François Hollande

François Hollande
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François Hollande
François Hollande — Septembre 2011.jpeg
François Hollande en septembre 2011.

Mandats
Président du conseil général de la Corrèze
Actuellement en fonction
Depuis le 20 mars 2008
Prédécesseur Jean-Pierre Dupont
Maire de Tulle
19 mars 200117 mars 2008
Prédécesseur Raymond-Max Aubert
Successeur Bernard Combes
Député de la 1re circonscription de la Corrèze
Actuellement en fonction
Depuis le 12 juin 1997
Prédécesseur Raymond-Max Aubert
23 juin 19881er avril 1993
Prédécesseur Circonscription créée
Successeur Raymond-Max Aubert
Premier secrétaire du Parti socialiste
27 novembre 199726 novembre 2008
Prédécesseur Lionel Jospin
Successeur Martine Aubry
Biographie
Nom de naissance François Gérard Georges Hollande[1]
Date de naissance 12 août 1954 (1954-08-12) (57 ans)
Lieu de naissance Drapeau de la France Rouen, France
Nationalité Française
Parti politique PS
Conjoint Valérie Trierweiler
Diplômé de HEC Paris
IEP de Paris
ENA
Profession Magistrat
Avocat

François Hollande, né le 12 août 1954 à Rouen (Seine-Maritime), est un homme politique français.

Premier secrétaire du Parti socialiste de 1997 à 2008, pendant la troisième cohabitation puis dans l'opposition, maire de Tulle de 2001 à 2008, il est député de la première circonscription de la Corrèze, et préside le conseil général de la Corrèze depuis 2008.

Il est désigné candidat du Parti socialiste et du Parti radical de gauche pour l'élection présidentielle de 2012 à l'issue des primaires citoyennes de 2011, qu'il remporte au second tour face à Martine Aubry.

Sommaire

Biographie

Origines, études et famille

François Gérard Georges Hollande est le fils cadet du docteur Georges Hollande, médecin ORL favorable à l'Algérie française[2], candidat malheureux sur une liste d’extrême droite aux élections municipales de Rouen en 1959 et 1965[3]. Sa mère, Nicole Tribert, est assistante sociale, et proche de la gauche[3].

Il passe son enfance à Bois-Guillaume, ville résidentielle sur les hauteurs de Rouen, où il est élève au pensionnat Jean-Baptiste-de-La-Salle de Rouen. Au premier trimestre 1968, son père, mal vu du fait de sa proximité avec Jean-Louis Tixier-Vignancour et l'OAS[4], vend sa clinique, ses appartements du Clos du Hamel, la maison de Bois-Guillaume et déménage avec sa famille à Neuilly-sur-Seine, où il se lance dans l'immobilier[3]. Élève au lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine, François Hollande entre à la faculté de droit de Paris, où il obtient une licence en droit[5], puis à HEC Paris[6] et l'Institut d'études politiques de Paris[7], où il milite à l'UNEF-Renouveau, proche du Parti communiste français[3]. Il sort 7e de l'École nationale d'administration (ENA), dans la promotion Voltaire[2].

En 1976, il est exempté de service militaire à cause de sa myopie lors de ses « trois jours » au fort de Vincennes, mais obtient l'annulation de cette décision. Lors de ses classes à l'école des officiers de Coëtquidan, en janvier 1977, il est dans la même chambrée que Jean-Pierre Jouyet, Michel Sapin, Henri de Castries et Jean-Michel Lambert[8].

Avec Ségolène Royal, en 2007.

À Sciences-Po, il est fiancé à Dominique Robert, nièce de Louis Mexandeau, député du Calvados, proche de François Mitterrand, dont il se rapproche[8]. À la fin des années 1970, il fait la connaissance de Ségolène Royal lors d'une soirée de l'ENA (également de la promotion Voltaire). Il se lie avec elle au cours d'un stage réalisé dans une cité HLM de banlieue, « La Noé », à Chanteloup-les-Vignes[8]. Le couple Royal-Hollande, non marié, a quatre enfants : Thomas (1984), Clémence (1986), Julien (1987) et Flora (1992). Leur séparation est annoncée au soir du second tour des élections législatives de 2007[9]. Il officialise alors sa relation avec la journaliste Valérie Trierweiler[10],[11], qui était sa compagne depuis 2006[12] ; cette relation était restée cachée lors de la campagne de Ségolène Royal[13],[14].

Carrière politique

Débuts

En 1974, il préside la section de l'UNEF à l'Institut d'études politiques de Paris. Il entre à HEC Paris, et y préside le comité de soutien à la candidature de François Mitterrand.

Il adhère au Parti socialiste en 1979 et devient, grâce à Jacques Attali, conseiller de François Mitterrand pour les questions économiques.

Sorti de l'ENA, il devient en 1980 auditeur à la Cour des comptes. Il est également, à cette époque, maître de conférences à l'IEP de Paris.

En 1981, à la suite de l'élection de François Mitterrand à la présidence de la République, François Hollande devient chargé de mission (toujours à propos d'économie) pour l'Élysée, à l'époque où le nouveau pouvoir entame sa politique de relance par la demande (relance keynésienne) et de nationalisations. Lors des élections législatives de juin 1981, François Hollande est désigné comme candidat socialiste contre Jacques Chirac dans la troisième circonscription de la Corrèze, après le refus de Jacques Delors. Durant la campagne, il se rend à un meeting de son concurrent, à Neuvic, et l'interpelle sur le fait qu'il n'a pas répondu à sa demande écrite de débat. Avec 26 % des voix, contre 23 % au candidat communiste, il lui manque 350 voix pour mettre en ballotage Jacques Chirac, qui l'emporte dès le premier tour[15].

En 1983, il est nommé directeur de cabinet de deux porte-parole successifs du gouvernement Pierre Mauroy : Max Gallo et Roland Dumas. Il participe alors à une manipulation politique : sur l'instigation de François Mitterrand, Jacques Attali demande à l'éditeur Fayard de publier un pamphlet contre la droite. La tâche est confiée au journaliste André Bercoff, qui publie un livre nommé "De la reconquête", sous le pseudonyme de "Caton", un soi-disant dirigeant de la droite. François Hollande apportera à André Bercoff des éléments chiffrés pour la rédaction du livre, et le journaliste, dont la notoriété ne lui permet pas d'en assurer lui-même la promotion, lui confiera cette tâche. Dans différents interviews, François Hollande se fait alors passer pour Caton, le faux dirigeant de la droite[16]. La même année, il échoue aux élections municipales, mais devient conseiller municipal d'Ussel (en Corrèze). En 1984, il devient conseiller référendaire à la Cour des comptes[5].

De la députation à la direction du PS

Aux élections législatives de 1988, qui font suite à la réélection de François Mitterrand, il se présente une nouvelle fois en Corrèze, mais change de circonscription. Avec près de 53 % des suffrages exprimés, il est élu député de la première circonscription de la Corrèze. À l'Assemblée nationale, il devient secrétaire de la Commission des finances et du Plan et rapporteur du budget de la Défense[5].

Au Parti socialiste, il lance avec Jean-Yves Le Drian, Jean-Pierre Mignard et Jean-Michel Gaillard les « transcourants », rebaptisés ultérieurement « Démocratie 2000 »[5].

De 1988 à 1991, il enseigne l'économie en 3e année de l'Institut d'études politiques de Paris[5].

François Hollande quitte Ussel en 1989, où il est conseiller municipal d'opposition depuis six ans, pour se présenter à Tulle. Il devient adjoint au maire de la ville, le communiste Jean Combasteil. L'année suivante, il soutient la motion Mauroy-Mermaz-Jospin au congrès de Rennes[5].

En 1993, il perd son mandat de député en étant battu par Raymond-Max Aubert (RPR) ; il reconnaîtra avoir délaissé ses électeurs pour ses activités nationales[17]. Il prend ensuite la présidence du club « Témoin » de Jacques Delors, qu'il conserve jusqu'en 1997. Lors des élections municipales de 1995, la gauche perd Tulle, et Raymond-Max Aubert en devient le maire.

Magistrat de la Cour des comptes, François Hollande dispose d'une équivalence (CAPA) lui permettant d'exercer la profession d'avocat : il travaille pendant quelques mois dans le cabinet de son ami Jean-Pierre Mignard[5].

Président du Conseil consultatif des personnes handicapées en décembre 1992[5], il devient secrétaire national du Parti socialiste chargé des questions économiques en novembre 1994. En 1995, après la renonciation de Jacques Delors, dont il soutenait la candidature à l'élection présidentielle, il se rapproche de Lionel Jospin, qui fait de lui un des porte-parole de sa campagne présidentielle. Après sa défaite face à Jacques Chirac, Lionel Jospin nomme François Hollande, en octobre 1995, porte-parole du PS[5].

Un des chefs de l'opposition à la droite

François Hollande pendant un meeting de soutien à Ségolène Royal, lors de la campagne présidentielle de 2007.

En 1997, après la victoire de la gauche plurielle, François Hollande retrouve son siège de député (avec 54 % des suffrages exprimés), et Lionel Jospin est nommé Premier ministre. Ce dernier le choisit pour lui succéder au poste de premier secrétaire du parti, en novembre 1997. À ce poste, il conseille notamment à Lionel Jospin de ne pas réformer le système de retraites avant l'échéance présidentielle de 2002[18].

Lors des élections européennes de 1999, François Hollande mène la liste PS/PRG/MDC, qui arrive en tête avec 21,95 % des suffrages devant la liste RPF menée par Charles Pasqua et Philippe de Villiers (13,05 %) et la liste RPR/DL menée par Nicolas Sarkozy (12,82 %). Il siège au Parlement européen jusqu’au 17 décembre 1999, date à laquelle il renonce à son mandat[19]. Il devient cette même année vice-président de l'Internationale socialiste. En 2001, il est élu maire de Tulle par le nouveau conseil municipal, la liste qu'il conduisait l'ayant emporté avec 53,1 % des voix au premier tour des élections municipales[20].

Après le retrait de Lionel Jospin de la vie politique à la suite de son échec à la présidentielle en avril 2002, François Hollande est réélu député le 16 juin 2002, avec 52,92 % des suffrages exprimés au second tour[21].

Lors des élections régionales et cantonales de 2004, alors que la popularité du gouvernement Raffarin est au plus bas, le Parti socialiste remporte 24 des 26 régions françaises et les deux tiers des cantons renouvelables (51 des 100 départements ont ainsi un président de gauche). En juin suivant, le PS obtient 28,9 % des suffrages aux élections européennes, un record pour ce scrutin.

Toujours en 2004, il prend position pour le « oui » à la Constitution européenne et s'oppose ainsi au numéro deux du parti, Laurent Fabius. Contrairement à ce qu'il avait promis à ce dernier[22], il décide d'organiser un référendum interne au PS sur la question : le 1er décembre, les militants votent « oui » à 59 %. Il remplace alors plusieurs des partisans du « non » au Secrétariat national par des promoteurs du « oui », dont un certain nombre de ministres de Lionel Jospin : Martine Aubry, Dominique Strauss-Kahn, Jack Lang, etc. Il sort finalement affaibli du référendum du 29 mai 2005, où la majorité des Français, et des sympathisants socialistes selon les sondages, ont voté « non ». Le PS est, dès lors, vu par les médias comme durablement divisé entre partisans du « oui » et partisans du « non », emmenés par Laurent Fabius, à qui François Hollande retire son poste de numéro deux du parti.

Au congrès du Mans de 2005, la motion dont il est le premier signataire (aux côtés de Martine Aubry, Jack Lang, Dominique Strauss-Kahn, Ségolène Royal, Julien Dray et Bertrand Delanoë) obtient 53,6 % des suffrages exprimés lors du vote des militants, une majorité moins confortable que celles obtenues précédemment (84 % en 1997, 73 % en 2000, 61 % en 2003). Voulant mettre fin à un an de discussions et de querelles, François Hollande choisit de proposer une synthèse aux courants minoritaires, qui l'acceptent. Le 24 novembre 2005, seul candidat, il est réélu premier secrétaire du PS, avec 76,96 %. Il est alors considéré par ses détracteurs comme l'homme de la « synthèse molle », « fuyant l'affrontement pour au final ne rien décider »[23],[24].

En 2006, devant la montée des intentions de vote en faveur de sa compagne Ségolène Royal, il renonce à se présenter à l'élection présidentielle de 2007[25], pour laquelle il a contribué à l'élaboration du programme socialiste[26]. Après avoir gagné la primaire organisée par le PS, celle-ci est battue par Nicolas Sarkozy lors de l'élection présidentielle. Le 17 juin 2007, François Hollande est réélu député de la première circonscription de la Corrèze au second tour, avec 60,25 % des suffrages exprimés[27]. D'après un classement effectué en 2010 par lesinfos.com, conduit par Bernard de La Villardière, il occupe la 411e place des députés les plus actifs[28].

La liste qu'il conduit l'emporte à l'élection municipale de Tulle, au premier tour, avec 72,2 % des suffrages exprimés, contre la liste de droite[29]. En application de la loi sur le non-cumul des mandats, il démissionne de son mandat de conseiller municipal de Tulle, l'un de ses proches, Bernard Combes, lui succédant en tant que maire. Dans le même temps, il est élu conseiller général de la Corrèze dans le canton de Vigeois, au premier tour, le 10 mars 2008, avec 54,8 % des suffrages exprimés, face au candidat UMP. Il accède, le 20 mars suivant, à la présidence du conseil général de la Corrèze, dirigé jusqu'alors par l'UMP Jean-Pierre Dupont.

Le 26 novembre 2008, à la suite du congrès de Reims, lors duquel se sont opposées de façon virulente différentes motions, Martine Aubry lui succède au poste de premier secrétaire du Parti socialiste, qu'il ne briguait pas à nouveau, mais pour lequel il soutenait Bertrand Delanoë[22].

Élection présidentielle de 2012

François Hollande, en 2011
François Hollande, en 2011

Dans les mois qui suivent son départ de la direction du Parti socialiste, François Hollande travaille à la préparation d'un projet autour de trois grands axes : la production, la fiscalité et l'éducation ; pour ce faire, il lance notamment l'association « Répondre à gauche ». À partir de 2010, les sondages indiquent une progression des intentions de vote en sa faveur en vue de la primaire présidentielle socialiste de 2011 [30]. Ayant conditionné sa candidature à sa reconduction à la présidence du conseil général de la Corrèze[31], il se déclare officiellement candidat à la primaire à Tulle, quelques heures après sa réélection, le 31 mars 2011[32].

Dans le cadre de la pré-campagne de la primaire socialiste, François Hollande apparaît comme le principal rival de Dominique Strauss-Kahn, directeur général du FMI et favori des sondages. Les médias le présentent alors comme l'« anti-DSK », du fait de sa volonté de devenir un « président normal »[33],[34]. Dominique Strauss-Kahn est accusé d'agression sexuelle et arrêté à New York le 14 mai 2011, ce qui empêche son retour en France avant la clôture des candidatures à la primaire.

François Hollande, qui était distancé de plus de 20 points dans les sondages par Dominique Strauss-Kahn au premier tour de la primaire, est, dès lors, considéré comme le favori. Mais il doit faire face à la montée de Martine Aubry dans les enquêtes d'opinion à la suite de l'annonce de la candidature de cette dernière, le 28 juin 2011. À partir de la mi-juillet, François Hollande est de nouveau en tête[35]. Durant la campagne, il est notamment critiqué pour son bilan à la tête du Parti socialiste et à son manque d'expérience ministérielle[36].

En mai 2010, il avait qualifié, conformément au projet socialiste, d'« illusion » un retour du déficit public à 3 % du PIB en 2013, « sauf à augmenter drastiquement les impôts »[37],[38],[39],[40]. Toutefois, face à la crise de la dette dans la zone euro, il s'engage, dans un entretien accordé au Monde le 16 juillet 2011, à réaliser cet objectif, jugeant que « nous ne pouvons pas laisser gonfler la dette publique au risque de faire de la charge de nos intérêts le premier budget du pays, ce qui altèrerait toutes nos marges de manœuvre »[41]. De même, il défend un retour à l'équilibre des comptes publics en 2017 et, bien que refusant l'inscription de la « règle d'or » sur les déficits dans la Constitution, propose une « loi de programmation » sur la réduction des déficits[42]. Il déclare que « le candidat qui annonce qu'il n'y aura pas d'effort supplémentaire après 2012 sera un président qui se parjurera »[43]. Il appelle par ailleurs à « une réforme fiscale ample consistant à imposer le même barème à tous les revenus, ceux du travail comme ceux du capital », supprimant « les niches fiscales et les mesures dérogatoires » et fusionnant « l'impôt sur le revenu et la CSG ».

En septembre 2011, sa proposition d'abandonner la règle du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite et de recréer 60 000 à 70 000 postes dans l'Éducation nationale, soit environ 12 000 postes par an pendant cinq ans, pour un coût annuel de 500 millions d'euros, est critiquée à droite et à l'extrême droite, et par sa concurrente Martine Aubry[44]. L'autre mesure phare qu'il défend durant la campagne des primaires, le « contrat de génération », qui prévoit des dispenses de charges sociales pour les entreprises embauchant un jeune tout un gardant un senior, fait également l'objet de critiques, tant à droite que par Martine Aubry, pour son coût — estimé à huit milliards d'euros par an par l'Institut de l'entreprise[45] — et pour sa supposée inefficacité dans les pays l'ayant mise en œuvre. Pour ces deux mesures, François Hollande indique que le financement se fait par redéploiement de crédits (« autant de dépenses supplémentaires que d'économies »)[46].

Au soir du premier tour de la primaire, le 9 octobre 2011, François Hollande réalise un score de 39,17 % des voix, se qualifiant ainsi pour le second tour avec Martine Aubry (30,42 %). Entre les deux tours, les quatre candidats éliminés au premier tour, Manuel Valls (5,63 %), Jean-Michel Baylet (0,64 %), Ségolène Royal (6,95 %) puis Arnaud Montebourg (17,19 %) apportent leur soutien à François Hollande. Le 16 octobre 2011, il l’emporte avec 56,57 % des suffrages, et devient ainsi le candidat du Parti socialiste et du Parti radical de gauche pour l'élection présidentielle de 2012. Lors de son premier discours consécutif à sa désignation, il appelle à un grand rassemblement et affirme : « C'est le rêve français que je veux réenchanter, celui qui a permis à des générations, durant toute la République, de croire à l'égalité et au progrès »[47].

Détail des mandats et fonctions

Mandats parlementaires

Mandats locaux

Fonctions politiques

Publications

Ouvrages de François Hollande

Préfaces de François Hollande

  • Le socialisme selon Léon Blum de David Frapet, Créer, 2003
  • Le dernier Chirac de Bruno Dive, Jacob-Duvernet, 2009
  • Pourquoi pas le socialisme ? de Gerald Cohen, L'Herne, 2010 (ISBN 9782851979216)

Notes et références

  1. Le Who's Who In France (éd. 2006)
  2. a et b « Vous avez dit « normal » ? », Le Point, 24 février 2011.
  3. a, b, c et d « François Hollande, "Miss Glaçon" et les "nantis" », dans Le Nouvel Observateur, 31 août 2011 [texte intégral] , article citant les bonnes feuilles de François Hollande. Itinéraire secret, biographie de Serge Raffy.
  4. « Cherchez le père… », Le Point, 20 octobre 2011, no 2040, p. 46.
  5. a, b, c, d, e, f, g, h et i « Qui est François Hollande ? », article citant la notice biographique rédigée par Hortense Paillard dans La république des lettres.
  6. HEC Paris - Grande École - FAQ
  7. Site TV5 Monde.
  8. a, b et c Pascal Riché, « Douze trucs à savoir sur la jeunesse de François Hollande », dans Rue89, 16 octobre 2011 [texte intégral] .
  9. « En annonçant sa séparation d'avec M. Hollande, Mme Royal peut afficher ambitions et désaccords », Le Monde, 17 juin 2007.
  10. Royal 'wanted love rival sacked, The Telegraph, 25 juin 2007.
  11. « François Hollande officialise sa liaison avec une journaliste », Le Point, 13 octobre 2010.
  12. Marie Guichoux, « De l'ombre à la lumière », dans Le Nouvel Observateur, no 2450, 20-26 octobre 2011, p. 68-69 .
  13. François Hollande officialise sa relation avec Valérie Trierweiler toulouse7.com, 13 octobre 2010.
  14. François Hollande officialise sa relation avec une journaliste dans « Gala » Le Point, 12 décembre 2010.
  15. François Hollande et Judith Perrignon, « Je me souviens (2). François Hollande en Corrèze, juin 81. "Pour Chirac, j'étais le labrador de Mitterrand" », dans Libération, 8 août 1996 [texte intégral] 
  16. http://andrebercoff.com/comment-francois-hollande-est-devenu-le-porte-parole-de-caton-pseudonyme-dandre-bercoff/
  17. « Sept succès, sept erreurs », Le Point, 20 octobre 2011, no 2040, p. 51.
  18. Sylvie Pierre-Brossolette, Michel Revol, « Hollande pour les Nuls », Le Point, 20 octobre 2011, no 2040, p. 46.
  19. Laurent de Boissieu, « Tous les candidats élus au Parlement européen ne siègeront pas », La Croix, 9 juin 2009. Consulté le 14 novembre 2010
  20. « Municipales 2001 - Tulle », site d'Ipsos.
  21. Élections législatives de 2002 - résultats dans le première circonscription de la Corrèze sur le site du ministère de l'Intérieur.
  22. a et b Michel Revol, « Le chasseur d'éléphants », Le Point, 20 octobre 2011, no 2040, p. 54.
  23. Rosalie Lucas, Marion Mourgue, Martine Aubry : les secrets d'une ambition, Éditions Archipel, 2011, p. 113.
  24. Sylvie Pierre-Brossolette, Michel Revol, « Hollande pour les Nuls », Le Point, 20 octobre 2011, no 2040, p. 44.
  25. Sylvie Pierre-Brossolette, « L'homme qui fait peur à Sarkozy… et à DSK », Le Point, no  2006, 24 février 2011, p. 33.
  26. À la fin du printemps 2006, François Hollande met au point le calendrier d'élaboration du programme du Parti socialiste en vue des élections nationales de 2007. Le texte est soumis aux membres du PS et approuvé le 22 juin 2006. Le projet finalisé est approuvé par le conseil national du Parti le 1er juillet suivant.
  27. Élections législatives de 2007 - résultats dans le première circonscription de la Corrèze sur le site du ministère de l'Intérieur.
  28. « Et le député le plus actif est... », L'Express, 20 mai 2010.
  29. Élections municipales de 2008 - résultats à Tulle sur le site du Figaro.
  30. « François Hollande, la tortue du PS », Le Point, 1er mars 2011.
  31. « Hollande pas candidat aux primaires s'il est battu aux cantonales », site de RMC, 20 janvier 2011.
  32. « Hollande officiellement en course pour 2012 », site d'Europe 1, 31 mars 2011.
  33. « C'est quoi « un président normal » ? », site de TF1-LCI, 23 mai 2011.
  34. « François Hollande, l'anti DSK ? », France Soir, 1er juin 2011.
  35. Voir ici l'évolution des divers sondages (avec mention précise des sources) dans l'article Wikipédia consacré à la primaire.
  36. « Pourquoi François Hollande est devenu la nouvelle cible de ses « amis » au PS », politique.net, 26 mai 2011.
  37. Le Grand rendez-vous avec François Hollande - 30/05/10.
  38. G. F. V., « Déficits : Hollande et Aubry sortent des clous du projet PS », dans France-Soir, 17 juillet 2011 [texte intégral] .
  39. « Un déficit à 3% en 2013 est "impossible" », dans Le Figaro, 30 mai 2011 [texte intégral] .
  40. Sylvie Pierre-Brossolette et Michel Revol, « Peut-il faire mieux que Sarkozy ? », dans Le Point, no 2036, 22 septembre 2011, p. 44 .
  41. Emmanuel Jarry, « Martine Aubry s'engage à revenir à 3% de déficit public en 2013 », dans Reuters France, 17 juillet 2011 [texte intégral] 
  42. « Règle d'or : loi « après la présidentielle » », dépêche AFP reprise par Le Figaro, 20 août 2011.
  43. Françoise Fressoz, Sophie Landrin et Thomas Wieder, « François Hollande : "la dette est l'ennemie de la gauche et de la France" », dans Le Monde, 16 juillet 2011 [texte intégral] .
  44. « Éducation : François Hollande critiqué sur deux fronts », Le Figaro, 12 septembre 2011.
  45. « Ce que coûterait vraiment la mise en oeuvre du programme de François Hollande pour 2012 », Challenges, 21 octobre 2011.
  46. Patrick Bonaza, « Pas de sang, pas de larmes… », dans Le Point, no 2040, 20 octobre 2011, p. 42 [texte intégral] 
  47. Primaire PS: revivez la victoire de François Hollande sur www.lexpress.fr, L'Express, 16 octobre 2011

Voir aussi

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Bibliographie

  • François Bachy, François Hollande, un destin tranquille, éditions Plon, 2001. [Biographie]
  • François Bachy, L'Énigme Hollande, éditions Plon, 2005.
  • « De la rue de Solférino à la rue de Varenne ? — Hollande : quand le joker entre dans le jeu », Le Nouvel Observateur, 6 décembre 2001.
  • « François Hollande, l'autre pays du socialisme », Le Monde, 12 juin 2003.
  • « François Hollande — En situation, enfin », Challenges, 24 juin 2004.
  • « La consultation au PS sur l'Europe est une victoire personnelle de M. Hollande », Année politique, économique et sociale 2004, éd. Événements et tendances, 2005.
  • Claude Estier, Un combat centenaire. 1905-2005. Histoire des socialistes français, Le Cherche-midi éditeur, 2005.
  • Marie-Ève Malouines et Carl Meeus, La Madone et le Culbuto, ou l'inlassable ambition de Ségolène Royal et François Hollande, éditions Fayard, impr. 2006. (ISBN 2-213-62354-6)
  • Serge Raffy, François Hollande, Itinéraire secret, éditions Fayard, 2011. (ISBN 978-2-213-63520-0)

Articles connexes

Liens externes



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