Famille de Ficquelmont

Famille de Ficquelmont
Armoiries de la Maison de Ficquelmont[1]

La famille de Ficquelmont est une maison « d'ancienne et illustre » noblesse lorraine, reconnue parmi les Chevaux de Lorraine[2]. Grande famille aristocratique dont l'extraction nobiliaire est immémorial et chevaleresque[3], elle a connu une aire d'expansion considérable, s'illustrant parmi les plus anciennes lignées de la haute noblesse de Lorraine[3], du Saint-Empire[4], d'Autriche et de Hongrie[5], de France[6],[7], de Russie[8], des Pays-Bas[9] et de Belgique[10], elle est aujourd'hui éteinte dans les mâles au sein de deux familles[11].

Sommaire

Ancienneté

La famille Ficquelmont est issue du lieu-dit éponyme situé à Thumeréville en Meurthe-et-Moselle (Lorraine). Plusieurs légendes existent sur son origine selon lesquelles elle remonterait aux temps des rois barbares, certains auteurs[12] établissant même sa généalogie dès "Conrad de Ficquelmont qu'ils font vivrent en 781"[13]. Néanmoins, son nom n'est formellement reconnu que depuis le début du XIIe siècle avec Gérard de Ficquelmont, chevalier, cité en 1138 et Pierre de Ficquelmont, dit Chappotin, en 1269 [14] et sa filiation complète n'est établie avec certitude qu'avec Henri de Ficquelmont, chevalier, mort avant 1386, époux de Marie Le Loup[15].

L'histoire de cette famille se répartie en trois périodes et trois « espaces », qui marquent son élévation au sein de la noblesse lorraine et impériale (à partir du XIe siècle), française et autrichienne (à partir du XVIIIe siècle) et enfin européenne (après 1789). L'approche par espace est ici privilégiée.

Illustration

En Lorraine

Beffroi de Briey, prévôté de la famille

La famille Ficquelmont "appart[ient] à la vieille chevalerie de Lorraine, elle [y fut] l'une des plus distinguée par son ancienneté et ses alliances"[16]. En Lorraine les membres de la famille sont titrés comtes de Ficquelmont et du Saint-Empire[17], de Parroy, de Champcourt, de Bathelémont, chevaliers et barons de Lorraine, seigneurs d'Hénaménil, Crion, Flin et autres. Ainsi, on trouve trace que "[...] le 22 mars 1715, Charles-Henri, comte de Ficquelmont, chambellan de S.A.R., comte de Parroy etc., fait ses foi et hommage pour ses terres et seigneuries de Parroy, Hénaménil, Crion, Bathelémont, Laneuveille-aux-Bois et le fief de Flin"[18].

Dès le début du XVe siècle, les ducs de Lorraine attribuent aux comtes de Ficquelmont les fonctions de gouverneurs, capitaines et prévôts de Briey. Ainsi, au-delà de leurs seigneuries ancestrales[19], les comtes de Ficquelmont exercent leur autorité sur l'une des plus puissantes citadelles du duché avant d'occuper, aux siècles suivants[20], les plus prestigieuses charges de la Cour ducale de Nancy, souvent Grand chambellans, maîtres de cérémonie, Grands Ecuyers ou capitaines des ducs. Les écrits portant sur la famille nous permettent ainsi de citer certains de ses membres[21]:

Blason de l'Ordre de Malte auquel la famille donna plusieurs chevaliers
Abbaye de Mouzon, développée par René-Louis de Ficquelmont
Abbaye de Remiremont à laquelle la famille donna plusieurs abbesses

En outre, fidèles à l'extraction chevaleresque de l'ancienne noblesse, les comtes de Ficquelmont fournissent de hauts dignitaires aux ordres de chevalerie de Saint-Jean de Jérusalem, de la Toison d'Or et du Dragon ainsi que des chefs de guerre et des diplomates au service de la France[35], de l'Espagne ou de la Papauté[36]. C'est ainsi qu'en 1709 s'éteint sa branches aînée avec le comte Léonard de Ficquelmont[37], colonel du roi Philippe V d'Espagne, décédant sans descendance en Catalogne au cours d'une campagne de la Guerre de Succession d'Espagne.

Entre la France et l'Autriche

Après l'union de François III de Lorraine et de Marie-Thérèse d'Autriche, la famille servit les Habsbourg[38], prenant place parmi la haute noblesse autrichienne. Mais, au traité de Vienne de (1738) la Lorraine entra dans le giron de la couronne de France et les Ficquelmont, au même titre que les principales familles de la noblesse lorraine, obtinrent une dispense royale afin de servir et résider à leur guise en France ou dans l'Empire.

Pour une partie de la famille, déjà établie à la Cour impériale de Vienne, le choix se fait pour l'Empire. Elle est représentée principalement par le Reichsgraf Charles de Ficquelmont, grand chambellan de l'Empereur François de Lorraine, capitaine des cuirassiers de Sa Majesté Impériale et commandant de la garde des chevaux légers[39] décrit ainsi dans Correspondance secrète entre Marie-Thérèse et le Comte de Mercy [40]"Charles, comte de Ficquelmont, Lorrain de naissance, n'avait que douze ans lorsque le duc François de Lorraine, plus tard empereur François Ier, l'emmena en Autriche. Après avoir servit comme page a la Cour imperiale, il fut nommé officier de l'armée [...] il fut nommé grand chambellan en 1764" et par son fils, le Reichsgraf Jacques-Charles de Ficquelmont[33], capitaine de la garde et grand chambellan de l'Empereur François de Lorraine, commandant du régiment de cavalerie de Kalchreuth puis de Thun.

Tandis que pour le reste des Ficquelmont, le choix est résolument français : le comte Charles-Henri fait recevoir chacun de ses enfants aux Honneurs de la Cour de Versailles. Les honneurs de la Cour furent toujours réservés aux familles de la meilleure noblesse française parmi lesquelles les Ficquelmont prirent ainsi place[41]. Grand seigneurs lorrains, ils restent néanmoins très attachés à leurs terres ancestrales, siégeant au Parlement de Nancy et créant de nombreuses institutions comme celle de la Sainte-Croix de Nancy ou celle du chanoine Charles de Ficquelmont[42] à Woippy et finançant les Abbayes de Flavigny et Remiremont ou encore la cathédrale de Metz. Leurs principales demeures lorraines sont alors les châteaux de Dieuze et Parroy et leur Hôtel de Nancy.

Pourtant, cet état de fait ne dure guère. Les événements de 1789 se précipitant, l'univers de Cour de France est sur le point de disparaître : le 6 Octobre 1789, la famille royale est contrainte de quitter Versailles pour le Palais des Tuileries. La première Révolution française frappe durement les Ficquelmont qui subissent de plein fouet la Terreur (plusieurs décapitations sont documentées[43]) et se voient dispersés à travers l'Europe.

En Europe

Les Ficquelmont sont alors reconnus et confirmés dans leurs titres en Autriche, en Hongrie, en Allemagne, en Russie, en Savoie-Sardaigne, à Naples, en Espagne et au Royaume-Uni des Pays-Bas (futurs Pays-Bas et Belgique)[10], mais ils resteront désormais séparée en trois branches.

L'une choisie tout naturellement l'émigration en Autriche où les Ficquelmont conservaient biens, attaches familiales[44] et soutiens jusqu'au sein de la famille imperiale (comme l'illustre le comte Joseph de Ficquelmont qui fut personnellement recommandé par l'archiduchesse Marie-Christine à l'Empereur Léopold II dans une lettre datée du 30 janvier 1792[45]) : ceux-ci combattirent aux côtés de l'Armée des Princes puis au sein de l'Armée impériale autrichienne. Leur principal représentant est le comte Charles-Louis de Ficquelmont, né au château de Dieuze le 23 mars 1777. Brillant diplomate et chef du parti conservateur impérial, il succéda au prince Klemens von Metternich à la tête de l'Empire d'Autriche en 1848. Il épousa la comtesse Dorothée von Tiesenhaussen[46], de cette union ne naquit qu'une fille unique, Elisabeth Alexandrine[47], devenue princesse Clary d'Aldringen, avec laquelle cette branche s'éteignit.

Une autre branche s'installa au Royaume-Uni des Pays-Bas où elle fit reconnaître ses titres et armes de comtes de Ficquelmont récréés à son profit au sein de la noblesse néerlandaise[10]. Cette branche se scinda en deux au moment de la Révolution belge de 1830. En effet, une partie de la famille resta fidèle au roi des Pays-Bas, elle est représentée par les comtes Florimont Maximilien de Ficquelmont (1800-1858), officier d'ordonnance du roi des Pays-Bas, décoré de l'ordre de Guillaume Ier et de la médaille de Java; et Antoine Jacques de Ficquelmont (1789-1839), aide de camps du prince Frédéric des Pays-Bas, cette branche prit part à l'aventure coloniale du royaume et s'illustra jusqu'aux Indes Orientales Néerlandaises où ils s'installèrent un temps à Batavia (auj. Jakarta). Une autre partie choisie de devenir belge et fut intégrée à la noblesse du nouveau royaume où elle fut également reconnus dans ses titres et armes. Installée entre ses propriétés de Bruxelles et Huy, cette branche est connue sous le nom de comtes de Ficquelmont de Vyle et s'éteignit dans les mâles en 1948. Néanmoins, le nom seul fut transmis par adoption simple en 1991[48] à un descendant au troisième degrés par les femmes de la branche autrichienne, Jean Clément d'Albis, devenu d'Albis de Ficquelmont[49].

La dernière branche resta (ou revint) en France. Ainsi, la Restauration vit la réunion du comte Maximilien-Chrétien de Ficquelmont et de plusieurs de ses enfants dont la marquise Marie-Charlotte Bourrier de Montreux (1771-1848), la comtesse Marie-Jeanne Clotilde de la Lance[50] (1779-1835), Alexandrine-Eulalie (1773-1823), abbesse de Flavigny et la comtesse Henriette Philippine de Ficquelmont (1780-1843)[51]. Cette branche ne perdurent plus aujourd'hui qu'avec les Marie de Ficquelmont[52], descendants de cette dernière, qui se sont depuis bien illustrés parmi l'élite militaire et scientifique française : depuis la création de l'ordre par Napoléon Ier, chaque génération s'est vue décorée de la légion d'honneur[53]. De ceux-ci furent issus Clotilde de Vaux (1815-1846), muse d'Auguste Comte qui l'érigea en déesse sagesse du Positivisme (elle est la nièce de Charles-Louis de Ficquelmont); son frère Maximilien Marie de Ficquelmont (1819-1891), polytechnicien et brillant mathématicien, il est l'inventeur du chiffre I qui a résolu l'un des plus grand problèmes mathématiques en introduisant le concept de nombres imaginaires ; Armand Marie de Ficquelmont (1909-1998), scientifique français dont les travaux portèrent notamment sur l'eau lourde[54],[55]; Eric Marie de Ficquelmont (1954)[56], dirigeant d'entreprises, directeur des ressources humaines de la CGEA (1990), puis de Vivendi Environnement (2000), puis Directeur général adjoint, DRH et Directeur de la communication de Véolia Environnement de 2003 à 2006, puis Directeur Général du groupe Ginger, Président des Meilleurs ouvriers de France, auteur de l'essai socio-politique Zapping Connection[57],[58], il a également participé à la rédaction d’un essai dirigé par Michel Pébereau et Bernard Spitz « C’est possible, voici comment… »[59].

Alliances

La famille est liée aux Maisons de Lorraine, de Luxembourg, de Vaudémont et d'Hohenzollern-Hechingen, aux familles princières Koutouzov, Youssoupov[60], Clary d'Aldringen[61], Esterházy, de Salm, de Ligne, Radziwill, aux Beauvau, Baillet-Latour, Tiesenhausen, Choiseul, Joyeuse, Gournay de Clémery, Châtelet, Custine, Anglure de Bourlemont, Raigecourt[62], Lambertye[63], aux Soumarokov-Elston, aux Chotek, aux Salles, aux comtes de la Marche, aux comtes Butler du Saint-Empire, aux Haraucourt [14] etc.

Places

Vue du château de Puxe (vers 1914)
Vue du château de Mars-la-Tour
Vue de la résidence de Woippy

Il existe des palais Ficquelmont dans les villes de Venise (Palais Ficquelmont-Clary), Vienne et Saint-Pétersbourg. Le château ancestral de la famille se situait dans le lieu-dit éponyme en Meurthe-et-Moselle et fut détruit lors d'un incendie en 1877. Parmi les nombreux autres domaines et châteaux qui appartinrent aux Ficquelmont, il est possible de citer les châteaux lorrains de Parroy, Dieuze (qui servirent de résidences principales à la famille au cours de la seconde partie du XVIIIe siècle), Mars-la-Tour, Bathelémont, Moustier, Champcourt ou Puxe ainsi que des hôtels particuliers à Nancy, Karlsruhe, Strasbourg et Prague.

Vue du Palais Ficquelmont, Saint-Petersbourg
Vue du Palais Ficquelmont, Saint-Petersbourg

Titres et dignités

La famille Ficquelmont, d'extraction nobiliaire immémoriale et chevaleresque[3], est comtale depuis le XIVe siècle[64] et se voit conférée le titre de Comte du Saint-Empire (Reichsgraf) par S.M.I. l'Empereur François Ier du Saint-Empire. La famille porte les prédicats impérial de Hochgeboren (Sa Haute Naissance) et autrichiens de Erlaucht (Son Illustre altesse) ou Gräfliche Gnaden (Sa Grâce comtale). En France, la noblesse ne détient pas de prédicat particulier.

Titres

En faveur d'Antoine-Charles de Ficquelmont (1753-1833) et de ses descendants:

Dignités

Cette famille a fourni de nombreux hauts dignitaires de l'Ordre de Malte ainsi que des chevaliers des Ordres austro-hongrois de la Toison d'Or[72] et du Dragon, impérial de Léopold, de Saint-Etienne, de la Couronne de Fer; des Ordres russes de Saint-André, de Saint-Alexandre Nevski, de Saint-Vladimir et de Sainte-Anne ; des Ordres napolitains de Saint-Janvier et de Saint-Ferdinand et du mérite; de l'Ordre piémontais de Saint Maurice et Saint Lazare; des Ordre néerlandais de Guillaume, du Lion néerlandais et de Java; de l'Ordre belge de Léopold; de l'Ordre papal du Christ ; de l'Ordre prussien de l'Aigle noir; de l'Ordre suédois de l'épée et des Ordres français de la Légion d'Honneur et du Mérite.

Blason et devise

Armoiries de la Maison de Ficquelmont[1]

Ses armoiries sont blasonnées: d'or à trois pals alésés, abaissés et fichés de gueules, surmontés d'un loup passant de sable ou coupé, au 1 d'or à un loup de sable passant sur la ligne du coupé, au 2 d'or à trois pals partis de sable et de gueules mouvants du coupé, les pieds aiguisés.' (Rietstap).
Le cimier est : un senestrochère armé posé sur le coude, la main tenant un badelaire, le tout au naturel. (Rietstap).
Les tenants sont : deux sauvages de carnation, ceints et couronnés de lierre, armés de massues. (Rietstap)

La devise de la famille est « Nul ne m'atteint » (Rietstap)
Le Cri de guerre est « Vous vous mesprenez ».

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Alain Petiot, Au service des Habsbourg, 1999
  • Alain Petiot, Les Lorrains et l'Empire, 2005
  • F. de Sonis, Lettres du comte et de la comtesse de Ficquelmont à la comtesse Tiesenhausen, 1911[73]

Liens externes

Notes et références

  1. a et b Armorial du Pays de Luxembourg (p. 359), Loutsch, Jean-Claude
  2. Chevaux de Lorraine est le nom donné aux grandes familles de l'antique noblesse lorraine, voir article.
  3. a, b et c « La maison de Ficquelmont est l'une des plus anciennes, des plus nobles, des plus distinguées de l'ancienne chevalerie de Lorraine. Ses titres et ses armes étaient jurés et recus depuis un temps immémorial dans les quatre chapitres nobles et séculiers des duchés de Lorraine et de Bar, Remiremont, Epinal, Poussay et Bouxieres », dans : Poplimont, La Belgique héraldique: recueil historique, chronologique, généalogique et biographique..., t. IV, Paris : 1866. Voir le texte source.
  4. Alain Petiot, Les Lorrains et l'Empire, 2005
  5. Karl Ludwig Graf von Ficquelmont. In: Rudolf Flotzinger (Hrsg.): Oesterreichisches Musiklexikon. Verlag der Österreichischen Akademie der Wissenschaften, Wien 2002, (Band 1), S. 443.
  6. Inscription à l'Association de la Noblesse française (ANF) ANF
  7. Jougla de Morénas, Grand armorial de France, n° 15355 : désormais JM 15355.
  8. « [Le Palais Ficquelmont de Saint-Petersbourg] était le cadre des deux salons les plus fameux des années 1830, que dominait la figure de la comtesse de Ficquelmont (petite-fille du Prince Kutuzov) », dans : Simon Dixon, Personnality and Place in Russian Culture, Essays in Memory of Lindsey Hughes, 2010, History Voir le texte source.
  9. et jusque sur l'île de Java (actuellement en Indonésie), (voir Illustration, en Europe: branche néerlando-belge)
  10. a, b et c Reconnaissance de noblesse des Ficquelmont en Belgique et aux Pays-Bas, in DE RIDDER A., DE SCHAETZEN M. (Chevalier) & DE TROOSTEMBERGH (Baron) ‘’La Noblesse Belge’’, partie 2, Bruxelles, 1891 ZXPqFhVKCXFvYLod6l4&hl=fr&ei=DQPZTNL-JMHflgfI uWtCQ&sa=X&oi=book result&ct=result&resnum=1&ved=0CBYQ6AEwAA#v=onepage&q=noblesse belge FiCQUELMONT (de)&f=false Voir le texte source.
  11. Elle s'est éteinte dans les familles Clary d'Aldringen et Marie de Ficquelmont. Par adoption simple datant de février 1991, d'Albis de Ficquelmont: voir discussion et Régis Valette, Catalogue de la noblesse française (Robert Laffont, Paris, 2007)
  12. tel que Georges van Santern in le Moniteur de la Noblesse Belge, Bruxelles, 1890
  13. In L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, Volume 47, Paris, 1903 Voir le texte source.
  14. Woelmont de Brumagne, Notices généalogiques, 7e série, p. 340.
  15. Idem.
  16. Notice Famille de Ficquelmont in l'Intermédiaire des chercheurs et des curieux, Volume 47, p.810, Paris, 1903
  17. Voir le Texte source
  18. a et b Henri Lepage, les communes de la Meurthe, journal des villes, bourgs, villages et cences de ce département, A. Lepage, Nancy, 1853 [1]
  19. Notamment les domaines de Thumereville, Parroy, Puxe, Champé, Bathelémont, La tour-en-woivre etc.
  20. A partir de la fin du XVe et jusqu'à l'union de la Lorraine et de la France à la fin du XVIIIe.
  21. en suivant les informations compilées in Guigard (Joannis) Bibliothèque Héraldique de la France, Paris, Dentu, 1861, p.523
  22. époux de Jacqueline d'Oley, fille de Jean d'Oley et de Laure d'Oriocourt
  23. à ne pas confondre avec son petit-fils (cité ci dessous) ayant vécu dans les années 1500-1540
  24. époux de Françoise de Housse et d'Anderny, fille de Philippe de Housse, comte d'Anderny et de Jeanne d'Avillier
  25. époux de Anne de la Tour, fille de Thomas de la Tour en Voivre et de Marguerite d'Epinal
  26. à ne pas confondre avec son grand-père (cité ci dessus) ayant vécu dans les années 1430-1470
  27. époux de Claude de Joyeuse, héritière des ducs de Joyeuse et fille de Foucaud de Joyeuse et d'Anne d'Anglure, comte de Grandpré
  28. voir "La Belgique héraldique"
  29. époux de Charlotte d'Anglure de Bourlémont, héritière des Anglure de Bourlémont (voir Charles-François d'Anglure de Bourlemont) et fille d'Affricain d'Anglure, comte de Bourlémont et de Marguerite de la Beaulme
  30. époux d'Anne de Raigecourt, héritière de la Maison de Raigecourt et fille d'Antoine de Raigecourt et d'Elisabeth de Florainville
  31. à ne pas confondre avec son petit-fils le comte Léonard de Ficquelmont, colonel du roi Philippe V d'Espagne qui décéda en Catalogne au cours de la Guerre de Succession d'Espagne(cité au paragraphe précédant)
  32. époux de Marie-Thérèse de Lambertye, héritière des marquis de Lambertye et fille de Jean de Lambertye et de Marguerite de Custine
  33. a, b, c, d et e Woelmont, Op. cit., p. 343-344.
  34. voir ci-dessous
  35. voir ci-dessus le comte Balthazar de Ficquelmont et son frère l'abbé René Charles de Ficquelmont
  36. Henri de Ficquelmont, fils du comte Jean de Ficquelmont, fut lieutenant colonel des Papes Clement XI et Innocent XIII
  37. à ne pas confondre avec son grand-père le comte Léonard de Ficquelmont, capitaine du duc Charles IV, commandant le régiment de Blainville (cité au paragraphe suivant)
  38. voir ci-dessus les Reichsgrafen Charles et Jacques-Charles de Ficquelmont
  39. fils du comte Jean-François, cité ci dessus
  40. par Florimond Claude Charles de Mercy-Argenteau, Volume 1, 1874, p.185 Correspondance secrète entre Marie ... - Google Livres
  41. fichier pdf L'évolution des critères de réception aux Honneurs de la Cour de France
  42. massacré par la foule à Metz en 1792 (Chronique d'histoire régionale sur Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales, 1946)
  43. Les martyrs de la foi pendant la ... - Google Livres
  44. voir branche Autrichienne (partie précédante)
  45. "Marie-Christine à l'Empereur Léopold, Ce 30 de l'an 792 (30 janvier 1792) [...] le capitaine Ficquelmont, qui est aux grenadiers de Vienne, vours remettra [cette lettre]. J'ose vous le recommander tout particulièrement comme s'étant distingué dans la guerre turque et pour ce que l'on dit de sa conduite et de son caractère [...]" in Félix Feuillet de Conches, Louis XVI, Marie-Antoinette et Madame Élisabeth: lettres et documents inédits Tome V, page 154, Paris, Henri Plon, 1869
  46. petite fille du maréchal-prince Mikhaïl Koutouzov
  47. elle est nommée en référence au couple impérial russe, l'empereur Alexandre I l'impératrice Elisabeth Alexeïevna dont elle est la filleule
  48. feu la comtesse Gislaine de Ficquelmont, n'ayant pas eut de descendance, a voulu transmettre son nom
  49. voir discussion de cet article
  50. Note sur la famille de la Lance [2]
  51. in Charles de Rouvre, Témoignage du XIXe siècle, Alternance, Paris, 1959
  52. par décret du 8 avril 1830
  53. D'après la chancellerie de la Légion d'Honneur, 6 générations: 1-le capitaine Joseph-Simon (officier); 2-ses fils: Léonard (chevalier) et Maximilien (officier); 3-son fils Léon (chevalier); 4-son fils Ahmed-Louis (chevalier); 5-son fils Armand et son épouse (chevaliers); 6-leur fils Eric (chevalier). [3]
  54. Publication des travaux de M. Armand Marie de Ficquelmont [4]
  55. idem [5]
  56. Bio expresse dans l'Est Républicain [6]
  57. Eric DE FICQUELMONT, Zapping Connection, Timée, Paris, 2011 [7]
  58. Article dans l'Est Républicain [8]
  59. Michel PÉBEREAU Bernard SPITZ (dir.), C'est possible, voici comment, Laffont, Paris, 2007 [9]l
  60. Prince Félix Youssoupoff Mémoire, édition révisée par Félix Bonafé (1953), Paris, V & O éditions, 1990
  61. Clary-und-Aldringen, article en allemand [[|]] (de)
  62. in Jean-Joseph Expilly, "Dictionnaire historique des Gaules et de la France", Dessain et Sallant, 1774 [10]
  63. note sur la famille de Lambertye [11]
  64. « et le titre de comte, qu'elle possède depuis le XIVe siècle, lui a été mainte fois confirmé », Notice Famille de Ficquelmont in l'Intermédiaire des chercheurs et des curieux, Volume 47, p.810, Paris, 1903 [12]
  65. le terme de chevalier désigne un statut qui devint un titre, voir article.
  66. seigneurie acquise par Henri de Ficquelmont, époux de Marie le Loup.[réf. nécessaire]
  67. seigneurie acquise par Robert de Ficquelmont, capitaine et prévôt de Briey.
  68. seigneurie acquise par le mariage en 1522 de Robert de Ficquelmont avec Anne de la Tour, fille de Thomas de la Tour en Voivre et de Marguerite d'Epinal
  69. seigneurie acquise par Balthazar de Ficquelmont, époux de Catherine de Clemery
  70. seigneurie française acquise par Balthazar de Ficquelmont, maître d'hôtel de Louis XIII et petit-fils du précédent
  71. Poplimont, La Belgique héraldique, déja citée, p. 231.
  72. le Comte Charles de Ficquelmont, dernier membre de la famille à recevoir la Toison d'Or
  73. [13]

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