Histoire de londres

Histoire de londres

Histoire de Londres

Londres a une histoire vieille de plus de 2000 ans. Durant cette période, la ville a connu plusieurs épidémies de peste, été dévastée par les flammes, fait face à des guerres civiles, subit des bombardements aériens et des attaques terroristes. Malgré cela, elle a continué a se développer pour devenir une des capitales financières et culturelles les plus importantes du monde.

Sommaire

Légendes et préhistoire

La mythologie médiévale de Geoffroy de Monmouth indique que Londres aurait été fondée par le Troyen Brutus. La ville aurait ainsi été appelé Troia Nova ou la « nouvelle Troie », qui se transforma en Trinovantum. Les Trinovantes sont le peuple celte qui habitait sur l'emplacement avant les Romains. Le roi Lud renomma la ville en CaerLudein, ce qui donna Londres. Geoffrey fournit ainsi une histoire antique à Londres avec de nombreuses histoires et de nombreux rois légendaires. Cependant, malgré de nombreuses recherches, les archéologues n'ont pu trouver aucune preuve d'implantation préhistorique majeure à cet endroit. Des traces de vie préhistoriques montrent qu'il y a eu une agriculture, des habitations et des enterrements, mais rien qui laisse supposer l'existence d'une ville. Ainsi, pendant la période préhistorique, Londres fut surtout un espace rural avec des implantations éparses. Quoi qu'il en soit des interprétations partisanes, il y avait bien des « implantations » et cette ville ou bourgade bretonne portait bien un nom breton : CaerLudein.

Les endroits importants à l'époque étaient plutôt près de Chelsea, Egham Brentford ou Uppall, mais il n'y avait pas de cité à l'endroit où Londres s'est installé à l'époque romaine. En 40 avant J-C

Il n'y a pas consensus sur l'origine du nom Londinium. Selon Françoise Le Roux et Christian-Joseph Guyonvarc'h, il viendrait du langage celtique pré-romaine[1]. Il pourrait signifier « redoutable »réf. à confirmer :  Cependant, de récentes recherches par Richard Coates ont émis l'hypothèse que ce nom vient du pré-celtique Plownida (avec deux racines plew et nejd) et qu'il signifierait « l'installation sur la large rivière ».[2]

Londres romain

Réprésentation de la reine Boudicca, œuvre de Thomas Thornycroft (1815 – 1885).

Londinium fut fondé par les Romains peu après la conquête de l'île par Claude en 43 ap. J-C, autour de 50.[3] La ville s'était déjà bien développée[4] lorsque, en 60 ou en 61, elle fut prise par la reine bretonne Boudicca qui, comme le montrent les fouilles, la détruisit par le feu[5].

Londinium retrouva son niveau de population vers 140. Londres devint la capitale de la Bretagne romaine (auparavant, la capitale était la ville proche de Colchester). Peu après commença un lent déclin. Vers 375, Londres était une petite communauté riche et bien protégée. En 410, l'occupation romaine cessa officiellement, et les citoyens durent s'occuper de leur propre défense. Vers 450, la ville romaine était presque abandonnée. Plus tard, elle est reconstruite.

Les Saxons

Après avoir été abandonnée pendant 150 ans, sa position stratégique sur la Tamise attira de nouvelles installations vers 600. Les Anglo-Saxons s'installèrent un kilomètre en amont de l'ancienne ville romaine de Londres, sur un site appelé Lundenwic. Le terme "wic", emprunté au latin "vicus" désigne un centre commercial. L'écrivain anglo-saxon Bède le Vénérable mentionne la présence d'un marchand frison à Londres en 679. Lors de fouilles récentes, on a découvert un établissement saxon de l'époque, qui s'étendait de l'actuelle National Gallery à l'est jusqu'à Aldwych à l'ouest. Le nom « Aldwych » (de l'anglo-saxon "ealdwic" = "vieux centre commercial") indique qu'à un moment indéterminé, à la fin du IXe, ou au début du Xe siècle, le centre névralgique de la ville se redéplaca vers la "City". Ceci s'explique soit par des changements administratifs effectués par le roi Alfred le Grand, après sa victoire sur Guthrum et les Danois, soit par le fait que le site était plus facile à défendre contre des raids vikings. Alfred nomma son beau-fils, Aethelred de Mercie, gouverneur de Londres et fit bâtir deux "Boroughs" fortifiés pour défendre le pont de Londres, qui fut probablement reconstruit à cette époque. A l'extrémité sud du pont naquit le Borough de Southwark (en anglo-saxon "Suthringa Geworc" = ouvrages défensifs des gens du Surrey") À la fin de cette période, le roi Édouard le Confesseur prit une décision importante pour l'avenir de Londres : il fit reconstruire une église monastique à Westminster et s'y fit enterrer. Tous ses successeurs en firent de même. Depuis lors, Londres eut deux pôles de développement : le centre politique de Westminster à l'ouest et le centre commercial de la "City" à l'est.

Londres médiéval

Londres vers 1300

En 1066, pour pouvoir faire face à des révoltes saxonnes, Guillaume le Conquérant fit construire à Londres plusieurs fortifications : la tour de Londres, Baynard's Castle et Montfichet's Castle. En 1067, Guillaume concéda également une charte à la ville. En 1097, Guillaume le Roux, fils du Conquérant, commença la construction de « Westminster Hall », noyau du futur palais de Westminster, qui fut la principale résidence royale pendant tout le Moyen Âge. Au XIIe siècle s'ébauchent les institutions médiévales de Londres. Le roi Henri Ier aurait accordé aux Londoniens une charte dont l'authenticité n'est pas certaine. Ce document leur accordait le droit de choisir leur shériff et de gérer leurs affaires financières et judiciaires. Ce droit leur fut ensuite retiré par Henri II. Ce n'est qu'en l'absence du roi Richard Ier que son frère Jean sans Terre reconnut aux Londoniens, dont le soutien lui était nécessaire, le droit de former une commune, dirigée par un maire : la City (en 1191). Cependant, à son retour, Richard Cœur de Lion vide cette institution de toute substance[6].

En 1215, le roi Jean sans Terre, face à la révolte des barons, reconnut définitivement aux corporations londoniennes le droit de procéder à l'élection annuelle d'un Lord-Maire (Lord-Mayor). Le premier magistrat de Londres était choisi chaque année, le 29 septembre (jour de la "saint-Michel") par les "hommes respectables" parmi les 25 "aldermen" (échevins ou magistrats municipaux). Cette élection avait lieu au Guildhall. Le bâtiment actuel bien que très restauré, remonte au début du XVe siècle. En 1176 fut construit le fameux Pont de Londres ("London Bridge") (achevé en 1209) sur le site de plusieurs ponts en bois qui se trouvaient là précédemment. Ce pont eut une existence de 600 ans., et resta le seul pont sur la Tamise jusqu'en 1739. Au cours de la révolte de Wat Tyler (1381), Londres fut occupée par les paysans. La tour de Londres fut prise d'assaut et des notables exécutés. Au bout de trois jours, le roi Richard II accepta de rencontrer Wat Tyler à Smithfield, où le chef des paysans fut poignardé par le Lord-maire William Walworth. Au Moyen Age, Westminster était une ville distincte de la City de Londres, à laquelle elle était reliée par deux artères : Fleet Street et le Strand. Elle tirait son importance de la présence de l'abbaye de Westminster (Westminster Abbey) et d'un palais royal (Westminster Palace).

L'époque des Tudors (1485-1603)

Reconstitution du théâtre du Globe

Il y eut peu de troubles à Londres au moment de la Réforme, mais celle-ci eut néanmoins des conséquences importantes pour le paysage londonien. Avant la Réforme, plus de la moitié du territoire de Londres était occupé par des monastères, ainsi que d'autres établissements religieux. Au moment de la dissolution des monastères par Henri VIII, la plupart de ces bâtiments changèrent de main et d'affectation. Sous le règne de la reine Élisabeth Ire, la population passe de 100 000 à 200 000 habitants. Les théâtres se multiplient et Shakespeare s'installe au théâtre du Globe. Londres profite du déclin du port d'Anvers et devient une place financière importante. Le Royal Exchange (= Bourse) est fondé par Thomas Gresham en 1567.

L'époque des Stuarts (1603-1714)

Sous le premier des Stuarts, Jacques Ier, l'architecte Inigo Jones conçoit les premiers plans d'urbanisme de Londres (Covent Garden). Il construit également la maison des banquets de Whitehall. Sous le règne de Charles Ier, Hyde Park est le premier parc ouvert au public à Londres. Au cours de la guerre civile, la ville prend parti contre Charles Ier, et c'est devant le Banqueting Hall d'Inigo Jones qu'il sera décapité. Londres est frappée par deux catastrophes : une épidémie de peste (1665-1666) et un grand incendie (septembre 1666), décrits tous les deux par l'écrivain Samuel Pepys. L'incendie, qui a débuté dans la maison d'un boulanger de Pudding Lane, détruit la plus grande partie de la ville, mais arrête l'épidémie de peste.

Londres en 1673

C'est de cette époque que datent la cathédrale Saint-Paul et de nombreuses autres églises, reconstruites par l'architecte Christopher Wren. Après le Grand incendie, de nombreuses familles aristocratiques préfèrent néanmoins se faire construire une nouvelle demeure dans le West End, notamment dans le quartier de Saint James's, à proximité du palais de Whitehall. Lorsque celui-ci est détruit par un incendie en 1698, St. James's Palace prend sa place comme résidence royale.

La révocation de l'Édit de Nantes, 19 ans après l'incendie et la peste, donne à la ville l'occasion de se repeupler vers l'est avec près d'une vingtaine d'églises protestantes bâties pour des émigrés huguenots, pour la plupart artisans, qui s'installent dans les quartiers de Soho, PetitCoat Lane et Spitalfields (où est érigé un marché couvert), dans l'est de la ville, à l'extérieur des murailles, mais à moins d'un kilomètres de la City, regroupée autour de la banque d'Angleterre créée en 1694 (un siècle avant la Banque de France), du Royal Exchange et des cafés où se retrouvent les financiers, comme le Nathaniels coffe house et le Lloyd's of London, trois institutions apparues après la glorieuse révolution menée en 1688 par le hollandais Guillaume d'Orange III.

Ces émigrés font de Londres la nouvelle capitale du textile européen, détronant leurs villes d'origine Tours et Lyon, et produisent des soieries haut-de-gamme. La Navy et les voies navigables, en étoile autour de Londres, se développent. En 1700, forte d'un demi-million d'habitants, la nouvelle plus grande métropole européenne contrôle 80% des importations anglaises et 69% des exportations.

Le huguenot Daniel Marot, d'abord réfugié en Hollande, sera à partir de 1694 un des architectes majeurs de Londres. Pour le compte du roi, il construit en particulier le Hampton Court Palace.

Le XVIIIe siècle

Le XVIIIe siècle est une période de croissance rapide. La population passe de 500 000 en 1700 à 900 000 en 1801. Au cours de la période géorgienne, Londres s'étend au-delà de ses limites anciennes, tant vers l'ouest le quartier de Mayfair dans le West End, que vers l'est, où l'East End constitue la zone portuaire en amont de la City). A l'exception de la City, l'administration locale est confiée au conseil d'administration (Vestry des paroisses. Ce système fonctionne vaille que vaille. Parfois démocratique (Open vestries) mais chaotique, il peut aussi être confié à une oligarchie («Select Vestries»). Parmi les tâches de ces conseils paroissiaux, le pavage et l'éclairage occupent une place importante au XVIIIe siècle. C'est au XVIIIe siècle que Fleet Street devient le centre de la presse londonienne. Au milieu du siècle, les communications entre les deux rives de la Tamise sont grandemment améliorées par la construction de nouveaux ponts : Westminster Bridge, achevé en 1750 et Blackfriars Bridge en 1769, et ceci malgré l'opposition des passeurs d'eau. En 1780, Londres est secoué par les «Gordon Riots», une série d'émeutes dirigées contre le mouvement d'émancipation catholique dirigé par Lord George Gordon. 285 émeutiers trouvent la mort et les dégâts matériels sont importants.

Le XIXe siècle

La population passe très rapidement, de un million vers 1800 à 6,7 millions à la fin du siècle. Cette augmentation est due à l'immigration rurale, en autre un afflux d'immigrants irlandais pendant la famine des années 1840. L'accroissement de la population s'accompagne de la multiplication des quartiers de taudis, rendus célèbres par les romans de Charles Dickens. La situation sanitaire est déplorable et Londres doit faire face à une série de fléaux, tels que le typhus, la variole ou le choléra. L'épidémie de choléra de 1849 coûte la vie à 14 000 Londoniens. Les maladies contagieuses se propagent rapidement, l'espérance de vie est faible et le taux de mortalité élevé. En 1855 le Metropolitan Board of Works (MBW) est créé pour fournir à Londres l'infrastructure nécessaire à ses besoins grandissants, notamment un système d'égouts convenable. Ces égouts vont être décidés suite à la Grande Puanteur de l'été 1858. La zone urbanisée va maintenant largement au-delà des limites de la «City». En 1829 le premier ministre Robert Peel crée le «Metropolitan Police Service», qui couvre l'ensemble de l'agglomération londonienne. C'est à Robert Peel que les policiers londoniens doivent leur surnom de «bobbies». La première ligne de chemin de fer relie London Bridge à Greenwich. En 1888 est créé le «London County» (Comté de Londres), avec à sa tête le «London County Council», dont les membres sont élus. En 1899 le comté est divisé en «metropolitan boroughs».

Le XXe siècle

Comme beaucoup de grandes villes européennes, Londres connaît un exode des habitants du centre vers les faubourgs. La population du Grand Londres («Greater London») passe de 7, 5 millions en 1921 à 8,7 en 1939. Par contre, la population du centre chute de 450 000. L'augmentation du nombre de navetteurs s'accompagne du développement des moyens de transport, et tout particulièrement des lignes de métro déservant des faubourgs, tels que Edgware.

La Première Guerre mondiale vit les débuts de la guerre aérienne. A partir de 1915, Londres fut soumise à des bombardements allemands, d'abord par des zeppelins, puis à partir de 1917, par les premiers avions capables d'effectuer des bombardements à longue distance, les Gotha IV. Ces raids ne causèrent que peu de victimes: 835 tués et 1 437 blessés. Par contre, au cours de la Seconde Guerre mondiale, lors de la Bataille d'Angleterre, Londres eut à souffrir de violents bombardements allemands. Du 13 août au 7 septembre 1940 la première phase de la bataille ne visa que des aéroports et des industries. Le 7 septembre, commença une nouvelle phase qui dura jusqu'au 12 octobre 1940 : celle du Blitz sur Londres et les autres villes industrielles. Les bombardements firent 13.000 morts et 1,5 millions de sans-abri à Londres. Buckingham Palace ou les Maisons du Parlement furent touchées, ainsi que la British Library qui perdit nombre d'ouvrages (toujours présents dans le catalogue, et signalés "B" pour Bombed, bombardés). En fait, ce fut le quartier populaire de l'East End qui fut le plus touché : il abritait les principales industries et surtout le port.

La grande question de Churchill tous les matins en se levant après une nuit de Blitz était : "Et Saint-Paul ?" La cathédrale, jamais touchée et pourtant très proche de l'East End, devint le symbole de la ville qui restait toujours debout malgré tout. Le fait que le roi Georges VI, sa femme (la reine-mère) et ses filles (dont la future souveraine Élisabeth II) fussent restés à Londres durant le Blitz fit beaucoup pour la popularité de la monarchie. La reine-mère surtout toucha les classes populaires de l'East End par son attitude et son respect. Très élégante pour inspecter les ruines, elle répondit à une habitante du quartier qu'il était normal qu'elle s'habillât bien pour venir lui rendre visite chez elle puisque celle-ci aurait mis aussi ses plus beaux vêtements pour venir lui rendre visite à Buckingham Palace.

La capacité morale de résistance de Londres et au delà de tout le Royaume-Uni entraîna l'échec du Blitz (même si les bombardements allemands se poursuivirent, avec même la première utilisation de missiles à la fin de la guerre).

Après la guerre, Londres souffre toujours de la pollution, notamment du fameux brouillard londonien, le «smog» (contraction des mots «smoke» (fumée) et «fog» (brouillard). Il faudra des mesures radicales, les Clean Air Acts de 1956 et 1968, pour améliorer la situation : on passe de l'utilisation du charbon comme source d'énergie au pétrole, au gaz et à l'électricité.

En 1965 est créé une nouvelle entité administrative appelée « Greater London », remplaçant le « London County », qui couvre la City et 32 « boroughs » (correspondant grosso modo à des arrondissements). Elle est dirigée par le «Greater London Council» (GLC), dont les compétences sont très étendues, mais excluent l'éducation. Très rapidement, les disparités financières créent des tensions entre les boroughs du «Inner London» (partie centrale de l'agglomération), plus pauvres, et les boroughs du «Outer London» (zone périphérique de l'agglomération), plus riches. Le GLC sera finalement supprimé en 1986.

Carte des «boroughs» londoniens
  1. Cité de Londres 1 2
  2. Cité de Westminster 2
  3. Kensington et Chelsea 2
  4. Hammersmith et Fulham 2
  5. Wandsworth 2
  6. Lambeth 2
  7. Southwark 2
  8. Tower Hamlets 2
  9. Hackney 2
  10. Islington 2
  11. Camden 2
  12. Brent
  13. Ealing
  14. Hounslow
  15. Richmond sur la Tamise
  16. Kingston sur la Tamise
  17. Merton
LondonNumbered.png
  1. Sutton
  2. Croydon
  3. Bromley
  4. Lewisham 2
  5. Greenwich
  6. Bexley
  7. Havering
  8. Barking et Dagenham
  9. Redbridge
  10. Newham 2
  11. Waltham Forest
  12. Haringey 2
  13. Enfield
  14. Barnet
  15. Harrow
  16. Hillingdon
Notes :
  • 1 : la Cité de Londres n’est pas désignée comme un district (borough).
  • 2 : ce district fait partie de Inner London actuel, selon l’ONS et Eurostat NUTS.

Londres devint le principal centre de la mode et de la culture dans les années 1960, lors du Swinging London.

XXIe siècle

Références

  1. Françoise Le Roux et Christian-Joseph Guyonvarc'h, Civilisation Celtique
  2. Richard Coates: A New Explanation of the Name of London, in Transactions of the Philological Society, November 1998, S. 203
  3. London EC4, excavation at Number 1 Poultry
  4. comptes rendus des fouilles de l'[English Heritage]
  5. La révolte de Boudicca sur marifavel.org
  6. André Chédeville, « Le mouvement communal en France aux XIe et XIIe siècles, ses éléments constitutifs et ses relations avec le pouvoir royal » in Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe-XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999, publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers. ISBN 2-9519441-0-1, p 22

Voir aussi

Lien externe

Bibliographie

  • INWOOD, Stephen, A History of London, Macmillan, Londres, 1998,
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