Joséphine de Beauharnais

Joséphine de Beauharnais
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Joséphine de Beauharnais
L'impératrice Joséphine.
L'impératrice Joséphine.

Pays Drapeau de l'Empire français Empire français
Titre Impératrice des Français
Reine d'Italie
(1804 - 1809)
Autre titre Duchesse de Navarre
(1810-1814)
Prédécesseur Marie-Antoinette d'Autriche
(reine de France)
Successeur Marie-Louise d'Autriche
Biographie
Dynastie Famille Tascher de La Pagerie
Maison de Beauharnais
Maison Bonaparte
Nom de naissance Marie-Josèphe-Rose de Tascher de La Pagerie
Surnom Joséphine
Naissance 23 juin 1763
Les Trois-Îlets
Martinique
Décès 29 mai 1814 (à 50 ans)
Château de Malmaison,
Rueil-Malmaison,
Royaume de France Royaume de France
Père Joseph-Gaspard de Tascher de La Pagerie
Mère Rose Claire des Vergers de Sannois
Conjoint (1°) Alexandre de Beauharnais
(2°) Napoléon Ier
Enfants (1°) Eugène de Beauharnais
(1°) Hortense de Beauharnais

Blason Impératrice Joséphine.svg

Marie-Josèphe-Rose de Tascher de La Pagerie, dite Joséphine de Beauharnais, née le 23 juin 1763 aux Trois-Îlets en Martinique et décédée le 29 mai 1814 au château de Malmaison à Rueil-Malmaison, fut la première épouse de l'Empereur Napoléon Ier de 1796 à 1809 et impératrice des Français et reine d'Italie de 1804 à 1809.

Sommaire

Biographie

Elle est la fille aînée de Joseph-Gaspard de Tascher de La Pagerie (1735-1791), chevalier, seigneur de La Pagerie, et de Rose Claire des Vergers de Sannois (1736-1807), issue d'une famille de riches colons martiniquais. Ils exploitent une plantation de cannes à sucre sur laquelle travaillent plus de trois cents esclaves africains.

La petite fille tiendrait son prénom de la dauphine Marie-Josèphe de Saxe (belle-fille de Louis XV et mère de Louis XVI, Louis XVIII et Charles X) dont son père a été page ainsi que son jeune frère Robert-Marguerite que l'on appellera plus tard le baron de Tascher. Le troisième prénom, Rose, est celui de sa mère.

Marie-Josèphe-Rose est née le 23 juin 1763 aux Trois-Îlets, près de Fort-Royal (plus tard Fort-de-France) à la Martinique. Elle est baptisée le 27 juillet 1763 en l'église Notre-Dame de la Bonne-Délivrance aux Trois-Îlets : son parrain est Joseph Desvergers de Sannois et sa marraine est Marie Françoise de la Chevalerie de la Pagerie[1]. Elle trichera toute sa vie sur la date de sa naissance pour se rajeunir[réf. nécessaire]. Les Almanachs impériaux indiqueront tous les ans la date du 24 juin 1768. Sa fille, la reine Hortense continuera à maintenir cette fiction.

Au cours de l'année 1777, François de Beauharnais (1714-1800), qui vit avec Désirée, la sœur de Joseph-Gaspard Tascher de La Pagerie, propose à ce dernier d'unir son fils cadet, le vicomte Alexandre de Beauharnais avec sa fille Catherine-Désirée Tascher de La Pagerie. Malheureusement, lorsque cette demande parvient aux La Pagerie, la jeune fille souhaitée vient de mourir, emportée par la tuberculose. Alexandre accepte alors la main de l'aînée Rose qui quitte son île natale pour l'épouser le 13 décembre 1779 à Noisy-le-Grand.

Si Alexandre cherche à se faire un nom et une situation prestigieuse, compensant ainsi le fait que les Beauharnais n'ont jamais été reçus à Versailles et n'ont donc jamais eu droit aux carrosses royaux, Rose va chercher sans relâche à s'élever, à compléter la médiocre éducation qu'elle a reçue chez les Dames de la Providence de Fort-Royal et à améliorer sa position sociale. Le mariage de Rose et d'Alexandre ne sera pas heureux, Alexandre multipliant les liaisons, dilapidant joyeusement sa fortune considérable (trois belles habitations à Saint-Domingue employant des centaines d'esclaves) et faisant porter à sa femme l'échec de leur mariage. Le couple se sépara dans des conditions difficiles en décembre 1785. Rose ira alors trouver refuge à l'abbaye de Penthemont où elle va parfaire son éducation au contact des nombreuses jeunes femmes de très bonne famille (Louise d'Esparbès, Bathilde d'Orléans, Louise de Condé, etc.) que leurs familles ont placées ici. Quand elle en sortira, elle ira s'installer chez son beau-père, le marquis de Beauharnais, à Fontainebleau où l'on prétend qu'elle suivra les chasses du roi Louis XVI et les beaux cavaliers qui y participent : le comte de Crenay, le duc de Lorge ou le chevalier de Coigny. En 1788, elle retournera à la Martinique voir si elle peut améliorer sa situation qui reste très préoccupante. Mais la Révolution qui éclate en 1789, et touche l'ile à partir de 1790, l'incite à regagner la France fin 1790 et Paris où son mari occupe maintenant la situation très en vue mais dangereuse de président de l'Assemblée constituante.

Cependant, le couple donna naissance à deux enfants :

La Révolution

Son mari est élu député aux États généraux en 1789, et ensuite président de l'Assemblée constituante (Révolution française), le 18 juin 1791, au moment de la fuite à Varennes, où il joue un rôle de premier plan. En septembre, la Constituante se dissout et Alexandre doit regagner les rangs de l'armée du Rhin où il ne manifestera pas de grandes capacités. Après la chute de Mayence en juillet 1793, chute qu'on lui attribue, il regagne son fief de la Ferté-Aurain avant d'être arrêté en mars 1794 sur l'ordre du Comité de sûreté générale et emprisonné à la prison des Carmes. Il sera guillotiné le 23 juillet 1794 peu avant la chute de Robespierre (Thermidor). C'est presque par miracle que sa femme évitera l'échafaud tant elle s'était (assez naïvement) exposée pour sauver des royalistes, bien qu'elle ait mis son fils Eugène en apprentissage chez un menuisier pour faire peuple. Emprisonnée elle aussi à la prison des Carmes[2] le 21 avril (2 floréal), Joséphine en sortit le 6 août 1794 (19 thermidor an II)[3], peut-être grâce à l'intervention de Thérésa Cabarrus, marquise de Fontenay et pour l'heure épouse de Tallien.

À sa sortie de prison, sa beauté et ses amitiés lui ouvrent les portes des salons à la mode. Elle est alors tellement pauvre qu'on la dispense, comme les autres, lors des soirées, d'apporter son pain comme cela se faisait alors. Malgré sa pauvreté, la citoyenne Beauharnais s'arrange toujours pour être bien mise, contractant des dettes dont elle règle les plus criantes en jouant probablement de ses charmes. Au fil des mois, elle s'arrange aussi pour récupérer les biens d'Alexandre grâce à Barras. A l'été 1795, elle va louer un petit hôtel particulier, rue Chantereine, à Paris, qui va lui permettre de mieux vivre « selon son rang ».

Nouant une grande amitié avec Thérésa Tallien, elle passe pour être une des « reines » du Directoire, et devient la maîtresse de Barras dont elle était éprise mais qui était déjà marié. Elle est alors une femme entretenue. Mais Barras, se détachant d'elle, cherche à s'en débarrasser et lui présente un officier en disponibilité, Napoléon Bonaparte, censé lui apporter une certaine stabilité financière et une position convenable dans le monde. La veuve Beauharnais accepte ce mariage sans amour de sa part, mais convaincue des capacités de son époux à se tailler une place dans les sphères les plus hautes du pouvoir. Celui-ci, très épris, jaloux et possessif, transforme le deuxième prénom de sa promise, Josèphe, en Joséphine pour ne pas avoir à prononcer un prénom prononcé par les amants de sa femme.

Joséphine épouse civilement Napoléon Bonaparte le 8 mars 1796 à Paris. Il a vingt-sept ans, elle en a officiellement six de plus. Les deux époux trichent tous les deux sur leur âge. Le surlendemain, Bonaparte, qui a été nommé par Barras général en chef de l'armée d'Italie, part prendre son commandement. Joséphine, qui reste à Paris quelques mois, va traficoter en tirant de substantiels revenus sur des marchés de fournitures plutôt douteux avec l'armée, afin de subvenir à ses goûts luxueux. L'entente avec sa belle-famille est des plus mauvaises ; la sœur préférée de Napoléon, Pauline, qui a le même âge qu'Hortense, l'appelle « la vieille ». Mais surtout Napoléon ne l'a pas encore présenté à sa mère, qui, pour le moment, habite Marseille.

Leur vie de couple sera orageuse sous le Directoire, à cause des infidélités chroniques de Joséphine (surtout avec le capitaine de hussards Hippolyte Charles). Pendant plusieurs mois elle refuse de quitter Paris pour suivre Napoléon, qui a entrepris la première campagne d'Italie. Par la suite, la situation s’inversera, Napoléon ne répugnant pas à prendre des maîtresses dans l'entourage de son épouse, et Joséphine, qui ne l'ignorait pas, devant subir la présence de ses rivales.

Épouse du Premier consul puis impératrice

Madame Bonaparte dans son salon, vers 1801.

C'est dans la maison de Joséphine, rue Chantereine, qu'après la campagne d'Égypte, se prépara le coup d'État du 18 brumaire qui mena au Consulat. Joséphine y aura une part prépondérante, au même titre que Lucien Bonaparte et Joachim Murat. Napoléon sera nommé Premier consul en décembre 1799, Cambacérès sera le second (chargé du juridique) et Lebrun le troisième (les finances). Mais c'est à la Malmaison, domaine qu'elle avait acheté pendant la campagne d'Egypte que Bonaparte va rapidement remettre la France dans le « droit chemin » : créant la Banque de France, rétablissant l'esclavage dans les colonies (en 1802), instaurant l'ordre de la Légion d'honneur, avant d'être nommé consul à vie.

L'Empire s'annonce et, dès lors, Joséphine, qui ne peut avoir d'enfant, va tenter de régler le problème dynastique qui va se poser en mariant sa fille à son beau-frère Louis Bonaparte. Effectivement, en 1802, Hortense aura un premier fils, mais Louis refusera avec obstination que son frère ainé l'adopte, conduisant ainsi à la répudiation de sa belle-mère quelques années plus tard. En tant qu'épouse du Premier consul puis impératrice, elle assume ses fonctions de « première dame » avec une aisance qui charme ses invités.

Le couronnement de Joséphine

Le 18 mai 1804, le Sénat vote à l’unanimité l’instauration du gouvernement impérial, proclamant Napoléon empereur héréditaire des Français. Royaliste dans l'âme, Joséphine suppliera Napoléon de renoncer au trône (« Je t'en prie, Napoléon, ne te fais pas roi ! »), paroles peut-être aussi motivées par sa stérilité supposée. Après avoir épousé religieusement et discrètement Joséphine le 30 octobre au palais des Tuileries (Joséphine avait habilement profité de la présence du pape Pie VII pour glisser qu'ils n'étaient pas mariés religieusement), celui qui va s’appeler désormais Napoléon Ier est - le 2 décembre 1804 - sacré empereur en présence du pape Pie VII à Notre-Dame de Paris. C’est lui-même qui posa la couronne impériale sur la tête de son épouse Joséphine et qui la proclama impératrice.

Le divorce

Statue de Joséphine par Gabriel-Vital Dubray, dans le parc du château de Bois-Préau, sur le domaine de la Malmaison.
Lettre de divorce de Joséphine 1809
Le divorce de l'Impératrice Joséphine, 15 décembre 1809, par Henri-Frédéric Schopin.

Joséphine ayant déjà deux enfants, Napoléon croyait être stérile, jusqu’au jour où une dame du palais de sa femme lui donna un fils, le comte Léon, et sa jolie maîtresse polonaise, la comtesse Marie Walewska, un autre. Son frère refusant de lui laisser adopter ses fils, il se décida alors à répudier son épouse pour asseoir son pouvoir en fondant une dynastie. Le divorce fut signé le 15 décembre et prononcé par un sénatus-consulte le 16 décembre 1809, et le mariage religieux fut annulé début 1810, par l'Officialité de Paris. Napoléon permit néanmoins à Joséphine de conserver le titre d’impératrice douairière en lui donnant l'Élysée, le château de la Malmaison et son domaine de 800 hectares, ainsi que le château de Navarre (faisant Joséphine duchesse de Navarre) prés d'Évreux. Joséphine se retira au château de Navarre pendant deux ans puis au château de Malmaison qu'elle avait acheté en 1799 et où toutes les têtes couronnées d'Europe, vainqueurs, défilèrent au printemps 1814. La veille de sa mort, elle faisait encore visiter son beau domaine à l'empereur de Russie, Alexandre Ier.

Dépensière, toujours endettée, extrêmement coquette (elle possédait des centaines de robes), elle continua après son divorce à bénéficier des largesses de Napoléon. En dix ans il lui donna plus de trente millions. Malgré cela, elle fut en quasi faillite cinq ou six fois et Napoléon, chaque fois, contribua en rechignant à apurer ses comptes.[réf. nécessaire].

L'impératrice et la botanique

Le tombeau de Joséphine à l'église Saint-Pierre-Saint-Paul de Rueil-Malmaison

Passionnée de botanique, elle contribua à introduire de nombreuses espèces florales en France, notamment des plantes d'origine subtropicale dans ses serres chaudes du château de la Petite Malmaison[4]. L'impératrice est à l'origine de la première impulsion quant à l'acclimatation de végétaux exotiques sur la Côte d'Azur. Elle entreprend une correspondance suivie avec le préfet des Alpes-Maritimes, M.J. Dubouchage et envoie sur la riviera française de nombreuses plantes en provenance de La Malmaison[5].

Bénéficiant de l’aide de l’État, et étant nostalgique des végétaux exotiques de La Martinique, elle réunit dans les serres de son château de la Malmaison de nombreuses plantes étrangères remarquables. Joséphine est ainsi à l’origine de l’introduction d’espèces nouvelles dans les Alpes-Maritimes, plantées dans le jardin botanique créé en septembre 1801 dans l’enceinte de l’École centrale du département, quartier Saint-Jean-Baptiste à Nice, sous l’égide de la Société d’agriculture des Alpes-Maritimes. Ce jardin botanique comprend deux parties dont l’une, d’une surface de 30 perches est destinée « à cultiver et à acclimater des plantes exotiques » et l’autre, d’une surface de 25 perches, comprend une grande serre.

C’est pour avoir souhaité montrer au tsar Alexandre Ier son jardin, vêtue d’une simple robe d’été, qu’elle prit froid et contracta une pneumonie qui devait l’emporter, le 29 mai 1814. Elle est inhumée dans l'église Saint-Pierre-Saint-Paul de Rueil-Malmaison.

Postérité

Parmi ses petits-enfants, on compte d'illustres souverains. En effet, par sa fille Hortense, elle est la grand-mère de l'empereur Napoléon III. Par son fils Eugène, marié à la fille du roi de Bavière, elle est la grand-mère d'une reine de Suède (la reine Joséphine), d'un prince consort de Portugal (le prince Auguste), d'une impératrice du Brésil (l'impératrice Amélie), d'un grand-duc de Russie (le grand-duc Maximilien) et l'ancêtre par voie féminine de beaucoup de têtes couronnées européennes actuelles (familles royales de Norvège, Suède, Belgique, Luxembourg, Danemark et Grèce).

Notes et références

  1. Registre des baptêmes (1763) de la paroisse Notre-Dame de la Bonne-Délivrance aux Trois-Îlets, Archives nationales d'outre-mer
  2. Érick Noël, Les Beauharnais - Une fortune antillaise, 1756-1796, Librairie Droz, 2003, p. 359
  3. Frédéric Masson, Joséphine de Beauharnais, 1763-1796, Librairie Albin Michel, 1925, p. 226
  4. L'impératrice Joséphine et les sciences naturelles, Réunion des musées nationaux, 1997.
  5. G.Mauguin, Une impératrice botaniste, Revue des études napoléoniennes, 1933, p.234.

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Filmographie

Bibliographie

  • André Castelot, Joséphine, Librairie Académique Perrin, 1964
  • Bernard Chevallier, Douce et incomparable Joséphine (en collaboration avec Christophe Pincemaille ; préface de la princesse Napoléon), éd. Payot & Rivages, coll. « Petite bibliothèque Payot », Paris, no 571, 253 p., 17 cm (ISBN 2-228-90029-X)
  • Liesel Schiffer, Femmes remarquables au XIX siècle (préface de Jean Tulard), éd. Vuibert, Paris, 2008, 305 p. (ISBN 2711744426 et 9782711744428)
  • Jean-Claude Fauveau, Joséphine l'impératrice créole. L'esclavage aux Antilles et la traite pendant la Révolution française Editions L'Harmattan 2010. 390 p. ISBN 978-2-296-11293-3.

Chronologies

Précédé par Joséphine de Beauharnais Suivi par
Marie-Antoinette d'Autriche
(1774 - 1792)
(reine de France)
Imperial Monogram of Empress Josephine of France.svg
Impératrice des Francais
Reine d'Italie
1805 - 1809
Marie-Louise d'Autriche
Création du titre
Blason de la Duchesse de Navarre orn.svg
Duchesse de Navarre
1810 - 1814
Auguste de Beauharnais


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