Geoffroy de Billy

Geoffroy de Billy
Blason : Billy de Prunay.

Geoffroy de Billy, ou Godefroy est né en 1536 à Guise[1] et mort le 28 mars 1612 au château d’Anizy-le-Château et est inhumé à la cathédrale de Laon[2].

Geoffroy de Billy est un évêque-duc de Laon (1598-1612) et pair ecclésiastique de France, qui traduit du latin et de l'espagnol en français quelques ouvrages de dévotion[3]. Geoffroy est aussi député aux États-généraux de Blois de 1576 à 1577 et de 1588 à 1589 et participe à la conférence de Suresnes[4]. Il tient aussi un synode et y publie des statuts sur la discipline ecclésiastique[5]. Le 10 janvier 1605, après la mort de Philippe du Bec, archevêque de Reims, il est chargé de l'administration spirituelle de ce diocèse. En 1609, Geoffroy de Billy se trouvant plus que septuagénaire, demande au roi la permission de se choisir un coadjuteur pour le soulager dans ses fonctions, et obtient que son neveu maternel, Benjamin de Brichanteau, soit nommé à cette place[6]. Les évêques de Laon, ducs et pairs du royaume, ont le privilège de porter la Sainte Ampoule au cours de la cérémonie du sacre des rois de France.

Sommaire

Sa famille

Deux de ses frères sont tués à la bataille de Dreux, le 19 décembre 1562.

Geoffroy de Billy est le descendant de l'ancienne maison de Prunay, le fils de Louis de Billy, seigneur de Prunay, gouverneur pour le roi de la ville de Guise, chevalier de l’Ordre du Roy, et de Marie de Brichanteau[7]. La dalle funéraire de ses parents Louis de Billy et Marie de Brichanteau est en l'église de Saint-Denis de Prunay-le-Gillon. Geoffroy de Billy a six frères, Claude, tué à la bataille de Jarnac (1569); Louis, blessé à la défense de Poitiers, et qui meurt de ses blessures ; deux qui sont tués à la bataille de Dreux, le 19 décembre 1562 ; Jacques de Billy de Prunay, érudit, théologien, juriste, linguiste, abbé bénédictin est aussi un humaniste, un poète, et un traducteur de quelques pères de l'Église grecs ; Jean, abbé commendataire de deux abbayes qui se fait chartreux et qui ne vit plus en 1585. On a de ce dernier quelques traductions d'ouvrages de piété, sur lesquels on peut consulter le volume cité des Mémoires de Nicéron[8]. Deux de ses sœurs sont religieuses à l’abbaye Saint-Jean-Baptiste du Moncel, une autre mère supérieure de Mont Notre Dame, de l’ordre de Cîteaux, la dernière mariée à François II d'Allonville d'Oysonville. Geoffroy de Billy est l’oncle de Benjamin de Brichanteau, évêque-duc de Laon (1612-1619) et pair ecclésiastique de France et de Philibert de Brichanteau évêque-duc de Laon (1620-1652 et pair ecclésiastique de France[9].

Biographie

Un protégé du cardinal de Guise

Geoffroy de Billy, ayant pris l’habit monastique des Bénédictins, est grand prieur de l’abbaye de Saint-Denis-en-France et grand vicaire du cardinal de Guise en cette abbaye[10]. A l’abbaye de Saint-Denis-en-France frère Geoffroy de Billy est le protégé de Louis de Lorraine (1575-1621)[11].

Geoffroy de Billy devient abbé de Saint-Vincent de Laon, en 1560 et également de l’abbaye Saint-Jean d'Amiens[12]. A Saint-Vincent de Laon, il succède à son oncle Crespin de Brichanteau.

Sa lutte contre le protestantisme

Intérieur de l’abbaye Saint-Vincent de Laon.

En 1561, Geoffroy de Billy devenu abbé de Saint-Vincent lutte contre le protestantisme en participant au triomphe de la transsubstantiation lors de l'affaire Nicole Obry. Il fait des exorcismes et procède au déchassement de vingt-six diables, avec quatre autres possédant Nicole Obry de Vervins. Ainsi, ajoute l'historien Boulèse, le bon et vaillant abbé de Saint-Vincent, révérend père en Dieu, frère Geoffroy de Billy, volontiers à ses autres faits dignes d'éternelle mémoire, adjouta cestuy-cy, de garantir de mort deux personnes pour le moins, et de faire venir les merveilles de Dieu en connaissance[13]. Superstition ou non, cela lui vaut l’admiration des fidèles.

Le vrai exorcisme de Nicole Obry

En 1572, l'abbaye Saint-Vincent de Laon est de nouveau donnée en commende à Geoffroy de Billy, grand prieur de l’abbaye de Saint-Denis-en-France, qui n'y réside pas et la néglige tout à fait. Les religieux le traduisent devant le parlement, et leur prieur, Antoine Danye, va à Paris suivre l'affaire. Mais l'abbé commendataire, mécontent de la démarche de son prieur, le chasse avec violence du monastère lorsqu'il veut y rentrer. Le parlement de Paris, saisi de cette affaire, condamna Geoffroy de Billy a une réparation publique envers Antoine Danye. Quand donc celui-ci rentre dans la maison, l'abbé va l'attendre à la porte et le conduit à l'église au son des cloches; enfin, il lui donne toute satisfaction[14].

Geoffroy de Billy est député aux États-généraux de Blois de 1576 à 1577[15].

Des organisations de catholiques de petite taille existent déjà, un peu partout en France, comme la Ligue picarde, créée en 1568.et de 1588 à 1589. Mais il n’en fait pas vraiment partie. Certes il est vicaire de cardinal de Guise[16], mais ce n’est qu’après les meurtres de ses anciens protecteurs, le duc Henri Ier de Guise et le cardinal Louis de Lorraine (1555-1588), le 23 décembre 1588 qu’il se rallie à la ligue. Geoffroy de Billy les a représenté comme député du Vermandois aux États-généraux de Blois de 1588[16].

Un des chefs de la Ligue en Picardie

Charles de Mayenne a une totale confiance en l'abbé Billy et lui confie beaucoup de pouvoirs à Laon.

Le nombre des ligueurs s'est accru dans la ville de Laon ; et lors de la nomination de leurs députés en 1588, ils avaient intrigué avec tant de succès, qu’avaient été élu des hommes de leur parti, le lieutenant-général Adrien Defer, le conseiller Legras, mais aussi Billy[17]. L’assassinat des Guise fait que les ligueurs sont transportés de fureur et soulèvent toutes les villes.

A Laon, lorsque Geoffroy de Billy, abbé de Saint-Vincent, Adrien Defer et Claude Legras, conseillers au présidial, rentrent de Blois après six mois d’absence en janvier 1589, ils sont ligueurs, aux ordres du duc Charles de Mayenne. Geoffroy de Billy, personnage ambitieux, éloquent, hardi, qui compose des livres de dévotion et prêche depuis des années la guerre civile s’empare de la ville en 1589[4].

Geoffroy de Billy est un chef autoritaire et peu commode[16]. Dès qu’une rumeur de menace se propage, le tocsin sonne, des barricades sont dressées partout. Les rues se remplissent de bourgeois et d'ecclésiastiques armés. Billy parcoure la ville la cuirasse sur le dos, surveillant les uns, excitant les autres, et donnant des ordres comme si l'ennemi était aux portes[18]. Il sait toutefois calmer les foules et éviter les massacres[19].

Charles de Mayenne, dont Billy a la confiance, obtient qu'on le donne pour collègue à Legras[20]. Billy, pour tout ce qui regarde la ville, y exerce un ascendant que personne ne balance, pas même l'évêque[21]. Il est tellement considéré dans la Ligue, qu'il est un de ses négociateurs à la conférence de Suresnes.

Néanmoins, Geoffroy de Billy se range du côté d'Henry IV après la conversion de celui-ci au catholicisme le 25 juillet 1593.

Évêque de Laon (1600)

Palais épiscopal de Laon.

C’est à lui que l'évêché de Laon est donné après la mort de Valentin Douglas. Le séditieux Billy obtient pour son ralliement des avantages qu'une fidélité inébranlable ne lui aurait peut-être pas valus[22].

Geoffroy de Billy est donc évêque-duc de Laon (1598-1612), mais aussi pair ecclésiastique de France[23].

Geoffroy de Billy veut aussitôt faire éclater son zèle pour la religion dans ce nouveau poste où vient de l'appeler la confiance du roi qui lui a pardonné sa conduite antérieure. En 1603, une jeune fille de Laneuville, nommée Paquette, d'un œil et d'un laid regard, dit un historien de ce temps, est arrêtée comme possédée du démon. On la met dans la prison royale, où elle est visitée par des médecins qui déclarent quelle avait de l'extraordinaire dans sa nature. Elle est alors conduite dans les prisons de l'évêché pour y attendre le jour où l'évêque procèdera aux cérémonies de sa conjuration. On fait à cet effet élever un échafaud dans l'église-cathédrale, et bientôt Geoffroy de Billy commence les exorcismes en donnant à toucher à Paquette les reliques des saints. Cette prétendue possédée, au milieu de beaucoup de contorsions, fait enfler à volonté l'une de ses cuisses exposée nue aux yeux de tous, qui regardent cela comme un miracle. Le bruit de cette nouvelle affaire se répand promptement dans le pays d'alentour, et attire une grande affluence de personnes du dehors désireuses d'être témoins de ces exorcismes. Mais, bientôt, on apprend que Paquette est une femme de mauvaise vie, et que ses discours ne doivent inspirer aucune confiance. L'évêque se trouve donc dans la nécessité de la renvoyer, et elle se met à courir la campagne et elle a, dit le même historien, deux enffans sans avoir esté mariée[24].

L’un de ses neveux qui va lui succéder comme évêque: Benjamin de Brichanteau.

Le 10 janvier 1605, après la mort de Philippe du Bec, archevêque de Reims, il est chargé de l'administration spirituelle de ce diocèse, en attendant que Louis de Lorraine (1575-1621) soit en âge de gouverner par lui-même[22].

En 1607, Henri IV écrit au pape une lettre concernant Geoffroy de Billy[25] :

Tres Sainct Pere, Nostre cher et bien amé Mgr Geoffroy de Billy, evesque de Laon, abbé de l'abbaye de S* Vincent lès la dicte ville de Laon, nous a faict entendre qu’il desiroit, soubs le bon plaisir de Vostre Saincteté et le nostre, resigner la dicte abbaye en faveur de Philibert de Brichanteau, clerc du diocèse de ....... à la reserve, toutesfois de la somme de trois mille livres de pension, franche et quicte de toutes charges, sa vie durant, à prendre sur tous et chacuns des fruicts et revenus de la dicte abbaye. Et d'autant que de nostre part nous avons la dicte resignation tres agreable, po11r les bonnes vertus et qualitez qui sont en la personne du dict Brichanteau, à ceste cause, Tres Sainct Pere, nous le nommons et presentons à Vostre Saincteté, en la priant et requerant autant et si affectueusement que faire pouvons, que le bon plaisir d’icelle soit, à nostre priere et requeste, le faire pourveoir de la dicte abbaye, à la reservation de la dicte pension de trois mille livres, luy en octroyant et faisant à ceste fin expedier toutes vos bulles, dispenses et provisions.

Lorsque les Minimes sont introduits à Laon, en 1608, Geoffroy de Billy, toujours disposé à nuire aux moines de Saint-Vincent, dont il était cependant abbé, mais avec lesquels il avait eu de graves démêlés, résolut de leur enlever cette collégiale qui leur appartenait, en la transformant en couvent pour les nouveaux Pères, et en transportant la paroisse ailleurs. Il commence donc par amortir et supprimer les prébendes de Saint-Julien; mais bientôt il rencontre une si vive résistance, qu'il se voit forcé d'abandonner ses desseins[26].

Mais Geoffroy n'en éprouve que plus d'éloignement pour Saint-Vincent, et pendant quarante ans qu'il la tient en commende, il refuse constamment de la soutenir et de réparer les dégâts qu'elle avait soufferts. Loin de là, il permet aux Capucins et aux religieuses de la Congrégation d'y prendre des matériaux pour construire leurs maisons[27].

En 1609, Geoffroy de Billy se trouvant plus que septuagénaire, demande au roi la permission de se choisir un coadjuteur pour le soulager dans ses fonctions, et obtient que son neveu maternel, Benjamin de Brichanteau, soit nommé à cette place[28].

Billy est aussi bon évêque, qu'il avait été violent ligueur[22]. Il meurt au château d'Anizy deux ans après, et est enterré dans le sanctuaire de la cathédrale. On ne met sur son tombeau ni épitaphe ni inscription[29].

Œuvres

Marc Lescarbot dédie le Guide des Cures (1613), traduction des Instruciones Pastorum de Charles Borromée, à Geoffroy de Billy, son nouveau protecteur et révérend père en dieu[16].

Geoffroy de Billy est l’auteur de quelques ouvrages de piété et traduit du latin et de l'espagnol en français quelques autres ouvrages de dévotion[30].

Geoffroy de Billy a traduit de l'espagnol :

  • Dom Louis de Grenade, le Mémorial de la vie Chrétienne, auquel eft traité comme le Chrétien fe doit gouverner depuis le temps de fa converfion jusques à sa perfection (Paris : Guillaume Chaudière, 1575).
  • Manuel d'Oraisons & spirituels Exercices; avec une briève Instruction & Règle de bien vivre , pour ceux qui commencent à servir Dieu , spécialement aux Monastères , traduic de l'Espagnol du R. Père Grenate (Paris : Guillaume Chaudière, 1579).
  • Prières & Méditations tant journales que générales ; avec Excitations de l'esprit à Dieu, composées premièrement en élégant Latin, par Jean Loys Vives, & mises en François, par Geoffroy de Billy (Paris : Claude Fremy, 1570).

Notes

  1. Revue bénédictine 108 (1998), p.336 ; Desmaze 1876, p. 83.
  2. Saincir 1936, vol. 2 p. 564.
  3. Michaud 1811, t. 4 p. 495.
  4. a et b Collection universelle, vol. 51 p.398.
  5. Desmaze 1876, p.83.
  6. Melleville 1846, vol. 2 p.56.
  7. Auguis 1824, vol.5 p.29 sq.
  8. Michaud 1811, t. 4, p.495.
  9. Devisme 1822, p.79.
  10. Liberge 1846, p.246 ; Emont 2002, p.54 ; Warren 1958.
  11. Nettement 1808, p. 354.
  12. La Chesnaye-Desbois 1864, vol. 3 p. 28
  13. Roger 1863, p. 133.
  14. Melleville 1846, vol.2 p. 110.
  15. Collection universelle, vol. 51 p. 398.
  16. a, b, c et d Emont 2002, p. 54.
  17. Devisme 1822, p. 15.
  18. Devisme 1822, p. 17.
  19. Devisme 1822, p. 23.
  20. Devisme 1822, p. 26.
  21. Devisme 1822, p. 16.
  22. a, b et c Devisme 1822, p. 79.
  23. Liberge 1846, p. 246 ; Michaud 1811, t. 4 p.495.
  24. Melleville 1846, vol.2 p. 504 ; Bulletin de la Société de l'histoire du protestantisme français 8 (1859), p. 422 ; Devisme 1822, p. 52.
  25. Wikisource : Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/426
  26. Melleville 1846, vol. 2 p. 107.
  27. Melleville 1846, vol. 2 p. 110.
  28. Melleville 1846, vol. 2 p. 56 ; Devisme 1822, p.79.
  29. Melleville 1846, p. 56
  30. Liberge 1846, p. 246 ; Michaud 1811, t. 4 p. 495.

Références

  • Pierre René Auguis. Les Poètes françois, depuis le XIIe siècle jusqu'à Malherbe. Paris : 1824.
  • Collection universelle des mémoires particuliers relatifs à l'histoire de France, par Jean-Antoine Roucher, Antoine Perrin, Louis d'Ussieux. Paris : 1789.
  • Charles Adrien Desmaze. L'Université de Paris, 1200-1875 : la nation de Picardie, les collèges de Laon et de Presles, la loi sur l'enseignement supérieur. Paris : Charpentier, 1876.
  • Bernard Emont. Marc Lescarbot : mythes et rêves fondateurs de la Nouvelle-France : avec une biographie nouvelle de l'auteur. Paris : L'Harmattan, 2002.
  • François-Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois et Badier. Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de la France, l'explication de leurs armes et l'état des grandes terres du royaume... Paris : Schlesinger frères, 1864.
  • Marin Liberge. Le siège de Poitiers, suivi de la Bataille de Moncontour, et du Siège de Saint-Jean-d'Angély. Poitiers : Létang, 1846.
  • Joseph. Fr. Michaud et Louis Gabriel Michaud. Biographie universelle, ancienne et moderne; ou, Histoire, par ordre alphabétique : de la vie publique et privée de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs actions, leurs talents, leurs vertus ou leurs crimes... Paris : 1811.
  • Alfred Nettement. Suger et son temps. Paris : Lecoffre Fils et Cie, 1808.
  • J. Roger. Histoire de Nicole de Vervins d'après les historiens contemporains et témoins oculaires, ou Le triomphe du Saint Sacrement sur le démon à Laon en 1566... Paris : H. Plon, 1863.
  • Jules Saincir. Le diocèse de Soissons. S.l. : 1935-1936.
  • Éric Thierry. Une figure méconnue de la Réforme catholique à Laon : Geoffroy de Billy (1536-1612), conférence donnée le 24 mars 2001 lors d'une réunion de la Société historique régionale de Villers-Cotterêts [1]
  • Raoul de Warren. Les pairs de France sous l'Ancien régime. Paris : 1958.

Articles connexes

Liens et documents externes


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