François II de Bretagne

François II de Bretagne
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François II
François II de Bretagne (BNF-RC-A-86355).png
Vitrail des Cordeliers de Nantes : François II, duc de Bretagne, en prière

Titre
Duc de Bretagne
26 décembre 14589 septembre 1488
&&&&&&&&&&01085029 ans, 8 mois et 13 jours
Couronnement 3 février 1459
Prédécesseur Arthur III
Successeur Anne
Comte titulaire d'Étampes
2 juin 14381477
Prédécesseur Richard d'Étampes
Successeur Jean de Foix
Comte de Montfort
26 décembre 14589 septembre 1488
&&&&&&&&&&01085029 ans, 8 mois et 13 jours
Prédécesseur Arthur III
Successeur Anne
Biographie
Dynastie Maison de Montfort
Date de naissance 23 juin 1433
Lieu de naissance Château de Clisson
Drapeau breton (Kroaz du) Duché de Bretagne
Date de décès 9 septembre 1488
Lieu de décès Couëron
Père Richard d'Étampes
Mère Marguerite d’Orléans
Conjoint Marguerite de Bretagne
Marguerite de Foix-Navarre
Enfants Jean (1463)
Anne de Bretagne Red crown.png
Isabeau de Bretagne
Illégitime
François Ier d'Avaugour
Antoine (1463)


CoA dukes of Bretagne 1316-1514 (chivalric).svg
Duc de Bretagne

François II de Bretagne[1] (Frañsez II en breton), né le 23 juin 1433 au château de Clisson et mort à Couëron le 9 septembre 1488, est le dernier duc de la Bretagne indépendante. Quatrième enfant et seul fils survivant de Richard d'Étampes, il est comte titulaire d'Étampes et vit à la cour de France lorsqu'il hérite du duché de Bretagne et des comtés de Richemont et de Vertus. L'ordre de succession au trône de Bretagne avait été modifié par le premier traité de Guérande en 1365; pour éviter toute contestation, voire une nouvelle crise de succession, le duc François Ier lui fait épouser sa fille aînée Marguerite, héritière selon la tradition antérieure au traité de Guérande.

Il accède au trône en 1458 après la mort de ses cousins François Ier et Pierre II et de son oncle Arthur III, le connétable de Richemont.

Sommaire

Biographie

Gouvernement de la Bretagne

Sceau du duc François II

François II s’intéresse peu à la conduite des affaires. Il assiste rarement au Conseil ducal, qui est le gouvernement du duché : entre 1459 et 1463, il n’y assiste que trois fois, et se contente de se tenir au courant des décisions de ses collaborateurs comme le chancelier Guillaume Chauvin puis le trésorier général Pierre Landais, tout-puissant de 1481 à 1485, collaborateurs qu’il laisse gouverner et se déchirer. Il se plaint du temps passé à la signature des actes administratifs[réf. nécessaire]. Le chroniqueur breton, Alain Bouchart, le décrit comme faible de sa personne et plus faible encore de son entendement.

Il préfère la vie de plaisirs d'un grand seigneur de son temps, partageant l'essentiel de ses loisirs en chasses, jeux et avec sa favorite officielle Antoinette de Maignelais. Quand tant de princes de son siècle arborent des devises belliqueuses ou prétentieuses, il fait graver sur un de ses bijoux la devise : Il n'est de trésor que de liesse.

Prince de la Renaissance avant l'heure, il fait réaliser d'importants travaux, qui donnent au château des ducs de Bretagne l'essentiel de son aspect actuel.

Politique d’indépendance

Soucieux d'obtenir une plus large autonomie pour le duché, François II, à l'image d'autres grands féodaux, tente de s'opposer au pouvoir royal qui est sorti affaibli des longs conflits avec l'Angleterre. Cette politique se traduit par la participation de François II aux complots (ligue du Bien public et guerre folle), contre Louis XI puis lors de la régence due à la minorité de Charles VIII.

Il poursuit en cela la politique des Montfort qui, lors de la guerre de Cent Ans, s'efforçait de ménager la neutralité du duché entre le parti anglais et le parti français, ne s'engageant pas personnellement, par un hommage lige, auprès de l'un ou de l'autre des deux souverains rivaux.

À la petite ville de Vannes, choisie pour capitale administrative et résidence principale par Jean IV et Jean V, il préfère la grande ville commerçante de Nantes, sur la Loire (où il a été élevé) et plus proche des grandes voies de communication. Il y déménage sa cour et son administration et y fonde en 1461, une université.

Il entre plusieurs fois en conflit avec le roi de France (refus de l'administration royale, participation à des alliances hostiles au roi de France). Sur le plan judiciaire, profitant de la « guerre folle », il met en place en 1485 la « Cour des interlocutoires » et transforme les sessions saisonnières de justice des États de Bretagne en un Parlement sédentarisé à Vannes. Les appels au Parlement de Paris, déjà fortement entravés, deviennent alors quasiment impossibles.

Malgré ses positions, François II ne va pas jusqu'à la rupture complète avec le roi de France. Notamment, il continue à lui rendre hommage simple pour le duché de Bretagne, et lige pour ses autres possessions à l'intérieur du royaume. Il envoie même une délégation aux états généraux de Tours en 1484.

Cette coûteuse politique d'indépendance provoque des difficultés dans le duché, et les conflits sont nombreux avec la noblesse et la bourgeoisie (affaire Guillaume Chauvin, annexion du comté de Penthièvre, etc.). Elle a également pour effet de grever les finances du duché et donc d'alourdir la fiscalité, compromettant le redressement économique amorcé après la guerre de Cent Ans dont bénéficiait le royaume (une des conséquences de l'alourdissement fiscal fut la déclaration d'indépendance de Saint-Malo en 1490). La participation à des guerres malheureuses (guerre folle) contre les armées royales entraîne le mécontentement d'une grande partie de la noblesse bretonne.

Hommage au roi

Blason de François II de Bretagne avant qu'il ne devienne duc de Bretagne

Duc souverain, François II porte comme ses prédécesseurs une couronne à hauts fleurons, frappe monnaie d'or et d'argent, anoblit, légitime, nomme les prélats bretons, scelle du sceau de majesté, traite directement avec les puissances étrangères. Il y ajoute l'emprunt au droit romain et à la tradition française du concept de « lèse-majesté ». Il se déclare duc de Bretagne par la grâce de Dieu. Il exerce ainsi un large pouvoir sur le duché de Bretagne et, s'il doit rendre l'hommage au roi de France en 1459 et 1461 pour ce fief et ses possessions dans le reste du royaume, il ne rend, comme ses prédécesseurs depuis la guerre de succession de Bretagne, qu'un hommage simple[2][réf. insuffisante] — et non lige — pour la Bretagne, l’hommage lige se limitant à ses possessions hors de Bretagne. Ceci malgré le fait que cet hommage simple ne soit pas reconnu comme tel par le roi de France.

Il fait en outre rédiger par Pierre le Baud une histoire empreinte de légendes de la Bretagne, où l’origine de sa dynastie est placée chez les Troyens, argument pour contester la loi salique et le pouvoir royal[3]. La langue bretonne est alors représentée comme étant la langue originelle des Troyens.

Conflits avec le roi de France

Bien qu'invité, il n'assiste pas au couronnement de Louis XI à Reims, refuse le collier de l'ordre de Saint-Michel que lui propose Louis XI (et les contraintes que cela aurait impliqué), solennise en réponse un peu plus son propre ordre de l'Hermine en un ordre de l'Hermine et de l'Épi. Confronté aux manœuvres de l'« universelle araigne »[4][réf. insuffisante], il participe en réaction à des alliances diplomatiques dont le roi de France est exclu, voire qui lui sont hostiles. Il mène même des guerres contre le roi de France, théoriquement son suzerain. Il envoie cependant une délégation, quoique peu nombreuse, aux états généraux de Tours.

Difficultés intérieures

Faible de caractère, il ne veut s'imposer ni à ses conseillers, ni à ses barons. En 1373, Jean IV avait dû partir en exil par manque de soutien de sa haute noblesse. Ce risque de rébellion revenait devant l'incertitude de la succession bretonne. La tentation d'un mariage prestigieux pour l'héritière Anne allait de pair avec une alliance que le duc recherchait pour échapper à la pression diplomatique et militaire de Louis XI. Cette alliance défensive pouvait être obtenue au prix du mariage d'Anne avec un prince étranger, frustrant ainsi les ambitions croisées des prétendants à cette succession. D'autre part, la méfiance de François II pour le vicomte de Rohan, son manque d'affinité pour les seigneurs bretons avec lesquels il n'avait pas vécu sa jeunesse, lui fait préférer le conseil de princes étrangers au duché comme le duc d'Orléans (futur Louis XII), le prince d'Orange, Alain d'Albret... et de simples bourgeois bretons, dont l'autoritaire Pierre Landais, haï de l'aristocratie, (aristocratie dont une partie, comme le chef des Rohan, ou Mme de Laval, préceptrice d'Anne, a été achetée par Louis XI, puis Anne de Beaujeu, nommée régente à la mort de son père). Les rancœurs nées de sa politique sont également pour beaucoup dans la défiance des nobles pour François II et les faibles soutiens qu'ils lui offrirent.

La crise de succession

Son absence de descendance masculine fait prévoir des difficultés pour la succession, et accentue les dissensions internes au duché. La famille des Rohan prétendant descendre des anciens rois de Bretagne, le vicomte Jean II de Rohan se croit le mieux placé pour recueillir l'héritage de Bretagne. Avec le soutien du maréchal de Rieux et d'une partie de la haute aristocratie bretonne, il propose de marier ses deux premiers fils (François et Jean) aux deux filles de François II. Le duc repousse ce projet. Le roi de France Louis XI ayant racheté à la dernière descendante des Penthièvre, la comtesse Nicole de Châtillon, épouse de Jean de Brosse, ses droits prétendus[5] au duché, la cour de France table sur cet élément pour contester la succession de François II à ses filles. À Montargis en 1484, la régente de France Anne de Beaujeu rencontre cinq rebelles à l'autorité de François II, qui reconnaissent Charles VIII pour héritier de la Bretagne en l'absence d'un héritier mâle. Peu après, cette conjuration aristocratique élimine Landais, pendu le 19 juillet 1485, et le remplace par un triumvirat formé du prince d'Orange, du maréchal de Rieux et du sire de Lescun (tous signataires à Montargis). Pourtant, arrivés au pouvoir, ils reviennent sur l'engagement de Montargis et suivent la même politique d'indépendance que Landais.

En 1486, par précaution, François II fait reconnaître ses filles Anne (1477-1514) et Isabeau, héritières du duché aux États réunis à Vannes, y compris par les signataires du traité de Montargis. Mais de nombreux nobles bretons conservent des intérêts importants du côté français, leur rendant le choix plus difficile en cas de guerre.

À sa mort en 1488, il semble que sa diplomatie, ses armées, sa politique intérieure et sa politique matrimoniale ont échoué. Malgré un important effort de modernisation de l'État, il laisse un duché profondément divisé, ruiné par la guerre et dont certaines parties tenteront de proclamer leur indépendance (Saint-Malo), dans les mains d'une enfant mineure - héritière à marier du duché - liée par le traité du Verger au roi de France[6].

Guerres

Poursuivant l'œuvre de ses prédécesseurs et comme les ducs de Bourgogne, François II tente de maintenir l'indépendance du duché de Bretagne et affiche les attributs de la souveraineté. Il cherche à partir de 1463 à constituer avec la Bourgogne, l'Angleterre et de grands princes français des alliances qui se révèlent aussi fragiles que la ligue du Bien public (en 1465), à laquelle il n'apporte qu'une adhésion tardive et insuffisante. Il obtient cependant par le traité de Saint-Maur la renonciation de Louis XI au droit de régale sur les évêchés bretons.

En 1468, François II entre en campagne militaire avec Charles de Guyenne, frère cadet de Louis XI rebelle à l'autorité du roi, pour la conquête de la Normandie et du Poitou. Leurs succès initiaux tournent mal et par le traité d'Ancenis avec le roi Louis XI, toutes leurs actions sont annulées. La mort des alliés de François II le prive d'appuis importants : Charles de Guyenne, réconcilié avec son frère aîné, meurt en 1472 ; le duc d'Alençon en 1476 et Charles le Téméraire en 1477 (entraînant la fin de la Bourgogne). Les Anglais occupés par la guerre des Deux-Roses ne peuvent intervenir comme précédemment, tandis que l'Anjou, le Maine et la Provence sont intégrés au domaine royal à la mort du « Bon roi René » et de ses éphémères successeurs. Ces disparitions inversent les rapports de force et permettent au roi de prendre l'initiative.

Au traité de Senlis (29 septembre 1475), ses tentatives d'indépendance sont un temps bridées : François II s'engage à soutenir le roi de France dans ses guerres, ne pourra lui faire la guerre, et sa politique étrangère s'alignera sur celle du roi. Ce traité est confirmé par ceux d'Arras (1482) et de Bourges (1485), avec aussi peu de succès que le précédent.

En 1481, il offre sa fille et héritière Anne en mariage au prince Édouard de Galles, fils du roi d'Angleterre Édouard IV, mais un fort parti de Bretons s'oppose à une nouvelle mainmise anglaise, un siècle après la guerre de Succession.
L'assassinat du roi Édouard IV, puis de son fils devenu roi quelque temps en 1483 mettent fin à ces plans. Les multiples promesses de mariage de son héritière forment la dorsale de sa diplomatie, et ses multiples revirements ne découragent pas les prétendants. Le duc cherche à régler sa succession en mariant son héritière avec Maximilien de Habsbourg sans l'accord du roi de France comme convenu par traité, entrainant une nouvelle campagne militaire après sa mort.

Le duc participe à la guerre folle qui tourne mal pour lui : la demande de mobilisation générale d'avril 1487 est un échec ; son appel est non seulement peu entendu, mais les nobles ayant fait le déplacement se débandent au premier engagement, résultat de la politique intérieure désastreuse de François II lui ayant aliéné une grande partie de la noblesse bretonne. Deux expéditions royales (1487 et 1488) et la défaite à Saint-Aubin du Cormier permettent à la régente de France Anne de Beaujeu d'exiger que la princesse Anne ne soit pas mariée sans l'assentiment de la France (traité du Verger, 1488).

Deux mois après sa terrible défaite, François II meurt d'une chute de cheval et laisse une Bretagne endettée, enjeu d’une guerre qui la dévaste deux ans durant. Sa fille est la clé des ambitions des membres de son entourage comme de la régente de France Anne de Beaujeu. La fille de Louis XI sera une régente de fer. Elle pensionne un maximum de Bretons, s'attache de vrais fidèles, dont Chauvin, Rieux et la Trémoille, afin que le duché de Bretagne ne constitue plus une menace pour le royaume.

Mariages et descendance

Mariage de Marguerite de Bretagne et de François II, au Château de l'Hermine de Vannes

Il épouse en premières noces à Vannes, le 13 ou le 16 novembre 1455, Marguerite de Bretagne (1443-1469), fille aînée du duc François Ier, qui ne lui donnera qu'un fils Jean, titré comte de Montfort-l'Amaury, qui ne vivra que du 29 juin au 25 août 1463. Marguerite meurt à Nantes le 25 septembre 1469.

Il se remarie à Clisson le 27 juin 1471 avec Marguerite de Foix, dite « sein de lait » , fille de Gaston IV de Navarre, comte de Foix, dont il a :

De sa maîtresse Antoinette de Magnelais (1420-1474), il a en outre :

  • François Ier d'Avaugour (1462- ap. 1494), comte de Vertus, de Goëllo et Baron d'Avaugour, et postérité ;
  • Antoine (1463 - mort jeune), baron d'Avaugour, seigneur de Châteaufremont et de Hédé ;
  • une fille (née en 1465 - morte jeune) ;
  • un fils (né en 1466 - mort jeune) ;
  • Françoise (née en 1473), qui restera jusqu'à sa mort vers 1498 dans l'entourage de sa demi-sœur, Anne[réf. nécessaire].

Reconnaissance

On peut admirer au sein de la cathédrale Saint-Pierre de Nantes, le tombeau de François II et de Marguerite de Foix, réalisé au début du XVIe siècle par les artistes français Michel Colombe et Jean Perréal, sur commande de sa fille la duchesse Anne. L'ensemble est considéré comme un chef-d'œuvre de la sculpture bretonne.

Notes et références

  1. (en) Généalogie de François II sur le site Medieval Lands
  2. Philippe Tourault, Anne de Bretagne
  3. La légende de l’origine troyenne des Bretons est en réalité bien antérieure puisqu'elle remonte au XIIe siècle, avec le père fondateur Brutus de Bretagne. Source primaire : Historia regum Britanniae de Geoffroy de Monmouth.
  4. H. Poisson et J-P. Le Mat, Histoire de Bretagne
  5. Au terme du traité de Guérande de 1365, ces droits n'existaient plus
  6. Jean-Pierre Leguay et Hervé Martin, Fastes et malheurs de la Bretagne ducale : 1213-1532, Rennes, Ouest-France, coll. « Ouest-France université », 1982, 435 p. (ISBN 2-85882-309-X) 

Annexes

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Articles connexes

Bibliographie

  • Jacques Choffel, Le dernier duc de Bretagne - François II, Fernand Lanore, Paris, 1977 (ISBN 9787630003571).
  • Claude Gauvard, La France au Moyen Âge du Ve siècle au XVe siècle, Paris, PUF, 1996.
  • Christian Guyonvarc'h, La Bretagne p. 501-522, in L'État et les conflits, sous la direction de Jacques le Goff ; Paris : Seuil, 1990 ; in Histoire de la France, sous la direction d'André Burguière et de Jacques Revel.
  • Jean-Pierre Leguay et Hervé Martin, Fastes et malheurs de la Bretagne ducale 1213-1532, Rennes, éditions Ouest-France université, 1982.
  • Georges Minois, Anne de Bretagne, Paris, Fayard, 1999.
  • Henri Poisson et Jean-Pierre Le Mat, Histoire de Bretagne, Rennes, Coop Breizh, 2000 (nouvelle édition).
  • Philippe Tourault, Anne de Bretagne, Paris, Perrin, 1990.
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1458-1488
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