Fléau de Dieu

Fléau de Dieu

Attila

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Attila
Roi des Huns
Atilla fléau de dieu.jpg
Plaquette en bronze représentant Attila (musée du Louvre).

Règne
434 - 453
Titre complet Roi des Huns
Prédécesseur Bleda et Rua
Successeur Ellac

Autres fonctions
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Biographie
Naissance 406?
Décès 453
Vallée de Tisza (Hongrie)
Père Moundzouk,

Attila (v. 406?-453)[1],[2] fut le roi des tribus hunniques, peuplades originaire d'une région allant de l'Europe de l'Est aux steppes d'Asie centrale. Selon l'historiographie romaine, il régna de 434 à 453 sur l'Empire hunnique (une grande partie de l'Europe centrale et de l'Asie centrale).


Sommaire

Histoire

Attila naît en 406. Il est fils du roi d'une tribu hunnique, Moundzouk, qui meurt à la guerre en 408. Orphelin, il est adopté et élevé avec son frère aîné Bleda par son oncle, le roi hun Ruga (ou Rua/Ruas).

En 434, Ruga partage l'Empire hunnique entre ses deux neveux, Attila et Bleda, avant de mourir. De 435 à 440, le règne de Bleda est marqué par le triomphe des Huns face à l'Empire romain d'Orient. Ce triomphe est avant tout diplomatique et la politique de Bleda à l'égard des Romains est pacifique. Un doublement du tribut versé par l'empire romain d'Orient de Constantinople et la promesse impériale de ne plus s'allier aux Barbares ennemis des Huns (aux peuples germaniques restés indépendants) laissent les mains libres à Bleda. Aussi les Huns étendent-ils leur empire jusqu'aux Alpes, au Rhin et à la Vistule.

La prise de pouvoir d'Attila

Aire dominée par les Huns vers 450.

Pourtant, dès 440, profitant de l'occasion qu'offre l'invasion de l'Arménie romaine par les Perses sassanides, invasion qui détourne momentanément l'attention de Constantinople des Huns, Bleda attaque à nouveau l'empire romain d'Orient. À ce moment, Attila n'aide son frère qu'en dernier recours, ayant entamé de son côté des pourparlers avec l'Empire. Il ne le fait sans doute que pour éviter d'être lésé sur le partage du butin.

La politique séparée d'Attila lors de la guerre de 441-442 s'explique principalement par sa volonté de négocier avec les Romains la remise des princes héritiers huns qui s'étaient réfugiés dans l'empire à la mort de Ruga, dès 435. Ceux-ci auraient hérité du royaume en cas de décès de son frère.

Fin 444 ou début 445, le frère aîné d'Attila, Bleda, disparaît et laisse son cadet seul roi des Huns. Ce frère aîné menait une vie très dissolue ; il aurait succombé aux excès de boisson dont il était un fervent adepte. On a suggéré qu'une intervention d'Attila l'avait fait disparaître, mais aucun élément de preuve ne confirme cette supposition. Les rapporteurs et auteurs de l'époque n'en font pas état, même si s'est fait jour une certaine propagande visant à discréditer Attila aux yeux de Rome et des autres peuples hunniques. Ceci dit, l'événement tombait sans doute fort à propos pour le nouveau roi. Son règne durera huit ans. Il s'achèvera, à sa mort, par un effondrement de la puissance des Huns, jusque-là patiemment bâtie sur des alliances militaires entre l'empire hunnique et l'empire romain d'Orient et sur la manne financière des tributs et rançons versés par Constantinople.

Suite à la disparition de Bleda, les alliés germaniques d'Attila auraient influencé celui-ci en favorisant la propension qu'il avait de se croire destiné à régner sur l'univers tout entier. Ainsi, avec le concours d'une vache et de son gardien, ils découvrent pour Attila l'épée du dieu de la guerre, Mars, pointant hors de terre. Or, dans l'engrenage qui va mener les Huns à acquérir plus de puissance, Attila se trouve rapidement contraint à de nouvelles guerres pour récompenser et surtout conserver l'alliance des Germains.

Aussi Attila s'empare-t-il dès 445-446 de la province romaine de Pannonie-Savie (le reste de la Pannonie étant déjà tenu par les Huns). Pour maintenir la fiction d'une administration romaine, il est nommé maître de la milice par l'empereur romain Valentinien III.

Attila et l'empire romain

Depuis la cuvette danubienne où il est durablement installé, Attila menace alors l'empire romain.

Mais, le 27 janvier 447, un tremblement de terre détruit une grande partie de la muraille théodosienne de Constantinople et provoque une famine importante. Cette faiblesse de l'empire romain d'Orient permet à l'empire romain d'Occident d'être momentanément épargné par les visées d'Attila.

La perte de l’empire romain d’Orient

Attila, profitant de l'événement, jette son armée sur l'empire romain d'Orient. Il s'y embourbe. L'empire ne paie plus son tribut et les versements des sommes précédemment dues sont interrompus. Les négociations de paix durent plusieurs années, sans aucun bénéfice pour les Huns. Au moment où elles allaient aboutir, les tributs versés par l'Orient se tarissent définitivement. L'empereur Théodose II meurt dans un accident de cheval et le « parti des bleus » (parti des sénateurs et des aristocrates) triomphe : or il est farouchement opposé à l'idée d'acheter la paix avec les barbares.

N'ayant pu envahir ni soumettre l'Orient, Attila se retrouve pris dans le jeu diplomatique de l'Occident en 450.

La co-impératrice romaine Honoria

L'épisode concerne Honoria, co-impératrice d'Occident. Elle veut épouser Attila pour s'allier à lui. Mais son frère cadet Valentinien III la force à prendre le voile pour préserver l'unité impériale. En 449, un scandale éclate et Honoria est envoyée à Constantinople dans un couvent chrétien pour que sa « virginité » soit bien gardée.

Celle-ci envoie alors sa bague à Attila pour lui demander de l'aide. Attila prend l'affaire au sérieux et accepte le bijou comme « dot », avant de demander la Gaule en tant qu'héritage impérial dû à sa « fiancée ».

Ses exigences se heurtent naturellement à un refus.

Bloqué en Orient, et arrêté dans son ambition par le refus de Valentinien et la disparition d'Honoria, Attila se trouve contraint à l'automne 450 de déclarer la guerre à l'empire romain d'Occident, ce qui met un terme au versement du tribut par l'Occident.

L’invasion de la Gaule

Itinéraires probables des Huns lorsqu'ils ont envahi la Gaule, montrant le destin des villes principales dans leur chemin.

À la tête d'une armée coalisée hunno-germanique, Attila se lance au printemps 451 dans une campagne contre la Gaule. Cette armée réunit les peuples Gépides (les plus nombreux), Ostrogoths (dirigés par trois rois frères dont le père du futur Théodoric Ier (Théodoric le Grand)), Skires, Suèves, Alamans, Hérules, Thuringes, Francs, Burgondes, Alains, Sarmates. Elle est majoritairement germanique et les Huns n'en composent qu'une infime partie. Les tactiques qui ont précédemment fait leur succès contre les « civilisés » ne sont donc plus à l'ordre du jour. Le 7 avril, Attila brûle Metz. (invasions barbares)

La Gaule lui résiste, d'abord à Paris sous l'impulsion de sainte Geneviève, puis à Orléans, à l'instigation de saint Aignan d'Orléans avec l'appui des légions romaines de Flavius Aetius.

À Orléans, où il compte franchir la Loire, Attila combat les Wisigoths de Théodoric Ier et les légions romaines de Flavius Aetius, en réalité composées de tous les peuples établis en Gaule à cette époque : Alains, Francs, Burgondes, Sarmates, Saxons, Lètes (colons barbares), Armoricains et même des Bretons venus d'outre-Manche

Moins d'une quinzaine de jours après Orléans, Attila est tenu en échec lors de la bataille des Champs catalauniques. Certains auteurs localisent cette bataille à cinq milles romains (7,5 km) de Troyes en un lieu appelé campus mauriacus, champs mauriaques. D'autres, plus anciens, la situent près de Châlons-en-Champagne, l'antique Catalaunum d'où dérive l'épithète attribué aux « champs catalauniques », à l'emplacement de l'oppidum gaulois de La Cheppe, improprement appelé « le camp d'Attila ».

Ceci marque alors la fin de son incursion en Gaule romaine. Même si cette défaite interdit aux Huns toute implantation sur ces terres et les contraint à se replier au-delà du Rhin, elle ne représente qu'un échec stratégique mineur face à l'Empire. Le potentiel militaire d'Attila n'est pas sérieusement entamé alors que son principal adversaire voit ses forces se disperser aussitôt l'affrontement terminé.

Attila aux portes de Rome

Au printemps 452, il reprend l'offensive, cette fois-ci en Italie. Son armée prend Aquilée, Padoue, Vérone, Milan, Pavie et se dirige vers Rome. L'empereur Valentinien III décide de négocier.

Conduite par le pape Léon Ier, par le préfet Trigetius qui a déjà traité avec les Vandales de Genséric, et par le consul Aviennus, une délégation romaine va au devant du roi des Huns et obtient une trêve. Le pape parlera avec Attila toute la nuit sans que personne ne puisse pénétrer dans la tente du roi. Personne ne sait ce que les deux hommes se sont dit, mais le lendemain Attila repartira sans mot dire.

La fin du règne

Entre temps, les troupes du nouvel empereur d'Orient, Marcien, ont franchi le Danube et menacent le cœur de l'empire hunnique. Aussi Attila se retire-t-il en Pannonie.

De retour dans son ordu, le grand roi meurt subitement, au printemps 453, après un festin donné à sa cour lors de ses noces avec une nouvelle épouse, selon l'historien ostrogoth Jordanès (ch XLIX). La cause du décès est selon lui "une perte de sang" qui s'écoule malencontreusement dans les voies respiratoires et les obstrue. Cette dernière épouse de son harem, Ildico, est retrouvée au matin, prostrée près du cadavre du roi.

Selon le même auteur, Attila fut honoré de funérailles royales et fut inhumé dans un triple cercueil d'or, d'argent et de fer, en un lieu tenu secret (les esclaves participant aux travaux de sépulture furent occis). Jordanès mentionne pour les funérailles d'Alaric le détournement d'une rivière en Calabre, mais n'indique pas qu'une même pratique ait eu lieu pour Attila. Sa succession dégénère en conflit entre les nombreux fils (Ellac, Dengizich et Ernakh pour les principaux) et petits-fils de ses nombreuses épouses (bataille de la Nedao en 454). Son empire se disloque. Les tribus Huns se désunissent et reprennent pour chefs des membres de leurs aristocraties.

L’image légendaire et mythologique d’Attila

Attila est surtout connu dans l'historiographie et dans la tradition chrétienne occidentale pour avoir été le « fléau de Dieu[3] » et le « dévastateur de la province d'Europe[4] », ce qui lui a conféré une image des plus sombres.

Fête d'Attila, par le peintre hongrois Mór Than.

En réalité, ce fils du roi Moundzouk, souverain d'un des peuples les plus puissants de son temps, est devenu aux yeux des Européens occidentaux l'image emblématique du souverain-guerrier nomade, se confondant dans l'imaginaire populaire avec les traits que l'on prêtera plus tard à Gengis Khan : sanguinaire, aimant la guerre et les pillages par dessus tout, cruel et rusé.

Or, cette vision est en grande partie inexacte : non seulement les Huns d'Attila étaient un peuple turc qui accueillait de nombreux Germains en son sein, à tel point que ces derniers étaient largement majoritaires dans la coalition qui l'assistait lors de la bataille des Champs catalauniques, mais aussi la cour d'Attila était sans doute l'une des plus raffinées de son temps, ayant repris nombre d'usages romains. On sait qu'Attila maîtrisait parfaitement le latin.

Cependant, l'époque à laquelle vécut Attila – vers la fin de l'empire d'Occident –, son opposition au général Flavius Aetius, souvent appelé le dernier des Romains, et l'origine de son peuple ont frappé l'imaginaire collectif et contribué à faire d'Attila la figure typique du barbare s'opposant à la civilisation, ce qui ressort des nombreux films ou œuvres dans lesquels ce dernier apparaît.

Dans le chant des Nibelungen (fondé sur l'écrasement des Burgondes par les Huns et popularisé au XIXe siècle par Richard Wagner), connu dans une version du XIIe siècle, Attila apparaît sous le nom de Etzel, noble et généreux allié. Il est aussi dépeint dans la mythologie germanique sous les traits de Atli, cruel et assoiffé d'or.

Ces deux aspects montrent quelles peuvent être les différentes facettes de la vérité. Enfin, en raison de l'historiographie nationale, il ne faut pas oublier qu’Attila, nom d'origine germanique et plus précisément d'origine gothique, a disparu partout sauf en Hongrie et en Turquie, où ce prénom est toujours très populaire.

Attila est le titre d'une des dernières tragédies de Pierre Corneille alors sur le déclin. La faiblesse de cette pièce par rapport à ses plus grands chefs-d’œuvre suscita le commentaire suivant de Nicolas Boileau (la précédente tragédie de Corneille avait pour titre Agésilas) :

« Après l'Agésilas, hélas !
Mais après l'Attila, holà ! »

Inspiré par les travaux récents des historiens, Le Chamane d'Attila, roman de l'écrivain hongrois Tibor Fonyodi (paru en français aux éditions Pygmalion en 2005), dépeint la civilisation des Huns de manière nouvelle. Il souligne le rôle fondamental de la spiritualité dans leur culture, une civilisation au vrai sens du terme, dont les Hongrois furent les héritiers et qui est encore sans doute celle des peuples vivants dans les steppes eurasiennes aujourd'hui. L'auteur a déclaré dans une interview que son but avait été, avec Le Chamane d'Attila, d'écrire un roman fantasy, une sorte de Seigneur des Anneaux puisant dans la mythologie des Huns.

La monture favorite d'Attila avait pour nom Balamer. Selon la légende, c'est ce cheval, guidé par le vent, qui emmena son maître jusqu'à l'épée de Tengri ; Attila aurait dit : "Là où passe mon cheval, l'herbe ne repousse pas."

Filmographie

Bibliographie

  • Marcel Brion, La Vie d'Attila, Gallimard, 1928
  • Maurice Bouvier-Ajam, Attila, le fléau de Dieu, Tallandier, 1982
  • Manu Larcenet et Daniel Casanave, Une aventure rocambolesque d'Attila le Hun - le fléau de Dieu, Dargaud, 2006
  • Iaroslav Lebedynsky, Katalin Escher, Le Dossier Attila, Actes Sud-Errance, 2007
  • Jean-Yves Mitton et Franck Bonnet, Attila mon amour, série en 6 volumes, Glénat, 1999-2003
  • Michelle Loi, "Attila mon ami, Mémoires d'Aetius", Berg International, 1986
  • Historia no.45 - août 1950 - article signé Daniel-Rops, "Il y a 1500 ans Attila..."
  • "Die Hunnen", Pr.Dr.Hermann Schreiber, "Attila probt den Weltuntergang", Ed. Econ Wien-Düsseldorf - 1976
  • Attila – La violence nomade, Michel Rouche, Fayard, 2009

Notes

  1. Voir p. 406 in Muslim-Christian Relations in Central Asia, A. Christian Van Gorder, Central Asian Studies Series, 2008.
  2. Voir p. 538 in Roman realities, Finley HooperWayne State University Press, 1979.
  3. Flagellum Dei, en latin : Augustin, La Cité de Dieu, 1, 8.
  4. Europae orbator provinciae, en latin : Comte Marcellin, Chronique, 454, 1.

Voir aussi

Liens internes

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