Gigors

Gigors

44° 25′ 12″ N 6° 09′ 37″ E / 44.42, 6.16027777778

Gigors
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Canton Turriers
Code commune 04093
Code postal 04250
Maire
Mandat en cours
Gérard Magot
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de la Motte-Turriers
Démographie
Population 58 hab. (2008)
Densité 4,2 hab./km²
Gentilé Gigordons
Géographie
Coordonnées 44° 25′ 12″ Nord
       6° 09′ 37″ Est
/ 44.42, 6.16027777778
Altitudes mini. 806 m — maxi. 1586 m
Superficie 13,69 km2

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Voir la carte administrative

Gigors est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Gigordons.[1]

Sommaire

Géographie

Le village est situé à 875 m d’altitude[2].

Sommets et cols :

  • col de Sarraut (980 m) ;
  • sommet de Montsérieux (1 596 m) ;
  • sommet des Plauts (1 592 m).

Communes limitrophes

Sismicité

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Le canton de Turriers dont fait partie la commune est classé en Zone 1b (risque faible), tout comme ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron et Volonne. Ceux classés en Zone 2 (risque moyen, le plus élevé du département), de Peyruis à Manosque, sont à plus de 60 kilomètres[3].

Géologie

Article connexe : Géologie des Alpes.
Massif des Alpes et localisation des Préalpes de Digne

Le territoire se situe en limite nord des Préalpes de Digne et de la nappe de Digne[4], au niveau du lobe nord-ouest[5] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écaille) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe.

Climat

Gigors n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Tallard[6].

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Relevé météorologique de la région de Tallard
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) -3 -2 1 3 7 10 13 13 10 6 1 -1 4,8
Température moyenne (°C) 1,5 3 6,5 9 13 17 20 20 16 11,5 5,5 3 10,5
Température maximale moyenne (°C) 6 8 12 15 19 24 27 27 22 17 10 7 16,2
Précipitations (mm) 33 29,4 28,9 43,4 38,7 40,9 33,3 36,7 46,2 63,7 48,8 34 477
Source : Relevé météo de Tallard[7]
Diagramme climatique
J F M A M J J A S O N D
 
 
33
 
6
-3
 
 
29.4
 
8
-2
 
 
28.9
 
12
1
 
 
43.4
 
15
3
 
 
38.7
 
19
7
 
 
40.9
 
24
10
 
 
33.3
 
27
13
 
 
36.7
 
27
13
 
 
46.2
 
22
10
 
 
63.7
 
17
6
 
 
48.8
 
10
1
 
 
34
 
7
-1
Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm)

Toponymie

Le nom de la localité tel qu’il apparaît pour la première fois en 1045 (in villa Jugurnis), désignant un village à flanc de colline, se rapproche du Gigors de la Drôme, selon Charles Rostaing, et serait construit sur la racine oronymique (désignant une montagne) *GuG-. Selon Ernest Nègre, il s’agit au contraire d’un nom dérivé d’un nom de personne, Gigord, terme occitan traduisant l’oïl gigorne, et signifiant personne maladroite[8],[9].

Histoire

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1045 (Jugurnis)[2], qui devient Gigornis en 1079[10]. Un prieur, dépendant de l’abbaye Saint-Victor de Marseille[10], est établi depuis un certain temps en 1084.

En 1348, la reine Jeanne, chassée de son royaume de Naples, dut se réfugier en Provence. Pour reconquérir ses États napolitains, elle vendit Avignon au pape pour 80 000 florins, et obtint au passage l'absolution pontificale qui la lavait de tout soupçon dans le meurtre de son premier époux André de Hongrie. Reconnaissante, elle offrit à Guillaume II Roger, frère du pape, le fief de Valernes, qui fut érigé en vicomté par lettres patentes en 1350[11]. La nouvelle vicomté comprenait les communautés de Bayons, Vaumeilh, la Motte, Bellaffaire, Gigors, Lauzet, les Mées, Mézel, Entrevennes et le Castellet, avec leurs juridictions et dépendances[12].

Politique et administration

Administration municipale

De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de neuf membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[13]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et Gérard Magaud a été réélu conseiller municipal avec le meilleur total de 44 voix, soit 95,65 % des suffrages exprimés. La participation a été de 95,63 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[14].

Listes des maires

De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.

De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.

Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.

De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.

Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
1977(?) en cours Gérard Magaud[15],[16],[17] Écologiste  

Intercommunalité

Gigors est l'une des treize communes de communauté de communes de la Motte-Turriers[18]. La communauté de communes est elle-même adhérente à l'association du pays Sisteronais-Buëch avec huit autres communauté de communes[19], association qui comprend ainsi 83 communes comptant 28 500 habitants répartis sur 1 600 km2.

Instances administratives et judiciaires

Gigors est une des sept communes du canton de Turriers qui totalise 1 229 habitants en 2006. Le canton a fait partie de l’arrondissement de Sisteron du 17 février 1800 au 10 septembre 1926, date de son rattachement à l'arrondissement de Forcalquier.et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Gigors fait partie du canton de Turriers depuis 1793[20]. La commune fait partie de la juridiction prud'hommale de Manosque, d’instance et de grande instance de Digne-les-Bains[21].

Fiscalité locale

L'imposition des ménages et des entreprises à Gigors en 2009[22]
Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 7,00 % 0,64 % 5,53 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 14,00 % 2,25 % 14,49 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 50,00 % 6,44 % 47,16 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 18,00 % 1,28 % 10,80 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[23]).

Population et société

Démographie

Évolution démographique
Années 1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
Population 40 feux 19 feux 192 132 140 224 143 209 209 225
Années 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
Population 236 230 208 207 212 188 192 175 163 147
Années 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 138 143 137 122 108 81 70 60 62 49
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 -
Population 38 29 34 37 39 41 55[24] 56[25] 58[26] -
Notes, sources, ... Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[10] ; Insee[27], EHESS[20] pour les chiffres issus des recensements légaux

Enseignement

La commune ne dispose pas d'école primaire publique[28]. Ensuite les élèves sont affecté au collège Marcel-Massot[29]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[30],[31].

Santé

Ce petit village ne possède aucun professionnel de santé. Les médecins les plus proches se trouvent dans les Hautes-Alpes à Rousset à 7 kmet le cabinet médical de Tallard à 9 km [32]. La pharmacie du secteur se situe à Espinasses à 7 km[33]. L'hôpital le plus proche est l'hôpital local Saint-Jacques de Seyne-les-Alpes éloigné de 17 km[34].

Culte

Le culte catholique se pratique en l'église Notre-Dame de Clamensane, où la messe dominicale est célébrée le 4e dimanche du mois[35] ou au Prieuré Sainte Marie à La Motte-du-Caire[36] .

Les musulmans doivent se rendre soit à la mosquée En-Nasr de Manosque, soit à la mosquée Younés à Digne-les-Bains[37].

Économie

Agriculture

La commune compte plusieurs exploitations agricoles, spécialisées notamment dans la production de lavande et de safran[38].

La commune de Gigors possède un label Appellation d'origine contrôlée (AOC) (Huile essentielle de lavande de Haute-Provence) et neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Pommes des Alpes de Haute-Durance, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé)[39].

Lavande

Champ de lavande

Liée au soleil et aux vacances, la lavande, dont Jean Giono a dit qu'elle est « l'âme de la Haute-Provence », n'est plus actuellement l'« or bleu » du Ventoux, des Baronnies et de la montagne de Lure[a 1]. Cueillie pendant des siècles à l'état sauvage, sa récolte n'a été organisée qu'à partir du XVIe siècle en même temps que la distillation de sa fleur[a 2]. Son âge d'or se situe au début du XXe siècle. Et c'est au cours des années 1920 qu'il y a une véritable fièvre de plantation. Après la crise de 1929 et la Seconde Guerre mondiale, le marché est à nouveau demandeur à partir de 1955 pour entrer en crise cinq ans plus tard[a 3]. La mécanisation de la récolte, une meilleure organisation du marché et l'obtention d'une AOC pour l'« huile essentielle de lavande de Haute-Provence », en 1981, aurait dû relancer la production[a 4]. Mais celle-ci de l'ordre de 200 tonnes au début des années 1980 a chuté à 25 tonnes dans les années 1990 pour enfin remonter à 80 tonnes en 2003[a 5].

Miel de Provence

Miel de lavande

Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée, tant pour le miel toutes fleurs que pour le miel de lavande et lavandin[40]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500, dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 t/an, soit 8 % de la production nationale[41]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au nord par une ligne Montélimar / Digne, avec au sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[42].

Agneau de Sisteron

Agneau de Sisteron élevé sous sa mère

L'agneau de Sisteron est un agneau de quatre mois, élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[43], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[44]. L'Union européenne lui a accordé une indication géographique protégée depuis le 15 février 2007[45].

Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[46].

Pommes des Alpes de Haute-Durance

Golden et gala

Les pommes des Alpes de Haute-Durance ont obtenu une Indication géographique protégée, qui a été publiée au Journal Officiel de l'Union européenne le 17 avril 2010[47].

Ces pommes de variétés golden delicious et gala proviennent de six cantons des Alpes-de-Haute-Provence et de treize cantons des Hautes-Alpes situés entre 450 mètres et 900 mètres d’altitude. La qualité de ces pommes est liée à leur terroir, et en particulier au climat de la Haute-Durance avec plus de 300 jours d'ensoleillement par an. Le froid nocturne qui règne lors de la maturation des pommes empêche la dégradation des acides, tandis que la forte amplitude thermique diurne permet leur jaunissement, et même leur rosissement[48].

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

  • Église Saint-Laurent[10] (1607)
  • 2 fontaines

Héraldique

Blason de Gigors

Blasonnement :
« Coupé, au 1er d'azur à deux chevrons d'or, accompagnés de trois besants d'argent, deux en chef et un en pointe ; et au 2ème d'or à un arbre arraché de sinople, fûté au naturel. »[49].

Pour approfondir

Bibliographie

  • Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
  • Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Références bibliographiques

  • Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale 
  1. Jean-Paul Bonnefoy, p.  124.
  2. Jean-Paul Bonnefoy, p.  125.
  3. Jean-Paul Bonnefoy, p. 126
  4. Jean-Paul Bonnefoy, p. 127.
  5. Jean-Paul Bonnefoy, p. 128.

Références

  1. (fr) Nom des habitants des communes françaises, Gigors sur le site habitants.fr de la SARL Patagos. Consulté le 22 juin 2011
  2. a et b Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7) 
  3. Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
  4. Carte géologique de la France au 1/1 000 000
  5. La Nappe de Digne et les structures connexes, par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
  6. (fr) Station météo la plus proche : Tallard, MSN Météo
  7. (fr) Relevé météo de Tallard, MSN Météo
  8. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 171
  9. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume III : Formations dialectales (suite) ; formations françaises § 29992, p 1704-1705
  10. a, b, c et d Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 177
  11. Jean-Marie Schio, Guillaume II Roger de Beaufort
  12. Édouard de Laplane, Histoire de Sisteron, tirée de ses archives, Digne, 1845, T. I, p. 126.
  13. (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
  14. Résultats élections municipales 2008 à Gigors sur linternaute.com
  15. Gérard Magaud est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Brice Lalonde (Mouvement d'écologie politique) à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1055, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  16. Gérard Magaud est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Corinne Lepage à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010, et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
  17. Site de la préfecture des AHP
  18. (fr) Communauté de communes de La Motte du Caire - Turriers sur pays-sisteronais-buech.fr
  19. (fr) Le Pays Sisteronais-Buëch sur pays-sisteronais-buech.fr
  20. a et b EHESS, notice communale de Gigors sur la base de données Cassini, consultée le 25 juillet 2009
  21. (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
  22. (fr) Impots locaux à Gigors, taxes.com
  23. Loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
  24. Insee, Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009
  25. Insee, Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010
  26. (fr) Populations légales 2008 de la commune de Gigors, INSEE
  27. Gigors sur le site de l'Insee
  28. (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
  29. (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
  30. (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
  31. (fr) Site de la cité scolaire Paul Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
  32. (fr) Médecins les plus proches de Gigors sur actuacity.com
  33. (fr) Pharmacie près de Gigors sur actuacity.com
  34. (fr) Hôpitaux les plus proches de Gigors sur actuacity.com
  35. (fr) Messe à Clamensane sur Messe Info
  36. (fr) Messe proches de Gigors sur Messe Info
  37. (fr) Culte musulman des Alpes-de-Haute-Provence sur l'Annuaire Musulman
  38. agriculteurs de la commune
  39. (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Gigors sur INAO
  40. Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
  41. Les apiculteurs en Provence
  42. La transhumance des ruches provençales
  43. Site officiel de l'agneau de Sisteron
  44. Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005
  45. IGP de l'Union européenne en date du 15 février 2007
  46. Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
  47. (fr) Les Pommes des Alpes de Haute-Durance obtiennent l'IGP, INAO, 19 avril 2010
  48. (fr)Fiche INAO de l'IGP Pommes des Alpes de Haute-Durance, INAO, 17 avril 2010
  49. Banque du Blason

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