écrivent bien une requête au Roi. Mais ils n'obtiennent qu'un abattement de 120 livres et l’addition reste lourde.

Le milieu du siècle est épouvantable. L’occupation espagnole de 1742 à 1749 est écrasante. Les loups dévorent un enfant au Bois d'Arlod en septembre 1744. La joie est de courte durée en 1749 avec le départ des troupes espagnoles puisque immédiatement après arrivent les corvées pour la remise en état de la route de Seyssel à Genève. Elles dureront quarante ans. Les habitants d'Eloise sont exempts de construction de cette route, mais ils sont de corvée sur leur propre territoire pour l’entretien des routes menant aux ponts sur le Rhône. Ces corvées effectuées sous la contrainte épuisent les hommes et les animaux de trait. Les productions agricoles en pâtissent. La faim tenaille les populations de toute la Semine. Le châtelain Donzier signale des habitants d'Eloise qui en avril et mai 1772 "mangent l’herbe des prés pour s’empêcher de mourir de faim". Pour tout arranger, l’été 1772 déverse des quantités importantes de grêles qui saccagent les récoltes.

L'abandon total de la rive droite du Rhône à la France le 24 mars 1760 (traité de Turin) fait définitivement oublier aux diplomates l’existence du pont de Grésin. Mais pas sans doute aux gabelous qui traquent les nombreux contrebandiers. Dans les années qui suivent les mauvaises récoltes de 1768, il est interdit de sortir du grain de Savoie. La présence d'un moulin près du pont de Grésin sert de prétexte à y amasser du grain qui traverse ensuite en fraude la rivière sur des bateaux.

L’abandon de la rive droite du Rhône à la France a une contrepartie favorable pour Eloise qui recueille Essertoux, précédemment dépendance d’Arlod. Avant 1760, l’état-civil d’Essertoux doit donc être consulté sur la paroisse d’Arlod.

A l’annonce de la Révolution Française, les dirigeants Sardes craignent sa contagion à la Savoie. Un détachement militaire arrive à Eloise dès août 1789 pour surveiller la frontière. Mais l’armée révolutionnaire française entre dans Chambéry en 1792. Les corvées sont abolies. La religion est férocement combattue, mais les populations restent croyantes. Des récits légendaires, maintes fois répétés, circulent sur cette époque. L’abbé Picollet, prêtre réfractaire, rayonne sur la Semine. Il officie chez les Donzier lorsque les gendarmes arrivent. "Allons mon p’tiou", dit la maîtresse de maison au prêtre déguisé en berger, "ê faut de remoua, y’é bin timps d’bailli à mgi é béties". Le faux berger sort donner à manger aux bêtes et disparaît à la barbe des gendarmes. Une autre fois, les gendarmes arrivent alors qu’il officie chez les Rey. Des femmes sautent au cou des gendarmes et leur enveloppent la tête de leur tablier pendant que le prêtre s’échappe.

La chute de Napoléon à Waterloo et son corollaire, la restauration sarde de 1815, rendent les éloisiens à un roi qu’ils quittent définitivement à l’annexion de 1860. L’histoire d’Eloise se fond depuis dans l’histoire de France et celle de ses guerres mondiales.

D’abord en zone libre à la capitulation de 1940, Eloise passe rapidement en zone occupée. En cette période trouble, l'histoire d'Eloise subit encore de plein fouet l'influence de ses ponts. Les sabotages périodiques rythment le ravitaillement des habitants. En 1943, un groupe franc, les « Sans Pardons » se crée à Eloise sous l’impulsion de Robert Gassilloud, maire. Il se place sous le commandement du chef de secteur de St Julien, le lieutenant Pierre Ruche.

En 1944, les maquis de l’Ain attendent une importante livraison d’armes. Mais le vent emporte les précieux parachutes sur la commune d’Eloise. L’essentiel des armes est récupéré de nuit par les Sans Pardons. Soixante hommes s’arment cette nuit-là.

En juin 1944, les maquis de l’Ain investissent Bellegarde et le Fort l’Ecluse. Pour défendre Bellegarde, il est demandé au maquis de Semine de couper la route allant de Frangy à Bellegarde. Le 9 juin 1944, c’est la bataille d’Eloise, à Freney. Soixante maquisards empêchent le passage de plusieurs centaines de soldats allemands. Trente soldats allemands sont tués sans pertes officielles côté maquis. Mais les Allemands franchissent bientôt le Pont-Carnot à Collonges et reprennent le Fort l’Ecluse. Les positions deviennent intenables. Les maquis de l’Ain doivent abandonner Bellegarde et les Sans Pardons doivent quitter Eloise.

Suivent alors les représailles : maisons visitées, fouillées, saccagées, objets de valeur volés sont le lot commun. Certains sont plus malheureux. Quatre maisons sont incendiées et cinq personnes sont tuées. Ces tragédies valent à Eloise la croix de guerre avec étoile de bronze.

En 1948, le village d’Essertoux et les sites historiques des ponts de Grésin, d’Arlod et de la perte du Rhône sont noyés par la mise en eaux du barrage de Génissiat.

Administration

Liste des maires successifs de 1900 à nos jours
Période Identité Parti Qualité
<1910 ... Jean-Marie Bouchoud ... ...
... ... ... ... ...
<1932 >1944 Robert Gassilloud ... ...
... ... ... ... ...
... 1965 Paul Perrier ... ...
1965 1977 André Berthellod ... ...
1977 1995 Henri Bouniol ... ...
1995 mars 2008 Jean Ninet ... ...
mars 2008 → en cours Marthe Cutelle ... ...


Éducation

  • Groupe scolaire « la Prairie » (septembre 1998).

Élections

Régionales 2004 1er tour

Résultats complets

Inscrits 541
Votants 320 59,15%
Exprimés 304 95,00%
LCR/LO 11 3,62%
PS/PCF/PRG 100 32,89%
Verts 45 14,80%
DVD 9 2,96%
UDF/UMP 71 23,36%
FN 65 21,38%
MNR 3 0,99%

personnalités liées à la commune

Lieux et monuments

  • Église St-Vincent
  • Musée municipal paysan

Patrimoine culturel

  • Bibliothèque municipale
  • Maison du Terroir : Préhistoire, histoire, géologie, ethnographie, botanique
  • Espace d'Animation / salle des fêtes

Notes et références


Voir aussi

Article connexe

Liens externes

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