Camps de Jalès

Camps de Jalès

Sous l'appellation camps de Jalès on désigne une série d’événements qui se sont déroulés immédiatement après la grande peur au début de la période Révolutionnaire, entre août 1790 et juillet 1792 (soit moins de 2 ans) dans le département de l’Ardèche sur le territoire des communes de Banne, Beaulieu et Berrias-et-Casteljau dans le canton de Joyeuse.

Il ne s'agit pas d'un mouvement isolé, mais de manifestations proches de celles que l’on retrouve dans l’Ain, le Comtat Venaissin, Arles, d’abord dans un contexte fédératif puis évoluant vers une réaction contre-révolutionnaire au fil du temps, souvent à la suite d’affrontements entre catholiques et protestants (Nîmes, Uzès), ou, comme les mouvements des « barbets » des Alpes-Maritimes, la chouannerie et les guerres de Vendée, s’opposant à l’installation des troupes républicaines[1].

Sommaire

Le pays de Jalès

Il est important de situer le pays : à la limite entre l’Ardèche (Vivarais) et le Gard, à proximité d’Alès, du pays d’Uzége, la plaine de Jalès est aussi une zone de contact entre catholiques et protestants, marquée par la présence ancienne des Templiers et la proximité des Cévennes protestantes.

Les grottes du Bois de Païolive permettent une retraite facile. (Firmin Boissin : Jan de la Lune).

La Commanderie

À l’origine une ancienne grange attribuée aux chevaliers du Temple au début du XIIe siècle qui en firent une commanderie[2],[3]. En juin 1131, Brémond Pelet, son épouse Agnès et ses deux fils remettent entre les mains de Hugues Rigaud représentant Hugues de Payns tout ce qu'ils possèdent au mas de Salzet.... sur le territoire de la commune (ou de la paroisse) de Malons.

Brémond Pelet était le fils d'un ancien croisé, Raymond Pelet, seigneur d'Alès.

Hugues de Payns est le futur Grand-Maître de l'ordre du Temple. (Revue du Vivarais Janvier- Mars 1980)[4]

Au fil du temps, la commanderie de Jalès agrandit ses possessions par donations et legs et devint l'une des plus riches de la région. Le rôle des commanderies était de récolter de l'argent, des hommes et des denrées pour soutenir la lutte contre les Sarrasins.

Les Templiers

L’Ordre du Temple fut créé en 1129 à partir de l’Ordre des Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon. Leur mission aux XIIe et XIIIe siècles fut la protection des pèlerins pour Jérusalem au temps des croisades. Afin de mener à bien ses missions, il constitua à travers l’Europe chrétienne à partir de dons fonciers, un réseau de places fortes appelés commanderies (telle La Couvertoirade). L’Ordre s'enrichit et devint un partenaire financier, même pour le trésor royal ce qui entrainera sa perte[5]. (Le Blevec,op cité). En 1312, le Concile de Vienne supprime l'Ordre.

Les Hospitaliers de Jérusalem

À la disparition de l’Ordre du Temple, ses biens sont repris par l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem[6].

L'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem[7] créé à Jérusalem vers 1080 par le Frère Gérard auquel succéda Raymond du Puy. Le pape Pascal II leur donne la bannière rouge à la croix blanche.

L'Ordre est obligé de quitter la Terre Sainte par les Sarrazins et se fortifièrent à Saint-Jean d'Acre, à Chypre puis à Rhodes où il devient souverain et résista pendant 200 ans . Il en fut chassé en 1522 et le Grand- Maitre de l'Isle Adam se réfugie avec quelques chevaliers en Italie, et enfin à Malte (cadeau de Charles-Quint), avant son expulsion de l'île et sa dissolution par Bonaparte (sur le chemin de l'Égypte (l'Ordre refusant de l'accueillir, Bonaparte conquiert l'île en 1798 ). Bonaparte exigea l'abdication du dernier grand maître Ferdinand de Hompesch.

Les Hospitaliers se réfugient alors dans leurs différentes possessions en Italie, puis à Saint Pétersbourg sous la protection du tzar. Ce n'est qu'en 1879 que Léon XIII rétablit la dignité de Grand Maître, qu'en 1951 que la souveraineté de l'Ordre est reconnue.

Le bailli de Suffren fut le dernier bailli de cet Ordre en France et fut inhumé dans l'église du Temple[8] à Paris.

Le bailli de Suffren séjourne plusieurs fois à Jalès.

Le Château de Banne

Cet ancien castrum fut au XIème siècle la propriété des Châteauneuf, puis de la famille de Joyeuse. Au XVème siècle, il est la propriété de la famille Beauvoir du Roure[9]et le restera jusqu'à la Révolution[10].

Détruit par les flammes le 12 juillet 1792, il sera vendu par son propriétaire à un négociant des Vans qui l'utilisa comme carrière. Aujourd'hui un chemin escarpé conduit à une plateforme dominant la plaine de Jalès. Seuls subsistent des murs, un bel escalier et des écuries[11],[12].

La période révolutionnaire

le contexte: la révolte des Masques Armés

En 1782 et 1783, des bandits masqués sévirent entre les Vans[13] et Saint-Ambroix (Gard), nécessitant l’envoi de troupes. Cette révolte contre la bourgeoisie était le fait de pauvres gens. Les responsables furent pendus ou roués aux Vans le 25 octobre 1783, certains envoyés aux galères[14]. (Jean Régnè ,op cité)[15].

Beaucoup furent graciés.

Albin Mazon dans sa notice sur l'ancienne paroisse de Jaujac (pages 244 à 257) raconte que l'un des condamnés à la roue l'avait été par contumace. Il s'appelait Degout-Lachamp,se serait caché dans les bois jusqu'en 1789, puis à la faveur des événements aurait eu une activité de brigandages avec d'ancien complices jusqu'en 1796, date à laquelle il aurait été repris à la faveur d'un complot royaliste qu'il aurait voulu dénoncer.

Le premier camp: fête fédérative et défense des catholiques

C'est le 11 juillet 1790, au château du comte du Roure à Banne, que les membres des conseils municipaux des communes voisines demandent que le Directoire soit chargé d'organiser un rassemblement des gardes nationaux[16]. Le 18 août, à l’appel de Louis-Bastide de Malbosc[17], maire de Berrias, commune sur laquelle est implantée la commanderie templière de Jalès, se réunissent 15à 20000 gardes nationaux et plusieurs milliers de catholiques en réponse aux événements survenus à Nîmes, où des protestants, majoritairement favorables aux idées progressistes massacrèrent des catholiques. Ce rassemblement pouvait passer pour une fête locale à l’image de la célébration dite Fête de la Fédération du 14 juillet 1790 à Paris.

Il y eut peut-être quiproquo entre ceux qui venaient défendre la religion catholique et ceux qui voulaient fêter les idées nouvelles?

Une messe est célébrée . Certains veulent marcher sur Nimes, mais cette éventualité est écartée par les organisateurs.

Toutes les villes de l'Ardèche méridionale y étaient représentées à l'exception de Joyeuse (Mazon -Histoire de Largentière -p 393).

Les maires de l’Ardèche méridionale, leurs conseillers et leurs gardes nationaux se réunissent et proclament leur fidélité au Roi.

Cependant, après le départ des gardes, certains s’organisent et leurs officiers se proclament État-major ou « Comité Militaire » d’une « Armée Fédérée ». Cette démarche est déclarée inconstitutionnelle par l’Assemblée nationale à la demande du Directoire du département de l’Ardèche (proclamation du 26 août 1790) dans un décret du 7 septembre 1790 promulgué par le Roi le 12 septembre.

Ce comité dont le principal élément est Claude Allier, prieur de Chambonas sera le fil rouge reliant le premier rassemblement aux deux autres. Il fait l'amalgame entre les protestants et les patriotes qui accaparent tous les postes et reléguent les catholiques à des fonctions subalternes. Le prieur de Chambonas, catholique et monarchiste sera un lien avec les princes immigrés.

Dès lors tout rassemblement que ce soit dans la plaine de Jalès ou dans tout le Royaume deviens illégal, sauf autorisation du Directoire départemental.

Le deuxième camp : réaction religieuse

(Février 1791)

Appel aux citoyens

« À l'initiative de Louis Bastide de Malbos, maire de Berrias, une réunion préparatoire a lieu le 13 février 1791. Le principe du rassemblement est décidé, les convocations envoyées. Dans l'intervalle, ce sont des catholiques qui à la suite d’événements survenus à Uzès et en réaction à la proclamation de la Constitution civile du clergé[18] demandent, par la voix de Malbosc, la protection des gardes nationaux des villages alentours et se réfugient à Jalès »(Mazon-Histoire de Largentière-p 395).

Et l'on y chantait[19].

Le Directoire du département de l’Ardèche s’oppose à cette décision. Le 17 février il écrit aux municipalités, leur demandant la plus grande prudence et signalant le risque de manipulation et après l'échec d'un contre-rassemblement des gardes nationales dans la plaine de Laurac en vue du maintien de l’ordre et de la légalité, le 19 février, il demande l'aide des garnisons de la Drôme car il n'a pas confiance en la loyauté des troupes ardèchoises. Parallèlement, le Directoire du Gard demande que le régiment du Soissonnais basé à Montélimar soit déplacé vers Pont-Saint-Esprit (Paul Messié-op cité). Un détachement de cent gardes fut installé en garnison à Barjac. D’après l’abbé Étienne (Notice sur la Paroisse de Ribes,op cité) « la paroisse de Ribes débouche au col de Vinchannes et menace de mettre le feu à Joyeuse si on s’oppose à ce qu’elle se réunisse aux autres paroisses ». Le maire de Joyeuse, Dussargues de Planzolles renonce à y faire obstacle.

Les affrontements se multiplient, les catholiques faisant pression sur les municipalités protestantes, les gardes nationales sur les municipalités accusées de tiédeur patriotique. Dans plusieurs villes les protestants déposent les armes en signe de bonne volonté. Cependant, les gardes favorables au Comité de Jalès se rassemblent en masse, souvent en opposition avec des municipalités favorables au Directoire.

À Joyeuse, malgré la présence des représentants du district du Tanargue, les gardes nationaux forcent la municipalité à les autoriser à partir vers Jalès. Les 15 000 gardes (Albin Mazon parle de 35 000 dans son Histoire de Largentière) sont rassemblés dans la plaine de Jalès, mais, convaincus de temporiser, ils éliront un « général » Chastanier de Burac,qui les convaincra de renoncer à marcher sur Uzès et se disperseront progressivement.

Les armées régulières renforcées par des gardes nationaux « patriotes » commandées par Louis Alexandre d'Albignac (Nîmes), les deux compagnies du régiment des chasseurs de Roussillon sous les ordres du lieutenant-colonel des Ours de Mandajors (Alais), et de la Légion de Pont-Saint-Esprit sous les ordres de Legrand, ancien officier du régiment d'Angoumois à la demande des municipalités, convergent vers Jalès malgré les conseils du Directoire. Elles ne rencontreront pas de résistance. Seules les troupes de Legrand, à la demande de Dussargues maire de Joyeuse investissent Jalès et arrêtent le maire Malbosc contre l’avis des représentants du Directoire. Il est emprisonné à Pont-Saint-Esprit. Il meurt au cours d’une « tentative d'évasion », peut être « suicidé » par ses geôliers (l’hypothèse d’une vengeance d’anciens bandits masqués de 1783, libérés des galères a été évoquée par M.Guerreau ou Paul Messié dans la Revue du Vivarais).

Le troisième camp : la contre-révolution

Prise du camp de Jalès

(Juillet 1792) La conspiration de Saillans. Cette conjuration semble purement contre-révolutionnaire, longuement mûrie par Claude Allier, les Princes émigrés et Saillans.

Saillans tenait garnison à Largentière lors du deuxième camp de Jalès. Il aurait dû participer à sa répression sous les ordres du colonel des Ours de Mandajors qui préfère se passer de son aide. Au mois de décembre 1791, à Perpignan, il tente de soulever son régiment. Il est décrété d’arrestation le 3 janvier 1792 et se réfugie à Coblence[20].

Claude Allier, prieur de Chambonas et monarchiste prosélyte, qui recrute activement depuis des mois, se rend à Coblence en février 1792 pour soumettre aux Princes un plan de soulèvement. Dès le 4 mars, les émigrés nomment Conway pour prendre la tête de l’armée du Midi et lui adjoignent le comte de Saillans qui connaît bien le pays. Son objectif, suivant les conseils du comte d’Artois, futur Charles X : rétablir l’ancien régime malgré l’opposition du Roi.

Il y eu peut être une mauvaise appréciation de la volonté des catholiques de la région de s'opposer aux nouvelles institutions, toujours est-il que Saillans réunit à peine 1 500 partisans là où il en attendait 20 000.

En dépit des conseils des princes et de Conway, Saillans fait le siège du fort de Banne le 4 juillet, le prend le 8. Le Directoire du département de l’Ardèche réunit à Joyeuse une troupe de 8 000 hommes sous le commandement du général d’Albignac. Après quelques escarmouches, entre Joyeuse et Jalès, les rebelles se dispersent grâce à un violent orage, le fort de Banne est repris le 12 et détruit. Saillans en fuite sera repris, conduit aux Vans et décapité sans jugement ainsi que plusieurs de ses complices. Son crâne aurait été ramené au bout d'une pique à Largentière (Ardèche) où elle est encore visible sur un pilier de l'église Notre-Dame des Pommiers .

Crâne de Saillans à Largentière.

Le 18 juillet, l’Assemblée nationale après avoir entendu la lecture de pièces qui lui ont été adressées par le Directoire du département de l’Ardèche déclare l’accusation de 57 personnes, dont Conway, Claude Allier, prieur de Chambonas, Ducros, maire de Berrias, etc. ; le décret est promulgué par le Roi le 20 juillet. Plusieurs seront pris, jugés et guillotinés à Mende (Claude Allier), Privas, Joyeuse, etc. Le Directoire départemental dont l'action fut jugée inefficace par l'Assemblée nationale, fut entièrement renouvelé ainsi que de nombreuses municipalités de la région.

Il faut rappeler que le Roi sera suspendu le 10 août et la République proclamée le 21 septembre 1792.

Pendant plusieurs mois, la poursuite de personnes suspectes de participation à cette conspiration fut le prétexte d'actes de brigandage, d'exécutions sommaires et de sac de propriétés privées.

Albin Mazon évoque la persistance d'actes de brigandage et de chouannerie dans la région du Tanargue jusqu'en 1800 : des bandits à la cocarde blanche rançonnent les voyageurs, pillent les caisses publiques. Ils auraient été commandés par Dominique Allier et par le marquis de Surville[21],[22] descendant de la poétesse Clotilde de Surville qui, capturé, fut fusillé au Puy en 1798, Dominique Allier frére du prieur de Chambonas , capturé et exécuté en septembre 1798. L'abbé Étienne note que la paroisse de Ribes fut inquiétée par des chouans, les uns monarchistes, les autres jacobins, et qu'il fallut l'intervention de 400 soldats de Montchauffé pour venir à bout( non sans commettre quelques excès) de ces brigandages. Des villes comme Barjac, Joyeuse, Pont-Saint-Esprit furent momentanément occupées. Ces épisodes constituent ce qu'il est convenu d'appeller la Terreur blanche avec deux années cruciales : 1795 puis 1799.

Bibliographie

  • Abbé Charles Jolivet, La Révolution dans l'Ardèche 1788-1795, Largentière, imprimerie E.Mazel, 1930 
  • Alice Saunier-Seïté, Le Comte Boissy d'Anglas, Clichy, éditions France Univers, 2001, 359 p. (ISBN 978-2-914437-01-1) [lire en ligne (page consultée le 5 mai 2010)], p. 120 
  • Firmin Boissin : Les Camps de Jalès, 1885.
  • Firmin Boissin, Jan de la Lune, Paris, Nouvelle Librairie Parisienne, Albert Savine Ed., 1887 
  • Jean Règnè, « Les prodromes de la Révolution dans l'Ardèche et dans le Gard : une relation inédite de la révolte des Masques Armés dans le Bas-Vivarais pendant les années 1782-1783 », dans Revue historique de la Révolution française et de l'Empire, Largentière, octobre–décembre 1915, 1916 
  • Boissy d'Anglas et les régicides. par Boissy d'Anglas – d'après des documents officiels et des papiers de famille Boissy d'Anglas, François-Antoine (1846-1921) Impr. de E. Cellier (Annonay).Ed-1905.
  • Emmanuel Vingtrinier, La Contre-Révolution, Première période (1789–1791), Paris, Émile Paul Ed, 1934-1935 
  • Abbé V. Etienne, Notice sur la paroisse de Ribes : Extrait de la Revue du Vivarais, Aubenas, imprimerie Habauzit, 1941 
  • François Lebrun et Roger Dupuis, Les résistances à la Révolution, Imago.Éd, 1987 
  • Albin Mazon, Histoire de Largentière, vol. chapitre VIII, Privas, Imprimerie Constant Laurent, 1904 
  • Albin Mazon, L'ancienne paroisse de Jaujac, Imprimerie Générale de l'Ardèche 
  • M. Guerreau, « Le Vivarais à la veille de la Révolution, les », dans Revue du Vivarais, vol. LXXV, no 4, 1971 
  • M. Guerreau, « L’assasinat de Louis Bastide de Malbosc, les responsables », dans Revue du Vivarais, vol. LXXVI, no 1, 1972 
  • M. Guerreau, « Résurrection de la Jacquerie », dans Revue du Vivarais, vol. LXXVI, no 2, 1972 
  • Paul Mesié, « En marge du camp de Jalès », dans Revue du Vivarais, vol. LV, no 1, 1951, p. 7 à 17 
  • Daniel. Le Blevec, « Les Templiers en Vivarais: les Archives de la Commanderie de Jalès et l'implantation de l'Ordre du Temple en Cévennes. », dans Revue du Vivarais, vol. LXXXIV, no 1, janvier-mars 1980 
  • Robert Saint-Jean, La commanderie de Jales: les bâtiments du XIIe-XVIIIesiècles, chap. 689, p. 53-80 
  • La Commanderie Templière de Jalès : Flânerie historique en Ardèche, Lyon, Les guides du Patrimoine Rhônalpin, juin 2008, chap. 41 

Liens externes

Notes et références

  1. http://books.google.fr/books?id=hh7IUoZuVuMC&pg=PA58&lpg=PA58&dq=camps+de+jales&source=bl&ots=LTkmQlwtmC&sig=Dl8hZHFwEyZcGMvBRFjA8rDBEQM&hl=fr&ei=31MrTKikK6fdsAbbwLTEBA&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=10&ved=0CEYQ6AEwCTgK#v=onepage&q&f=false
  2. http://www.berrias-et-casteljau.fr/rubrique.php3?id_rubrique=5
  3. http://volcans-ardeche.com/patrimoine/visites/Jales/niv0/niv0.html
  4. Berrias et Casteljau : Découvrir Jalès
  5. http://www.templiers.org/jales.php
  6. http://chevaliersdemalte.com/site/
  7. http://www.sagaplanet.com/modules/smartsection/item.php?itemid=66
  8. http://www.le-gigan.org/othm/75003.htm
  9. http://www.vivies.com/index.php?title=Beauvoir
  10. http://marc.blachere.pagesperso-orange.fr/chateau.htm
  11. http://marc.blachere.pagesperso-orange.fr/seigneurs.htm
  12. http://marc.blachere.pagesperso-orange.fr/mariage.htm
  13. http://www.medarus.org/Ardeche/07commun/07comTex/vans.htm
  14. Règnè 1916
  15. http://www.archive.org/stream/LaRevolteDesMasquesArmes1782-1783/RevolteDesMasquesArmes#page/n3/mode/2up
  16. Jolivet 1930
  17. http://60gp.ovh.net/~seauve/caraman_Bastide-Malbos.htm
  18. http://books.google.fr/books?id=hh7IUoZuVuMC&pg=PA58&lpg=PA58&dq=les+camps+de+jal%C3%A8s&source=bl&ots=LTloIqtsqz&sig=aZ5Wesq3IfWNTc7X8JAeVOyTFIg&hl=fr&ei=OPHWTNK7EsqNjAftmpytCQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=4&ved=0CCwQ6AEwAzgK#v=onepage&q=les%20camps%20de%20jal%C3%A8s&f=false
  19. http://chants.royalistes.free.fr/index.php?id=40
  20. Jolivet 1930, p. 356
  21. http://www.medarus.org/Ardeche/07celebr/07celTex/surville_jj.htm
  22. http://books.google.fr/books?id=Tfm33DFSAOQC&lpg=PT225&ots=8zasRCCEI-&dq=assembl%C3%A9e%20d%C3%A9partementales%20de%201790&pg=PT226#v=onepage&q=assembl%C3%A9e%20d%C3%A9partementales%20de%201790&f=false

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