Histoire De La Marine Française

Histoire De La Marine Française

Histoire de la marine française

Article principal : Marine nationale (France).

L'Histoire de la marine française, dès ses origines au XIIIe siècle, a toujours été confrontée à trois difficultés majeures :

  • l'existence de deux façades maritimes, donc la nécessité d'entretenir deux flottes et de partager les moyens entre la Méditerranée et l'Atlantique ;
  • la prédominance des contraintes stratégique sur le continent européen, et donc une priorité donnée aux forces terrestres ;
  • par conséquent, une certaine carence de l'administration française qui n'a pas toujours vu l'importance de la puissance maritime, ni compris qu'une marine nécessitait un effort à long terme, d'où une succession d'époques brillantes, de désastres et de sursauts.

Si la marine de guerre française peut trouver ses origines sous le règne de Philippe-Auguste, ce n'est que sous Richelieu qu'une organisation de celle-ci a pu être observée.

Dans cette histoire, on peut distinguer quatre grandes périodes :

  • la constitution d'une véritable marine d'État, sous le règne de Louis XIII, grâce à l'administration de Richelieu, suivie de la ruine de celle-ci en raison des troubles de la Fronde ;
  • une période particulièrement brillante sous le règne de Louis XIV, grâce notamment à la politique de Colbert, qui n'est pas poursuivie sous la Régence et la première partie du règne de Louis XV. Ce défaut de continuité aboutit aux défaites de la guerre de Sept Ans et à la perte du premier empire colonial français ;
  • une renaissance, menée par Choiseul, dont l’effort, soutenu et servi par des amiraux de valeur (cf.notamment: Vice-amiral Aymar Joseph de Roquefeuil et du Bousquet) aboutit sous Louis XVI à la victoire de la marine française sur la marine britannique, pendant la guerre d'Indépendance des États-Unis. Ce sursaut est de courte durée et la marine est ruinée pendant la Révolution et l'Empire, permettant à la Grande-Bretagne d'acquérir la suprématie navale pour plus d'un siècle ;
  • C'est seulement sous Napoléon III et au cours de la période 1925-1939, que les gouvernements français se soucient de développer une flotte puissante. Mais celle-ci, à la suite de la défaite de 1940, est contrainte au sabordage, en 1942, à Toulon, sans même avoir combattu.


« La France n'a pas eu beaucoup de raisons d'avoir honte de sa marine de guerre. La marine française, à juste titre, peut avoir quelque raison d'avoir honte de la France.

(H.E. Jenkins)

 »

Sommaire

Les origines

Ce n'est qu'en 1203 que le domaine royal atteint un rivage maritime, avec la confiscation de la Normandie par Philippe-Auguste, puis peu après avec les acquisitions du Poitou, de l'Aunis et de la Saintonge, ainsi que du duché de Narbonne. La marine de guerre n'est pas alors permanente et les rois de France utilisent des navires marchands armés et font aussi souvent appel aux vaisseaux des républiques de Gêne et de Venise, comme saint Louis pour son départ en croisade. À cette occasion, saint Louis nomme le premier amiral de France, Florent de Varennes.

Pendant la guerre de Cent Ans, une importante flotte hétéroclite, rassemblée sur la côte de Zélande est battue par les Anglais à la bataille de l'Écluse (1340). Charles V renforce ses moyens navals, ce qui permet à Jean de Vienne de reprendre Cherbourg aux Anglais. L'affaiblissement général causé par la guerre de Cent Ans ne permet pas de poursuivre cet effort.

La perte de l'indépendance politique de la Bretagne (1491) permet à la flotte française d'avoir la puissante flotte bretonne comme alliée. L’arsenal de Brest, base de la flotte bretonne, est désormais contrôlé par la marine française. L’épisode de la Cordelière est le fait d’armes principal de la flotte bretonne au début du XVIe siècle dans le cadre d'une guerre franco-anglaise[1].

Pour résister à Charles Quint, François Ier fait appel au corsaire gênois Andrea Doria et au turc Barberousse.

La marine de Richelieu

Les activités des Huguenots de La Rochelle convainquent Richelieu de doter la France d'une véritable politique navale. Il crée la Marine royale en 1624.

La marine de Colbert

Voir cette étude[2]

La marine de Louis XV

Époque des plus grands désastres pour la France et sa marine : la guerre de Sept Ans. Reconstruction de la marine sous l'égide de Choiseul.

La marine de Louis XVI

État de la Marine royale de France, 1785

Après les efforts de Choiseul sous Louis XV le roi Louis XVI dote l'armée d'une marine qui bat la Royal Navy lors de la Guerre d'indépendance des États-Unis où il aide militairement les insurgés. Cette nouvelle efficacité est illustrée notamment par la victoire française lors de la bataille de la baie de Chesapeake remporté par l'amiral de Grasse. Victoire sans laquelle la victoire de Yorktown n'aurait pu avoir lieu.

Louis XVI fait bâtir le port de Cherbourg

La marine de la Révolution

La pire période pour la marine française; marquée par la désorganisation, le manque de moyens, et le délitement de la discipline, dus à la fois à l'esprit révolutionnaire et au départ des cadres exclusivement membres de la noblesse.

La marine de l'Empire

Contrairement à biens des idées reçues, Napoléon, bien que général de l'armée de terre, ne négligeait pas l'importance de la marine, il avait d'ailleurs conscience que son plus grand ennemi n'était pas l'une des nombreuses puissances terrestres qu'il a battues (Autriche, Russie, Prusse, Espagne) mais bien la Grande-Bretagne.

Il se plaint donc, au seuil de la mort, de n'avoir pu trouver "l'homme de la marine" qu'il avait cru à tort entrevoir dans l'amiral de Villeneuve ou dans le duc Decrès, ministre de la marine impériale.

Quoi qu'il en soit le dénouement de la rivalité franco-britannique sur les océans est définitivement réglé en faveur de ces derniers à la bataille de Trafalgar en 1805.

Voir aussi bataille d'Aboukir.

La marine du Second Empire et de la IIIe République

Aréthuse

Tous les navires de la flotte française sont équipés en radio en 1905 [3].

Le programme 1905 de la Marine nationale prévoyait un ambitieux programme qui aurait éventuellement produit, en 1920, 38 cuirassés, 20 croiseurs-cuirassés, 279 torpilleurs et contre-torpilleurs et 131 sous-marins mais la Première Guerre mondiale monopolisa notre effort de guerre au profit de l'armée de terre et stoppa celui-ci.

La Seconde Guerre mondiale

Toulon, le lendemain du sabordage

La Marine nationale, au 1er juillet 1939 avait l'une des plus belles flottes de son histoire.

Elle était alors composée de 270 navires de guerre d'un tonnage global de 800 000 tonnes. La majorité de ses navires étaient modernes mais elle ne disposait que d'un seul porte-avions (le Béarn), trop lent pour jouer un rôle opérationnel avec une escadre. Comme la plupart des autres marines (à l'exception de la marine impériale japonaise), elle avait des manques en matière de lutte anti-aérienne.

Au début de la guerre, d'avril à début juin 1940 plusieurs bâtiments de sa flotte participe à la campagne de Norvège.

En juin 1940, lors de la débâcle de l'armée française, elle devient un sujet chez les Alliés entre les partisans que la France continue la guerre depuis son Empire (Churchill et coté français de Gaulle, Mandel et au début Reynaud) et les partisans d'un armistice (Pétain, Weygand et une grande partie des généraux). La crainte britannique est, alors qu'avec l'armistice séparé entre la France et l'Allemagne qui s'annonce, la flotte française ne soit capturé par les Allemands, même si Churchill obtient, le 12 juin 1940 lors de la conférence de Briare, la promesse de l'amiral Darlan, le chef de la Marine française, que jamais la flotte ne tombera aux mains des Allemands.

De part les conditions d'Armistice, les vaisseaux de guerre doivent rejoindre leurs ports d'attache du temps de paix, dont certains, comme Brest, se trouvent en zone occupée (« La désignation de ces ports sera faite d'après les ports d'attache des navires en temps de paix »). La plus grande partie de la flotte avait quitté les ports français menacés et s'était mis hors de portée du Reich, principalement dans les ports coloniaux d'Afrique. Quelques navires seulement rejoindront les Forces navales françaises libres au Royaume-Uni, le reste passant dans la nouvelle armée de Vichy

Mais les Britanniques craignant toujours que la flotte ne passe sous contrôle allemand. Churchill ordonne la destruction de l'escadre française à Mers El Kebir le 3 juillet. Après cette bataille et la saisie par la force ou la ruse des unités françaises réfugiées dans les ports britanniques, le 3 juillet 1940 (opération Catapult), un sentiment anti-britannique va se développer dans la marine française. Peu de navires de guerre ou de marins rejoignent alors les Forces navales françaises libres. Cela conduira, la marine présente en Afrique du Nord à essayer de s'opposer, en vain, au débarquement anglo-américain au Maroc et en Algérie le 8 novembre 1942 (opération Torch). À la suite de ce débarquement, les Allemands envahissent le zone libre le 11 novembre 1942 et essaye de s'emparer de la flotte à Toulon. Les 90 bâtiments basés à Toulon se sabordent alors pour ne pas tomber aux mains de l'occupant nazi. Cinq sous-marins tenteront de s'échapper, 3 y parviendront (le Casabianca, le Glorieux et le Marsouin). Les FNFL et ce qui reste de la marine de Vichy dans l'Empire fusionnent (sauf les forces navales d'extrême-Orient) et combattent au côté des Alliés. Quelques bâtiments français participeront au débarquement de Normandie en juin 1944 mais surtout au débarquement de Provence en août.

En 1945, son effectif est de 4 200 officiers, 74 000 officiers mariniers et matelots et elle dispose d'une centaine d'unités françaises et de 140 bâtiments légers cédés par les Alliés, soit un tonnage de 400 000 tonnes, la moitié seulement de sa puissance de 1939 avec la majorité des navires de ligne hors de combat.

Les guerres de décolonisation

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la Marine arme 306 bâtiments disparates et vieillissants déplaçant 400 000 tonnes, dont une partie provient de l’aide alliée (203 navires reçus dans le cadre des accords Lend-Lease et Mutual Aid, soit 71 944 tonnes). Au 25 novembre 1947, seuls 226 680 tonnes sont en service et il est prévu que si aucune commande n'est engagée, il ne restera que 136 000 tonnes en 1950 et 98 000 en 1959. L'on prend en compte que « Le corps de bataille doit [...] comprendre un ensemble harmonieux de porte-avions et de porte-canons entourés d’escorteurs »[4]. La Marine sera organisée en 4 task-forces (1 navire de ligne, 2 porte-avions, 4 croiseurs légers, 12 escorteurs rapides et un train d’escadre d’environ 50 000 tonnes). En 1946[5], le niveau souhaitable à atteindre est de 750 000 tonnes, soit 8 porte-avions de combat, 4 porte-avions d’escorte, 4 navires de ligne et 1 porte-avions destiné à l'entraînement)[6]. Pour des raisons économiques, une version réduite à 2 task-forces est proposée : 1 porte-avions de combat lourd, 1 porte-avions de combat léger, soutenus par les cuirassés Richelieu, en service depuis le 15 juin 1940, et son sistership le Jean-Bart, qui ne sera opérationnel que le 1er mai 1955. Par contre, sur trois porte-aéronefs, seul le Dixmude (ex-HMS Bitter) est disponible. Le 2 octobre 1945, le Conseil supérieur de la Marine examine trois projets : le PA-28, un porte-avions léger de 15 700 tonnes et d'un coût de 3 milliards de francs[7], les PA-29 et PA-27 de, respectivement 22 500 et 26 130 tonnes, d'un coût de 4,5[8] et 5 milliards de francs[9]. Alors que la Marine reçoit en mars 1946 le HMS Colossus (rebaptisé Arromanches), la construction du PA-28 est approuvée par le Conseil, l'État-major[10] et l'Assemblée[11]. Les essais du PA-28, rebaptisé Clemenceau, sont prévus pour septembre 1952. Le 5 mars 1949, peu avant qu'elle ne rejoigne l'OTAN, la France réclame aux États-Unis 1 porte-avions, 6 destroyers d’escorte, 24 dragueurs, de l’artillerie et des munitions et reçoit en 1950 l'USS Langley (rebaptisé La Fayette) et l'USS Belleau Wood (rebaptisé Bois-Belleau) en 1953. Arrêté fin 1949, le projet de l'amiral Pierre Barjot est transformé en deux porte-avions de 22 000 tonnes lègers, qui est lancé en 1955. Les deux sisterships seront le Clemenceau (R98) et le Foch (R99)[12].

La Marine française fut surtout utilisée, durant la présidence du Général De Gaulle, en tant que symbole de puis­sance plus que comme instrument coercitif. Ses interventions fu­rent rares et d’envergure limitée, sans emploi du porte-avions l’envoi du croiseur De Grasse et de quatre escor­teurs, lors de la crise de 1958 au Liban durant l’été 1958; l’envoi d’un es­corteur pour protéger les pêcheurs français au large des côtes bré­siliennes lors de la guerre de la langouste en 1963? le Tartu se trouva entouré par une division de huit navires de la marine brésilienne et fut bientôt retiré.

Deux exceptions : le 21 juillet 1961, lors de la crise de Bizerte, appuyés par les avions de l’Arromanches, le croiseur Colbert et les escor­teurs Bouvet et Chevalier Paul forcent l’entrée de la rade de Bizerte et reprennent le contrôle de la base navale. Celle-ci n’en sera pas moins abandonnée en 1963, le porte-avions La Fayette couvrant l’évacuation. De même, la grande base de Mers El-Kébir, cons­truite à grands frais, sera rétrocédée à l’Algérie dès 1968, avec neuf ans d’avance sur l’échéance prévue par les Accords d'Évian [13].


La marine en Indochine

La marine en Algérie

La guerre froide

Le XXIe siècle

La marine se lance dans un vaste programme de renouvellement de sa flotte, contrarié par des difficultés budgétaires. L'une de ses attentes est la mise en service d'un second porte-avions pour compléter le Charles-de-Gaulle, le programme a pour nom provisoire le PA 2.

Notes

  1. Le Fur (Didier), Anne de Bretagne, Librairie édition Guénégaud, 2000, p. 34 « Anne de Bretagne avait mis, entre autres, à la disposition de la marine royale, son plus beau navire : Marie La Cordelière… ».
  2. [pdf]La Royale ou l'Extraordinaire Renaissance de la Marine Française sous Louis XIV
  3. (fr) Petite Histoires des Communications Maritimes ....
  4. Etude sur la reconstitution organique et technique des forces aéro-navales françaises (mai 1945)
  5. Etude d’un plan d’armement pour les premières années d’après-guerre du 11 janvier 1946
  6. Philippe Masson, « La Marine française en 1946 », dans Revue d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale (ISSN 0035-2314), no 110 (avril 1978)
  7. Soit 340 millions d'euros, valeur 2006
  8. Soit 500 millions d'euros, valeur 2006
  9. Soit 560 millions d'euros, valeur 2006
  10. Résolution du Conseil supérieur de la Marine du 28 novembre 1947
  11. Les autorisations de programme sont approuvées par la loi no 47-1499 du 14 août 1947 ; la construction, confiée à l’arsenal de Brest, par décision ministérielle no 13-116 STCAN du 1er septembre 1947
  12. Philippe Quérel, Marins et océans, t. 3 : L’échec du PA-28, premier porte-avions français après-Guerre, Economica, coll. « Études d'histoire maritime », Paris, 1992 (ISSN [http://worldcat.org/issn/1161-8485&lang=fr 1161-8485 ]) [lire en ligne]
  13. (fr) Le Problème du porte-avions, Hervé Coutau-Bégarie

Voir aussi

Bibliographie

  • Les Guerres navales françaises du Moyen Âge à la guerre du Golfe, M. Dupont et E. Taillemite, collection Kronos, 1996

Articles connexes

Liens externes

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