Le Port (Réunion)

Le Port (Réunion)

Le Port (La Réunion)

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Le Port

Vue de la commune sur l'Île de la Réunion
Vue de la commune sur l'Île de la Réunion

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Détail
Administration
Pays France
Région Réunion
Département La Réunion
Arrondissement Saint-Paul
Canton Chef-lieu de 2 cantons
Code Insee abr. 97407
Code postal 97420
Maire
Mandat en cours
Jean-Yves Langenier
2008 - 2014
Intercommunalité TCO
Site internet Ville-port.re
Démographie
Population 38 148 hab. (2006)
Densité 2 295 hab./km²
Gentilé Portois
Géographie
Coordonnées 20° 56′ 22″ Sud
       55° 17′ 14″ Est
/ -20.9394, 55.2872
Altitudes mini. 0 m — maxi. 110 m
Superficie 16,62 km²
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Voir la carte administrative
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Le Port est une commune française du département d'outre-mer de La Réunion. Elle tire son nom du port de la Pointe des Galets, seul port industriel de l'île, dont la construction a commencé peu avant la création de la commune.

Ses habitants sont appelés les Portois.

Sommaire

Géographie

Située sur un espace d’environ 1 660 hectares, le plus petit de l’île, la ville du port est atypique dans le paysage urbain de La Réunion. Née de la connexion du port construit à la Pointe des Galets et du chemin de fer, la ville s’est édifiée à la fin du XIXe siècle sur un espace quasi-désertique, occupé par une savane et une végétation base d’épineux « piquants blancs », jusqu’à accueillir aujourd’hui plus de 400 hectares de zones d’activités économiques et industrielles et 150 hectares d’espaces verts communaux. L’origine du nom de cette cité maritime se trouve dans l’installation portuaire à l’origine de la commune.

Cette vocation maritime est évoquée dans le blason de la ville où figure un bateau à voile, deux dauphins et une ancre marine. Les pailles en queues de l’écu figurent le voyage et le tourisme.

Cette commune voit l’aménagement du second port de l’île (après celui de Saint-Pierre) mais concentrera par la modernité de son installation, par son adaptation aux besoins d’une navigation passant de la voile à la vapeur et grâce au chemin de fer, toute l’activité d’import-export de l’île. Géographiquement la ville est encadrée par la commune de Saint-Paul dont elle est séparée par la Rivière des Galets et par la commune de la Possession, elle se situe à 18 km de Saint-Denis et 71 km de Saint-Pierre. Au 1er janvier 2004, la ville comptait 40 521 habitants.

Le Port est la seule commune réunionnaise dont aucune partie du territoire n'est comprise dans le périmètre d'aménagement des Hauts de l'île. Lui sont limitrophes les communes de La Possession, à l'est, et de Saint-Paul, au sud.

Histoire

Introduction

La construction du port de la pointe des Galets dura sept ans, aboutissant à son inauguration en 1886. Elle a attiré sur cette terre désertique une foule d'ouvriers venus des quatre coins de l'île. La commune a été créée le 22 avril 1895, elle comptait alors deux mille habitants.

Une ville entre poussière et modernité

La ville du XIXeme siècle mêle splendeur des demeures des ingénieurs et paillotes des ouvriers, poussière de l’activité grouillante et modernité des cités nouvelles. En 1888, Thomy Lahuppe remarque « les coquettes et gracieuses villas des ingénieurs » qui « trônent au milieu des maisonnettes primitives et des grossières cahutes en paille » . Quelques années plus tard, en août 1894, un journaliste du Ralliement qui visite la Pointe des Galets offre sa vision de la localité . La ville est alors parcourue par un ensemble de rues en terre sans aucun revêtement, rendant la circulation des piétons, incommodés par « une poussière très fine », très difficile. Cette situation concerne l’ensemble des rues de la localité aussi bien « l’avenue principale qui conduit de la gare aux ateliers » que « les rues adjacentes ». Cette couche de poussière « dans laquelle on s’enfonce au moins de deux pouces » est remuée perpétuellement par le passage des véhicules. Ajoutons à ce tableau l’effet du vent : « La moindre brise soulève cette poussière et vous incommode sous toutes les formes. Il est impossible d’avoir des vêtements propres. La poussière se fixe sur la peau qu’elle irrite, elle pénètre dans les yeux, dans les poumons, c’est à ne pas y tenir ». La situation du quartier du Coeur-Saignant, ou se développe une première installation populaire en périphérie du plan en damier de la ville, semble la plus désagréable : «les véhicules qui circulent traversent une fine couche de poussière dans laquelle les roues s’enfoncent de trente centimètres. C’est un perpétuel nuage de poussière qui enveloppe les personnes qui passent par là. [...] ». Le tracé des routes du quartier laisse aussi à désirer. Selon l’auteur, celle qui traverse le Coeur Saignant «ne vaut rien ». « Elle est constituée par une série de ligne brisée qui décrit des Z et allongent de plus du double la longueur du trajet agrémenté de chaos épouvantable.» Mais pour l’auteur «la nuisance la plus grande» est le manque d’eau nécessaire à «tous les besoins de la vie.».

La première compagnie du Port et du Chemin de fer

Constituée en 1878, la Compagnie a pour charge d’exécuter les travaux du chemin de fer et du Port commandé par l’Etat, elle se charge en outre de l’exploitation commerciale. Les travaux furent commencés en 1879 et en février 1882, le chemin de fer était achevé, période qui coïncide avec l’achèvement des jetées du port. La compagnie en charge de la construction connaît à partir de 1883 de graves difficultés liées à la découverte d’un banc de roches constituant un mur d’une trentaine de mètres d’épaisseur enchâssé dans un terrain très dur et traversant l’avant-port de part en part. La compagnie connaîtra alors d’important problème financier dû à la nécessité de faire face à cet imprévu majeur des travaux. Pour faire face, en 1884, la Compagnie présente au Ministère de la Marine et des Colonies un projet de convention qui permettrait d’injecter de nouveaux fonds dans le projet. Après des discussions longues et difficiles notamment lors de l’examen par les députés, un nouveau cadre financier est proposé à la Compagnie. Elle réussit le 14 février 1886 à faire entrer un navire de guerre et 4 grands navires dans le bassin intérieur du port. La compagnie entama l’exploitation qui continua en 1887, les recettes du port et du chemin de fer s’élevèrent à 1 million de Francs équilibrant les dépenses d’exploitation mais ne permettant pas à la compagnie de payer à l’Etat la part des recettes brutes qui lui revenait d’après la convention. Le port n’avait reçu alors qu’un quart du trafic de l’île : « On ne change pas en quelques mois des habitudes séculaires, et les Marines, encouragées par la situation précaire de la Compagnie qui était connue, ont essayé de soutenir une lutte que la force des choses condamne à une fin prochaine » dira le directeur dans un rapport en 1887. La Compagnie informe alors le ministère qu’il lui serait impossible de continuer l’exploitation au-delà du 1er janvier 1888. L’Etat prononcera alors par arrêté ministériel du 2 décembre 1887 la déchéance de la Compagnie du Chemin de Fer et du Port de La Réunion, ruiné par le coût des travaux et l’absence de bénéfices de fonctionnement. Le CPR devient alors propriété de l’Etat de 1888 à 1950.

Les transformations de la ville au XXeme siècle : du désert à la modernisation accélérée

Au début du XXeme siècle

  • Dans un numéro d’octobre 1901, le journal La Patrie Créole décrit quelques éléments qui composent la ville. Les bâtiments de l’administration du chemin de fer sont présentés comme des « demeures », « toutes construites d’une solidité à toute épreuve avec parfait des proportions qui conviennent et du confort que doivent fournir les maisons dans les colonies notamment. » Il signale la présence « de plusieurs bâtiments en construction » et s’attarde sur la description du nouveau magasin à pétrole destiné à « remplacer celui en bois, qui servait jusqu’ici à cette affectation  ». La particularité de ce bâtiment est qu’il est constitué par un « conglomérat spécial » appelé « ciment armé ». Cette technique est d’ailleurs toute récente puisque c’est en 1892 que l’ingénieur français François Hennebique construit le premier immeuble en béton armé à Paris. Une partie de la ville bénéficie donc des dernières techniques de construction apparues au cours du XIXe siècle. D’autres bâtiments construits avec la même technique sont destinés « à une centaines de travailleurs étrangers, que l’administration s’est décidé à faire venir. » Un autre article de la Patrie Créole de septembre 1901 nous décrit la ville du Port comme une ville qui « acquiert, de jour en jour, l’aspect d’une ville coquette ». L’expansion urbaine y est importante puisque « les constructions s’alignent constamment, les unes aux côtés des autres, pour répondre aux besoins constants d’une population qui s’accroît sans cesse. »
  • La presse de l'époque nous permet de comprendre ce que représente le coût de la vie au Port au début du XXeme siècle pour un journalier, groupe qui représente deux tiers des habitants du Port à cette époque. Un article du Petit Journal de L’île de La Réunion du 13 février 1901 signé par le docteur G. Merveilleux relate la situation faîte à une habitante du Port à qui l’on a brûler la « case en paille » en raison de la peste régnant dans la ville à cette époque. L’article signale que la « case » représentait une valeur de 100 francs. La même année, un article de La Patrie Créole, paru le 6 septembre s’élève contre des mesures abusives prises par le CPR contre ces ouvriers. L’auteur confirme la présence d’« humble paillote » servant de logement locatif aux journaliers. Nous serions à ce stade, à peu près, au même type d’habitat que la « case en paille » de l’article du Petit Journal, si l’auteur ne rajoutait le terme de « taudis » pour souligner l’état sanitaire et le manque d’équipement. Ces logements locatifs sont loués principalement par les journaliers aux prix de neuf francs par mois. Ces derniers touchent un salaire de « trois francs par jour ». La valeur de la « case en paille » du Petit journal représente pour un pécule équivalent à trente-trois journées de travail. Le prix de la location représente à lui seul trois journées de salaire. A cette époque, le prix d’une demi-balle de riz est de neuf francs.La ville restera presque en l’état dans les premières décennies du XXe siècle.

De la départementalisation à aujourd'hui

L’activité portuaire et ferroviaire reste centrale dans la ville et est entre les deux guerres gérée par un organisme nommé Chemin de Fer et Port de la Réunion (CPR), sous la tutelle du service des Travaux Publics. De grosses difficultés de gestion, vont conduire à scinder les deux entités après la guerre : la Chambre de commerce se voyant confié le contrôle du port et le CFR devenant un service public à part sous contrôle de l’administration . La constitution d’un foyer ouvrier place le Port au centre des premières grèves en 1936 et la commune reste depuis une commune à vocation ouvrière. Mais la ville n’évolue guère et Jacques Lougnon rapporte cette image du Port de 1965 : il n’est qu’«un immense bidonville dans un paysage aride.». Le fondateur du Parti communiste réunionnais Paul Vergès est élu maire de la commune en 1971.

Au début des années 80, l’idée d’une extension du port de la Pointe des Galets commence à faire son chemin. En effet, la structure, conçue pour une marine du XIXe siècle, est devenue inadaptée au trafic auquel il doit faire face et cela malgré les opérations de modernisation entreprises dans les années 1968 à 1971. Quatre projets sont alors étudiés :

  • Une extension sur place du port actuel
  • Une extension au sud du port
  • Une extension au nord du port avec deux variantes entrée Ouest ou nord
  • La construction d’un port nouveau en baie de La Possession.

Le chantier d’extension du port de la Pointe des Galets démarre effectivement au mois de juin 1982 et c’est la solution de la construction d’un nouveau port en baie de La Possession qui est choisie. L’installation des zones d’activités économiques à proximité du nouveau port qui est achevé dans cette phase des travaux en 1986, permet à la ville de rayonner sur les deux structures.

Les grands travaux continuent fin des années 80 et début des années 90 avec deux réalisation majeures : fin décembre 1988, le Conseil municipal adopte le principe de la mise à enquête publique des projets de plans d’aménagements de la ZAC des Mascareignes, de la ZAC Développement 2000 et d’un projet d’endiguement de la Rivière des Galets. Paul Vergès et Raymond Lauret sont alors désignés pour siéger au sein de la société d’économie mixte qui associera la CCIR et le Conseil Général. Le Comité de Pilotage ainsi formé sera chargé de l’étude de ces nouvelles zones à vocation industrialo-portuaire. La vente des parcelles est confiée par la suite à la SEMADER qui met en place le plan de commercialisation (Société d'Economie Mixte d'Aménagement, de Développement, d'Equipement de La Réunion créée en 1985 afin de lancer des actions d'aménagement et de développement à caractère intercommunal). Trois ZAC gérées par la SEMADER sont présentes sur le territoire de la commune du Port : la ZAC Belvédère est dédiée aux activités portuaires ; la ZAC Mascareignes aux activités industrielles et artisanales et la ZAC Développement 2000, d’une superficie de 62 hectares, a pour vocation d’accueillir industries et sociétés commerciales. La ZAC 2000 offre l’avantage d’une situation géographique à la fois proche du centre ville du Port, du port Est et de la RN1. La commune occupe avec ces derniers aménagements pratiquement tout l’espace du territoire de la commune.

Les années 90 verront s’enchaîner une suite de réalisations qui renouvellent complètement le paysage urbain. C’est une période de rupture avec les décennies précédentes. La ville inaugure ainsi le 21 avril 1990, le parc boisé baptisé « Fonkèr Laurent Vergès », construit dans une zone de savane, il couvre une superficie totale de 17,5 hectares dont 1,5 hectare est constitué par un plan d’eau. L’année 1992 est marquée par l’inauguration du Cimetière paysager, unique en son genre à La Réunion et qui s’étend sur une superficie de 7 hectares. Il dessine au sol la forme d’un arbre dont les feuilles constituent les espaces réservés aux inhumations. La même année, les travaux d’endiguements de la Rivière des Galets démarrent. Les deux premières tranches s’achèveront en 1996. Ces travaux permettent notamment de récupérer des portions de berges et de zones instables juqu’alors à cause des crues de la Rivière des Galets. Le port de plaisance est étendu et sa modernisation est entamée en 1993 sous l’égide de la CCIR. L’aménagement des zones d’activités économiques continue avec l’aménagement de la Zac Belvédère en 1994 et de la Zac Environnement en 1998.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
2001 Jean-Yves Langenier PCR
Toutes les données ne sont pas encore connues.


Comme La Possession, Le Port a quitté la communauté de communes préfigurant l'actuelle Communauté intercommunale des villes solidaires et rejoint celle préfigurant le Territoire de la Côte Ouest avant 2001.


La ville est chef-lieu de deux cantons :


Les personnages suivants ont été maires du Port :

Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[1])
1967 1974 1981 1990 1999 2006
19 768 25 068 30 131 34 692 38 412 38 148
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Infrastructures

Le port de la ville du Port

La commune héberge l'unique port industriel de l'île : le port de la Pointe des Galets, dont l'exploitation est confiée à la Chambre de commerce et d'industrie de La Réunion (CCIR).

On trouve sur le territoire communal quatre collèges publics :

  • Le collège Edmond-Albius.
  • Le collège Jacques-Brel, qui comptait 977 élèves à la rentrée 2005.
  • Le collège de L'Oasis, ouvert en juillet 1980, et qui comptait 704 élèves à la rentrée 2005.
  • Le collège Titan.

On y trouve par ailleurs deux lycées publics :

  • Le lycée d'enseignement général, professionnel et technologique Jean-Hinglo, qui comptait 1 027 élèves à la rentrée 2005.
  • Le lycée professionnel Léon-de-Lepervanche, qui comptait 1 170 élèves à la rentrée 2005.

La commune accueille en outre l'École supérieure des Beaux-Arts de La Réunion, la seule école d'architecture mais aussi un Institut de l'image de l'océan Indien qui forme les élèves à la production de dessins animés et de jeux vidéo. Sa politique culturelle est menée entre autres au travers d'une association appelée Village Titan.

Personnalités liées à la commune

Sportifs

Artistes

Maires

  • Léon de Lepervanche (1907-1961) est un des initiateurs de la loi de Départementalisation du 19 mars 1946, aux côtés de Raymond Vergès. Léon de Lepervanche a un parcours atypique, issu de la petite bourgeoisie réunionnaise, il descend de sa condition pour occuper en 1923 un emploi subalterne à la compagnie du Chemin de fer et du Port de La Réunion. Il occupera ainsi les fonctions de journaliers jusqu’en 1930, il sera licencié du CPR en 1938. Il deviendra maire du Port de 1945 à 1959 et député de La Réunion de 1945 à 1951.

Poètes et écrivains

La connaissance du Port est marquée par la personnalité de deux auteurs qui participe à positiver l’image de la ville et ancrer son histoire : Patrice Treuthart et Eugène Rousse :

  • L'ouvrage de Patrice Treuthart « Pointe et Complaintes de Galets, Poèmessagerie » (UDIR, Village Titan, 1988) est édité dans le contexte du Centenaire de l'inauguration du Port. L'auteur, poète, maître des kabars y propose un recueil de textes sur le thème de la Ville. Véritable chantre de la ville, il écrit pour et dans la ville, célébrant l'émergence d'une cité des galets et inaugurant un regard plus positif sur l'urbanité de la ville où il pose des scènes de sa jeunesse. La seconde partie de l’ouvrage, « Petite anthologie sur le Port et le chemin de fer », présente un ensemble de textes historiques constitués par des articles de presse ou des extraits d’ouvrages datant pour la plupart de la première moitié du XXe siècle.
  • Eugène Rousse, professeur de sciences au collège, retraité, passionné par l'histoire locale, est sans doute le "chercheur du PCR" ayant le plus visité l'histoire politique du Port. Dans « La commune du Port a cent ans » (Publication de la ville du Port, impr. Graphica, 2000,) d’Eugène Rousse, série de trois ouvrages dont le récit débute le 14 août 1890 date de la création de la commune de la Possession. Il propose une relation des faits politiques majeurs et leur connexion avec l'histoire de la ville. L’étude est d’un grand intérêt pour les détails qu’elle propose. « Des marines au Port de la Pointe des Galets: 1886-1986: centenaire » (Océan Edition, Saint-André, 1987). L’ouvrage est entièrement consacré au port de la Pointe des Galets et constitue une des études les plus complètes et les plus récentes sur le sujet. Un article de Elie Fontaine y relate les étapes de la construction du port de la Pointe des Galets (les motivations, le contexte de la construction, le déroulement de cette dernière et les projets rivaux). Un complément d’informations permettant de contextualiser l’histoire de la commune est offert par « L’île de La Réunion et les activités maritimes (XIXe -XXe siècles) » (Archives départementales de La Réunion, Saint-Denis, 1993) ouvrage dans le cadre d’une exposition pour la médiathèque du Port.

Notes et références

Voir aussi

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