Hallue

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l'Hallue
L'Hallue à Querrieu et Pont-Noyelles.
Caractéristiques
Longueur	16 km
Bassin	195 km2
Bassin collecteur	la Somme
Débit moyen	1,45 m3⋅s-1 (Daours)
Régime	pluvial océanique
Cours
Source	à 1 km au nord du Mont Fay (108 m)
· Localisation	Vadencourt
· Altitude	54 m
· Coordonnées	50° 00′ 17″ N 2° 29′ 21″ E / 50.0047222222, 2.4891666667 (Source - Hallue)
Embouchure	la Somme
· Localisation	Daours & Vecquemont
· Altitude	27 m
· Coordonnées	49°53′57″N 2°27′15″E / 49.89917, 2.45417 (Embouchure - Hallue)
Géographie
Principaux affluents
· Rive gauche	Noelle
Pays traversés	France
Régions traversées	Picardie
Principales villes	Daours, Contay, Pont-Noyelles, Querrieu

L'Hallue est une rivière de Picardie, du département de la Somme, et affluent de la Somme en rive droite.

Géographie

L'Hallue coule sur 15,8 kilomètres^[1], à travers l'Amiénois, selon une direction nord-sud. Sa source est à Vadencourt, à l'est de Contay, à 54 m d'altitude et au nord du Mont Fay (108 m) et du sommet du plateau qui culmine à Baizieux à 127 mètres. Sa confluence avec la Somme est sur le territoire de la commune de Vecquemont^[2] pour le bras le plus au sud et sur la commune de Daours pour le bras le plus au nord, à l'altitude de 27 mètres ^[3],[4],[5].

• 

  Vallée de l'Hallue de Querrieu à Bussy-lès-Daours

• 

  Vallée de l'Hallue de Bussy-lès-Daours à Daours en 1757

Hydrologie

Rivière

À l'exemple du Scardon, sa vallée sèche se poursuit vers l'amont sur une longueur d'au moins 15 kilomètres jusqu'à Mailly-Maillet. Le cours de la rivière, large de 2 à 4 mètres et bordé de peupleraies, est fortement urbanisé, traversant de nombreuses petites agglomérations^[6].

La source de l'Hallue à Vadencourt

Peupleraie de la vallée de l'Hallue, entre Pont-Noyelles et Querrieu

Jusqu'au XVIII^esiècle, dans les marais communaux de Pont-Querrieu, la rivière se scindait en deux bras formant une île. L'Hallue présente un débit réduit, mais non négligeable pour un cours d'eau de cette longueur, de 1,45 m³/s à son exutoire^[6] dans le cadre d'un régime pluvial océanique.

Pour le fonctionnement des moulins et l'extraction de la tourbe, le cours de la rivière a été modifié à plusieurs reprises^[7].

Prélèvement d'eau dans la nappe souterraine

La Communauté d'Agglomération d'Amiens a été autorisée à dériver une partie des eaux souterraines de la vallée de l'Hallue, recueillies par trois points de prélèvement situés sur le territoire de Bussy-les-Daours à proximité du marais de la commune de Querrieu.

Les débits de pompage ne devront pas excéder 1 050 mètres cubes par heure, ni 15 600 mètres cubes par jour.

La situation de sécheresse sera appréciée par un relevé de la profondeur de la nappe phréatique au piézomètre de Senlis-le-Sec, situé en tête du bassin versant.

Maintien du niveau des étangs

Le système hydraulique des étangs de Pont-Noyelles, Querrieu, Bussy-les-Daours et Daours, ainsi que du fossé de séparation entre les marais de Querrieu et de Pont-Noyelles creusé en 1843, est rétabli par des liaisons entre les étangs et la pose de seuils sur le fossé. Le niveau minimum de référence à maintenir, est la cote de 34,25 mètres à l'étang du camping de Querrieu. Il sera maintenu par prélèvement d'eau dans l'Hallue au débit maximal de 12 litres par seconde^[8].

Le "Pont des Anglais" sur l'Hallue dans le marais de Querrieu

Puits Tournants

Dans la vallée de l'Hallue, le jaillissement de sources a creusé le sol calcaire en créant des sortes de puits profonds. Il s'agit d'une résurgence de la nappe de craie alimentée par les eaux souterraines provenant de la vallée sèche qui remonte vers Molliens et Villers-Bocage. Autrefois, cet affluent de l'Hallue se jetait dans la rivière à Fréchencourt au lieu-dit "Les jardinages". À la suite d'une baisse générale du plan d'eau, la nappe d'eau qui l'alimentait trouva son exutoire auprès de "La Falize", derrière le château actuel. À cet endroit, l'eau sort de terre par une multitude de sources. Cette zone de sources couvre trois hectares. L'eau n'y jaillit pas puisqu'elle peut sortir par de multiples bouches ; on en dénombre 260 dans l'ensemble de cette zone humide connue sous le nom de "Grand Rosoy" au milieu de laquelle se trouve "l'étang bleu". Parmi ces sources, une bonne centaine ont moins de 0,50m de profondeur, une soixantaine de 0,50 à 1 mètre et 93 de plus d'un mètre. La plus profonde "L'Abyme", dont le gouffre proprement dit a 5,50m de profondeur et un diamètre moyen de 6 mètres, constitue une réserve d'eau de plus de 160 m³. Son débit était important jusqu'en 1935, date à laquelle un forage a été réalisé pour l'adduction d'eau du village de Saint-Gratien. Le débit de cette grande source est actuellement pratiquement tari.

Depuis, "l'Abyme" s'est envasé et l'eau n'y "tourne" plus, car l'appellation de "puits tournants" provenait du fait que l'eau sortait du sol en plus grande abondance que le lit encombré d'herbes ne pouvait en débiter. Il se formait alors des tourbillons et des remous au-dessus du gouffre à un point tel qu'il n'était pas possible à cette époque d'y immobiliser un bateau.

Avant la création d'un barrage pour alimenter la pisciculture de Fréchencourt, le débit des sources dont les eaux se rassemblent dans "le Relet" long de 600 mètres était régulier et presque égal à celui de l'Hallue qui à son confluent a déjà parcouru 7 km. Depuis la construction de ce barrage, les sources et les ruisseaux se sont envasés et le débit du "Relet" a diminué de moitié, mais il représente encore 1/3 du débit de l'Hallue.

La coloration bleue des "puits tournants" lorsque la profondeur dépasse un mètre, proviendrait de phénomènes de réfraction et d'absorption chromatique élective : la lumière rouge pénêtre profondément dans l'eau et la lumière bleue est absorbée par les couches liquides supérieures^[9].

Légende

La tradition rapporte qu'il y a bien longtemps un carrosse tiré par six chevaux tomba dans l'Abyme, avec ses occupants, les chevaux s'étant emballés. Cette légende est plausible, car l'ancien chemin vers Querrieu et Amiens, passait autrefois au-dessus de La Falize et formait un angle droit juste au-dessus de l'Abyme. Le carrosse aurait dévalé la pente abrupte pour tomber dans le gouffre qui pouvait effectivement engloutir six chevaux et le carrosse^[10].

Département, cantons et communes traversés

Le cours de la rivière est entièrement situé dans le département de la Somme. Prenant sa source dans le canton de Villers-Bocage, l'Hallue traverse les neuf communes^[1] de Vadencourt (source), Contay, Bavelincourt, Beaucourt-sur-l'Hallue, Montigny-sur-l'Hallue, Béhencourt, Fréchencourt, Pont-Noyelles et Querrieu, puis elle arrose également le canton de Corbie en traversant les trois communes de Bussy-lès-Daours, Daours, et Vecquemont^[2] avant de rejoindre la Somme, donc avant la station d'épuration de Daours et de l'usine agro-alimentaire Roquette Frères : une féculerie de pomme de terre.

Peupleraie et prairie de la vallée de l'Hallue en aval de Pont-Noyelles

Affluents

• La Sybirre^[11] prend sa source en contrebas du bois de Parmont et du plateau de La Houssoye, dont elle est l'exutoire de la nappe phréatique. Cette source dite Fontaine Saint-Martin se situe au bord de la première entaille (ancienne tourbière) de Fréchencourt, dont le déversoir forme la Sybirre, qui rejoint le Petit bras est de l'Hallue, pour se jeter en rive gauche de celle-ci après avoir longé la route D 929^[12].

• A Contay, l'Hallue reçoit deux ruisseaux sur la rive droite ( 300m et 150m) et la Buteresse sur la rive gauche dont la source est intermittente.

• A Behencourt, le Ruisseau de Vilaincourt (500m) en aval de la chute du moulin sur la rive gauche.

• A Frechencourt Le Relet du château de Behencourt, qui se jette dans l'Hallue en aval du moulin de Fréchencourt sur la rive gauche. Le Relet du Grand Rosoy, alimenté par les puits tournants qui fournit régulièrement le tiers du débit de la rivière (600m rive droite)

• A Daours, L'Haluette (800m rive gauche) qui draine les eaux des sources au pied des falaises de Daours pour rejoindre l'Hallue 50m avant son confluent avec la Somme.

• Une source La Noelle^[13] prend naissance à peu de distance de la D 929 et des habitations du village. Elle s'écoule dans les étangs et les anciennes tourbières du marais de Pont-Noyelles^[14],[15]. Elle serpentait autrefois sur 3,7 km^[16], dans les marais des trois communes, dans le sens amont vers aval, de Pont-Noyelles, Bussy-lès-Daours et Daours.

L'Hallue entre les villages de Querrieu et de Pont-Noyelles en 1767

Toponymes

L'Hallue a donné son hydronyme a deux communes : Beaucourt-sur-l'Hallue, Montigny-sur-l'Hallue.

Écologie et Aménagements

L'écrevisse à pattes blanches

Le long de l'Hallue de nombreux marais agrémente son cours, et le circuit des Puits tournants la longe. Une pisciculture à Fréchencourt, éléve des écrevisse à pattes blanches, des écrevisse à pattes rouges ainsi que des truite arc-en-ciel, truite fario et des ombles alis^[17].

Histoire

La roue du moulin de Querrieu

Le château de Contay dans la haute vallée de l'Hallue.

La vallée de la rivière a toujours été tenue à l'écart des grands courants de circulation, déjà la voie romaine reliant Amiens à Albert ne faisait que traverser l'Hallue près de sa confluence avec la Somme^[18]. C'est donc l'agriculture qui rythma la vie des habitants travaillant sur les nombreuses terres dépendantes des abbayes de Corbie et Saint-Vaast d'Arras; à Fréchencourt et à Querrieu, des moulins encore visibles de la vallée^[19], témoignent d'activités de meunerie liées à la production de céréales. A la fin du XIX^e siècle, des activités textiles (bonneterie, tissage) s'installèrent, grâce aux investissements d'industriels amiénois, à Daours et Pont-Noyelles^[18]. Quelques manoirs et châteaux, d'époque tardive (XVIII^e et XIX^e siècles), ont été édifiés à Contay, Beaucourt-sur-l'Hallue, Béhencourt et Querrieu. Pont-Noyelles a été, le 23 décembre 1870,le siège de violents combats entre l'armée française commandée par Louis Faidherbe et les forces allemandes du général Edwin von Manteuffel^[18].

Bataille de l'Hallue, 20 et 23 décembre 1870

La bataille de l'Hallue^[20] est couramment appelée "bataille de Pont-Noyelles^[21]" en raison de l'intensité des combats d'infanterie qui ont eu lieu dans le village.

C'est un des derniers épisodes de la guerre franco-prussienne de 1870

Objectifs de la bataille

L'objectif français est de reprendre Amiens, occupée par les Prussiens depuis le mois de novembre et ses voies de communication vers Paris.

L'objectif prussien est d'empêcher les Français de reprendre Amiens et de se porter au secours de Paris assiègé.

Forces en présence

Du côté français, l'armée du Nord sous le commandement du général Faidherbe, est établie sur l'Hallue entre Bavelincourt et Daours.

Elle comprend quatre divisions :

La 1^ère division occupe Vadencourt, Bavelincourt, Beaucourt et Béhencourt, tenant ainsi la route d'Arras.

La 2^ème division tient Fréchencourt, Querrieu, Pont-Noyelles, Bussy, Daours et Vecquemont, à cheval sur les routes d'Albert et de Corbie.

La 3^ème division est en réserve. Elle garde la Somme à Corbie et Fouilloy et détache un régiment à La Houssoye.

Une quatrième division en formation, est mise en réserve autour de Corbie.

Du côté prussien, le 8^ème corps d'armée sous le commandement du général Manteuffel, occupe Amiens.

• 

  Général Faidherbe, portrait 1860

• 

  Général von Manteuffel

Escarmouche à Querrieu

Le général Manteuffel qui a pris le commandement du corps d'armée prussien le 20 décembre, lance le même jour, une reconnaissance forte d'un escadron de cavalerie et d'un bataillon, soit environ 2000 hommes, en direction de Querrieu. Arrivée à la lisière est du bois, à deux kilomètres en avant de Querrieu, elle se heurte à un avant-poste français et un combat s'engage. Trois compagnies françaises du 43^ème de Ligne, parties de Bussy-les-Daours, contre-attaquent sur le flanc droit de l'ennemi qui se replie sur Amiens. Dans l'affrontement, les Prussiens perdent 3 officiers et 69 hommes sont tués ou blessés, les Français ont 7 morts et 20 blessés.

Offensive prussienne du 23 décembre

Elle va se dérouler sur un front de 12 km de large et une profondeur de 4 à 5 km.

• Sur le front central

Le 18^èmebataillon de chasseurs soutenu par trois batteries tient le village de Querrieu. Le 23 à 11 heures 15, une brigade prussienne, deux escadrons de hussards, attaquent le village, soutenus pendant une heure par quatre batteries. Les Français se retirent du village. Les Prussiens entrent dans Pont-Noyelles.

Pont sur l'Hallue, devant l'ancien moulin

A 15 heures 30, les Prussiens tentent de gravir la pente Est du village de Pont-Noyelles. Ils sont repoussés par une charge à la baïonnette au-delà de la rivière, mais les Français ne peuvent se maintenir dans le village.

Le village de Fréchencourt tombe aux mains des Prussiens, mais l'artillerie française leur interdit de passer la rivière.

• Sur le front Sud

Le 20^èmebataillon de chasseurs tient Bussy-les-Daours. Les Prussiens attaquent avec un bataillon venant du Nord et un escadron de hussards venant du Sud. A 13 heures, les Français évacuent le village.

Le 19^èmebataillon de chasseurs et les fusiliers marins du capitaine de vaisseau Payen, tiennent Vecquemont. Sous le feu de l'artillerie, ils quittent le village à 16 heures.

Les Français se retranchent sur la rive gauche de la rivière, interdisant la progression prussienne.

• Sur le front Nord

A 15 heures, les Prussiens occupent Beaucourt, Montigny, Béhencourt et Bavelincourt. Six batteries d'artillerie se massent au Nord de Beaucourt.

Contre-attaque générale française

A 16 heures, Faidherbe donne l'ordre d'attaque générale sur l'ensemble des fronts.

• Sur le front central

Deux attaques à la baïonnette sont lancées pour reprendre le village de Pont-Noyelles. Les renforts prussiens repoussent les Français.

• Sur le front Sud

Une brigade française parvient à franchir l'Hallue entre Querrieu et Bussy. Elle est stoppée par l'intervention de renforts prussiens. Vers 17 heures, les fusiliers marins attaquent en direction de Vecquemont, mais ne parviennent pas à l'atteindre.

• Sur le front Nord

A 16 heures, une brigade française intervient au Sud-Est de Contay, en direction de Beaucourt.

Retraite

Les combats cessent vers 19 heures, dans l'obscurité totale. Les Prussiens s'installent en cantonnement dans les villages. Les Français bivouaquent sur les hauteurs de la rive gauche de l'Hallue par une température de -8°.

Mémorial de la bataille de l'Hallue : "Colonne Faidherbe"

Le lendemain 24 décembre 1870, vers 9 heures, l'artillerie française déclenche un tir sur Béhencourt. A 14 heures, le mouvement de retraite français s'exécute en direction d'Albert, protégé par un rideau d'éléments retardataires. Les Prussiens entament la poursuite le 25 décembre, alors que les Français sont déjà entre Albert et Bapaume. De nouveaux affrontements aux résultats indécis ont lieu les 2 et 3 janvier à la bataille de Bapaume (1871).

Pertes humaines

Les Prussiens ont perdu 45 officiers et 881 hommes tués, blessés ou disparus. Les Français ont perdu 50 officiers et 1176 hommes. Un monument la "colonne Faidherbe"^[22], le long de la route départementale 929 rappelle l'événement : 49°56′33″N 2°27′08″E / 49.9425, 2.45222 à l'altitude 97 mètres, donc dominant le champ de bataille.

Voir aussi

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• « Hallue », sur Wikimedia Commons (ressources multimédia)

• Liste des rivières de France
• Bataille de l'Hallue

Notes et références

1. ↑ ^{a et b} SANDRE, « Fiche rivière d'hallue (E6390700) ». Consulté le 11 juin 2008
2. ↑ ^{a et b} Institut géographique national (France), « selon géoportail ». Consulté le 20 décembre 2008
3. ↑ Cours supérieur de l'Hallue
4. ↑ Cours moyen de l'Hallue
5. ↑ Cours inférieur de l'Hallue
6. ↑ ^{a et b} L'Hallue sur le site de l'agence de l'eau Artois-Picardie. Consulté le 11 juin 2008.
7. ↑ Plan de nivellement de 1775, figurant les chutes des moulins de Querrieu et de Daours, Archives départementales de la Somme, Cindoc Photothèque Querrieu N° 10
8. ↑ Arrêté Préfectoral du 9 décembre 2003
9. ↑ Histoire et Traditions du pays des coudriers, N° 1, par Charles-Edmond Lenglet, sénateur, maire de Fréchencourt
10. ↑ Fréchencourt, chronique d'un village picard, par Ch. Edmond Lenglet. Archives départementales de la Somme : 4° 1215
11. ↑ Plan cadastral de Pont-Noyelles, feuille AB 01, et Toponymie de Pont-Noyelles, par Claude Bloquet, Eklitra N° 29, page 304
12. ↑ Cadastre de Pont-Noyelles, feuille 000 AB 01
13. ↑ Toponymie de Pont-Noyelles, par Claude Bloquet, Eklitra N° 29, pages 251 à 253
14. ↑ Rapport du Service Hydraulique des Ponts et Chaussées du 5 septembre 1899. Archives départementales de la Somme : 99 O 634
15. ↑ Cadastre de Pont-Noyelles, feuille 000 AE 01
16. ↑ SANDRE, « Fiche noelle (E6390750) ». Consulté le 20 décembre 2008
17. ↑ Annuaire des Piscicultures ou des Parcours de Pêche, « Pisciculture de Fréchencourt ». Consulté le 20 décembre 2008
18. ↑ ^{a, b et c} Pont-Noyelles sur le site du patrimoine de France. Consulté le 11 juin 2008.
19. ↑ Fréchencourt sur le site du patrimoine de France. Consulté le 11 juin 2008.
20. ↑ La bataille de l'Hallue, par Gilles de Monclin, Histoire et traditions du pays des coudriers N°21 pages 29 à 36
21. ↑ La bataille de Pont-Noyelles, par Georges Pierson, Histoire et traditions du pays des coudriers, N° 8, pages 37 à 42
22. ↑ memorial-morts-pour-la-france-80, « la colonne Faidherbe ». Consulté le 20 décembre 2008

Lien externe

Les puits tournants de Fréchencourt