Joseph Johnson

Joseph Johnson
Joseph Johnson (gravure de William Sharp) d’après une peinture de Moses Haughton.

Joseph Johnson (né le 15 novembre 1738 et mort le 20 décembre 1809) est un éditeur anglais. Ses publications traitent une vaste variété des genres, opinions et avis sur les importants sujets du jour. Johnson est connu en publiant les œuvres des penseurs radicaux comme Mary Wollstonecraft, William Godwin, et Joel Barlow, et aussi les rebelles religieux comme Joseph Priestley, Anna Laetitia Barbauld, and Gilbert Wakefield.

Au cours de années 1760, Johnson établit son entreprise publiante, qui se concentrait à l'origine sur les œuvres religieuses. Il devint un ami de Priestley et l’artiste Henry Fuseli – les deux relations qui dura sa vie entière et permit à Johnson de faire des affaires. Pendant les années 1770 à 1780, Johnson étendit ses affaires, publiant des œuvres importants en la médecine, la littérature pour enfants ainsi que la poésie populaire de William Cowper and Erasmus Darwin. Toute sa vie et sa carrière, Johnson influença les pensées de l’époque avec ses publications, mais aussi le soutien à les écrivains et les penseurs innovants.

Au cours de années 1790, Johnson s'est aligné sur les sympathisants de la Révolution française, et il publia un nombre croissant des tracts politiques pendant qu’il publia le journal proéminent the Analytical Review, qui offrit les réformateurs britanniques un voix dans le domaine publique. En 1799, il était inculpé de la diffamation séditieuse car il publiait un tract par le ministre unitarien Gilbert Wakefield. Après 6 mois dans la prison, quoique une prison confortable, Johnson publia moins des œuvres politiques. Dans la dernière décennie de sa vie, Johnson ne cherchait pas les nouveaux écrivains.

John Aikin, un ami de Johnson, dit que Johnson était « le père de l’industrie du livre[1],[2] ». Aussi il a été appelé « le plus important éditeur d'Angleterre de 1770 à 1810 » car l’incompréhension et la promotion des jeunes écrivains, l’insistance qu’on publiait les œuvres économique pour la classe moyenne, et le soutien des écrivaines féminines à l’époque où elles étaient vues avec le scepticisme.

Sommaire

Le début

Johnson était le fils deuxième de Rebecca Turner Johnson et John Johnson, un yeoman baptiste qui habitaient en Everton, Liverpool. Une attitude de contestation religieuse était répandue dans le début de sa vie, comme deux de la famille de sa mère étaient les pasteurs baptistes et son père était un diacre. Liverpool, à l'époque de la jeunesse de Johnson, devenait rapidement une ville animée et un des plus importants ports en Angleterre. Ces caractéristiques de sa ville – les dissensions et la commerce – subsistèrent comme les éléments importants dans le caractère de Johnson partout sa vie.

Quand Johnson avait 15 ans, il était en apprentissage chez George Keith, un libraire en Londres qui se spécialisait en publiant les tracts religieux. Gerald Tyson, un biographe moderne de Johnson, il explique que c’était inhabituel de la part d’un fils jeune qu’il se déplaçait à Londres pour devenir un libraire. Certains spécialistes ont dit que Johnson était envoyé à Keith parce qu’il s’associait avec les baptistes de Liverpool. Keith et Johnson publieraient ensemble plus tard dans ses carrières, qui suggère que ils sont restés en bons termes après Johnson avait commencé d’être dans les affaires pour lui-même[3].

Le décennie 1760 – Le commencement en publiant

Dès achevant son apprentissage en 1761, Johnson lança une entreprise de lui-même, mais il avait du mal à établir l’affaire, transférant son bureau plusieurs fois en la première année. Deux des premières publications étaient un type d’agenda journalier ; The Complete Pocket-Book; Or, Gentleman and Tradesman's Daily Journal for the Year of Our Lord, 1763 et The Ladies New and Polite Pocket Memorandum Book (en français ‘’Le livre complet de poche ; ou, Le journal quotidien des gentleman et des marchands pour l’année de grâce, 1763’’ et ‘’Le livre poli de poche des nouvelles femmes’’). Tels livres comme ceux, ils étaient populaires et ils se vendirent mieux, car Johnson les vendait moins cher et plus rapide que ses rivals[1],[4]. Johnson continua à vendre ces livres populaires jusqu'à la fin de 1790, mais comme un insoumis religieux, il s’intéressait essentiellement à publiant les livres qui amélioreraient la société. Par conséquent, les textes religieux dominent son palmarès bien qu’il publiait les textes au sujet de Liverpool (sa ville natale) et médecine aussi. Cependant, comme éditeur, Johnson faisait attention à plus que la vente et la distribution de livres, comme l’érudit Leslie Chard explique :

« En plus de la vente des livres au public, le libraire supervisa la publication, les dispositions avec l’imprimeur, la publicité, il avait des relations avec les autres libraires sur les cités, les provinces et les pays étranger, en bref à toute la distribution de ces livres. Aussi il vendait, bizarrement mais typiquement, le médecin. Mais, le chose qui était très important pour Johnson, c’était qu’il prenait beaucoup de la peine d’avoir la responsabilité de ces auteurs; au plus il les donnait à manger et il les logeait, au moins il était leur banquier, leur agent artistique et commercial , un correcteur et un psychiatre[5]. »

Comme Johnson devint plus à succès et sa réputation grandit, autres libraires l’inclurent dans « congers » - un syndicat professionnel pour partager la risque de publiant un livre coûteux ou incendiaire.

Amitiés formative

À la fin de la vingtaine, Johnson avait fait deux amitiés qui détermineraient toute de sa vie. La première était le peintre et l’écrivain Henry Fuseli, qui était décrit comme « pugnace et à l'esprit vif[6] ». " Le biographe du XIXe siècle de Fuseli, il écrit que quand Fuseli et Johnson se rencontrèrent en 1764, que Johnson « avait acquis déjà le caractère qui il conserverait tout au long de la vie – un homme intègre et un homme qui encouragerait à les gens de lettres aussi proche il pouvait dans ses moyens. Il était un juge excellent de leur œuvre[7] ». Fuseli devint et resta le plus proche ami de Johnson.

Un portrait d’un homme qui assied dans une chaise et appuie contre un table avec des livres et publications.
Johnson commanda ce portrait de son proche ami Joseph Priestley à son autre proche ami Henry Fuseli environ 1783 (la gravure par Charles A. E. Turner (1836))[8].

La deuxième amitié, et possiblement la plus important pour ses affaires, elle était les relations avec Joseph Priestley, un philosophe naturel célèbre et un théologien unitarien. L’amitié conduit Johnson à se débarrasser de la foi baptiste et adopter l’unitarisme, ainsi qu’il poursuivrait les contestations politiques[9],[10]. Le succès de Johnson comme un éditeur, il peut être expliqué par les relations avec Priestley, car Priestley publiait un grand nombre des livres par Johnson et il le présentait à beaucoup des écrivains dissidents. Sur la recommandation de Priestley, c’était possible pour Johnson de publier les œuvres de beaucoup des dissidents, en particulier le Warrington Academy ; la poète, essayiste et auteur enfantin Anna Laetitia Barbauld ; sa frère, le médecin et écrivain, John Aikin ; le naturaliste Johann Reinhold Forster ; le ministre unitarien controversé Gilbert Wakefield ; le moraliste William Enfield ; et l’économiste politique Thomas Malthus. Tyson écrit que « les relations entre l’Academy et le libraire étaient mutuellement très utile. Beaucoup des professeurs envoyaient leurs manuscrits à Johnson, et plus tard les anciens étudiants y cherchaient pour publier les leurs[11]. » Par publiant les œuvres de Priestley et les professeurs de Warrington, Johnson se fit connaître à un grand réseau des dissidents et intellectuels, y compris la Lunar Society, qui s’étendirent ses affaires encore plus. Priestley, tour à tour, fit confiance à Johnson de diriger son induction en la Royal Society[1],[12].

En association

En juillet 1765, Johnson transféra son entreprise à 8 Paternoster Row, un lieu plus visible, et il s’associa avec B. Davenport, dont on connaît un peu à part de l’association avec Johnson. L’historien Chard propose qu’ils s’étaient attiré par les croyances mutuelles, car l’entreprise publia encore plus œuvres religieux, y compris beaucoup qui étaient « Calviniste[13] ». Cependant, dans l’été de 1767, Davenport et Johnson se sont séparé ; les érudits supposant que cette rupture se passa parce que l’avis religieux de Johnson devenait plus marginal[14].

Johnson était indépendant nouvellement, et il n’avait plus du mal à établir ses affaires. En moins d’une année, il publia neuf premières éditions aussi bien que trente-deux œuvres en association avec autres libraires[15]. Il fit partie de « le cercle sélect des hommes de livre qui se rassembla à la Chapter Coffee House[16]. » Cellui café était le centre de la vie sociale et commerciale pour les auteurs et éditeurs dans Londres au XVIIIe siècle. Beaucoup des majeures aventures éditoriales y avaient commencé et les auteurs importants y se rassembla aussi[17].

En 1768, Johnson s’associa en association avec John Payne , Johnson probablement étant l’associé supérieur ; et l’année suivante, ils produisaient 50 titres. Sous ‘Johnson et Payne’, l’entreprise publiait une plus grande gamme que sous ‘Johnson et Davenport’. Quoique Johnson s’occupait de ses affaires, il ne publia pas les œuvres pour s’enrichir uniquement. Les projets qui provoqua une discussion libre, ils plaisaient à Johnson ; par exemple, il aida Priestly à publier le Theological Repository, un échec financier qui provoqua un débat sur les questions de théologie néanmoins. Bien que le journal perdit l’argent dans les années 1770s, Johnson était prêt à publier le livre encore dans 1785, parce qu’il approuva des valeurs[18].

À la fin de la décennie de 1760, c’était une époque de radicalisme grandissant en Grande-Bretagne, et bien que Johnson ne participa pas à les événements, il facilita les paroles d'entre ceux qui ont fait ; par exemple, il publiait les œuvres sur le sujet de John Wilkes et son élection contestée et l’agitation dans les colonies américaines. Malgré ses intérêts grandissants pour la politique, Johnson (avec Payne) publiait encore les œuvres religieux essentiellement et aussi, la narration de voyages[19]. Comme Tyson écrit, « à la décennie première de sa carrière, l’importance de Johnson comme un éditeur, elle tira de un désir de fournir un forum pour la contestation religieuse et politique[20].

Feu

Johnson était proche d’avoir du succès quand son magasin dévastait par un grand feu en 9 janvier 1770. Un journaliste de Londres écrivit que :

« Hier matin, entre 6 et 7 heures, un feu commença à le bureau de Messieurs. Johnson et Payne, qui se consuma cette maison, la maison de M. Cock, un imprimeur, et la maison de M. Upton, un commissaire-priseur […] dans laquelle dernière maison elle y avait des stocks des Bibles et livres de la prière commune. Les livres appartient à la maison d’édition de Oxford. ... C’était en temps considérable avant les pompiers et leur camion pouvaient être utilisé, à cause de la neige et la glace. Les plusieurs de familles dormaient quand le feu était découvert, et M. Johnson avait de temps d’avertir sa famille et son associé, et tous échappant, tout le stock et mobilier étaient détruits, sauvant des livres de compte uniquement[21]. »

En ce temps, Fuseli y habitait avec Johnson et il perdit ses possessions aussi, y compris sa publication en première édition de Remarques sur la littérature et la conduite de J.J. Rousseau. Johnson et Payne se sont séparés par la suite, dissolvant leur association amicalement. Johnson publia l’œuvre de Payne quelques années après[22].

La décennie 1770 – L’établissement

Par août 1770, sept mois après le feu qui avait détruit le magasin et le stock de Johnson, il s’était rétabli à 72 St. Paul's Churchyard — le plus grand magasin dans une rue des libraires — où il s’installa pour le reste de sa vie. Comment Johnson y atteignit, ce n’est pas clair; plus tard, il dit énigmatiquement à un ami que « ses amis sont venus à lui et ils lui ont établi encore[23] ». Une biographie au tôt XIXe siècle indique que « M. Johnson était réputé maintenant, et il avait été respecté extrêmement que dû à l’occasion malchanceuse, ses amis se rassemblèrent avec un accord et ils contribuèrent à permettre à lui de commencer ses affaires encore[24] ». Chard suppose qu’il était assisté par Priestly, car ils étaient tels proches amis[25].

Les publications religieuses et le soutien d’Unitarianism

Page lit "Formes de Prière, et Autre Fonctions, pour l’utilisation des Societies Unitarians. Par Joseph Priestley, LL.D., F.R.S. «Tu vénéreras le bon Dieu, et lui uniquement serviras-tu. » Matt.iv.10. « Les fidèles vrais vénéreront le Saint-Père en esprit et en vérité. Pour le Père cherche tels de lui vénérer. » John iv.23. Birmingham, Imprimé Par Pearson and Rollason, Pour J. Johnson, No. 72, St. Paul's Church-Yard, London. MDCCLXXXIII."
«Formes de Prière » (1783) par Joseph Priestley, un liturgie unitarian publié par Joseph Johnson

Dès que Johnson avait rouvert son entreprise, il commença publier les œuvres théologiques et politiques par Priestley et autre dissidents. Commençant en le décennie 70, il publiait les œuvres unitariens plus spécifiquement, en plus de les textes qui recommandait la tolérance religieuse ; aussi il faisait participer à la cause unitarien personnellement[25]. Il servit à un conduit pour l’information entre les dissidents dans tout le pays et il fournit les publications religieuses à éditeurs provinciaux, permettant à leur de faire circuler leurs croyances facilement. Johnson participa à les efforts d’abroger le Test et Corporation Actes, qui restreignaient les droits civiques de dissidents. Dans une période de six ans, Johnson était responsable de publier presque un tiers des œuvres unitariens qui publiaient sur le sujet. Il continua le soutien en 1787, 1789, et 1790, quand les dissidents introduisaient les projets de loi dans Parliament pour abroger les actes antérieurs, et il publiait beaucoup de la littérature d’abrogation, écrivant par Priestley et autres[26],[27].

Aussi, Johnson contribua beaucoup à les fondements de la première chapelle unitarien en Londres par Theophilus Lindsey. Ayant du mal à obtenir l’édifice pour la chapelle d’Essex Street, car les Unitariens étaient craints en ces temps et leurs croyances étaient illégales jusqu’à le « Doctrine de la Trinity Act 1813 ». Avec l’assistance de John Lee, un avocat qui devint le ministre de la Justice plus tard, ils ont obtenu l’édifice[28]. Pour capitaliser sur l’ouverture de la nouvelle chapelle, de plus en aidant ses amis, il publia le sermon inaugural de Lindsey, qui épuisait en quatre jours. Johnson continua aller à l’église et participer activement à cette congrégation tout sa vie. Lindsey et John Disney, l’autre ministre de l’église, ils sont devenus deux des écrivains les plus actifs qui étaient publié par Johnson.

Quoique Johnson est connu en publiant les œuvres unitariens, en particulier celles de Priestley, il publiait aussi les œuvres des autres radicals, les anglicans et les juifs[26]. Le point commun qui unit les publications religieuses, c’était la toleration religieuse[29]. Par exemple ; il publia le livre séminal au sujet de la poésie hébreu De Sacra Poesi Hebraeorum, écrit par Robert Lowth et traduit par Révérend George Gregory en 1787. Gregory publia plusieurs autres œuvres avec Johnson, comme Les Essaies Historique et Morale (1785), et Les Sermons avec les considérations sur la composition et l’exercice du Sermon (1787). Gregory est un exemple parfait du type d’auteur avec auquel Johnson préféra travailler ; diligent et libéral, mais n’ayant aucune tendance à se glorifier[30]. Pourtant, écrit par Helen Braithwaite en son étude sur Johnson, « son approche était éclairée et pluralistee, et il était regardé comme permissive par nature par ses adversaires, en ouvrant la porte à toutes les formes des questions malsaine et au scepticisme, en désaccord avec les vertus stables de la religion établissante et l’autorité[31]. »

La Révolution américaine

Partiellement à la suite de son association avec les insoumis britanniques, Johnson s’engagea en publiant les traités qui défend les révolutionnaires américains. Il commença avec Le discours aux insoumis protestants des toutes dénominations, sur la prochaine élection des membres du parlement (1774), lequel préconisa les insoumis de voter pour les candidats qui promettaient la liberté aux colonies américaines[32]. Il continua sa série des pamphlets anti-gouvernement et pro-américain en publiant les « journée de jeûnant » sermons par Joshua Toulmin, George Walker, Ebenezer Radcliff, et Newcome Cappe[33]. Braithwaite décrit ceux-ci comme « critiques bien-articulée du gouvernement » qui « étaient unique, mais potentiellement aussi subversifs et turbulent », et Mme Braithwaite conclut que la décision de Johnson de publier beaucoup de ce matériel, elle nous indique que Johnson soutenait et embrassait la position politique[34].En outre, Johnson publia le livre Les observations sur la nature de liberté civile (1776) par Richard Price, lequel Braithwaite appele « probablement la plus importante défense anglaise des colons ». Plus de 6,000 étaient vendus en une année[34].

En 1780 Johnson délivra aussi les première œuvres politiques complètes de Benjamin Franklin en Angleterre, un risque politique car les colons américains étaient en rébellion à cette époque[35]. Johnson ne publia pas normalement les textes colonials – car ses liens à la révolution étaient avec les Dissenters – ainsi les textes que Johnson publia, ils mettaient l'accent sur l’indépendance coloniale et les droits pour les Dissenters qui s’étaient battus. « Le droit pour adresser une pétition à redresser les griefs, le maintien et la protection de l’égalité des droits, et le droit inaliénable de la liberté de la conscience[36]. »

Les Textes Informatifs

Après 1770, Johnson commença publier une gamme variée des livres, en particulier les textes scientifiques et médicals. Un livre qui était particulièrement important, c’est Une histoire naturelle des dents humains (1771) qui « élevé la dentisterie à la médecine ou la chirurgie[37] ». Aussi Johnson soutenait les médecins quand ils questionnaient l’éfficacité des remèdes et traitements, tel que John Millar dans son Observation sur antimonie (1774), qui prétend que le poudre de la fièvre par Dr James était inefficace. Celle était une publication risquée pour Johnson, car ce médicament breveté était populaire, et le libraire John Newbery avait en fait fortune en vedant[38].

 La page de titre lit, partiellement les Lois en Respectant des Femmes, comme ils considèrent leurs Droits Naturels, ou leurs Connexions et Conduite; dans lequel leurs Intérêts et Devoirs sont des Filles, des Pupilles, des Héritières, des Célibataires, des Sœurs, des Femmes, des Veuves, des Mères, des Légataires, des Exécutrices testamentaires. Ils sont vérifiés et énumérés : Aussi, les Obligations de Parent et Enfant Et la Condition de Mineurs ...."
"Lois en Respectant des Femmes" (1777), publia par Johnson, assisté de Mary Wollstonecraft avec la preperation pour son roman féministe Maria: ou, Les Fausses de Femme(1798)[39].

En 1777, Johnson publia "Lois en Respectant des Femmes, comme elles regardent leurs droits naturels", un œuvre remarquable. Tyson commente que « la valeur de ce livre, c’est en munissant les femmes de la connaissance de leurs droits légaux, pour les situations où traditionnellement elles avaient été vulnerable à cause de la ignorance[40]. » Johnson publia Lois en Respectant des Femmes anonymement, mais parfois on en créditait à Elizabeth Chudleigh Bristol, connue pour son mariage bigame au 2ème duc de Kingston-upon-Hull. Cette publication préfigura les efforts de Johnson de promouvoir les œuvres au sujet des questions féministes – comme Défense des droits de la femme (en 1792) – et le soutien aux écrivains féminins.

Révolution en Littérature enfantine

Aussi, Johnson contribuait considérablement à la littérature enfantine. Sa publication de Leçons pour les enfants en 1778-79 ("Lessons for Children" en anglais) par Barbauld, elle engendrait une revolution dans le genre naissant. Le style simple, les dialogues maternelles et le ton de conversation, ils inspirèrent une génération de écrivains, comme Sarah Trimmer[41],[42]. Johnson encouragea autres femmes à écrire dans ce genre, comme Charlotte Smith, mais la recommandation était accompagnée toujours avec les conseils que cela était difficile d’écrire bien pour les enfants. Par exemple, il écrit à Smith, « peut-être tu ne peut pas utiliser ton temps ou ton talent extraodinaire plus utilement, pour le public et toi-même, qu’en composant les livres pour les enfants et les jeunes, mais je suis très sensible que c’est extrement difficile d’acquérir que la simplicité de style qui est leur grande recommandation[42]. » Plus tard, Johnson était un conseiller à William Godwin et son deuxième épouse Mary Jane Clairmont, quand ils publiaient leur collection juvénile en 1805.

Johnson non seulement encourageait la britannique littérature enfantine, mais aussi il assistait dans le patronage de la traducation et la publication des œuvres français comme L’Ami des Enfants par Arnaud Berquin (1782-83)[43].

En plus des livres enfantins, Johnson publia les livres scolaires et manuels pour autodidacte, tel que L’introduction à l’orthographe et la lecture par John Hewlett (1786), L’introduction à la philosophie naturelle par William Nicholson, et Une introduction à la mensuration et la mathematique pratique par John Bonnycastle, un ami de Johnson[1]. John publiait aussi les livres sur l’éducation des enfants comme le premier livre de Wollstonecraft, Les pensées sur l’éducation des filles (1787)[43].

À la fin de la décennie 1770, Johnson était devenu et il s’était établi comme un éditeur prospère. Les écrivains - en particulier les dissenteurs – ils lui cherchaient, et son maison commençait devenir une base et le centre pour un milieu radical et intelligent. Johnson était disposé à publier les opinions multiples, et pour cette raison il était respecté par les écrivains variés[44]. Johnson publia beaucoup des œuvres Unitarien, mais aussi il publia des œuvres qui en critiquaient . Aussi il était un abolitionniste mais il publia des œuvres qui argumentaient en faveur du commerce des esclaves. Il soutint la pratique de la vaccination et inoculation, mais il publia des œuvres qui en critiquaient[45].

La décennie 1780 – Le Succès

La page lit "Poésis, par William Cowper, du Inner Temple, Esq. en deux Volumes. Vol. I...La Cinquième Edition. London: Publia par T. Bensley, Pour J. Johnson, St. Paul's Church-Yard. 1793."
Malgré qu’il avait acheté le copyright, Johnson donna généreusement les profits de cette cinquième edition à William Cowper.

Au cours de la décennie 1780, Johnson obtint un grand success; il faisait bien financièrement et son enterprise publiait plus livres avec des nouveaux associés[26][46]. Bien que Johnson avait commencé sa carriere comme un éditeur prudent, par 1780 il était confiant et il commença de courir des risques en encouragant ses amis à recommander les nouvelles œuvres. De cette manière il créa un réseau des relecteurs informels. Encore, l’entreprise de Johnson ne fut jamais grande ; et généralement il avait un adjoint, et il ne prit jamais un apprenti. C’était uniquement en en ses années dernières que Johnson avait deux parents lui assister[47].

Littérature

Quand Johnson s’est stablisé, il commença de publier les auteurs littéraires, comme le poète célèbre William Cowper. Johnson émit les livres de Cowper comme Poems (1782) et The Task (1784) à ses propres frais, un acte généreux à cette époque-là quand l’auteur s’attendait à financier leur publication. Johnson récompensait bien par des grandes ventes. Il publia beaucoup des œuvres par Cowper, y compris la satire anonyme Anti-thelyphora (1780), qui se moqua une œuvre de Rev. Martin Madan, un cousin de Cowper, qui préconsait la polygamie comme une solution de la prostitution. Alors même que Johnson édita et critiqua les poésies de Cowper, « plus pour l’avantage » selon Cowper[48].

En 1791, Johson publia les traductions de Homère par William Cowper, lesquelles étaient éditée et corrigée considérablement par Fuseli, et trois années après la mort de Cowper en 1800, il publia une biographie du poète William Hayley[1][49].

Johnson ne publia jamais beaucoup de la littérature creative, et Chard en attribua à « une prolongé hositilité Calvinistique envers la littérature imaginative[50] ». Beaucoup des œuvres littéraire que Johnson publia, elles étaient religieuses ou didactiques[50] . Les plus populaires œuvres de ce genre étaient les anthologies ; la plus celébrée probablement est « The Speaker » (Le diseur) par William Enfield en 1774, qui passa beaucoup des éditions et engendra beaucoup des imitations, comme « The Female Speaker » (Le diseur féminin) par Wollstonecraft[50].

Les publications médicales et scientifiques

Johnson continua s’intéresser à la publication des texts médicaux en pratique dans les décennies 1780 et 1790. Pendant la décennie 1780, Johnson publiait quelques plus importants livres en ce genre. Le médecin John Aiken dit de Johnson qu’il établit intentionnellement son entreprise sur « la route que les étudiants médicaux prendaient vers les hôpitaux », ou ils pouvaient voir ses livres et Johnson pouvait établier son industrie de la publication des livres médicaux[51].

Johnson publiait les œuvres des insoumis scientifiques qu'il en avait rencontré par Priestley et Barbauld, comme Thomas Beddoes et Thomas Young. Il publia le livre enfantin au sujet des oiseaus par l'industriel Samuel Galton et une traduction de « système des légumes » (1783) par Carl von Linné qui était fait par la Lunar Society[52]. Il publia aussi les œuvres de James Edward Smith, le botaniste qui apporta le système linnaean à Angleterre [53].

En 1784, Johnson publia Une enquête sur la prévention de la variole par John Haygarth, un livre qui fait avancer la compréhension et le traitement de la virole. Par la suite, Johnson publia plusieurs œuvres par Haygarth qui promouvait l’inoculation (et plus tard la vaccination) pour la population saine, et la quarantaine pour les malades [54].

Notes et références

  1. a, b, c, d et e Hall (2004). "Joseph Johnson". Oxford Dictionary of National Biography. 30 April 2007.
  2. Aikin, 1167–68.
  3. Tyson, 1–7; Chard (1975), 52–55; Zall, 25; Braithwaite, 1–2.
  4. Tyson, 8–11; Chard (1975), 55; Braithwaite, 1, 4–5.
  5. Qtd. in Chard (1977), 141.
  6. Chard (1975), 62.
  7. Qtd. in Chard (1975), 56; Tyson, 13–14.
  8. McLachlan, 19–20.
  9. Tomalin, 15–16.
  10. Tyson, 7–8; Chard (1975), 57.
  11. Tyson, 37; see also Braithwaite, 8–9, 21.
  12. Tyson, 16–22; Chard (1975), 57; Chard (1977), 150; Braithwaite, 8–9.
  13. Chard (1975), 57; Braithwaite, 7; Tyson, 16–24.
  14. Chard (1975), 57; Braithwaite, 12.
  15. Tyson, 24–26.
  16. Chard (1977), 148.
  17. Shelley, Henry C. (en) Researching Historic Buildings in the British Isles. Retrieved March 2011.
  18. Tyson, 26–27, 70; Chard (1975), 58; Braithwaite, 12–13; 18–19.
  19. Tyson, 28–31.
  20. Tyson, 31.
  21. Qtd. in Tyson, 31–32.
  22. Chard (1975), 58–59; Braithwaite, 20–21.
  23. Qtd. in Tyson, 34.
  24. Qtd. in Tyson, 34; see also Zall, 25; Braithwaite, 20–21.
  25. a et b Chard (1975), 59.
  26. a, b et c Chard (2002), 95–101.
  27. Tyson, 38–44, 67–73, 93–94, 146–48, 184–88; Chard (1975), 59, 66; Braithwaite, 52.
  28. Rowe (1959), chpt. 2
  29. Tyson, 69.
  30. Tyson, 61–62.
  31. Braithwaite, 29.
  32. Braithwaite, 43–45.
  33. Braithwaite, 44–46.
  34. a et b Braithwaite, 47–48.
  35. Tyson, 49–53; Braithwaite, 56–57.
  36. Braithwaite, 57.
  37. Tyson, 46.
  38. Tyson, 44–48; Chard (1975), 60.
  39. Myers, Mitzi. "Unfinished Business: Wollstonecraft's Maria." Wordsworth Circle 11.2 (1980), 114, n. 18.
  40. Tyson, 50.
  41. Braithwaite, 70.
  42. a et b Mandell, 108–13.
  43. a et b Tyson, 81–84.
  44. Tyson, 56; Chard (1975), 60.
  45. Chard (1977), 140.
  46. Chard (1975), 65.
  47. Tyson, 58; Chard (1975), 64.
  48. Qtd. in Chard (1977), 143, n. 20; Braithwaite, 62, 71–76
  49. Tyson, 62–66; Chard (1975), 79, n. 87; Zall, 25–26.
  50. a, b et c Chard (1975), 61.
  51. Qtd. in Chard (1975), 55; see also Braithwaite, 5.
  52. Tyson, 17–18, 22, 75; Chard (1975), 65; Braithwaite, 62.
  53. Chard (1975), 60.
  54. Tyson, 77, 107–08, 180–81.

Bibliographie

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  • (en) Braithwaite, Helen. Romanticism, Publishing and Dissent: Joseph Johnson and the Cause of Liberty. New York: Palgrave Macmillan, 2003. (ISBN 0-333-98394-7).
  • (en) Butler, Marilyn. "Culture's Medium: the Role of the Review". The Cambridge Companion to British Romanticism. Ed. Stuart Curran. Cambridge: Cambridge University Press, 1993. ISBN 0-521-33355-5.
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