Grandes Invasions

Grandes Invasions

Invasions barbares

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Les grandes invasions commencent au IIIe siècle de notre ère quand les Francs, les Alamans, les Saxons, les Huns, les Avars, les Bulgares, les Goths ou les Vandales rencontrent, envahissent, pillent et déstabilisent l'Empire romain. Elles ont pris fin au Ve siècle en France, avec l'établissement des royaumes francs, un siècle plus tard, en Italie, avec la fondation du royaume lombard. L'invasion des Vikings, postérieure à la Renaissance carolingienne n'est pas comprise dans cette période historique.

Du point de vue historiographique franco-allemand, ces grandes invasions sont étroitement liées aux migrations germaniques (die grosse Völkerwanderung ou « grande migration des peuples » en allemand) qui concernent les peuples germaniques. Ce point de vue est limité puisque les grandes invasions ont mis en jeu les Magyars, les Slaves, les Bulgares, etc.

Ne sont cités dans cet article que les peuples qui s'établissent sur les terres de l'Empire romain d'Occident, provocant ou accélérant sa décomposition. Leur sédentarisation sur ces terres, et les pouvoirs locaux qu'ils développent constituent le premier acte fondateur du Haut Moyen Âge.

Vers 620, les Croates arrivent sur les côtes dalmatiennes. Tableau d'Oton Ivekovic, L'arrivée des Croates sur l'Adriatique.

Sommaire

Lexicographie et enjeux historiques

Carte du Völkerwanderung

Les Barbares étaient, pour les Romains et les Grecs, tous ceux qui ne parlaient pas leur langue et ne partageaient pas leur modèle de civilisation, fondé sur la cité et l'écriture. Après la chute de l'Empire romain, le clivage essentiel ne passe plus entre civilisés et Barbares, mais entre chrétiens et païens. Cependant, les auteurs du Haut Moyen Âge emploient encore parfois le terme de « barbare », par réminiscence classique, pour désigner les populations non ou faiblement christianisées.

Afin de désigner l'état intermédiaire entre la civilisation gallo-romaine et la société féodale installée, l'historiographie française parle traditionnellement d’« invasions barbares » pour désigner les grandes invasions, de « temps barbares » pour cette période de transition et de « Royaumes barbares » pour désigner les pouvoirs locaux établis.

Les historiens allemands leur appliquent le terme de Völkerwanderung (« migration humaine »), jugé plus valorisant et relié à une forme de nationalisme romantique qui fleurit en Europe au XIXe siècle. Les historiens français opposaient, pour leur part, une France continuatrice du monde gallo-romain, et l'Allemagne violente, car issue de Germains mal romanisés, cette vision, émanant de l'esprit de revanche développé après la défaite de Sedan, est aujourd'hui dépassée.

Du reste, la déliquescence de la structure impériale que fut la décadence, perçue par les historiens et ayant mené au triomphe des barbares, exerça une fascination intemporelle en référence à toute entreprise humaine colossale.

Découpage temporel


On peut distinguer trois périodes. La première est celle des escarmouches et du pillage sans installation dans l'Empire romain. La seconde période est celle des invasions proprement dites avec transfert de populations et de souveraineté au sein de l'Empire romain.

La phase des invasions barbares au IIIe siècle

Les peuples barbares se fédèrent au IIIe siècle. L'Empire romain doit composer pour assurer sa survie, comme il a su toujours s'adapter dans les différentes étapes de son Histoire. Cette période est contemporaine de l'anarchie militaire et laisse le limes gardé par les peuples mêmes qu'il était censé contenir lorsqu'édifié par les troupes régulières de la légion romaine. Cette situation est dangereuse mais les Empereurs n'avaient pas d'autre option (lire l'article sur l'anarchie militaire dans l'Empire romain).

La Gaule est alors secouée par des incursions sporadiques de barbares. En 242, 253 et 276, la Gaule, l'Espagne et le Nord de l'Italie sont dévastés par les Francs et les Alamans. Les Saxons font des raids en Bretagne. Les Goths, par la mer Noire, font des incursions en Asie Mineure. La pression des Arabes et de l'Empire perse sassanide à l'est, celle des Maures et des Blemmyes au sud entraînent l'abandon de nombreux avant-postes.

Rome réussit cependant à repousser les attaques et à intégrer une partie des envahisseurs comme fédérés. Pour se défendre, de nombreuses villes élèvent alors des murailles[1].

Les Grandes invasions des IVe et Ve siècles

Itinéraires empruntés par les colonnes d'envahisseurs durant la seconde phase des grandes invasions , du IVe siècle au Ve siècle ;
Chronologie associée.

Elles provoquent la chute de l'Empire romain en Occident. Les grandes invasions commencent au IVe siècle, poussées par un peuple nomade jusque-là inconnu, les Huns. Ils détruisent les deux grands royaumes germains orientaux des Ostrogoths et Wisigoths.

En 375, après avoir traversé le Danube, les Wisigoths écrasent l'armée romaine à Andrinople, ravagent les Balkans et la Grèce, puis passent en Italie. Repoussés une première fois par Stilicon en 401, ils prennent Rome et la mettent à sac en 410. Rome achète leur départ en leur offrant l'Aquitaine. Les Wisigoths étendent leur domination en 412 en Aquitaine, puis en Espagne.

Fuyant eux aussi les Huns, les Vandales, les Suèves et les Alains franchissent pendant l'hiver 406 le Rhin, gelé par un froid exceptionnel. Ce sont alors plus de 150 000 hommes qui envahissent l'Empire romain en déclin par la Gaule. Les Vandales, vaincus en Espagne par les Wisigoths, passent en Afrique du Nord où ils s'établissent en 429.

En 430, les Francs arrivent en Gaule Belgique.

En 437, les Burgondes, installés sur la rive gauche du Rhin, sont chassés par les Huns. Ils s'installent alors autour de Lyon et dans les Alpes. Les Huns cherchent à étendre leur empire vers la Gaule, puis vers l'Italie. Mais la mort de leur grand chef Attila entraîne l'éclatement de l'empire hunnique.

les Angles, les Jutes et les Saxons envahissent les îles britanniques dans la deuxième moitié du Ve siècle.

Sédentarisation au Ve siècle

On entre alors dans le Haut Moyen Âge. Les premiers royaumes, la plupart éphémères, sont fondés par les potentats de ces peuples.

Les peuples migrateurs ou envahisseurs

L'empire des Huns, nomade et décentralisé, s'étendit des steppes de l'Asie centrale jusqu'à l'actuelle Allemagne, et du Danube jusqu'à la mer Baltique. Il disparait en 455 en Europe.

Les peuples germaniques

Les Germains sont une mosaïque de peuples se mettant en mouvement. Les Germains occidentaux viennent de Rhénanie et comprennent les Francs saliens et Francs rhénans, alliés à l'Empire romain. De l'Elbe viennent les Suèves, les Angles, les Jutes, les Frisons et les Saxons. Les Germains orientaux sont les Lombards. Les Germains nordiques comprennent les Goths, et les Danois.

Il convient de préciser que tous les peuples de Germanie ne se mettent pas à envahir la partie occidentale de l'Empire. Les Cimbres et les Teutons sont déjà exterminés avant les invasions du Ve siècle. Les Alamans, peuple fédéré, restent implantés sur les terres attribuées au titre du fœdus traité avec les Romains, et leur royaume alaman reste dans le toponyme de l'Alémanie, identifié plus tard comme exonyme de Deutschland pour le nom français de l'Allemagne[2].

D'autres enfin perdent leur identité propre. Les Quades et Marcomans finissent intégrés dans les colonnes de guerriers Suèves lors de la traversée des Pyrénées. Les Sillings et Alains, perdant les membres de leur aristocratie dominante au cours des combats, prêtent serment aux Hasdings lors de leur traversée des Colonnes d'Hercule, l'ensemble formant les Vandales qui partent pour se fixer à Carthage. Les Hérules sont complètement dispersés lors de cette période.

Ostrogoths

Article détaillé : Royaume ostrogoth.

Les Ostrogoths, soutenus par Anastase, empereur de Byzance, envahissent l'Italie. Ils sont menés par Théodoric qui à sa mort en 526, à réussi à établir un vaste Royaume ostrogoth comprenant l'Italie, la Sicile et la Dalmatie.

Wisigoths

Article détaillé : Royaume wisigoth.
Trajet des Alains, Suèves et Vandales de 409 à 415 dans la péninsule Ibérique, puis des Wisigoths qui les en chassent progressivement.

Les Wisigoths envahissent le sud de la Gaule et prennent Tolosa comme capitale ; le nom de Gothie a longtemps été appliqué à la Septimanie, région du Languedoc-Roussillon actuel.

Francs

Article détaillé : Royaumes francs.

Les Francs subjuguent les Gallo-romains et s'installent en Gaule, régnant sur des territoires désunis qui seront nommés Francie par l'historiographie après des guerres d'expansion. Les Saliens assimilés depuis plusieurs générations soutiennent les légions romaines, et se battent contre les Huns, tandis que les Ripuaires pillent l'empire déchu. Partant de Tournai, les Francs saliens sous Clovis unifient les tribus franques de Germanie inférieure, envahissent le nord de la Gaule et la partie gauloise du Royaume wisigoth. À la mort de Clovis, son royaume est divisé entre ses quatre fils, puis se réunifie par la guerre.

Le nom de Francia est employé dès le VIe siècle par Marius d'Avenches pour désigner le royaume franc étendu à la Gaule. A une époque mal déterminée, le nom de France, au sens étroit, s'est appliqué à la région entourant Paris : d'où des toponymes comme Roissy-en-France. Une région d'Allemagne centrale, la Franconie, correspond à une marche conquise par les Francs sur les Alamans et les Thuringiens.

Burgondes

Article détaillé : Royaumes burgondes.

Les Burgondes s'installent en Bourgogne et forment une terre, le royaume des Burgondes, la Burgondie, concurrente de la Francie. Sa conquête par les mérovingiens entre 534 et 536 est à l'origine du Royaume de Bourgogne, après lequel l'aristocratie dominante burgonde disparaît.

Les Burgondes laissent leur empreinte en Sapaudia : en 499, Clovis Ier s'allie au roi burgonde de Genève, Godégisile, qui voulait s'emparer des territoires de son frère Gondebaud.

Angles, Jutes, Frisons et Saxons

Article détaillé : Royaumes anglo-saxons.

Ils partent pour l'île de Bretagne et s'y établissent sur toute la partie occidentale et méridionale; les Romains abandonnent l'île à son sort en 410. Les anglo-saxons y fondent les royaumes de l'heptarchie. Selon l'historiographie anglo-saxonne, l'ensemble de l'île de Bretagne bascule dans les âges sombres, l'unité ethnique celte étant perdue.

Les Saxons restés sur le continent en Saxe (en fait, plutôt l'actuelle Basse-Saxe), forment une vague confédération, tantôt tributaire, tantôt ennemie du royaume franc mérovingien. Certains rattachent cette confédération à la ligue des Thuringes, dont l'existence même relève peut-être de la légende. En tout cas, les Saxons continentaux restent païens et pratiquement indépendants jusqu'à leur soumission par Charlemagne.

Les Frisons établis en Frise sur le continent résistent longtemps à l'évangélisation chrétienne.

Suèves

Article détaillé : Royaume suève.

Les Suèves s'installent dans le nord-ouest de la péninsule Ibérique, dans la Galice actuelle (avec Braga comme capitale). Résistant à l'arrivée postérieure des Wisigoths, leurs terres finirent par être absorbées en 584. À Braga persiste une querelle concernant la primatie d'Espagne qui remonte à cette époque, les Suèves s'étant convertis avant les Wisigoths à l'orthodoxie du christianisme.

Lombards

Article détaillé : Royaume lombard.

Les Lombards, venus du Nord, s'installent pendant un temps en Pannonie, puis, pour échapper à la menace des Avars, investissent le nord de l'Italie en 571. Leur royaume, autour de Pavie, prendra le nom de Lombardie.

Huns

"Les Huns au combat contre les Alains": Illustration (1873) de Johann Nepomuk Geiger (1805-1880); voir Art militaire des Huns.

Les Huns semaient la terreur sur leur passage et ont contribué à la dislocation de l'Empire romain, par le fait qu'ils ont, par la formation de leur empire éphémère, bousculé les autres peuples dits barbares, qui franchirent les limes romaines. Leur coalition de peuples hétéroclites rattachés par la conquête à l'aristocratie hunnique se disloque dans le contexte de la bataille de la Nedao en 454.

Faisant suite à d'autres nomades des steppes, Scythes, Sarmates, etc, les Huns pratiquent la même tactique fondée sur la mobilité : des raids rapides, destinés à frapper de terreur les populations, un harcèlement des forces adverses en retardant le plus possible l'attaque finale sur un adversaire épuisé et démoralisé. Progrès important, les Huns utilisent l'arc composite à double courbure. Ce dernier fait l'alliance entre puissance, précision et cadence de tir élevée. Ainsi, les cavaliers des steppes sont capables de transpercer cuirasses et boucliers tout en chevauchant à leur guise sur le champ de bataille, ces deux atouts étant des avantages non négligeables.

Les Huns renversent les royaumes ostrogoth et wisigoth et fondent un empire en Europe, sous le règne d'Attila, regroupant tous les peuples qu'ils ont vaincu dans leur armée. Après une série de campagnes contre les Romains sur le Danube, en Gaule et en Italie, cet empire disparaît soudainement à la mort de son chef en 455, sans s'être sédentarisé.

Alains

Les Alains ne sont pas un peuple germanique ; ils ont suivi le bouleversement lié à l'arrivée des Huns en Asie Mineure, puis ont poursuivi leurs mouvements ; cantonnés près d'Orléans en tant que peuple fédéré, ils jouent un rôle important à la bataille des champs Catalauniques. Leur cantonnement suivant se situe dans le sillon rhodanien (autour de Valence) au moment de la guerre d'Auvergne menée par le royaume wisigoth (lire Ecdicius).

Le périple des Alains dans le contexte des Grandes migrations en Europe annonçant le Haut Moyen Âge est un des trajets les plus étendus : en rouge figurent les migrations ; en orange les expéditions militaires , et en jaune les tentatives de sédentarisation.

Tout au long de leur périple ils n'auront pas l'occasion de transformer les lieux de leur sédentarisation en un quelconque royaume stabilisé.

S'ils sont encore alliés des Vandales lorsqu'ils prennent l'Hispanie (s'implantant peu de temps dans meseta centrale en 411 avant que les Wisigoths ne les en chassent), ils fusionnent avec eux lors des difficultés rencontrées avec l'armée fédérée des Wisigoths mandatée par Rome, perdant chefs et identité au profit des fameux vandales (phénomène de subjugation) ; aussi ne fondent-ils pas de royaume qui conserve leur nom comme toponyme.

Avars

Comme les Huns, les Avars sont des nomades venus d'Asie orientale, de parenté peut-être mongole ou mandchoue. Ils font irruption en Europe centrale après l'éclatement de l'empire des Huns, poussant les Lombards à émigrer vers l'Italie.

Les Avars apportent eux aussi une nouveauté technique importante : l'étrier, qui améliore leur tenue en selle. Ils font des raids de pillage sur une grande partie de l'Europe, accumulant les trésors dans leur capitale nomade, le Ring avar. Ils sont finalement vaincus par Charlemagne.

Vandales

Article détaillé : Royaume vandale.
Les hordes « barbares » de Crocus pillent le Languedoc Gravure de Ferdinand Pertus, XIXe siècle).
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Toute la perception civilisationnelle du XIXe est présente dans l'iconographie, opposant âge sombre et âge d'or : les envahisseurs semblent provenir d'une pénombre menaçant le monde gallo-romain finissant, situé en arrière-plan et baigné de lumière.

Les Vandales traversent l'Hispanie. Ils poursuivent leur route vers l'Afrique du Nord à travers la péninsule ibérique et s'y installent pour une centaine d'années avant de revenir mettre à sac Rome, d'où l'origine du mot "vandalisme". La scission entre Hasdings et Sillings s'achève après la défaite contre les Wisigoths, qui les contraint à reprendre la route vers le sud. Les Alains fusionnent avec eux, l'aristocratie dominante ultérieure des Vandales donnant des rois titrés Rex Wandalorum Et Alanorum. Le premier d'entre eux est Gundéric.

Le cap espagnol de l'ancienne Bétique d'où les Vandales passèrent en Afrique aurait été appelé "cap des Vandales", puis "ras al-Andalus" par les Arabes. Ce serait l'origine du nom d'Andalousie, qui a désigné l'ensemble de l'Espagne musulmane, avant de se restreindre à sa région sud.

Genséric prend Carthage et y établit le royaume vandale d'Afrique (439-536, voir description). Les Vandales prennent goût aux raffinements de la civilisation romaine, et même de la rhétorique. Ce qui ne les empêche pas, au nom de l'arianisme, de persécuter l'Église latine, fidèle à la doctrine de Nicée.

Formant une aristocratie restreinte, pratiquement toute concentrée dans l'enceinte de Carthage, ils disparaissent pratiquement en tant que peuple lors de la reconquête byzantine.

Migrations tardives dans l'Orient byzantin

Les Grandes migrations s'achèvent en Occident par la formation des premiers royaumes au sortir du VIe siècle, mais l'Empire d'Orient, moins touché par la première vague, est soumis à son tour à d'autres migrations. Les Croates en 620, les Magyars, et les Avars viennent s'installer. Ceux qui conservent un mode de vie nomade instaurent des souverainetés que l'historiographie désigne par le terme d'"empire" pour marquer leur caractère multiethnique, le noyau central nomade régnant sur une nombreuse population sédentaire tributaire.

Les noms des États dépendent aussi du titre du fondateur : par exemple, le khanat bulgare de Pliska établi par Asparoukh en 681.

Les peuples cavaliers forment la noblesse et l'encadrement des envahisseurs, mais la piétaille est largement issue d'un autre groupe de populations, qui, en fin de compte, se stabilisera dans les pays conquis et survivra à l'éclatement des empires nomades : les Slaves.

Voir aussi

Notes et références

  1. voir l'article cité gallo-romaine.
  2. Voir Liste.

Bibliographie

  • Émilienne Demougeot, La formation de l’Europe et les invasions barbares. Tome I : Des origines germaniques à l’avènement de Dioclétien. Tome II : De l’avènement de Dioclétien (284) à l’occupation germanique de l’Empire romain au début du VIe siècle. Paris, Aubier-Montaigne, Bibl. historique, 1979, 935 p.
  • Émilienne Demougeot, L’Empire romain et les barbares d’Occident (IVe-VIIe siècle), Scripta varia. Paris, Publications de la Sorbonne, 1988, 420 p. (réimpression en 1989 et 1992).
  • Pierre Riché & Philippe Le Maître, Les Invasions barbares, Paris, PUF, 7ème édition 1989 (1re en 1953), collection Que sais-je ?,128 p.

Liens internes

Lien externe

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