Histoire des rues du Touquet-Paris-Plage

Histoire des rues du Touquet-Paris-Plage
Article principal : Le Touquet-Paris-Plage.

Cet article décrit l'histoire des rues du Touquet-Paris-Plage. Le classement des rues reprend celui qui est utilisé dans les documents municipaux.

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Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

A

Le Touquet-Paris-Plage (Avenue Louis Aboudaram).JPG

Aboudaram (avenue Louis)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Louis Aboudaram fut propriétaire des casinos du Touquet et président du TACFCO (Le Touquet ACF Côte d'Opale) de 1939 à 1946. Cette avenue est une ancienne partie de l'avenue de l'Atlantique.
  • Villa remarquable :
    • Villa La Hutte, construite au début du XXe siècle pour Léon Soucaret[a 1], sur les plans de l’architecte Arsène Bical. Son nom vient du fait que cette villa est immergée dans les sous-bois[b 1]. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[1].
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Amazones (avenue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : il y a un siècle, on rencontrait dans cette voie des femmes à cheval qui montaient en amazone.
  • Villas remarquables :
    • Villa Les Bouleaux, construite au milieu du XXe siècle pour Édouard Champion. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[2].
    • Villa Golf Cottage, construite au milieu du XXe siècle pour Édouard Champion sur les plans de l’architecte Collcut. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[3].
  • Autre villa :
    • Villa Green-Wood, construite au milieu du XXe siècle pour la fille d'Édouard Champion[b 2].

Amiens (rue d’)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la ville d'Amiens, chef-lieu de la Somme.

Amiral Courbet (avenue de l')

Amiral de Tourville (avenue de l')

Anémones (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces anémones sont des fleurs qui parsèment les jardins touquettois.
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Anglais (avenue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Cette voie a été tracée en 1960. Le Touquet devait bien à nos amis anglais une voie, car c'est grâce à eux que la station s'est développée, alors qu'elle était en voie de disparition après la mort de Jean-Baptiste Daloz. Il convient par ailleurs de rappeler la mémoire de plus de 10 000 soldats anglais enterrés au cimetière du Touquet et à celui d'Étaples.

Argousiers (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces argousiers sont des arbustes habitués des dunes touquettoises.

Arras (place d’, rue d’)

Artois (boulevard d’)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la région de l'Artois.
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Atlantique (avenue de l’)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : cette voie, tracée en 1904, est orientée en direction de l'Océan Atlantique.
  • Villa remarquable :
    • Villa Doulce France, construite vers 1925 pour A. Magne sur les plans de l’architecte Léon Saxer. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[4].
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Aubépines (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces aubépines sont des arbustes habitués des dunes touquettoises.
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Auteuil (avenue d’)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : les premiers Touquettois ont construit un hippodrome, à l'image de celui que l'on trouve à Paris dans le quartier d'Auteuil.

B

Bardol (rue Edmond)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : la municipalité a désiré rendre hommage au Touquettois Edmond Bardol, qui a beaucoup œuvré au développement du quartier de Quentovic.

Bart (avenue Jean)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit du célèbre marin Jean Bart.
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Béchu (rue René)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : René Béchu (1893-1975), qui était épicier (rue de Londres), s'était déjà illustré durant la grande guerre, fut un « héros de l'ombre » durant l'occupation allemande. Il fut responsable de l'équipe qui démina le Touquet après septembre 1944[a 2]. il sera plus tard premier adjoint du maire.

Beethoven (allée)

Belle Dune (avenue)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : de nombreuses dunes couvrent le territoire de la commune. Cette avenue traverse l'une des plus belles.
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Belvédère (avenue du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : cette avenue menait au belvédère qui permettait d'admirer le paysage. Ce belvédère a été détruit.

Bernier (square)

Besse (avenue Georges)

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Bical (avenue Arsène)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Arsène Bical fut l'un des principaux architectes du Touquet.
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Le Touquet-Paris-Plage (Allée des Biches).JPG

Biches (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : il y a quelques décennies, on rencontrait ces biches dans la forêt touquettoise[c 1]. La municipalité met en garde, encore aujourd'hui, les passants par ce panneau qui se trouve près des allées des biches, des cerfs, des chevreuils.
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Blériot (avenue)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : En souvenir des premiers essais en vol plané, au-dessus des dunes, de Louis Blériot qui s'était installé au Touquet en 1907 (voir le chapitre histoire dans l'article Le Touquet-Paris-Plage : historique 1910).

Bleuets (allée des)

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Bobet (avenue Louison)

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Boucher (allée Hélène)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la célèbre aviatrice Hélène Boucher.
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Bouleaux (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : après avoir planté des pins, Jean-Baptiste Daloz planta des bouleaux.
  • Villa remarquable
    • Villa l'Escapade, anciennement Villa Eliza, diminutif d'Elizabeth, fille de Somerset Maugham, célèbre écrivain anglais, et de sa femme Syrie Maugham, décoratrice. La villa a été construite sur les plans de l'architecte anglais Oliver Hill pour Madame Maugham qui l'habita.
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Boulogne (rue de)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la ville voisine de Boulogne-sur-Mer.
  • Villa remarquable
    • Villa au no 13, construite au milieu du XXe siècle sur les plans de l’architecte Léon Saxer. Son nom vient du fait que cette villa est immergée dans les sous-bois. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[5].

Bourdonnais (avenue de La)

Boutons d’Or (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces boutons d'or sont des fleurs qui parsèment les jardins touquettois.

Brassens (allée Georges)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit du célèbre auteur-compositeur-interprète Georges Brassens.

Brel (square Jacques)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit du célèbre auteur et chanteur belge Jacques Brel. Ce square a été inauguré en 1979.
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Le Touquet-Paris-Plage (Rue de Bruxelles).JPG

Bruxelles (avenue de, rue de)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la ville de Bruxelles, capitale de la Belgique.

C

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Caix Taurines (avenue de)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : La baronne Taurines de Caix a fait construire plusieurs villas sous sa direction et selon ses plans au Touquet, réalisé plusieurs expositions et notamment de peintures au Touquet. C'est en remerciement de son animation culturelle et la construction de ses villas (Baby Ranch, etc.) que l'ancien Maire du Touquet a donné le nom de cette avenue à Madame la Baronne.

Calais (rue de)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la ville voisine de Calais.
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Canadiens (avenue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : En souvenir des premiers alliés qui ont libéré la ville, le 4 septembre 1944, après l'évacuation totale qui avait suivi les bombardements de juin 1944. Cette voie est une ancienne partie de l'avenue du Château.
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Canche (boulevard de la, rue de la)

  • Origine du nom de la voie : la Canche est le fleuve qui sépare Le Touquet d'Étaples. Ce boulevard a été tracé en 1928[c 2].

Carnier (chemin Étienne)

Casino (avenue du) : devenue avenue Fernand-Recoussinne

Cèdres bleus (avenue des)

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Le Touquet-Paris-Plage (Allée des Cerfs).JPG

Cerfs (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : il y a quelques décennies, on rencontrait ces cerfs dans la forêt touquettoise. La municipalité met en garde, encore aujourd'hui, les passants par ce panneau qui se trouve près des allées des biches, des cerfs, des chevreuils.

César (avenue Jules)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit du célèbre général, homme politique et écrivain romain Jules César.
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Champion (avenue Édouard)

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Champs-Élysées (avenue des)

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Château (avenue du) (anciennement « Chemin de Trépied »)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : cette voie menait au « château » de Jean-Baptiste Daloz.
  • Bâtiment remarquable
    • Le lycée hôtelier construit en 1971 sur les plans de l'architecte André Dufetel, ce bâtiment a été classé « édifice labellisé XXe »[6].
  • Villas remarquables
    • Villa Nirvana, construite en 1910[a 3] sur les plans de l’architecte Albert Pouthier, puis agrandie en 1925. C’est une villa typique des constructions touquettoises de cette époque. Cette villa (façades et toitures) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 18 décembre 1998.
    • Villa Sous les Pins, anciennement Gigi, construite en 1923 sur les plans des architectes Émile Molinié, Charles Nicod, Albert Pouthier. Cette villa (façades, toitures et pergola de la terrasse) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 18 décembre 1998[7].
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Chèvrefeuilles (avenue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces chèvrefeuilles sont des arbustes que l'on rencontre dans les jardins touquettois.
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Le Touquet-Paris-Plage (Allée des Chevreuils).JPG

Chevreuils (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : il y a quelques décennies, on rencontrait ces chevreuils dans la forêt touquettoise. La municipalité met en garde, encore aujourd'hui, les passants par ce panneau qui se trouve près des allées des biches, des cerfs, des chevreuils.

Chopin (avenue)

Condamine (avenue de la)

Coquelicots (allée des)

Courbet (avenue)

D

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L'église Sainte-Jeanne-d'Arc, face à l'Hôtel de ville
L'Hôtel de ville, face à l'église
Villas près de l'église
Les Mutins, siège historique du Cabinet de Louis Quételart

Daloz (boulevard)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Jean-Baptiste Daloz est le créateur de la station.
  • Bâtiments remarquables
    • L'église Sainte-Jeanne-d'Arc dont les travaux ont démarré le 25 avril 1910 sur les plans de l'architecte Lucien Viraut. Elle a été ouverte au culte le 14 juillet 1911. Le patronyme de sainte Jeanne d'Arc avait été proposé par de généreuses dames anglaises qui voulaient exprimer les regrets des catholiques anglais d'avoir brûlé notre sainte. Il convient de noter que cette église fut la première église consacrée à Jeanne d'Arc en France[d 1]. La cloche « Clotilde-Marie » a été posée le 11 août 1912. De nombreux fers forgés de Lambert Rucki (1888-1967) sont conservés dans le chœur. Les vitraux sont, en partie, l’œuvre du maître-verrier Jacques Le Chevalier. Cette église est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[8]. L'orgue d'origine avait été réalisé en 1925 par le facteur Cavaillé-Coll-Convers[9]. Ne pouvant pas être réparé, la municipalité a décidé de répondre en 2006 au vœu exprimé tant par les mélomanes sur le plan culturel que par les paroissiens sur le plan cultuel en s'engageant dans la création d'un nouvel orgue[10]. Doté de 37 jeux répartis sur trois claviers, ce grand orgue Pascal Quoirin est l'un des instruments les plus importants de la région, il permet l'interprétation d'un très large répertoire allant de la Renaissance à nos jours. Il a été inauguré le 28 septembre 2008 par Olivier Latry, titulaire du grand orgue de Notre-Dame de Paris[11].
    • L'hôtel de ville construit en 1931 sur les plans des architectes Louis Debrouwer et Pierre Drobecq[c 3]. La maçonnerie est en matériaux de la région : pierres de Baincthun et d'Hydrequent. La hauteur du beffroi est de 38 mètres. Il contient une horloge monumentale équipée de carillons qui sonnent, depuis 1931, les quarts et les demies. Cet hôtel de ville fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 19 octobre 1928[12].
  • Villas remarquables
    • Villa Cendrillon, sise au no 2, construite en 1927 sur les plans de l’architecte Louis Quételart. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[13].
    • Villa Wallonne, sise au no 44, construite dans les années 1910, sur les plans de l’architecte Aimé Delarue (d’Amiens) et réalisée par l’entreprise Pentier Frères. Le soubassement, relativement haut, a été réalisé en pierre de Baincthun. Cette villa (façades et toiture) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 2 août 1998.
    • Villa Le Roi d’Ys sise au no 45bis, construite en 1903 sur les plans de l’architecte Anatole Bienaimé. Cette villa est typique du style d'Anatole Bienaimé : le bois est plaqué sur la construction et ne fait pas partie de sa structure[b 3]. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[14].
    • Villa Butterfly sise au no 49, construite dans les années 1920, sur les plans de l’architecte Louis Raquet (d’Amiens) et réalisée par l’entrepreneur Julien Goffaux. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[15].
    • Villa Les Mutins sise au no 78, construite en 1925 sur les plans de l’architecte Louis Quételart pour lui-même : ce fut sa seconde habitation principale (après la villa Pomme d’Api) et son agence. Cette villa est caractéristique du style Quételart par ses deux pignons accolés. Ces deux pignons forment, du côté de la rue Raymond Lens, un « M » qui sera le logo du cabinet de Louis Quételart. Cette villa a retrouvé récemment sa couleur bleue d'origine. Cette villa (façades et toiture) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 12 août 1998.
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Deauville (avenue de)

  • Villa remarquable
    • Villa Panjo, construite en 1929 sur les plans de l’architecte Léon Hoyez. Cette villa est aujourd’hui aménagée en appartements. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[16].

Debussy (avenue)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit du célèbre compositeur Claude Debussy.

Desvres (rue de)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la ville voisine de Desvres.
  • Villa remarquable
    • Villa Clairoix, située au no 1, construite en 1926 sur les plans de l’architecte Louis Quételart. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[17].
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Dix-huit juin (avenue du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : La municipalité a voulu rendre hommage aux militaires français, héros des deux dernières guerres. Ici, en souvenir de l'Appel du 18 juin du Général de Gaulle.
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Le Touquet-Paris-Plage (Rue Dorothée).JPG

Dorothée (avenue et rue)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Dorothée était le prénom de la fille de John Whitley qui lui avait confié la transformation du « château Daloz » en Hôtel de la Forêt, puis la décoration du Casino[d 2].
  • Villas remarquables
    • Série de deux villas Lutin et Farfadet, situées au no 7 et no 9, construites entre 1905 et 1913 sur les plans de l’architecte Albert Pouthier, et réalisées par l’entreprise Pentier Frères. Ces villas sont recensées à l'inventaire général du patrimoine culturel[18].
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Duboc (rue Joseph)

  • Cette rue s'appelait anciennement « rue de la Lune », prolongée « avenue des Peupliers »
  • Origine touquettoise du nom de la voie : Joseph Duboc (1843 - 1906), charpentier, travaillait pour Jean-Baptiste Daloz. Il fut l'un des premiers habitants du Touquet. Son atelier était mitoyen de l'hôtel « À la naissance de la plage », exploité par sa femme. C'est Joseph Duboc qui fabrique la « chaise de puits » permettant le forage dans le sable avant l'adduction des eaux de Rombly à Paris-Plage[f 1].
  • Villas remarquables
    • Villa Bic en Coin, située au no 8, construite en 1925, sur les plans de l’architecte Louis Quételart. Cette villa (façades et toiture) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 1er décembre 1997.
    • Villa Printania, sise au no 34, construite au début du XXe siècle, sur les plans de l’architecte Milvoy qui dessina l’une des rares villas de style Art Nouveau au Touquet. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[19].

Duguay-Trouin (avenue)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit du célèbre corsaire René Duguay-Trouin.
  • Villa remarquable
    • Villa Saint-Firmin, sise au no 2, construite au début du XXe siècle sur les plans de l’architecte Paul Ridoux. Cette villa est aujourd’hui aménagée en appartements. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[20].
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Dune aux loups (avenue de la)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Cette dune aux loups était la dune où sont venus s'échouer au XIXe siècle, un grand nombre de noyés (loups en langage populaire).
  • Bâtiments remarquables
    • L'hippodrome de la Canche construit en 1925 sur les plans des architectes Georges-Henri Pingusson (1894 – 1978) et Paul Furiet (19xx – 1930). Cet hippodrome est recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[21].
    • Les tribunes de l'hippodrome de la Canche : Ce monument fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 12 mai 1997.. Les tribunes inaugurées en 1925[c 4] ont été rénovées en l'an 2000[c 5].

Dunes (rue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : de nombreuses dunes couvrent le territoire de la commune. On peut voir souvent des villas perchées en haut de ces dunes.
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Dunkerque (avenue de)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la ville voisine de Dunkerque.

Dupleix (avenue)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit du célèbre gouverneur général des comptoirs français en Inde Joseph François Dupleix.

Duquesne (avenue)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit du célèbre officier de marine Abraham Duquesne.
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Duran (allée Armand)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Armand Durand fut maire du Touquet par intérim en 1942 et en 1944. Contremaître-maçon, chevalier de la Légion d'honneur, il était né le 17 août 1872 à Chevry-Cossigny (Seine-et-Marne) et mort au Touquet le 13 décembre 1955[e 1]. Il créa les « Jardins ouvriers » en octobre 1937 et en fut le président de 1938 à 1955. Ces jardins sont constitués de 158 parcelles de 60 à 80 m²[c 6]. Son nom a été donné à cette allée qui dessert le lotissement parallèle à ces jardins.

E

Écureuils (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : il y a un siècle, on rencontrait ces écureuils dans la forêt touquettoise.

Édouard VII (avenue)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Édouard VII, roi de Grande-Bretagne et d'Irlande, fit de nombreux séjours au Touquet, notamment lorsqu'il n'était encore que « Prince de Galles ».
  • Villas remarquables
    • Villa Le Nid, construite au début du XXe siècle, sur les plans de l’architecte Arsène Bical. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[22].
    • Villa de M. V de B, construite dans les années 1920, sur les plans de l’architecte Pierre Drobecq. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[23].

Églantines (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : les églantines sont les fleurs des églantiers, arbrisseaux habitués des dunes touquettoises.

Eleagnus

Étaples (rue d’)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la ville voisine d'Étaples.
  • Villas remarquables
    • Les trois villas Fémina, Sans Atout, Musica, sises aux no 18, 20 et 22. Elles ont été construites en 1900 sur les plans de l'architecte Jean Magnin. La villa Musica a appartenu à Madame du Serre[f 2], première Touquettoise à monter dans un aéroplane en 1911, dans l'avion d'Émile Duval[b 4]. Ces villas sont recensées à l'inventaire général du patrimoine culturel[24].

Europe (avenue de l’)

F

Fauvettes (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : les fauvettes sont des passereaux habitués du Touquet.

Ferras (square Christian)

  • Origine du nom de la voie : Christian Ferras, célèbre violoniste est né au Touquet, où ses parents tenaient l'hôtel « Regina » (actuellement Résidence « La Morinie »)[b 5]. L'hôtel Régina, avenue du Château, a été construit en 1906 et agrandi dès l'année suivante. Charles Guyot (voir plus bas) l'acheta en 1913 et confia son exploitation à M. et Mme Léon Ferras[f 3].

Forbin (avenue)

Forsythias (avenue des)

Frênes (avenue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : après avoir planté des pins, Jean-Baptiste Daloz planta des frênes.

G

Prince de Galles (avenue du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Le Prince de Galles, futur roi Édouard VII, fit de fréquents séjours au Touquet qu'il affectionnait particulièrement.

Garet (avenue, rue)

Anciennement rue Saint-Alphonse (avant 1925[d 3])

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Léon Garet fut le premier acquéreur, le 1er septembre 1882, d'un terrain vendu par Jean-Baptiste Daloz, terrain sur lequel il fera construire son chalet Suzanne en 1885. Constructeur au Touquet, il créera en 1894, le « Syndicat des propriétaires » du Touquet. Né à Artemps (Aisne) le 3 novembre 1840 et mort à Amiens fin de l’hiver 1912, Léon Garet fut directeur de la compagnie d’assurances L’Urbaine à Amiens pendant 40 ans, et premier président du syndicat des agents généraux d’assurances de la Somme. Édouard Lévêque disait de lui « M. Léon Garet, qu’on le veuille ou non, résumait presque à lui seul Paris-Plage avec M. J.B. Daloz dont il était absolument le bras droit [...] nous osons pouvoir presque affirmer que sans notre concitoyen, Paris-Plage ne serait peut-être jamais sorti de l’état de projet dans lequel il sommeillait depuis plusieurs années. » En 1884, constructeur au Touquet, il organise la première ducasse de Paris-Plage, et en 1886, il convainc plusieurs personnalités amiénoises de venir à Paris-Plage. En 1893, il est directeur du journal Paris-Plage. En 1894, il crée le syndicat des copropriétaires dont il est trésorier jusqu’en 1900. Il dut ensuite quitter les bords de mer pour raisons médicales. Son fils Maurice a fondé en 1905 la société académique du Touquet et son arrière-petit-fils en est le secrétaire général en 2011[25].
  • Bâtiment remarquable
    • L'hôtel Scampolo[c 7] sis au no 2, construit en 1926 par Delcourt Entrepreneurs sur les plans de l'architecte Louis Quételart. Cet hôtel est recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[26].
  • Villas remarquables
    • Les trois villas Vénus, Saturne, Mars, sises aux no 62, 64 et 66. Elles ont été construites à la fin du XIXe siècle sur les plans de l'architecte Anatole Bienaimé. Ces villas sont recensées à l'inventaire général du patrimoine culturel[27].

Garigliano (avenue du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : La municipalité a voulu rendre hommage aux militaires français, héros des deux dernières guerres. Ici, en souvenir de la Bataille du mont Cassin, près du fleuve Garigliano, où le maréchal Juin vainquit les forces italiennes en mai 1944. Cette avenue a été inaugurée en 1970 par la maréchale Juin[c 8] et[c 9].

Général de Gaulle (avenue du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : La municipalité a voulu rendre hommage aux militaires français, héros des deux dernières guerres. Ici, bien sûr le Général de Gaulle. Cette avenue a été inaugurée en 1970[e 2].
  • Implantation : à l'origine, cette avenue s'appelait « avenue des Anglais ». Elle se terminait en cul-de-sac dans l'avenue du Maréchal Joffre. Puis elle s'est appelée « avenue du Touquet » au moment de la création de la voie en 1954[c 10]. Cette dernière modification était due à l'extension de l'aéroport (construction de la seconde piste).
  • Villas remarquables
    • Villa Sunny Corner, construite en 1927 sur les plans de l’architecte Léon Hoyez. Cette villa est depuis 1976[e 3] propriété de la ville[b 6] à la suite du don fait à la ville par sa dernière propriétaire[e 4]. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[28].
    • Villa Loin des flots puis Oxer depuis 1946, construite vers 1925 sur les plans de l’architecte Jean Boissel. Le nom « Oxer » est un obstacle sur un champ de courses, ce nom a été choisi par le propriétaire de la villa, grand amateur d'équitation. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[29].

Genêts (avenue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces genêts sont des arbustes habitués des dunes touquettoises.

Godin (avenue François)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : François Godin fut maire de Cucq de 1882 à 1893, lorsque Jean-Baptiste Daloz créa la station du Touquet qui deviendra commune en 1912. Cette avenue a été tracée en 1912[c 11]. Les derniers blockhaus, vestiges de la guerre, de cette avenue ont été détruits en 1960[c 12].

Golf (avenue du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : cette avenue conduit au golf (voir ci-dessus : historique 1904).
  • Villa remarquable
    • Villa La Prairie, construite en 1928 sur les plans de l’architecte Louis Quételart. Cette villa a été réquisitionnée par la Luftwaffe jusqu'en mai 1942[b 7]. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[30].
  • Autres villas
    • Villa Low Wood manor : c'est l'une des plus ravissantes gentilhommières du Touquet[c 13]. Elle a hébergé durant la guerre le célèbre homme de lettres britannique, Pelham Grenville Wodehouse. Low Wood conserve aujourd'hui toute son authenticité, seul son avant-dernier propriétaire a ajouté « Manor ».
    • Villa Way Side, construite en 1930 sur les plans de l'architecte Henri-Léon Bloch. Cette villa fut transformée en maison de retraite pour médecins. Elle est depuis 1991, le siège du Musée du Touquet, baptisé « Musée Édouard Champion » car ce musée fut fondé par l'éditeur Édouard Champion grâce au legs de ses collections en 1932.

Guyot (avenue Charles)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Charles Guyot, bienfaiteur de la ville, Président du Club hippique, habitait la villa à l'angle de cette avenue et de l'avenue du Château.

H

Hermitage (place de l’)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : cette place doit son nom à l'Hôtel Hermitage qui en occupe l'un des côtés. Le nom d'Hermitage lui avait été donné par son gérant Fernand Recoussine, en souvenir de l'hôtel Hermitage qu'il avait précédemment dirigé à Monte-Carlo[e 5].
  • Bâtiment remarquable
    • Le Palais de l'Europe a été construit en 1913, sur les plans des architectes Auguste Bluysen et Raoul Jourde en lieu et place du « château » que Jean-Baptiste Daloz s'était fait construire en 1864. La décoration du hall est l'œuvre de Lavezzari et Tattegrain. Son activité s'est arrêté avec la Première Guerre mondiale, où il servit d'hôpital militaire anglais. Après l'armistice de 1918, le bâtiment est agrandi. Le casino connaît son heure de gloire durant les années folles? C'est alors l'une des plus importantes salles de jeux d'Europe, fréquentée par les célébrités du théâtre et du cinéma, de la haute société parisienne ainsi que de l'aristocratie anglaise : le Prince de Galles, futur Édouard VIII est souvent vu assis autour d'une table de baccara ; de même, chaque jour dans la salle de danse, un excellent orchestre s'y fait entendre. Détruit en majeure partie lors de la seconde guerre mondiale, il fut reconstruit dans la forme que l'on voit aujourd'hui. Le Palais de l'Europe est aujourd'hui un centre international de congrès, mais il continue à accueillir un casino, le « Casino du Palais ». Ce bâtiment est recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[31].

Hêtres(avenue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : après avoir planté des pins, Jean-Baptiste Daloz planta des hêtres.

Hippodrome (avenue de l’)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : cette avenue conduit à l'hippodrome de la Canche.
  • Villas
    • Villa Mad Cap, construite en 1906. C'est dans cette villa que résidait la duchesse de Westminster[a 4] pendant la Première Guerre mondiale. Elle dirigeait l'hôpital qui avait été aménagé pour l'armée britannique dans le Casino de la forêt[b 8] et[a 5].

Holuigue (parc Fernand)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Fernand Holuigue, secrétaire général de la mairie du Touquet de 1934 à 1966. Grâce à lui, aucun jeune Touquettois ne sera emmené en Allemagne pour le Service du Travail Obligatoire. Il a relancé la Société Académique en 1966 en préservant et en amassant une quantité considérable de documents. Selon son souhait, après son décès, une période de dix ans a été observée avant de donner son nom à ce parc en 1997.

Hubert (avenue Louis)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Louis Hubert, conseiller municipal de Cucq, fut nommé « conseiller adjoint spécial pour Paris-Plage » le 16 juin 1901, il fut propriétaire du Grand-Hôtel des Dunes de 1901 à 1906[a 6]. Conseiller municipal du Touquet ensuite, il fut Directeur du centre sportif placé à l'angle de cette avenue.
  • Cette voie était, il y a un siècle, l'entrée principale de la ville.
  • Villas remarquables
    • Villa La Rafale, sise au no 6, construite en 1894 sur les plans de l’architecte Louis Cordonnier pour lui-même[f 4]. Il voulait en faire sa résidence d’été, mais il la revendra en 1900 lorsqu’il participera à la création de la station d’Hardelot[b 9]. Cette villa est aujourd’hui aménagée en appartements. Cette villa est l’une des premières villas construites au Touquet, elle associe les styles anglo-normand, germanique et hollandais. Cette villa (façades et toitures) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 1er décembre 1997.

I

J

Jeanne d’Arc (avenue)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : il s'agit bien sûr de Sainte Jeanne d’Arc, dont la première église lui fut dédiée (voir ci-dessous).

Jonquilles (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces jonquilles sont des fleurs qui parsèment les jardins touquettois.

K

L

Lauriers blancs (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces lauriers blancs sont des arbustes très utilisés en centre-ville pour faire de petites haies coupées grâce à un art topiaire séculaire.

Lens (avenue Raymond, rue Raymond)

  • Origine du nom de la voie : Raymond Lens était géomètre à la création de la station (voir ci-dessus : historique 1882).

Lévêque (square Édouard)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Édouard Lévêque, célèbre Touquettois, peintre, écrivain, botaniste, est l'inventeur de l'appellation « Côte d'Opale » pour nommer le littoral entre Le Crotoy et Equihen. C'est en effet dans le journal « Paris-Plage » en février 1911, qu'il suggère pour la première fois que le littoral soit appelé « Côte d'Opale »[c 14]. Né à Amiens le 10 décembre 1857, il est mort en 1936[c 15]. Il fut Président de la société académique du Touquet, fondée en 1906 par Maurice Garet. Le square a été inauguré en 1935.

Londres (rue de)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la ville de Londres.
  • Villas remarquables
    • Villa Les Sarcelles, sise au no 1, construite en pierre de Marquise en 1904 sur les plans de l’architecte Anatole Bienaimé, pour M. Bernier, avocat au Conseil d’État. Ce dernier, grand amateur de chasse, décida du nom de la villa. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[32].
    • Villa L’Ermitage, sise au no 2, construite en 1894 sur les plans de l'architecte Louis Cordonnier. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[33].
    • Villa Suzette, sise au no 14, construite à la fin du XIXe sur les plans de l'architecte Anatole Bienaimé. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[34].
    • Villas Ivanhoé et Kervette, sises aux no 161 et 163, construites en 1910 sur les plans de l’architecte Albert Pouthier. Ces villas sont recensées à l'inventaire général du patrimoine culturel[35].

Longchamp (avenue de)

M

Maréchal Leclerc (avenue du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : La municipalité a voulu rendre hommage aux militaires français, héros des deux dernières guerres. Ici, bien sûr le Maréchal Leclerc. Cette avenue, inaugurée en 1981 par la maréchale Leclerc, s'appelait précédemment « Avenue du Parc Central ».

Maréchal Foch (avenue du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : La municipalité a voulu rendre hommage aux militaires français, héros des deux dernières guerres. Ici, bien sûr le Maréchal Foch.

Maréchal Joffre (avenue du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : La municipalité a voulu rendre hommage aux militaires français, héros des deux dernières guerres. Ici, bien sûr le Maréchal Joffre.

Margaret (allée)

Marguerites (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces marguerites sont des fleurs qui parsèment les jardins touquettois.

Marie-Antoinette (allée)

Marie-Louise (allée)

Marronniers (allée des)

Maxence Van Der Meersch (avenue)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Maxence Van Der Meersch, écrivain, lauréat du prix Goncourt en 1936, Grand-Prix de l'Académie française, a vécu dans ici les dernières années de sa vie[c 16]. Il y est mort le 14 janvier 1951, victime de la tuberculose. La littérature perdait, ce jour là, une plume d'une qualité extraordinaire. Il laissa une œuvre considérable dont son roman « Corps et âmes » qui évoque ses doutes sur la méthodologie de certains « pontes » de la médecine. Cette interpellation laisse planer une interrogation sur sa mort largement prématurée.
  • Villa remarquable
    • Villa Fair Way puis The Sandhill, sise au no 1, construite en 1929 sur les plans de l’architecte Louis Quételart, pour M. Stoneham. Ce fut la dernière demeure de l'écrivain Maxence Van Der Meersch. On peut lire sur la façade, l'inscription : A achevé ici sa brève existence le 14 janvier 1951, à la recherche du vrai[b 10]. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[36].

Mermoz (avenue)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit du célèbre aviateur Jean Mermoz.

Mésanges (allée des)

  • Bâtiment remarquable
    • Phare de la Canche également appelé Phare du Touquet construit de 1946 à 1949, sur les plans de l’architecte Louis Quételart et des ingénieurs Briquel et Danel. Il est haut de 53 mètres, 274 marches. À 56 mètres, 2 ampoules halogènes de 650 W ont remplacé en 1988 les 2 ampoules de 2000 W. La rotation est de 1 tour / 20 s, soit un éclair toutes les 10 s. La portée est de 50 km par temps clair (les côtes britanniques sont à 46 km). Ce phare est recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[37].
La Poste construite en 1927

Metz (rue de)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la ville de Metz.
  • Bâtiment remarquable
    • La Poste, construite en 1927 par Delcourt Frères sur les plans de l’architecte Jean Boissel qui remporta le concours organisé par la municipalité (les perdants furent Louis Quételart et André Pouthier). Ce concours ne fut ouvert qu'aux seuls architectes domiciliés ou patentés au Touquet avant le 1er janvier 1924. L'architecte a voulu garder le souvenir que ce bâtiment a été construit à l'emplacement de l'ancienne église Saint-Jean, d'où la fantaisie architecturale du petit clocher. Ont collaboré : le céramiste Delassus et le peintre-verrier Jeannin Gaëtan. Ce bâtiment (façades, toitures et hall) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 12 mai 1997[38]. À l'origine, l'entrée était prévue rue de Londres, donc dans la même orientation que la chapelle. Le 31 août 1926, après la déposition de deux pétitions opposées, la question de l'entrée principale est débattue : rue de Londres ou rue de Metz ? Séance historique du conseil municipal, l'entrée rue de Metz l'emporte par 11 voix contre 8 et 1 abstention. Ce n'est pas fini : en mars 1927, les établissements boulonnais qui construisent le bâtiment sont en liquidation judiciaire à quelques mois de l'ouverture prévue ! Le conseil municipal attribue alors l'achèvement des travaux à l'entreprise Delcourt et la Poste est ouverte à la date prévue[f 5].
  • Villa remarquable
    • Villa Cipry, sise au no 171, construite en 1927 sur les plans de l’architecte Horace Pouillet. Anecdote : cette villa était occupée par les Allemands pendant la dernière guerre. Ils utilisaient la petite tour comme lieu d’observation. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[39].

Mille agréments (avenue des)

Vue prise vers la mer
Vue prise vers la forêt, au fond : Le Petit Château (voir avenue de la Reine May)

Monnet (rue Jean), anciennement Grand-Rue

  • Origine du nom de la voie : il s'agit bien sûr de l'homme d'État Jean Monnet*Bâtiment remarquable
    • Marché couvert, construit de 1927 à 1932, sur les plans de l’architecte Henry-Léon Bloch. C'est un édifice très important dans l'agencement de la ville. H.-L. Bloch a eu l'ingénieuse idée de reprendre la forme de la place (nommée « place de la demi-lune » à l'époque) pour dessiner la forme du bâtiment. Celui-ci offre deux perspectives remarquables (cf. les deux photos) : l'une vers la mer, l'autre vers le jardin d'Ypres. Cette église fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 24 janvier 1996.. C'est Robert Desplain qui réalisa la parfaite charpente en bois, alors que la mode était alors aux charpentes métalliques ou en béton armé[f 6].
  • Villas remarquables
    • Villas Lydéric et Phinaert, sises aux no 6 et 8, construites par l’entrepreneur Julien Goffaux au début du XXe siècle sur les plans de l’architecte Anatole Bienaimé. Ces villas sont recensées à l'inventaire général du patrimoine culturel[40].
    • Villa La Tourelle puis Le Castel[c 17] === sise au no 50, construite en 1904 sur les plans de l’architecte Henri Valette (de Berck) pour le docteur Timmermans, établi au Touquet depuis 1892[b 3]. Cette villa, très originale par son style néo-médiéval, fut la première villa construite dans cette rue[a 7]. Elle est - depuis 2005 - aménagée en appartements. Cette église fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 1er décembre 1997.

Monthor (allée, avenue)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Monthor serait le nom d'un ancien lieu-dit.

Montreuil (avenue, rue)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la ville voisine de Montreuil (Pas-de-Calais)
  • Villa remarquable
    • Villa Les genêts d’or, sise au no 12, construite au début du XXe siècle sur les plans de l’architecte J. Galopin. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[41].

Moscou (rue de)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la ville de Moscou. Nota : cette voie avait été rebaptisée « rue de Cucq » par les allemands lors de l'occupation).
  • Villas remarqaubles
    • Villa Jean de la Lune sise au no 11, construite au début du XXe siècle. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[42].
    • Villa Pomme d’Api, sise au no 75bis, construite en 1923 sur les plans de l’architecte Louis Quételart pour lui-même : ce fut sa première habitation et agence. Il quittera cette villa en 1925 pour la villa Les Mutins. Cette villa (façades et toiture) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 1er décembre 1997[43].
    • Villa La Royana, sise au no 86, construite à la fin du XIXe par l’entrepreneur Julien Goffaux sur les plans de l’architecte Anatole Bienaimé. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[44].

Mouettes (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces mouettes sont des oiseaux très fréquents sur la plage du Touquet.

Mozart (avenue)

N

Nord (avenue du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : cette avenue est la voie la plus au Nord dans le plan du lotissement de Jean-Baptiste Daloz.

North (rue Pierre)

  • Origine du nom de la voie : Pierre North fut sous-préfet de Montreuil entre 1969 et 1975.

O

Ombrages (avenue des)

Oyats (avenue des, rue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces oyats sont des arbustes habitués des dunes touquettoises. Ils sont très importants pour tenir le sable et éviter les effets du vent qui déplace les dunes.
  • Villa remarquable
    • Villa La Closerie, construite vers 1925 par l’entrepreneur Pentier Frères sur les plans de l’architecte Arsène Bical. Cette villa est très intéressante pour son plan en Y. Elle a appartenu au vicomte Eugène Tiberghien, camérier du pape[b 11]. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[45].

P

Paix (avenue de la, rue de la)

  • Villa remarquable
    • Villa Tata Ice (en souvenir d'une Tante Alice), construite en 1926 sur les plans de l’architecte Horace Pouillet qui dessina également le mobilier. La façade très originale rappelle un visage. Cette villa (façades, toitures et clôture) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 1er décembre 1997.

Pâquerettes (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces pâquerettes sont des fleurs qui parsèment les jardins touquettois.

Parc Central (avenue)

Cette avenue a été rebaptisée « Avenue du Maréchal Leclerc »

Paris (rue de)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : la ville de Paris est indissociable de celle du Touquet. Cette rue était la principale rue commerçante du Touquet lorsque l'entrée de la ville se faisait par l'avenue Louis Hubert.
  • Villas remarquables
    • Villa Alexandre, sise au no 1, construite en 1911 sur les plans de l’architecte HF. Combeau. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[46].
    • Magasins jumelés la Sirène et Morgane, sis au no 116bis, construits en 1928, par l’entrepreneur Pentier Frères sur les plans de l’architecte Horace Pouillet. Cette deux magasins sont recensés à l'inventaire général du patrimoine culturel[47].

Pérouse (avenue de La)

Phares (avenue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : cette avenue, tracée en 1904, permettait d'accéder aux deux phares construits à partir de 1845 et détruits par les Allemands lors de leur départ le 2 septembre 1944.

Picardie (allée de, avenue de)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la région Picardie.
  • Villa remarquable
    • Villa Isola puis Intimité, construite en 1906. Cette villa doit son premier nom au fait qu'au moment de sa construction, elle était complètement isolée[b 12]. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[49].

Pins (avenue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : La forêt que Jean-Baptiste Daloz planta fut essentiellement composée de pins.
  • Villa remarquable
    • Villa Chat Perché, construite en 1927 sur les plans de l’architecte Louis Quételart. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[50].

Polo (allée du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : cette allée menait au terrain de polo créé en 1903.

Pouget (boulevard du Docteur Jules)

  • Origine du nom de la voie : Ce bulevard s'appelait anciennement boulevard de la Mer. Jules Pouget fut élu maire du Touquet le 28 janvier 1934, il le resta jusqu'à sa mort, le 30 juillet 1963. Né à Espalion (Aveyron) le 8 mars 1884, il s'installe au Touquet, à la fin de ses études de médecine et fut conseiller municipal dès 1919[e 6]. Président de l'Association nationale des maires des stations françaises, membre du bureau de l'Association nationale des maires de France, chevalier de la Légion d'honneur à titre militaire en 1914-1918, il fut élevé à la dignité de commandeur de l'Ordre du mérite en 1958[e 7]. Cette voie a été inaugurée en 1970, pour rendre hommage au Docteur Pouget, sept ans après sa mort.
    • Bâtiment remarquable
    • La piscine construite en 1929 en bord de mer par les architectes André Bérard et Louis Quételart. Il n’en reste aujourd’hui que le plongeoir. Cette piscine est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[51].
  • Villas remarquables
    • Les trois villas Les Naïades, Les Néreïdes, Les Dryades, sises aux no 15, 17 et 19. Elles ont été construites en 1908 sur les plans de l'architecte Anatole Bienaimé pour M. et Mme Louis Hubinet. Cette dernière, passionnée par la mythologie, choisit les noms. Ces villas sont recensées à l'inventaire général du patrimoine culturel[52].
    • Les quatre villas Saint-Augustin, Thalassa, Phébus, Borée, sises à l'angle de la rue de la Paix et du boulevard Jules Pouget (no 103, 105 et 105bis), ont été construites en pierre de Marquise, en 1897 sur les plans de l'architecte Ladislas Casiorowski pour M. Augustin Legay (d'Arras)[b 13]. Elles constituent alors « ce qu’il y a de plus grandiose et de plus magnifique »[d 4]. La statue de Saint-Augustin est tombée de son socle lors des bombardements de juin 1944[d 2], et n'a pas été remontée. Cette villa (façades, toitures) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 18 décembre 1998.
  • Autres villas
    • Les trois villas La Vedette, la Vigie, l’Étrave sont représentatives des premières constructions de la digue car elles reprennent exactement la forme des premiers chalets en bois construits en 1883[b 14].

Prévert (avenue Jacques)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit du célèbre poète et scénariste Jacques Prévert.

Primevères (allée des)

Pyroles (avenue des)

Q

Quatre saisons (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Le Touquet est la « station des quatre saisons ».

Quentovic (allée de, place)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Quentovic, quartier de la ville, était le nom du port gallo-romain situé entre Montreuil et Étaples. La Place Quentovic a été tracée en 1927.

Quételart (avenue Louis)

  • Origine du nom de la voie : Cette avenue s'appelait avenue circulaire jusqu'en 1961. Louis Quételart fut l’architecte de nombreuses villas du Touquet. Il fut conseiller municipal du Touquet jusqu'à sa mort.

R

Ravel (allée)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : il s'agit du célèbre compositeur Maurice Ravel qui fit plusieurs séjours au Touquet.

Recoussine (avenue Fernand)

  • Origine du nom de la voie : Cette avenue s'appelait anciennement avenue du Casino. Fernand Recoussine fut le premier maire du Touquet, élu le 19 mai 1912, après avoir été maire de Cucq depuis 1908. Né à Paris le 30 octobre 1875, mort le 22 mai 1953, il était chevalier de la Légion d'honneur. Il était propriétaire de l'hôtel Hermitage qu'il dirigeait en même temps que l'hôtel Atlantic situé en bordure de mer[e 8].
  • Villas remarquables
    • Villa La Chaterie, construite en 1920 pour abriter les bureaux de la Société générale immobilière, sur les plans de l’architecte Arsène Bical. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[53].
    • Villa Les Sapinettes, construite vers 1925, sur les plans des architectes J. Pers et J.-L. Ferlié. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[54].
  • Autres villas
    • Villa La Floride. Cette villa a appartenu à M. Jacques Meyer. Il y reçut plusieurs fois (en 1933, en 1936) son ami, le célèbre compositeur Maurice Ravel[b 15].
    • Villa La Passerelle. Cette villa était le domicile du docteur Jules Pouget, maire du Touquet. Originaire du sud , il s'installa au Touquet en 1911[b 16].

Reine May (avenue de la)

  • Origine du nom de la voie : La reine May était la femme du roi de Grande-Bretagne et d'Irlande George V.
  • Villa remarquable
    • Villa Le petit Château construite en 1910 sur les plans de l'architecte Albert Pouthier pour le docteur Willerval (d'Arras)[b 17],[55].

Ribot (rue)

  • Origine du nom de la voie : Alexandre Ribot, né à Saint-Omer, homme politique, fut plusieurs fois ministre et président du Conseil.

Rivet (square Paul)

  • Origine du nom de la voie : Ce square a été inauguré en mars 2005, en mémoire de Paul François Rivet, marin, sauveteur et premier gardien du phare du Touquet de 1845 à 1901[56].

Roses (allée des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : les roses sont des fleurs très fréquentes au Touquet.

Rossignols (allée des)

  • Villa remarquable
    • Villa Dolce Vita construite en 1926 sur les plans de l'architecte Clément Cocquenpot[57].

Royal Air Force (allée de la)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : La municipalité a désiré rendre hommage à l'aviation britannique, la Royal Air Force, qui perdit presque tous les avions qui étaient basés sur l'aéroport du Touquet lors des bombardements du 10 mai 1940.

Ruet (avenue Jean)

  • Origine du nom de la station : Jean Ruet fut conseiller municipal jusqu'à sa mort en 1966. Il a beaucoup œuvré pour le Touquet, notamment pour le développement du Club nautique.

S

Sabine(boulevard Thierry)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Thierry Sabine fut le créateur de l’Enduro du Touquet. Ce boulevard s'appelait précédemment « digue Ridoux », digue construite au début du XXe siècle pour protéger la ville de la mer.

Sables (avenue des)

Saint Georges (rue)

Saint Louis (avenue, rue)

  • Villa remarquable
    • Les cinq villas sises aux no 70-72-74-76-78, ont été construites à la fin du XIXe sur les plans de l'architecte Anatole Bienaimé[58].

Saint-Omer (rue de)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la commune de Saint-Omer dans le Pas-de-Calais.

Saint Pol (rue de)

Saint-Amand (rue)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : du prénom de l'employé de Jean-Baptiste Daloz, Armand Tétu, dit Berlin, contremaître des travaux de lotissement en 1881-1882, resté jusqu'à sa mort au service du château Daloz[d 5].
  • Villa remarquable
    • La villa Le quart d’heure sise au no 3, construite en 1925 sur les plans de l'architecte Horace Pouillet pour lui-même. Cette villa (façades, toitures, hall d'entrée et escalier) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 29 octobre 1997[59].

Saint-André (rue)

La rue Saint-Jean vers la mer

Saint-Jean (avenue, rue)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : de Jean-Baptiste, l'un des prénoms de Jean-Baptiste Daloz[d 6]. L'avenue Saint-Jean a été tracée en 1905[c 18]. Le premier « sens unique » y a été mis en place en 1925[c 19].
  • Bâtiments remarquables
    • Le cinéma « Le Normandy », construit en 1927 sur les plans de l'architecte Louis Quételart, il remplaça le précédent bâtiment qui avait brûlé (Auguste Bluysen, architecte). Ce cinéma est recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[60].
    • Le Village suisse, construit par Monsieur Perret-Maisonneuve[a 8] en 1905 sur les plans de l'architecte Bertrand, il est situé avenue Saint-Jean et représente un ensemble très original de villas surplombant l'avenue[c 20] et[d 7]. Les commerces qui se trouvent maintenant au niveau de la chaussée occupent les anciennes écuries. Ces bâtiments sont recensés à l'inventaire général du patrimoine culturel[61].
  • Villas remarquables
    • La villa Bien faire et laisser dire construite en 1905 sur les plans de l'architecte Bertrand. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[62].
    • La villa d’Airain pour résister sise au village suisse, construite en 1905 sur les plans de l'architecte Bertrand. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[63].

Saint-Louis (rue)

  • Bâtiments remarquables
    • ensemble de cinq villas sises aux no 70 à 78, construites par l'architecte Anatole Bienaimé à la fin du XIXe siècle. Cet ensemble est recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[58].

Sakharov (rue Andreï)

  • origine du nom de la voie : Ancienne partie de la rue de Moscou, cette rue a été inaugurée en 1984 par François Léotard, en l'honneur d'Andreï Sakharov (1921-1989), prix Nobel de la paix en 1975.

Samer (rue de)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit de la commune de Samer dans le Pas-de-Calais.

Sanguet (avenue Joseph-Louis)

  • Origine du nom de la voie : Joseph-Louis Sanguet fut le géomètre de John Whitley, en particulier du « Touquet Syndicate Ltd » de 1903 à 1911[d 8] et[a 9]. Il fut par ailleurs le fondateur et premier président de la Société des ingénieurs topographes français.

Saules (avenue des)

Schubert (allée)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit du célèbre compositeur Franz Schubert.

Sémaphore (rue du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : cette rue conduisait au sémaphore, construit en 1893 et démoli à la fin des années 1970. Ce sémaphore était l'exacte réplique de l'ancien sémaphore qui, construit en 1839[a 10], s'était retrouvé en raison du recul du rivage à 500 mètres[d 9] à l'intérieur du pays et dont on ne percevait plus ses signaux depuis la haute mer[f 7].

Soucaret (avenue Léon)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Léon Soucaret fut maire du Touquet. Élu le 17 mai 1925, il le resta jusqu'à sa mort le 22 décembre 1933. Né à Pointe-à-Pitre le 10 octobre 1867, il était chevalier de la Légion d'honneur[e 9]. Il créa la société générale immobilière. Les cahiers des charges de ses lotissements sont des modèles d'urbanisme.

Stoneham (avenue Allen)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Allen Stoneham, anglais, fut très actif à la création de la station (voir ci-dessus : historique 1902). C'est lui qui a offert le terrain du stade municipal, avenue Godin, a la ville. En remerciements, à sa mort, la municipalité a décidé de donner son nom « à ce stade seulement et à aucune rues du Touquet »[f 8].
  • Villa remarquable
    • La villa Low Wood puis Low Wood Manor, construite vers 1930 sur les plans de l'architecte Pierre Drobecq, pour le riche auteur anglais P. G. Wodehouse qui y vécut jusqu’à son arrestation par les Allemands en 1940[b 8]. Cette villa de style anglo-normand avec ses deux bow-windows et son vaste toit de tuiles plates, non loin du golf (plus précisément près du trou no 18 du parcours de la Forêt). Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[64].

Suffren (avenue)

T

Thérèse (avenue du Paradis)

  • Origine du nom de la voie : Cette avenue correspond au lotissement d'un terrain dont la fille du propriétaire se prénommait Thérèse.
  • Villa remarquable
    • La villa Scarabée puis Pretty Cottage construite en 1927 sur les plans de l'architecte Louis Quételart. Cette villa doit son nom à la forme des tuiles vernissées vertes qui la couvraient et qui avaient la forme de scarabées. Cette villa fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 1er décembre 1997.
    • La villa L’heure espagnole construite en 1928 pour Maurice Colrat, chroniqueur au Figaro, puis garde des sceaux, sur les plans de l'architecte Louis Quételart[b 18]. Cette villa fut restaurée en 1945 et fut provisoirement rebaptisée Résurrection. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[65].

Thorne (avenue)

Tilleuls (avenue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces tilleuls sont des arbres habitués du Touquet.

Tourterelles (avenue des)

Trépied (avenue de)

  • Originie touquettoise du nom de la voie : il s'agit de la commune voisine de Trépied.

Troènes (avenue des)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : ces troènes sont des arbustes très utilisés en centre-ville pour faire de petites haies coupées grâce à un art topiaire séculaire.

Trois Martyrs (avenue des, allée des)

Le Touquet - Plaque avenue des trois martyrs.jpg
Le Touquet - Plaque allée des trois martyrs.jpg
  • Origine du nom de la voie : Cette voie s'appelait anciennement avenue d'Étaples. Trois Touquettois, martyrs durant la Seconde Guerre mondiale : André Baleuw, Gaston Brogniart et Roger Snoeck. Ils ont été fusillés le 20 juillet 1943 au fort de Bondues (Nord), après avoir été condamnés à mort pour avoir caché un aviateur canadien.

Tulipes (avenue des)

U

V

Varsovie (rue de)

  • Origine du nom de la voie : Il s'agit de la ville de Varsovie, capitale de la Pologne.

Verdun (avenue de)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : La municipalité a voulu rendre hommage aux militaires français, héros des deux dernières guerres. Ici, en souvenir de la Bataille de Verdun en 1916.

Verger (avenue du)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Cette avenue a été tracée en 1903 sur l'emplacement d'un verger. À la belle époque, elle reliait les hôtels les plus luxueux du Touquet (le Westminster, l’Hermitage et le Royal Picardy) au Casino.
  • Bâtiments remarquables
    • Ensemble de magasins, construits en 1927 sur les plans de l'architecte Léon Hoyez et ouverts en août 1927[c 12]. Ces magasins sont recensés à l'inventaire général du patrimoine culturel[66].
    • Ces deux ensembles de magasins surmontés de logements, entourent un bassin flanqué d'une statue de femme due au sculpteur Lucien Gibert en 1955. Cette statue est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[67].
    • L'hôtel Westminster, construit en 1924 sur les plans de l'architecte Auguste Bluysen, il fut l'un des plus grands hôtels du Touquet. Cet hôtel est recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[68].
    • Le magasin (bureau de tabac et librairie), construit en 1927 par l’entrepreneur Delcourt Frères sur les plans de l'architecte Louis Quételart. Ce magasin est recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[69].
  • Autres bâtiments
    • L’hôtel Hermitage, construit en 1904, est aujourd’hui aménagé en appartements.
  • Villa remarquable
    • La villa construite au début du XXe siècle par l'entrepreneur Julien Goffaux sur les plans de l'architecte Anatole Bienaimé[70].

Victoria (avenue de la Reine)

  • Origine du nom de la voie : il s'agit bien sûr de la Reine Victoria du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande.
  • Villas remarquables

Villemessant (avenue de)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : Henri de Villemessant, fondateur du Figaro, donna à son ami Jean-Baptiste Daloz, l’idée de créer la station. Il lui donna en particulier, le nom de « Paris-Plage ».

Vincent (allée, avenue)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : L'avenue Vincent conduisait au polo construit en 1903, sur l'emplacement d'un terrain qui appartenait depuis 1697 à la famille Vincent de Cucq.

Violettes (allée des)

W

Whitley (avenue John)

  • Origine touquettoise du nom de la voie : John Whitley, anglais, fut très actif à la création de la station.
  • Villa remarquable
    • Villa La Marotte puis Le Manoir des Pins, construite au début du XXe siècle sur les plans de l'architecte Jean Boissel[72].

X

Y

Ypres (jardin d')

  • Origine touquettoise du nom de la voie : durant la Première Guerre mondiale, la municipalité d'Ypres en Belgique avait installé ses services municipaux au Touquet. Ce jardin est le seul élément mis en œuvre du plan de Mayville proposé par Charles Garnier en 1897 (voir chapitre « Histoire » de l'article sur Le Touquet). Ce square a été inauguré en 1935.
Entrée du jardin d'Ypres

Z

Liste des rues classées par thème

  • Les communes de la région Nord-Pas-de-Calais : Amiens (rue d’), Arras (place d’, rue d’), Artois (boulevard d’), Atlantique (avenue de l’), Boulogne (rue de), Calais (rue de), Canche (boulevard de la, rue de l), Desvres (rue de), Dunkerque (avenue de), Étaples (rue d’), Montreuil (avenue, rue), Nord (avenue du), Picardie (allée de, avenue de), Quentovic (allée de), Saint-Omer (rue de), Saint Pol (rue de), Samer (rue de), Trépied (avenue de)
  • Quelques grandes villes : Londres (rue de), Metz (rue de), Moscou (rue), Bruxelles (avenue de, rue de), Paris (rue de), Varsovie (rue de)
  • Souvenirs de Paris : Auteuil (avenue d’), Champs-Élysées (avenue des), Longchamp (avenue de)
  • Les personnages illustres (marins, explorateurs, ...) : Amiral Courbet (avenue), Amiral de Tourville (avenue), Jean Bart (avenue), Blériot (avenue), Hélène Boucher (allée), Bourdonnais (avenue de La), Jules César (avenue), Condamine (avenue de la), Duguay-Trouin (avenue), Dupleix (avenue), Duquesne (avenue), Forbin (avenue), Jeanne d’Arc (avenue), Mermoz (avenue), Jean Monnet (rue), Suffren (avenue), La Pérouse (avenue de), Andreï Sakharov (rue)
  • La famille royale britannique : Édouard VII (avenue), Margaret (allée), Prince de Galles (avenue du), Reine Victoria (avenue de la), Reine May (avenue de la)
  • Souvenirs des deux guerres : Anglais (avenue des), Canadiens (avenue des), Dix-huit juin (avenue du), Garigliano (avenue du), Général de Gaulle (avenue du), Maréchal Leclerc (avenue du), Maréchal Foch (avenue du), Maréchal Joffre (avenue du), Royal Air Force (allée de la), Verdun (avenue de)
  • Personnalités et lieux du Touquet : Louis Aboudaram (avenue), Amazones (avenue des), Edmond Bardol (rue), René Béchu (rue), Belle Dune (avenue), Belvédère (avenue du), Arsène Bical (avenue), Louison Bobet (avenue), Caix Taurines (avenue de), Édouard Champion (avenue), Château (avenue du), Daloz (boulevard), Dorothée (avenue), Duboc (avenue), Dune aux loups (avenue de la), Dunes (rue des), Armand Durand (allée), Christian Ferras (square), Léon Garet (avenue, rue), François Godin (avenue), Charles Guyot (avenue), Fernand Holuigue (parc), Louis Hubert (avenue), Golf (avenue du), Hermitage (place de l’), Hippodrome (avenue de l’), Raymond Lens (avenue, rue), Maxence Van der Meersch (avenue), Mille agréments (avenue des), Monthor (allée, avenue), Phares (avenue des), Polo (allée du), Jules Pouget (boulevard du docteur), Quatre saisons (allée des), Louis Quételart (avenue), Fernand Recoussine (avenue), Jean Ruet (avenue), Thierry Sabine (boulevard), Sables (avenue des), Jean Laure Sanguet (avenue), Sémaphore (rue du), Léon Soucaret (avenue), Allen Stoneham (avenue), Paradis Thérèse (avenue du), Trois Martyrs (avenue des), Verger (avenue du), Vincent (allée, avenue), Villemessant (avenue de), John Whitley (avenue)
  • Les musiciens : Beethoven (allée), Georges Brassens (allée), Jacques Brel (square), Chopin (avenue), Debussy (avenue), Mozart (avenue), Ravel (allée), Schubert (allée)
  • Les fleurs et les arbres : Anémones (Allée des), Argousiers (allée des), Aubépines (allée des), Bleuets (allée des), Bouleaux (allée des), Boutons d’Or (allée des), Cèdres bleus (avenue des), Chèvrefeuilles (avenue des), Coquelicots (allée des), Églantines (allée des), Eléagnus, Forsythias (avenue des), Frênes (avenue des), Genêts (avenue des), Hêtres (avenue des), Jonquilles (allée des), Lauriers blancs (allée des), Marguerites (allée des), Marronniers (allée des), Ombrages (avenue des), Oyats (avenue des, rue des), Pâquerettes (allée des), Pins (avenue des), Primevères (allée des), Pyroles (avenue des), Roses (allée des), Saules (avenue des), Tilleuls (avenue des), Troènes (avenue des), Tulipes (avenue des), Violettes (allée des)
  • Les animaux : Biches (allée des), Cerfs (allée des), Chevreuils (allée des), Ecureuils (allée des), Fauvettes (allée des), Mésanges (allée des), Mouettes (allée des), Rossignols (allée des), Tourterelles (avenue des)
  • Autres : Georges Besse (avenue), Étienne Carnier (chemin), Courbet (avenue), Deauville (avenue de), Europe (avenue de l’), Marie-Antoinette (allée), Marie-Louise (allée), Pierre North (rue), Paix (avenue de la, rue de la), Jacques Prévert (avenue), Ribot (rue), Saint Georges (rue), Saint Louis (avenue), Saint-Amand (rue), Saint-André (rue), Saint-Jean (avenue, rue), Saint-Louis (rue), Thorne (avenue)

Notes et références

  1. p. 88
  2. p. 48
  3. p. 110
  4. p. 73
  5. p. 102
  6. p. 40
  7. p. 103
  8. p. 65
  9. p. 69
  10. p. 33
  • Patricia Crespo, Le Touquet, les noms de nos villas racontent..., avril 1993 (ISBN 2-9507571) 
  1. p. 44
  2. p. 11
  3. a et b p. 19
  4. p. 7
  5. p. 34
  6. p. 48
  7. p. 37
  8. a et b p. 36
  9. p. 24
  10. p. 43
  11. p. 8
  12. p. 38
  13. p. 32
  14. p. 28
  15. p. 23
  16. p. 35
  17. p. 26
  18. p. 10
  • Le Touquet-Paris-Plage à l’aube de son nouveau siècle, Flandres-Artois-Côte d’Opale, août 1982 
  1. p. 53
  2. p. 99
  3. p.102
  4. p. 32
  5. p. 26
  6. p. 51
  7. p. 52
  8. p. 48
  9. p. 49
  • Édith et Yves De Gueeter, Paris-Plage en cartes postales anciennes de Martine et Daniel Boivin, avril 1987 
  1. p. 48
  2. a et b p. 44
  3. p. 35
  4. p. 15
  5. p. 41
  6. p. 40
  7. pp. 106-107
  8. p. 120
  9. p. 12
  • Édith et Yves De Gueeter, Images du Touquet-Paris-Plage, juin 1987 
  1. p. 72
  2. p. 32
  3. p. 89
  4. p. 31
  5. p. 56
  6. p. 59
  7. p. 16
  8. p. 96
  • Journal municipal Le Touquet Magazine
  1. déc. 1995, p. 11
  2. déc. 1999 p. 6
  3. jan. 1997, p.15
  4. mai 1996, p. 5
  5. juil. 2000, pp. 8-9
  6. fév. 1996 p. 10
  7. avr. 1997, p. 6
  8. déc. 1999, p. 10
  9. nov. 2000, p. 4
  10. déc. 1999, p. 9
  11. déc. 1999, p.6
  12. a et b juil. 2000, p. 11
  13. juil. 1996, p.8
  14. déc. 1998, p. 18
  15. juil. 1996 p. 9
  16. fév. 1997, p. 13
  17. juil. 1998, p. 13
  18. déc. 1999, p. 6
  19. juil. 1996, p. 9
  20. mars 1997, p. 15

Autres références

  1. Notice no IA62000168, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  2. Notice no IA62000191, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  3. Notice no IA62000189, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  4. Notice no IA62000198, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  5. Notice no IA62000133, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  6. Notice no EA62141204, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  7. Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA62000016 » sur www.culture.gouv.fr.
  8. Notice no IA62000176, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  9. Notice no IM62001678, sur la base Palissy, ministère de la Culture
  10. page 18 du document municipal Réunion d'information 2006 des propriétaires Touquettois
  11. page 4 de la plaquette émise en juillet 2010 pour les concerts organisés en l'église Sainte Jeanne d'Arc
  12. Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA62000011 » sur www.culture.gouv.fr.
  13. Notice no IA62000144, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  14. Notice no IA62000179, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  15. Notice no IA62000177, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  16. Notice no IA62000185, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  17. Notice no IA62000134, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  18. Notice no IA62000197, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  19. Notice no IA62000138, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  20. Notice no IA62000193, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  21. Notice no IA62000205, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  22. Notice no IA62000174, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  23. Notice no IA62000175, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  24. Notice no IA62000141, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  25. Philippe Lyardet, Léon Garet in Le Touquet-Paris-plage Infos, juillet-août 2011, p. 17
  26. Notice no IA62000142, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  27. Notice no IA62000146, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  28. Notice no IA62000200, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  29. Notice no IA62000201, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  30. Notice no IA62000188, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  31. Notice no IA62000204, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  32. Notice no IA62000143, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  33. Notice no IA62000136, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  34. Notice no IA62000137, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  35. Notice no IA62000158, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  36. Notice no IA62000187, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  37. Notice no IA62001158, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  38. Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA62000012 » sur www.culture.gouv.fr.
  39. Notice no IA62000159, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  40. Notice no IA62000156, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  41. Notice no IA62000196, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  42. Notice no IA62000145, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  43. Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA62000022 » sur www.culture.gouv.fr.
  44. Notice no IA62000194, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  45. Notice no IA62000183, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  46. Notice no IA62000139, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  47. Notice no IA62000152, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  48. Notice no IA62000132, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  49. Notice no IA62000202, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  50. Notice no IA62000167, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  51. Notice no IA62000151, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  52. Notice no IA62000140, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  53. Notice no IA62000170, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  54. Notice no IA62000169, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  55. Notice no IA62000171, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  56. journal municipal Vivre au Touquet 4 saisons de mars 2005
  57. Notice no IA62000162, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  58. a et b Notice no IA62000195, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  59. Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA62000021 » sur www.culture.gouv.fr.
  60. Notice no IA62000148, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  61. Notice no IA62000180, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  62. Notice no IA62000181, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  63. Notice no IA62000182, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  64. Notice no IA62000190, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  65. Notice no IA62000184, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  66. Notice no IA62000154, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  67. Notice no IM62001528, sur la base Palissy, ministère de la Culture
  68. Notice no IA62000165, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  69. Notice no IA62000199, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  70. Notice no IA62000203, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  71. Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA62000020 » sur www.culture.gouv.fr.
  72. Notice no IA62000163, sur la base Mérimée, ministère de la Culture

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