Jean-Paul Dubois

Jean-Paul Dubois
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Jean-Paul Dubois est un écrivain français né à Toulouse le 20 février 1950[1].

Jean-Paul Dubois est un auteur particulièrement discret; le petit texte qui le présente est le même sur tous ses livres et il est très difficile d'obtenir d'autres informations sur son compte. Le succès de ses derniers livres, en multipliant les interviews, a légèrement desserré l'étau, mais on est surtout frappé de constater qu'il réussit à parler longuement tout en ne disant que très peu de choses sur lui-même.
Il a suivi des études de sociologie[2]. Il a été journaliste au service des sports de Sud-Ouest, au Matin de Paris, puis grand reporter au Nouvel Observateur[1].

Jean-Paul Dubois a publié 15 romans, un essai, deux recueils de nouvelles et deux recueils d'articles. Il a préfacé un livre de photographies[3] consacrées aux pins Bristlecone, quadrimillénaires, les plus vieux arbres du monde, et un recueil de nouvelles[4] proches de ce qu'il écrit lui-même. Il collabore parfois à des périodiques[5],[6].

Sommaire

L'œuvre

Jean-Paul Dubois ne sacralise pas l'acte d'écriture (« pas plus important qu'un match de rugby. »)[7] Il considère que le métier d'écrivain a l'avantage de laisser du temps libre pour ne rien faire, simplement pour vivre, en essayant de comprendre un peu le monde : « je suis venu à l'écriture, car c'est le moyen de gagner sa vie le moins douloureusement possible. »[8]

Il pose dans ses romans et nouvelles un regard désabusé et distancié sur le monde et les rapports humains.
Il est hostile à l'idée de domination, que ce soit au travail - ne pas recevoir d'ordre et ne pas en donner[7] - ou dans la société. Il critique notamment la violence de l'autorité religieuse[9] telle qu'il a pu la subir dans son enfance[1]. Il expose clairement dans son œuvre son athéisme[10]. Et il écrit : « comme il existe des sociétés théocratiques, je rêverais d'un monde athée et anti-religieux. »[11]

Le fait de se sentir étranger à toute forme de métaphysique, de spiritualité ou de sacré peut d'ailleurs aussi servir de point d'appui à certaines des situations les plus drôles inventées par le romancier. Dans Kennedy et moi[12], le héros participe à une cérémonie en mer ayant pour fonction de rendre hommage au beau-père de la fille du héros (Paul) qui s'est noyé un an plus tôt; dès l'hommage terminé, Paul se déshabille et plonge à l'eau au milieu des fleurs en poussant des petits cris de joie. De même, au début des Accommodements raisonnables[13], la cérémonie d'incinération de l'oncle du héros donne lieu à une scène extrêmement cocasse : le frère du mort distribue ses cendres à d'autres membres de la famille qui les recueillent, qui dans une tasse, qui dans des sachets en papier. Ce type de désacralisation, propre d'une vision de la vie radicalement sans illusions, est tout à fait caractéristique de l'art romanesque de Jean-Paul Dubois.

Jean-Paul Dubois a déclaré à la sortie des accommodements raisonnables[14] que ce roman pourrait être le dernier : « Il se peut que je n’écrive pas de prochain livre après celui-ci, je ne sais pas[15]. »
L'écrivain publie néanmoins un nouveau roman en 2011, Le cas Sneijder[16],[17]. Le personnage principal y poursuit la vie névrosée des héros de Dubois, son attention se portant cette fois sur les ascenseurs et les chiens[18].

Les références

Les références littéraires de Jean-Paul Dubois sont John Fante, Emmanuel Bove, Cormac McCarthy, Philip Roth, Charles Bukowski[7], Jim Harrison.

Il reconnaît cependant plus volontiers John Updike comme un de ses maîtres : « l'écrivain qui m'a le plus appris et le plus fait réfléchir à la manière d'écrire une histoire c'est indiscutablement John Updike[19]. » Il a d'ailleurs consacré deux articles à cet écrivain[20],[21], dont « il a lu les trente-six livres, y compris les chroniques de golf[22] » (sport dont il parle souvent mais qu'il n'a jamais pratiqué).

Jean-Paul Dubois reprend souvent dans ses interviews ou textes les deux citations suivantes, qu'il affectionne particulièrement :

  • « Tout un homme, fait de tous les hommes et qui les vaut tous et que vaut n'importe qui », Jean-Paul Sartre, Les mots (phrase finale du roman).
  • « L'homme est plus petit que lui-même », Günther Anders.

L'Amérique

Jean-Paul Dubois a écrit pour le Nouvel Obervateur une série d'articles sur les États-Unis dont une sélection a été publiée dans deux recueils, L'Amérique m'inquiète et Jusque-là tout allait bien en Amérique. Le mode d'écriture de ces articles se rapproche de la nouvelle. Plutôt que d'informer sur l'actualité immédiate ils racontent le plus souvent une histoire édifiante, une vision d'une certaine facette de l'Amérique, individualiste, dure aux faibles, violente économiquement et dans son système judiciaire. Le regard que Dubois y porte sur les États-Unis est plutôt négatif et incrédule.
Il lui est arrivé d'insérer dans ses romans des épisodes décrits dans ses articles pour le Nouvel Observateur, comme celui du Kombucha, champignon élevé dans Les accommodements raisonnables et qu'on retrouve dans L'Amérique m'inquiète[23].
Si le personnage principal des romans de Dubois est toujours originaire de Toulouse, il est aussi souvent attiré par l'Amérique, que ce soit par les États-Unis[24] ou par le Canada[25].

Le cinéma

Kennedy et moi est le premier roman de Jean-Paul Dubois à avoir fait l'objet d'une adaptation au cinéma, pour laquelle l'auteur ne montre pas un grand enthousiasme. Un article de Jean-Paul Dubois est également au départ du film A l'origine de Xavier Giannoli en 2009. Celui-ci avait déjà adapté une nouvelle de Dubois pour un court métrage, Dialogue au sommet[26], en 1995.

Jean-Paul Dubois peut par ailleurs se laisser volontairement inspirer par un film.
Hommes entre eux est le titre d'un film finlandais attribué au réalisateur Niemi[27] que le personnage principal du roman, Paul, voit au cinéma. L'auteur fait également de Paul un inconditionnel de films n'offrant pas d'issue comme Aguirre, la colère de Dieu, Hana-Bi, Yi Yi, The Thin Red Line, De beaux lendemains, Les Affranchis, Saraband, Alexandra's Project, The Element of Crime. Dubois a déclaré avoir écrit le livre comme un film et imaginer Nick Nolte et Daniel Duval comme interprètes des personnages[7].
L'atmosphère du roman qui se déroule dans le Canada enneigé de North Bay fait penser à celle du film Affliction, tiré du roman de Russell Banks, dans lequel joue justement Nick Nolte.
On retrouve Nolte dans Les accommodements raisonnables[28] à un dîner organisé par un producteur. Pour le narrateur, l'acteur symbolise d'abord le personnage qu'il a interprété dans Affliction, faisant echo à Hommes entre eux.
Dans Les accommodements raisonnables Paul est script doctor, il aide à la rédaction d'un scénario au sein d'un studio hollywoodien. Le film de Robert Aldrich The Legend of Lylah Clare (1968) est cité dans ce roman[29] et paraît avoir été une inspiration pour un des éléments de l'histoire, la forte ressemblance physique entre une collègue de Paul, qui deviendra sa maîtresse, et son épouse Anna.

Les thèmes récurrents

Les romans de Dubois frappent par un certain nombre de constantes, parmi lesquelles les prénoms de Paul pour le héros (à 10 reprises) et de Anna pour son épouse (8 fois). Toutes les thématiques répétitives ne sont pas nécessairement cohérentes au niveau de la totalité de l'œuvre: le héros peut adorer ses enfants dans un roman et les détester dans un autre; il peut être dépressif, mais cela peut être aussi, ailleurs, le cas de son épouse. Le trouble que suscite ces répétitions fait finalement partie du charme de l'œuvre de Dubois; le lecteur régulier éprouve une sorte de soulagement et de jubilation lorsqu'il est enfin question de tondeuses à gazon.

La tondeuse à gazon

« J'ai toujours aimé tondre les pelouses. C'est une de mes douces perversions. »[30] La tondeuse se retrouve comme titre de deux instantanés dans Parfois je ris tout seul. Le père est fondateur ou propriétaire d'une entreprise fabricant des tondeuses dans La vie me fait peur[31] et Les accommodements raisonnables[32]. Le personnage principal, Paul, peut aussi se réinsèrer dans le monde actif en devenant jardinier et propriétaire de tondeuse permettant la tonte du gazon selon des règles immuablement respectées[33],[34].

Le rugby

Le sport préféré de Jean-Paul Dubois est le rugby et on le retrouve souvent dans ses écrits. Ce peut être dans son roman Tous les matins je me lève[35] où le personnage principal se rêve en grand joueur à la manière d'un Fitzgerald dans Veiller,Dormir[36], ou dans Les accommodements raisonnables[14] dans lequel le personnage de Tricia Farnsworth emprunte son nom à Viv Farnsworth, joueur de rugby australien du début du XXe siècle.
Le rugby est encore le thème d'une nouvelle écrite pour l'Équipe magazine, La moitié du neuf est avec le dix[5], ou l'objet de chroniques rédigées pendant le mondial 2007[37].

Jean-Paul Dubois considère le rugby comme un « sport obscur, austère, rigoureux, régi par des lois tourmentées et subtiles établies de toute évidence par un pasteur anglican rigide, compulsif, ombrageux et vraisemblablement malheureux en ménage[38]. » Il voit l'éclosion du rugby à la professionnalisation des années 1990 et son évolution actuelle comme trop brutale et excessive dans les concessions faites à l'ère du spectacle[22],[38].

Accidents maritimes, accidents d'avion

La mort chez Jean-Paul Dubois est souvent brutale. La mer est le premier élément venant perturber le quotidien par des accidents tragiques. Ainsi dans Tous les matins je me lève[39] Paul sauve-t-il de la noyade un chien, mais ne peut qu'assister impuissant à sa disparition dans Vous aurez de mes nouvelles[40]. L'épouse, Anna, manque se noyer dans Kennedy et moi[41] et se noie dans Hommes entre eux[42]. Entre ces deux romans elle perd une main, décapitée par un hors-bord en faisant du ski nautique[43]. C'est enfin le père qui se noie dans un lac au cours d'une partie de pêche[44].

Si donc la mer n'est pas tendre avec les personnages de Dubois, il faut constater que l'avion ne leur réussit pas d'avantage. On apprend au début de Si ce livre pouvait me rapprocher de toi[45] que la mère de Paul est décédée dans l'accident de son Cessna; son épouse trouve la mort dans des conditions absolument identiques dans Une vie française[46].

Les voitures

La voiture peut être considérée comme un personnage récurrent de l’œuvre de Dubois. Elle est le refuge dans lequel le narrateur se coupe de la réalité qui lui échappe. Elle est souvent considérée comme une compagne réconfortante, un jouet prolongeant l'enfance.
Dans Tous les matins je me lève[47], la Karmann cabriolet de Paul « se tue » dans un accident. Elle sera remplacée par une Triumph. Dans Parfois je ris tout seul, la voiture rend Heureux[48]. Elle sert au narrateur à quitter volontairement la vie dans Prends soin de moi[49].
Elle est aussi le symbole de la liberté et héroïne d'une scène de roman de Jim Harrison, Entre chien et loup, régulièrement citée par Dubois en interview et recopiée par lui dans Si ce livre pouvait me rapprocher de toi[50] : le personnage se met debout sur son siège, passe la tête par le toit ouvrant, et roule cheveux au vent.
On peut encore noter que le père de Paul est garagiste et concessionnaire Simca dans Une vie française[51] ou que l'oncle du narrateur meurt au volant d'un coupé à l'arrêt dans une concession Mercedes au début des Accommodements raisonnables[52].
Jean-Paul Dubois a déclaré avoir envisagé un livre racontant l'histoire des voitures qu'il a eues, en les reliant à l'époque sociale du moment[53].

L'amour et le sexe

Les couples dans les romans de Dubois sont souvent déliquescents. L'amour laisse toujours place à une vie commune laborieuse et décevante, dans laquelle chacun s'éloigne progressivement de l'autre. Dans ce contexte, l'infidélité est considéré comme normale et acceptable[54]. La découverte de la double-vie sentimentale d'un personnage est considérée avec parfois de l'étonnement[55],[56], mais toujours de la bienveillance. La vie à deux est perçue comme une façon de combler la solitude de chacun[57].

Les rapports sexuels sont abordés avec le même pragmatisme. Il est normal de faire semblant d'éprouver du plaisir par « respect conjugal, par politesse. »[58] Paul considère la simulation comme un accommodement raisonnable, un dédommagement des efforts de l'autre[59]. Ce peut être un moment de solitude de plus dans un couple[59],[60].

Le dentiste

Le dentiste revient régulièrement dans l'œuvre de Dubois. Ce peut être la profession du père du narrateur[45]. Ce peut encore être une figure pédante et détestée, que Paul va jusqu'à mordre[61]. Il peut enfin s'appeler Edgar Hoover comme l'ancien directeur du FBI, être dépressif et avoir des « pratiques désaxées. »[62] Jean-Paul Dubois explique cette vision négative de la profession par le surnom du dentiste qui le traitait enfant, le " Dr Mengele[11]".

Maria est morte et Hommes entre eux : romans-miroirs

Dans deux de ses romans, Maria est morte[63] et Hommes entre eux[64], l'auteur raconte la même scène, située dans le premier cas en Inde, et dans le second au Canada: un combat organisé, d'une extrême violence, auquel le héros est convié à assister par un homme qui a vécu avec sa femme et qui doit lui révéler où elle se trouve actuellement. Même si le récit est réécrit (il est plus long dans le second roman), on peut dire que l'on a affaire à deux récits quasi identiques qui ne peuvent que troubler le lecteur attentif. De nombreuses répliques sont littéralement répétées d'un livre à l'autre, placées comme autant d'indices adressés aux lecteurs qui connaissent l'ensemble de l'œuvre: oui, il s'agit bien du même récit placé au sein de deux ouvrages qui multiplient par ailleurs les points communs (un homme qui recherche sa femme, qui découvre qu'il ne la connaissait pas vraiment, qui séjourne longuement dans un hôtel tenu par un homme qui ne cesse de se plaindre des clients, etc.), à commencer par la mise en sourdine de tout ce qui fait habituellement la drôlerie des romans de Jean-Paul Dubois. C'est peut-être précisément en lisant ces deux romans qu'on expérimente le mieux, mais au négatif, ce qu'est la vraie veine romanesque, voire la vraie poétique de Dubois: le romancier est vraiment lui-même lorsqu'il est drôle dans la tragédie, lorsqu'il rend cocasse des situations qui sont objectivement tristes.

Bibliographie

Prix littéraires

Œuvres portées à l'écran

Œuvres adaptées au théâtre

  • Vous plaisantez, monsieur Tanner, 2008, Adaptation, mise en scène & scénographie de David Teysseyre. Interprétation par Roch-Antoine Albaladéjo ; Lumières de Vincent Lemoine ; Son de Sébastien Cannas (Studio Capitaine Plouf).

Notes et références

  1. a, b et c Matthias Gurtler, « CV de stars », vsd.fr, 17 janvier 2007. Consulté le 16 juillet 2010
  2. Anne-Claire Jucobin, « regard sur une vie française-interview avec jean-paul Dubois » sur evene.fr, octobre2004
  3. Christophe D'yvoire, Les patriarches, Seuil, 12 octobre 2006 (ISBN 978-2020902823) 
  4. David Thomas, La patience des buffles sous la pluie, bernard pascuito éditeur, 2008 (ISBN 978-2-35085-067-2) 
  5. a et b Jean-Paul Dubois, « La moitié du neuf est avec le dix », dans L'équipe magazine n°1206, 23 juillet 2005 
  6. Jean-Paul Dubois, « Le voyage abracadabrantesque de... Jean-Paul Dubois à Gibraltar », dans L'express, 2010 [texte intégral] 
  7. a, b, c et d Dorothy Glaiman, « Sans contrainte mais avec talent » sur evene.fr, mars 2007«  ». Consulté le 17 juillet 2010
  8. Pascale Frey, « Une journée avec Jean-Paul Dubois » sur elle.fr, 29 septembre 2008. Consulté le 17 juillet 2010
  9. Florence Meney, « salon du livre rencontre: avec jean-paul dubois » sur radio-canada.ca. Consulté le 17 juillet 2010
  10. Jean-Paul Dubois, Une vie française, éditions de l'Olivier, 2004 (ISBN 2.87929.467.3), p. p.218 
  11. a et b quotidien permanent - forum sur nouvelobs.com, 1er octobre 2OO4
  12. Jean-Paul Dubois, Kennedy et moi, Editions du Seuil + Points n° P409, 1996 (ISBN 2020323656 (isbn 2020285398 pr 1ère publication)), p. 189 éd. P409, 1997 
  13. Jean-Paul Dubois, Les accommodements raisonnables, éditions de l'Olivier, 2008 (ISBN 9782879295541), p. 19 
  14. a et b Jean-Paul Dubois, Les accommodements raisonnables, éditions de l'Olivier, 2008 (ISBN 9782879295541) 
  15. Florence Meney, « Jean-Paul Dubois: la condition humaine » sur lelibraire.org, 2008
  16. Jean-Paul Dubois, Le cas Sneijder, Editions de l'Olivier, 2011 (ISBN 978-2-87929-864-1) 
  17. le cas sneijder sur decitre.fr, 2011
  18. Jean-Marc Le Scouarnec, « je n'aime pas parler de moi » sur la depeche.fr, 24 juillet 2011
  19. David Desvérité, « les entretiens aVoir aLire » sur avoir-alire.com, 23 septembre 2004
  20. Jean-Paul Dubois, « John Updike vu par Jean-Paul Dubois » sur telerama.fr, 7mai 2005
  21. Jean-Paul Dubois, « Pourquoi j'aime updike » sur nouvelobs.com, 24 août 2006
  22. a et b Benoît Heimermann, « Dubois-Pelous, passes croisées », dans L'équipe magazine n°1293, 14 avril 2007 
  23. Jean-Paul Dubois, L'Amérique m'inquiète : Un champignon dans la tête, éditions de l'Olivier, 1996 (ISBN 2879293375), p. 53 
  24. Si ce livre pouvait me rapprocher de toi, Les accommodements raisonnables
  25. Si ce livre pouvait me rapprocher de toi, Hommes entre eux
  26. Jean-Paul Dubois, Vous aurez de mes nouvelles : Dialogue au sommet, éditions Robert Laffont + Points n° P1487, 1991 (ISBN 2757800124), p. 51 éd. P1487, 2006 
  27. Il existe un réalisateur finlandais nommé Raimo O.Niemi, mais qui ne semble pas avoir ce film dans sa filmographie
  28. Jean-Paul Dubois, Les accommodements raisonnables, éditions de l'Olivier, 2008 (ISBN 9782879295541), p. 177 
  29. Jean-Paul Dubois, Les accommodements raisonnables, éditions de l'Olivier, 2008 (ISBN 9782879295541), p. 120 
  30. Jean-Paul Dubois, Je pense à autre chose, éditions de l'Olivier + Points n° P583, 1997 (ISBN 2020360365), p. 57 éd. P583, 1999 
  31. Jean-Paul Dubois, La vie me fait peur, Editions du Seuil + Points n° P188, 1994 (ISBN 2020281341), p. 13 éd. P188, 1996 
  32. Jean-Paul Dubois, Les accommodements raisonnables, éditions de l'Olivier, 2008 (ISBN 9782879295541), p. 15 
  33. Jean-Paul Dubois, La vie me fait peur, Editions du Seuil + Points n° P188, 1994 (ISBN 2020281341), p. 236 éd. P188, 1996 
  34. Jean-Paul Dubois, Une vie française, éditions de l'Olivier/ Le Seuil, 2004 (ISBN 2879294673), p. 319 
  35. Jean-Paul Dubois, Tous les matins je me lève, 1988 (ISBN 2020237385), p. p.52 édition poche P118 
  36. Francis Scott Fitzgerald, La fêlure : Veiller,Dormir (sleeping and waking, 1934), Gallimard, Folio, 2002 (1er dépôt légal dans la collection 1981) (ISBN 2070373053), p. p.456 
  37. Jean-Paul Dubois, « chronique », dans L'Équipe magazine n°1313 à1320, 1er septembre 2007 au 20 octobre 2007 
  38. a et b Jean-Paul Dubois, « Les professionnels de la profession », dans Midi Olympique magazine n°113, 31 août 2009 
  39. Jean-Paul Dubois, Tous les matins je me lève, éditions Robert Laffont + Points n° P118, 1988 (ISBN 2020237385), p. 175-178 éd. P118, 1995 
  40. Jean-Paul Dubois, Vous aurez de mes nouvelles : Se puede que si, se puede que no, éditions Robert Laffont + Points n° P1487, 1991 (ISBN 2757800124), p. 124 éd. P1487, 2006 
  41. Jean-Paul Dubois, Kennedy et moi, Editions du Seuil + Points n° P409, 1996 (ISBN 2020323656 (isbn 2020285398 pr 1ère publication)), p. 93-96 éd. P409, 1997 
  42. Jean-Paul Dubois, Hommes entre eux, éditions de l'Olivier, 2007 (ISBN 9782879295510), p. 143 et 211 
  43. Jean-Paul Dubois, Je pense à autre chose, éditions de l'Olivier + Points n° P583, 1997 (ISBN 2020360365), p. 84 éd. P583, 1999 
  44. Jean-Paul Dubois, Si ce livre pouvait me rapprocher de toi, éditions de l'Olivier + Points n° P724, 1999 (ISBN 2020403420), p. 14 éd. P724, 2000 
  45. a et b Jean-Paul Dubois, Si ce livre pouvait me rapprocher de toi, éditions de l'Olivier + Points n° P724, 1999 (ISBN 2020403420), p. 13 éd. P724, 2000 
  46. Jean-Paul Dubois, Une vie française, éditions de l'Olivier/ Le Seuil, 2004 (ISBN 2879294673), p. 299 
  47. Jean-Paul Dubois, Tous les matins je me lève, éditions Robert Laffont + Points n° P118, 1988 (ISBN 2020237385), p. 13 éd. P118, 1995 
  48. Jean-Paul Dubois, Parfois je ris tout seul : Heureux, éditions Robert Laffont + Points n° P1591, 1992 (ISBN 9782757803165), p. 131 éd. P1591, 2007 
  49. Jean-Paul Dubois, Prends soin de moi, éditions Robert Laffont + Points n° P315, 1993 (ISBN 2020237377), p. 210 éd. P315, 1997 
  50. Jean-Paul Dubois, Si ce livre pouvait me rapprocher de toi, éditions de l'Olivier + Points n° P724, 1999 (ISBN 2020403420), p. 93 éd. P724, 2000 
  51. Jean-Paul Dubois, Une vie française, éditions de l'Olivier/ Le Seuil, 2004 (ISBN 2879294673), p. 22 
  52. Jean-Paul Dubois, Les accommodements raisonnables, éditions de l'Olivier, 2008 (ISBN 9782879295541), p. 13-14 
  53. Franck Pelissier, « interview Jean-Paul dubois » sur franck.pelissier.free.fr
  54. Les accommodements raisonnables 
  55. Jean-Paul Dubois, Si ce livre pouvait me rapprocher de toi, éditions de l'Olivier + Points n° P724, 1999 (ISBN 2020403420), p. 13 et 113 éd. P724, 2000 
  56. Jean-Paul Dubois, Une vie française, éditions de l'Olivier/ Le Seuil, 2004 (ISBN 2879294673), p. 308 
  57. Jean-Paul Dubois, Une vie française, éditions de l'Olivier/ Le Seuil, 2004 (ISBN 2879294673), p. 212 
  58. Jean-Paul Dubois, Kennedy et moi, Editions du Seuil + Points n° P409, 1996 (ISBN 2020323656 (isbn 2020285398 pr 1ère publication)), p. 179 éd. P409, 1997 
  59. a et b Jean-Paul Dubois, Les accommodements raisonnables, éditions de l'Olivier, 2008 (ISBN 9782879295541), p. 232-234 
  60. Jean-Paul Dubois, Maria est morte, éditions Robert Laffont + Points n° P1486, 1989 (ISBN 2757800116), p. 70-71 éd. P1486, 2006 
  61. Jean-Paul Dubois, Kennedy et moi, Editions du Seuil + Points n° P409, 1996 (ISBN 2020323656 (isbn 2020285398 pr 1ère publication)), p. 18-119 éd. P409, 1997 
  62. Jean-Paul Dubois, Une vie française, éditions de l'Olivier/ Le Seuil, 2004 (ISBN 2879294673), p. 107 
  63. Jean-Paul Dubois, Maria est morte, éditions Robert Laffont + Points n° P1486, 1989 (ISBN 2757800116), p. 34-42 éd. P1486, 2006 
  64. Jean-Paul Dubois, Hommes entre eux, éditions de l'Olivier, 2007 (ISBN 9782879295510), p. 61-67 et 72-89 

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