Interpretation des reves

Interpretation des reves

Interprétation des rêves

Le rêve est un processus psychique qui fut étudié par les moyens les plus divers. La psychanalyse en a fait un de ses thèmes fondamentaux car, pour Sigmund Freud, « L'interprétation des rêves est la voie royale qui mène à la connaissance de l'inconscient dans la vie psychique »[1]. Par la suite d'autres méthodes d'interprétation ont vu le jour, et, plus récemment, grâce aux neurosciences et à la neuropsychologie, une véritable approche scientifique du rêve a été lancée.

Sommaire

L'interprétation des rêves selon Freud

Selon le principe du déterminisme psychique, le rêve, loin d'être un phénomène absurde ou magique, recèle un sens : il est l'accomplissement hallucinatoire d'un désir inconscient. Il a pour double fonction:

  • permettre au rêveur de dormir
  • accomplir un désir refoulé.

Cette fonction du rêve en fait une mine de renseignements quant aux désirs du rêveur. Son sens doit être interprété, car les désirs ne sont pas représentés tels quels. Il faut dégager le contenu latent du contenu manifeste qui a été déformé par le travail du rêve. Le rêve se présente alors comme un précieux moyen de connaître les contenus inconscients du rêveur, entre autres névrosé. Freud écrira cependant, en 1911, dans la préface à la troisième édition de Die Traumdeutung, que la connaissance de la névrose est également un moyen d'en savoir plus à propos des rêves.

Le rêve ne révèle pas l'avenir : il ne s'agit pas d'un présage sur lequel le rêveur pourrait s'appuyer. Le désir inconscient correspond à la sexualité infantile, énigme dont le névrosé ne comprend plus les éléments, qu'il refuse de concevoir, ces représentations inconscientes étant inconciliables avec les exigences de la conscience (censure).

L'interprétation des rêves selon Carl Gustav Jung

Article détaillé : Rêve (psychologie analytique).

L'approche que Jung fait du rêve est sensiblement différente de celle de Freud. Pour lui, en effet, le rêve n'est pas d'abord la réalisation d'un désir inconscient mais l'expression la meilleure possible de l'état psychique inconscient du moment. Jung ne contredit pas la pertinence de l'approche de Freud, mais il la passe au second plan dans son approche théorique. Quant à la clinique il insiste sur la nécessité d'y intégrer toute la psychanalyse freudienne, ce qui implique, pour le clinicien, de faire un choix d'interprétation freudienne, ou d'approcher le rêve comme Jung nous l'a proposé.

Partir de l'hypothèse que le rêve est la meilleure expression possible de l'état actuel du psychisme inconscient implique une toute autre approche clinique. Le rêve est alors considéré dans son contenu manifeste comme lien symbolique entre le moi et l'inconscient, donc comme potentialité d'unification de la psyché, c'est-à-dire d'accès au soi considéré comme totalité psychique. Mais parler de lien symbolique implique de se référer à la conception jungienne du symbole : celui-ci est considéré par Jung comme un lien vivant entre le conscient et l'inconscient, lien vivant qui implique qu'il soit abordé dans toutes ses composantes, c'est-à-dire dans tous les éprouvés, affectifs et sensoriels, qui le constituent, et non uniquement dans son aspect d'image qui, sinon, pourrait trop facilement aliéner le moi dans un miroir narcissique mortifère. D'une certaine façon on peut dire que, pour Jung, le symbole s'enracine dans le corps.

De cette conception il s'en suit que le rêve est plus considéré, éprouvé, revécu par le sujet avec sa conscience éveillée, bien plus qu'il n'est interprété en vue d'une compréhension. Bien au contraire Jung considère que le rêve, comme tout symbole, s'épuise au fur et à mesure qu'il est compris et intégré. Il cesse alors d'être vivant, symbolique.

  • Le rêve et la psychologie archétypale

Selon James Hillman, un analyste jungien, le moi qui rêve n'est pas le même que le moi éveillé. Il existe entre les deux une relation de gémellité : ils sont les ombres l'un de l'autre[2]. Le moi qui rêve, c’est-à-dire le moi imaginal, se mêle aux images du rêve et sait qu'elles ne lui appartiennent pas. Le moi est lui aussi une image, une figure complètement subjective, un fantôme, une ombre vidée du "Je" qui s'abandonne au sommeil[3].
Le rêve n'appartient pas au rêveur, celui-ci n'a qu'un rôle dans celui-là. Le moi, le "Je", doit réapprendre à se familiariser avec le rêve, à créer une intimité avec lui, parler son langage, l'apprivoiser, sans chercher à le "violer" par des interprétations abusives.

Le moi de veille est naturellement résistant à sa dissolution dans les images du rêves. James Hillman emploie souvent le terme underworld pour désigner le royaume souterrain, celui où notre âme survit, mais pas notre corps. L' underworld c'est le royaume de la mort du moi, comparable au royaume d'Hadès. La terminologie d'Hillman est toute emprunte de la mythologie grecque, mieux à même de décrire les archétypes qui structurent le psychisme humain. Les animaux vus en rêve sont pour lui des porteurs d'âmes, c’est-à-dire qu'ils permettent une entrée dans l'underworld. . Pour savoir ce qu'ils sont, il faut revenir à l'image plutôt qu'à nos réactions vis à vis d'elles. Pour Hillman, mieux vaut aller au zoo pour découvrir ce qu'est un ours polaire vu en rêve, plutôt que d'ouvrir un dictionnaire des symboles.

  • Réflexions sur le rêve à partir de la psychologie analytique de Jung :

Ce qui suit est issue de "Le rêve dans la psychologie analytique de Jung", Pinterovic' A., Tournai/Bruxelles, 1982, éd. la corne d'abondance (prochainement publié sur lulu.com uniquement)

- Critique de l'approche freudienne du rêve :

Rappelons simplement que pour Freud, le rêve se définit essentiellement comme une "réalisation du désir"; que le désir se définit à son tour essentiellement comme un désir de nature sexuelle (qu'il ne s'agit pas de confondre avec la génitalité!); que c'est cette nature sexuelle même qui contraint en quelque sorte l'instance productrice de rêves à un "travail" (Traumarbeit) dont le but est de rendre le message onirique plus acceptable pour la conscience du moi; que ce "travail" consiste, sous l'égide de la "censure" émanant du "surmoi", à déformer le désir, principalement au moyen de deux procédés, la condensation et le déplacement, dans lesquels Lacan a cru bon de retrouver les deux vieilles figures de rhétorique, la métaphore et la métonymie. Le rêve se présente donc, pour Freud, essentiellement comme un retour de refoulé, camouflé sous un langage symbolique.

La première notion que Jung a critiqué est celle de la censure. Jung refuse de parler de "façade" du rêve, de même qu'il rejette la distinction freudienne classique entre "contenu latent" et "contenu manifeste", parce qu'il considère que les rêves "n'illusionnent pas, ne mentent pas, ne déforment pas ni ne maquillent; au contraire, ils annoncent naïvement ce qu'ils sont et ce qu'ils pensent. (...) Leur incapacité à être encore plus clairs correspond à l'incapacité de la conscience à comprendre ou à vouloir comprendre le point en question" (C.G. Jung : Psychologie et éducation, Buchet/Chastel-Corrêa. Paris. 1963. p. 71-72. GW : XVII, paragraphe 189). L'incompréhension n'est donc pas due à une quelconque "intention inconsciente de la dissimulation", mais à la nature même du langage onirique, qui est fondamentalement imaginal, cette "deuxième forme de pensée", pensée "pré-logique de Levy-Bruhl, à laquelle Jung avait consacré le capital chapitre d'introduction de l'ouvrage par lequel il s'était démarqué en 1912 de la conception freudienne de l'âme (C.G, Métamorphoses de l'âme et de ses symboles. Librairie de l'Université. Georg. Genève. 1953. GW : V). Nous ne pouvons non plus, dans le cadre de ce bref exposé de manière plus approfondie de l'image, le matériau de base du rêve (J. Hillman : An inquiry into Image. Spring 1977. Spring publications. Zurich-Dallas. 1977. p. 62-88. J Hillman : Further Notes on Images. Spring 1978. Id. p. 153-182). Disons simplement que pour nous, l'image se définit comme une représentation chargée d'énergie émotive et qui fut à l'origine (de l'humanité de l'individu), une sensation chargée d'énergie d'abord.

- Les problèmes d'interprétation :

Pour Jung, il n'est pas question de situer le véritable sens du rêve dans le contenu "latent" (caché) derrière un contenu dit "manifeste (ensemble des images comme produit du travail du rêve). La question reste posée cependant : d'où vient l'obscurité du rêve ? Suivant Jung, elle n'est pas due à une intention dissimulatrice qui proviendrait d'une censure qu'exercerait le "surmoi", mais qu'elle est simplement l'incapacité de la conscience rationnelle à saisir le sens des images (Psychologie et éducation p. 72).

- Vouloir que comprendre l'inconscient par les symboles (pire par les mots)ne permet pas d'appréhender l'image et de la comprendre :

Quoi qu'il en soit, les images des rêves, ces "créatures de la nuit", apparaissent tantôt comme favorables, tantôt comme défavorables; tantôt comme véridiques, tantôt comme trompeuses. Il faut parfois aussi pouvoir se défendre contre elles. L'interprétation, la lecture des rêves, n'est qu'un moyen parmi d'autres pour leur rendre justice. On peut se demander si nous, interprètes modernes des rêves, tenons suffisamment compte de ce fait. Devant le rêve, nous pouvons avoir 2 attitudes différentes : comprendre ou agir, c'est-à-dire interpréter ou "expier". Et chaque fois que nous considérons les rêves uniquement comme des images ou des symboles - ou pis encore, comme des mots, - nous oublions l'aspect "expiation" et courons le danger d'offenser les dieux (archétypes). Et la sanction est presque toujours une mauvaise compréhension ou plus simplement l'incompréhension du message divin.

Source : op cit, p. 30

- Concernant les associations libres du moi sur le rêve :

Pour Jung, en effet, le rêve est un phénomène psychique sui generis qui doit être examiné et étudié en tant que tel et non simplement comme un outil pour dévoiler les complexes sous-jacents dont il ne serait que l'expression. Ceci ne veut pas dire que dire que le rêve, pour Jung, n'ait aucun rapport avec les complexes. Bien au contraire. C'est précisément Jung qui a défini le rêve comme une personnification dramatique des complexes (in l'Homme à la découverte de son âme, p. 189) Mais on pourrait se demander dès lors ce qui différencie exactement sa conception du rêve de celle de Freud, s'il n'avait pas pris la précaution de nuancer son point de vue. Ce qu'il reproche à la méthode des associations libres, c'est qu'elles "peuvent laisser le contenu du rêve parfaitement de côté et s'enliser dans des complexes qui ne sont pas nécessairement essentiels (...). Les rêves, eux, traitent des faits essentiels, spécifiques, efficaces, par-delà ce que la nature de chacun peut avoir de généralement veule et de coupable. (...) les associations doivent être canalisées, limitée à la périphérie de ne retenir que le matériel qui se groupe autour de la représentation onirique à élucider et qui en forment le contexte, et non pas ceux qui, de prend en proche peuvent s'étendre à l'infini" (CG Jung in L'homme à la découverte de son âme, p. 277-278).

Source : op cit, p. 32

- Sur les qualités pour interpréter un rêve :

Tout comme le vieux Artemidore, Jung a voulu préciser les conditions d'un "bon" exégète des rêves devrait réunir. En premier lieu, une compréhension psychologique, une faculté de pénétration intuitive et de combinaison, basée sur la connaissance du monde et des hommes, que Jung avait eu soin de décrire, dès 1912 dans son style inimitable (in L'âme et la vie p. 111) ;

"Celui qui veut connaître l'âme humaine, n'apprendra à peu près rien de la psychologie expérimentale. Il faut lui conseiller d'accrocher au clou la science exacte, de se dépouiller de son habit de savant, de dire adieu à son bureau d'étude et de marcher à travers le monde avec un cœur humain, dans la terreur des prisons, des asiles d'aliénés, des hôpitaux, de voir les bouges des faubourgs, les bordels, les tripots, les salons de la société élégante, la bourse, les meetings socialistes, les églises, le revival et les extases des sectes, d'éprouver sur son propre corps amour et haine, les passions sous toutes ses formes; alors, il reviendra chargé d'un savoir plus riche que celui que lui auraient donné des manuels épais d'un pied et il pourra être, pour ses malades, un médecin, un véritable connaisseur de l'âme humaine."

En second lieu, il doit disposer d'un savoir spécifique, reposant autant sur des connaissances étendues et approfondies que sur une certaine "intelligence du cœur" (in l'essence des rêves p. 67). Il n'en reste pas moins vrai que seules les interprétations spécifiques obtenues par un examen soigneux du contexte puissent prétendre à quelque efficacité thérapeutique.

Source : op cit, p. 36

- Critique de James Hillman sur l'herméneutique centrée sur le symbole :

Deux analystes de ce qu'on pourrait appeler la "tendance archétypologique", Berry et Hillman ont critiqué assez sévèrement l'approche jungienne "symbolique" de l'imagerie onirique, tout en proposant une nouvelle approche possible, plus imaginal, archétypique. Berry reproche à la méthode amplificatoire de déplacer l'image de l'espace personnel du rêveur vers un espace collectif et culturel et de perdre ainsi en précision en s'éloignant, à cause des analogies hasardeuses, de quelque chose d'absolument bien connu (dans le sens de "à portée de main") vers quelque chose de plus inconnu (de grande portée); elle n'accepte l'amplification que si elle est basée sur une analogie essentielle, parce qu'une telle analogie reste liée à l'image onirique, parce qu'elle lui fait écho au lieu de la remplacer (64).

Hillman, lui, va encore plus loin dans sa critique. Il reproche à la conception symboliste des rêves principalement d'abstraire des images de leur contexte et de les transformer en hypostases figées qui ne livre plus dès lors que des sens littéraux (65). Car, dit-il avec raison, "l'image n'est pas l'image d'un objet. Elle se met elle-même en image (it imagines itself). Elle imagine". Aussi, distingue-t-il deux approches possibles de l'image onirique : la scientifique qui considère les mots-véhicules du texte onirique comme des concepts et la poétique qui les perçoit uniquement comme images. Dans l'approche scientifique, les mots acquièrent leur sens du référent - qui peut être un symbole!- dans la mesure où le symbole lui-même n'est pris qu'en tant qu'il se réfère, à autre chose, ) savoir un concept universel, abstrait, correspondant à un hypothétique "objet interne", construction toute théorique qui n'est qu'un effet de l'image, et qui détourne, dès lors, l'image de sa fonction; dans l'approche poétique, les "mots sont saisis exclusivement dans l'image, comme une image, inséparables de leur aspect d'image" (66).

En conclusion : "Parce que les paroles du rêve ne sont pas des concepts qui se réfèrent à, aucun rêve ne peut être ramené interprétativement à d'autres référents. "Un rêve ne peut qu'être réimaginé interprétativement, comme on le fait avec n'importe quel autre morceau de poésie (67)". Hillman considère donc que toute "symbolisation" est une sorte de "littéralisation", parce que conceptualisation, un concept appelant toujours un référent.

- Dangers de l'interprétation à outrance :

Le danger paranoïaque d'interpréter à outrance et à tout prix n'apparaît que si la quête de sens évacue complètement le mystère. Compensatoirement, tout devient alors inconsciemment mystère ou, mieux, tout devient suspect; le sens n'est évidemment possible que si le mystère est accepté; on ne peut comprendre que si l'on admet d'abord que l'incompréhensible et l'incompris existent réellement.

- Réconcilier les herméneutiques :

Une première phase de l'histoire de la conscience occidentale fut marquée par une herméneutique prométhéenne qui cherchait à découvrir le sens, comme un feu ardent qui illumine les profondeurs obscures de l'âme. Aujourd'hui, nous sommes peut-être davantage disposés à réagir contre herméneutique aveuglante et, avec un Hillman ou un Solié, à revenir aux demi-teintes hermétiques et imaginales du langage de l'âme. Le temps n'est sans doute pas encore venu à une autre herméneutique, une herméneutique nouvelle qui réunirait Prométhée et Hermès, le désir ardent de comprendre du premier et l'impénétrable et obscur mystère du second.

Op-cit, p. 50

Voir aussi

Références

  1. L'inteprétation des rêves, Psychologie du rêve
  2. James Hillman La beauté de Psyché, L'âme et ses symboles Le Jour, éditeur 1993 ISBN 2-8904-4489-9
  3. Le vieux moi héroïque se dégonfle et redevient une ombre à deux dimensions

Bibliographie

Liens externes

  • Karl Abraham, Une analyse de rêve par Ovide, Cahier pour la Psychanalyse (Zentralblatt für Psychoanalyse), no 3, décembre 1911.
  • Gheorghe Marinesco, Les rêves et leur symbolisme, «Introduction à la psychanalyse» (Exposé des théories de Freud - Section IV), Revue Générale des sciences pures et appliquées, Tome 34, Gaston Doin Éditeur, Paris, 1923.
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