Jean-Baptiste Troppmann

Jean-Baptiste Troppmann
Jean-Baptiste Troppmann

Jean-Baptiste Troppmann, né à Brunstatt (Haut-Rhin) le 5 octobre 1849 et guillotiné à Paris, le 19 janvier 1870, est un mécanicien, jugé coupable du meurtre des huit membres d’une même famille.

Plusieurs ouvrages ont, à quelques détails près, relaté plus ou moins précisément toute l’histoire[1], pleine de rebondissements et de suspense, qui reste l’une des affaires les plus sensationnelles du Second Empire dont les difficultés de fin de règne auront un temps été mises en retrait de l'actualité. Elle fit la fortune du Petit Journal qui, flairant le bon coup et tenant en haleine ses nombreux lecteurs, tripla régulièrement son tirage, ce qui développa la couverture presse des faits divers et des exécutions par les journaux populaires[2].

Sommaire

L’homme

Jean-Baptiste Troppmann avait onze ans quand ses parents partirent s’installer à Cernay, près de Thann dans le Haut-Rhin. Enfant de frêle stature mais d’une énergie peu commune, intelligent mais introverti, il travaille comme mécanicien dans l’atelier de fabrication de son père, Joseph, qui dirige la petite société Troppmann et Kambly. Ce père, inventeur ingénieux et fécond, détient plusieurs brevets qui touchent à l’amélioration de divers matériels de filature. L’avenir du garçon semble tout tracé.

Malheureusement, Joseph Troppmann, sous l’emprise permanente de l’alcool, dépense sans compter et compromet l’avenir de son entreprise. Sans doute cette situation a-t-elle pesé sur l’esprit de ce fils qui reste taciturne, peu sociable et perdu dans ses pensées : « Je ferai quelque chose qui étonnera l’univers ». Comme Jean-Baptiste avait déjà compris que les affaires paternelles ne seraient jamais à la hauteur de son ambition, lorsqu’il daigne parler, c’est de l’argent, des richesses dont il jouira un jour. Selon les témoignages recueillis, il se repaît déjà à cette époque de lectures à sensations et de faits morbides relatant des actes criminels. Dans le même temps, une passion le saisit pour la chimie et il installe un petit laboratoire qui occupe son temps plus que de raison.

Fin 1868, il part pour la capitale afin d’installer de nouvelles machines vendues par son père à un industriel parisien. Il trouve un logement à Pantin, aux Quatre-Chemins, et il y restera jusqu’en mai de l’année suivante. Peu de temps plus tard, il est à Roubaix pour une deuxième installation qui lui permet de faire connaissance de la famille Kinck. Si son épouse, Hortense, est une bourgeoise roubaisienne qui élève six enfants et est enceinte de six mois d’un septième, Jean Kinck se trouve être un compatriote originaire de Guebwiller[3]. Pour un jeune homme de 20 ans à peine, Kinck est un modèle dans le métier : à force de sérieux et d’habileté, il est passé d’ouvrier à chef d’atelier, puis patron d’un bel établissement qu’il fait aujourd’hui prospérer.

Pourtant, chacun d’eux est un insatisfait. Kinck rêve de compléter une belle fortune avant de se retirer dans son pays natal. Troppmann, de son côté, impatient de réussir et mesurant le parcours professionnel de son nouvel ami, ne le trouve certainement pas assez rapide. Le premier est attiré par l’argent – sa femme aussi – mais il a une vie rangée. L’autre est cupide et dénué de tout scrupule. La connivence entre un homme d’âge mûr rompu aux affaires et un jeune homme tout juste sorti de l’adolescence a longtemps étonné leur entourage[4]. Troppmann n’avait pas un visage spécialement sympathique[5] mais son attitude nonchalante, son fort accent alsacien presque caricatural, son impassibilité – en réalité, son absence d’émotions – lui donnent l'« air bonhomme » d’un garçon réfléchi et parviennent à inspirer confiance. Et surtout, Troppmann est un imaginatif qui va embarquer dans son délire une famille pourtant aisée, pragmatique et circonspecte.

Les faits

Quand le jeune Alsacien retourne au pays, on peut penser, d’après les dépositions, que les deux compères sont convenus de deux objectifs : le garçon cherchera une propriété alsacienne pour la retraite de Jean Kinck et devra s’entendre avec son père pour qu’il puisse exploiter ses brevets à l’étranger. Pour ce dernier point, il faut au départ une mise financière importante et Troppmann promet pour l’obtenir de trouver rapidement un moyen auquel, dès que possible, il ne manquera pas d’associer Kinck, qui ne se doutera jamais qu’il en serait le principal créancier.

Meurtre de Jean Kinck

Une semaine environ après le retour du jeune homme à Cernay, le père Kinck annonçe à sa famille, non sans quelque mystère, qu’il part pour affaires en Alsace, et qu'il en profitera pour rendre visite à sa sœur de Guebwiller, qu’il a prévenue par un courrier (courrier qui sera chronologiquement déterminant pour les enquêteurs).

Le 24 août 1869, Kinck arrive en gare de Bollwiller où Troppmann l’attend. Ils commencent alors un périple secret qui finira sur la montagne d’Uffholtz. On sut, sur des aveux tardifs de Troppmann, qu’il a fait croire à Kinck, pour l’appâter, à la visite d’une fabrique clandestine de fausse monnaie[6]. Au cours de cette randonnée, il a fait boire un breuvage mortel de sa composition, à base d'acide prussique, à son malheureux compagnon dont il enfouira sommairement le corps dans cet endroit désert. Le cadavre du père sera le dernier à être retrouvé. L’assassin avait pensé s’approprier les 5 500 francs que Kinck avait dit devoir emporter et que, par prudence, il n’avait pas pris sur lui en argent. Un premier contretemps, mais l’assassin possédait désormais les papiers d’identité de sa victime et deux chèques.

Meurtre de Gustave Kinck

Troppmann revoit donc son plan et écrit à l’épouse, « sous la dictée de Jean blessé à la main » pour qu’elle retire auprès de leur banque le montant des chèques et expédie l’argent à la poste de Guebwiller. Le mensonge est grossier mais pourtant l’épouse qui ne peut donc avoir été tenue dans une complète ignorance par son mari, s’exécute. Nouvelle déception pour Troppmann qui est trouvé trop jeune pour récupérer le mandat à la place d’un homme supposé d’âge respectable et doit prouver une identité qu’il ne peut assumer (il avait tenté de se faire passer pour le fils Kinck). Au lieu de se volatiliser tout de suite enrichi, le meurtrier est contraint d’imaginer une toute autre stratégie : il va faire appel à Gustave, le fils aîné qui va sur ses seize ans.

Troppmann continue de mener le jeu. Il s’installe à Paris, où le père Kinck se trouve fictivement, et écrit une lettre à la famille toujours sous la prétendue dictée du père de famille, par laquelle il obtient que le jeune Gustave parte pour Guebwiller récupérer l’argent. Afin d’égayer les soupçons, Jean, dont Troppmann tient toujours la plume, leur parle d’un gain mirifique d'un demi-million de francs gagné grâce à son associé ; puis, d'un ton enthousiaste et optimiste, donne plein pouvoir à son jeune ami. Troppmann a désormais les coudées franches et s’impose comme l’homme de confiance.

Le 5 septembre, Gustave arrive à Guebwiller où sa présence rassure sa famille alsacienne. Le 15, le garçon qui est parti trop vite sans procuration authentiquée et qui, sur place, s’impatiente à l’attendre, annonce brusquement qu’il s’en va retrouver son père à Paris par le train. Troppmann est à la réception mais doit constater avec une rage rentrée que le fils n’a toujours pas l’argent. Gustave enverra donc de l’hôtel un dernier télégramme invitant sa mère à les rejoindre dans la capitale, avec « tous les papiers ». L’enfant que Troppmann conduit maintenant vers son père, ou plutôt vers le même funeste destin, ne lui est plus utile. Il l’enterrera déchiqueté au couteau près du « champ Langlois ».

Le massacre de Pantin

Les corps des 3 plus jeunes garçons Kinck.

La famille qui a répondu confiante à l’appel du fils aîné est arrivée en avance à l’hôtel parisien. Mais ne trouvant personne, la mère décide, au lieu d’y attendre sagement son mari, de revenir à la gare pour ne pas manquer le rendez-vous avec leur assassin. Ils prirent tous ensemble la route en voiture de louage pour arriver à la plaine de Pantin et enfin retrouver le chef de famille qui y habiterait maintenant, un peu à l'écart, une nouvelle résidence. Il fallut beaucoup d’aplomb et de bagout au meurtrier pour maintenir en confiance la mère et ses cinq enfants en pleine nuit et dans un endroit désert. Celle-ci et les deux plus jeunes furent égorgés, les trois derniers étranglés et tous achevés à coups de pioche.

Le 20 septembre, un cultivateur nommé Langlois, venant de La Villette pour bêcher son champ du Chemin Vert, près des Quatre-Chemins, à Pantin, vit des traces inaccoutumées dans un champ voisin qu’il avait pris en chemin de traverse : un mouchoir ensanglanté puis, en bougeant la terre, un corps d’enfant… Les six corps furent tous rapidement identifiés par leurs vêtements. Les instruments du crime étaient enterrés tout près.

La découverte avait fait grand bruit. On devait revoir Troppmann au Havre d’où il projetait de s’embarquer pour l’Amérique. Son attitude de traqué le trahit lors d’un contrôle de routine par le gendarme Ferrand qui surveillait les resquilleurs et qui était, bien entendu, informé du sinistre fait divers. Le suspect qui a des réponses embarrassées préfère prendre la fuite dans le port. Ferrand qui le poursuit le retrouve entre deux-eaux et alerte un calfat nommé Heugel[7]qui, sachant nager, plonge et le repêche. Après la découverte sur lui de toute sa correspondance, de divers papiers et objets volés sur ses victimes, Troppmann est désormais à la merci de la justice.

L’enquête et la condamnation

Troppmann monte à l'échafaud (gravure de l'époque)

L’enquête remontera peu à peu l’historique et la chronologie des huit meurtres avec un maximum de clarté, grâce à la correspondance des protagonistes et beaucoup de hasards. Les lettres échangées entre Kinck et sa famille, ignorées de Troppmann et tardivement retrouvées, affaibliront son alibi.

Le problème de l’instruction qui ne douta jamais de la culpabilité de Troppmann, fut de trouver les preuves accablantes. L’assassin qui se disait un complice obligé, rejeta autant qu’il put la culpabilité sur les « absents » Jean et Gustave Kinck. Mais après la découverte à Pantin, le 26 septembre, par un garçon-boucher, du corps de Gustave, jusque-là donné par lui comme complice, l’accusé dut faire croire que le père avait dû éliminer son dernier témoin.

Le courrier et les témoignages permirent de reconstituer le fameux séjour alsacien de Kinck avec son compagnon. Les recherches en Alsace furent activées de plus belle dans la région de Wattwiller et de Cernay mais le champ était vaste.

Troppmann semblait jouer avec les policiers de son imagination aiguë qui s’adaptait à tous les rebondissements. Il est difficile de dire si c’est la naïveté du jeune homme qui va le confondre, ou sa forfanterie ou, encore, un espoir fou que l’aveu lui amènerait la clémence ou qu’il serait ramené sur les lieux du crime avec l’intention de s’échapper. Il finit par mettre les recherches sur la bonne voie. Le corps de Jean Kinck fut retrouvé dans les ruines d’Herrenfluch. Désormais il se retrouvait aux yeux de la justice comme l’unique assassin.

Il parut devant la Cour le 28 décembre 1869. Il y avait foule. Condamné à la peine capitale, Troppmann est conduit en camisole de la Conciergerie à la Prison de la Roquette le 31. Il paraît le 19 janvier suivant devant l’échafaud, le visage « vieilli de trente ans » mais sans larmes. On se bousculait pour assister au spectacle. Troppmann, calme jusque-là, eut soudain un dernier sursaut de révolte, se débattit et lutta avec les aides qui peinèrent à le mettre sur la bascule et l’exécuteur Jean-François Heidenreich dut lui maintenir avec force la tête sur la demi-lune. Avant que le couteau tombe, le condamné parviendra à un dernier effort : mordre la main de son bourreau.

Dernier mystère

Signature et moulage de la main de Troppmann (l’original est exposé au musée de la Préfecture de Police).

Est demeurée la question d’éventuels complices.

La médecine légale qui a étudié les coups donnés aux victimes, avait admis la possibilité d’un seul homme et la Cour avait rejeté l’hypothèse d’une quelconque complicité. Cependant, comme argumentera longuement son défenseur, il demeure douteux qu’à Pantin, Troppmann – qui avait lui-même raconté en prison n’avoir jamais été seul et être un affidé à une secte secrète – ait eu le temps de tuer six personnes sans éveiller l’attention du voisinage ou du cocher qui les avait amenés de nuit[8] ; et surtout sans paniquer la mère et les petites victimes toutes tuées sur place et en deux fois – il est revenu au coche chercher les trois derniers garçons – sans frayeur ni poursuite apparente et en quelque vingt minutes seulement ; puis dissimuler suffisamment le charnier, une fosse longue de trois mètres, éloignée de six cents mètres de la route, et qu’en regard de ce travail de longue haleine, l’on peut tout juste croire avoir été creusée d’avance. Mais l’énergie surhumaine de l’individu a sans doute convaincu. Troppmann ne donnera jamais (ou n’aurait pu donner) les noms de ses complices auxquels il fit souvent allusion.

Pour Antoine Claude, le chef de la Police de sûreté, à qui nous devons la plupart des détails de l’affaire, il ne fait aucun doute qu’il y eut des complices : deux guetteurs et deux aides. Mais ce sont des intuitions et des soupçons de policier expérimenté, nourris de petits faits, peut-être vrais mais improbables, et surtout Claude compare trop cette affaire à une précédente. Il reparaissait dans ses propos l’idée répandue d’un gang de faux-monnayeurs, de ceux qui, à l’époque, s’étaient effectivement multipliés en Alsace, le long de la frontière allemande ; et même celle d’un réseau d’espionnage allemand (nous sommes à la veille de la guerre franco-prussienne), dans une ténébreuse affaire d’État que les hautes autorités auraient vite étouffée.

Trace historique

  • Dans la pièce en un acte Feu la mère de madame, de Georges Feydeau, Yvonne traite son mari de Troppmann, celui-ci regrettant que sa belle-mère ne soit pas morte pour leur laisser l'héritage.

Notes

  1. Voir les ouvrages cités en référence.
  2. Emmanuel Taïeb, La guillotine au secret : Les exécutions publiques en France, 1870-1939, Belin, 5 février 2011, 320 p. (ISBN 978-2-7011-5696-5) 
  3. Pour d’autres, il serait né à Buhl.
  4. Il y a eu la thèse d’une relation « antiphysique » (selon le terme de l’époque) entre les deux hommes, et qui n’a jamais absolument été écartée. Une lettre avait d'ailleurs alimenté le doute :« Monsieur Kinck, je suis arrivé à bon port, ensuite j'ai été voir si tout était en bon état. J'ai obtenu une petite chambre où l'on pourra faire tout ce que l'on voudra...»
  5. Le front et le regard fuyants, le nez en bec d’oiseau de proie, la lèvre supérieure épaisse et les dents démesurées, pour résumer la description d’Antoine Claude dans ses Mémoires.
  6. À cette époque, de telles fabriques sont attestées le long de la frontière franco-allemande.
  7. Ou Hauguel.
  8. L’autopsie a révélé que tous les cadavres ont eu la gorge arrachée comme si on avait voulu étouffer les cris.
  9. « Que sont les crimes de tous les Troppmann du monde, en présence de ce crime de lèse-humanité qui se commet journellement, au grand jour, sur toute la surface du monde civilisé, par ceux-là mêmes qui osent s'appeler les tuteurs et les pères des peuples ? », p. 3.

Sources et bibliographie

  • Ivan Tourgueniev, L'Exécution de Troppmann.
  • Antoine Claude, Mémoires, tome V, 1882.
  • Gustave Macé, Mon musée criminel, 1890.
  • Michelle Perrot, « L'affaire Troppmann (1869) », in L'Histoire, n°30, janvier 1981, p. 28-37.
  • Pierre Drachline, Le Crime de Pantin, Denoël, 1985.
  • Véronique Gramfort, « les crimes de Pantin : quand Troppmann défrayait la chronique », in Romantisme, n°97, 1997, vol. 27, p. 17-30.
  • Laurent Lallemand, Les Grandes Affaires criminelles d'Alsace, éditions de Borée, 2005 (ISBN 9782844943385)
  • Olivier Isaac, « Les enquêtes balbutiantes des journalistes durant l'affaire Troppmann », in Jean-Claude Farcy, Dominique Kalifa, Jean-Noël Luc (dir.), L'enquête judiciaire en Europe au XIXe siècle, Paris, Éditions Créaphis, 2007, p. 231-239.
  • Jean-Noël Jeanneney, « Troppmann, la figure du Mal », in L'Histoire, n°343, juin 2009, p. 88-89.
  • Charles Grivel , « Troppmann ou de la défiguration », Séminaire "Signe, déchiffrement, et interprétation", Fabula.org.

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