Târ (luth)

Târ (luth)
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Târ Iranien
Femme jouant du târ ; peinture du Palais Hasht Behesht à Esfahan, Iran, 1669

Le târ est un instrument à cordes pincées trouvé en Iran, en Azerbaïdjan, en Géorgie, en Arménie, en Turquie, en Ouzbékistan et au Tadjikistan. C'est un luth à long manche avec un corps en forme de double cœur. Le mot تار târ signifie "corde" en persan.

Sommaire

Tar en Azerbaïdjan

Parmi les instruments de musique, le tar moderne azerbaïdjanais est le meilleur et le principal instrument et cela grâce à sa technique et ses possibilités artistiques. Le tar joue un rôle important dans la culture musicale d’aujourd’hui. De nos jours, en Azerbaïdjan, il est impossible d’imaginer une cérémonie solennelle, une fête et un programme de concert sans la présence du tar. Les tars à deux, trois, quatre et cinq cordes ont existé dans l’histoire musicale azerbaïdjanaise. Des sources historiques donnent assez d’informations sur l’invention et la préparation de ces tars par les artisans azerbaïdjanais. Le nom de cet instrument de musique est mentionné dans les œuvres du grand poète Nizami Gandjavi. Dans la célèbre œuvre de Mahammad Fuzuli, « Haft Jam » le troisième éloge est fait avec le tar. Il s’est inspiré de la musique de tar. Dans son œuvre « Maqasid al-alhan », Abdoulgadir Maragai a parlé de « chechtar » (tar à six cordes). On rencontre la description du tar dans les peintures du Moyen Age. L’œuvre d’Abou Gassim Tabrizi « la fille qui joue du tar » peint en 1816 est intéressante de ce point du vue. A la deuxième moitié du XIX siècle, Mirza Sadig Asad oglou (Sadigdjan: 1846-1902) a apporté des modifications dans la structure et la forme du tar, a augmenté la quantité de ses cordes de 6 à 11. Il a aussi modifié la manière de tenir le tar en le soulevant du niveau de genou au niveau de la poitrine. Ainsi dans la seconde moitié du XIX siècle, le tar moderne azerbaïdjanais est apparu et s’est vite répandu dans toute la région. En Azerbaïdjan, l’interprétation avec le tar est entrée dans une phase de développement plus fort au XX siècle. En 1931, à l’initiative des célèbres compositeurs Uzeyir Hadjibeyli et Muslim Magomayev a été créé le premier orchestre d’instruments nationaux où le tar était l’instrument principal. Fondée par Uzeyir Hadjibeyli, l’école d’interprétation de musique a augmenté les possibilités artistiques et techniques du tar.

D’habitude, le tar est préparé par les artisans selon les traditions spéciales artisanales. Sa partie du pont incomparable (le corps) est préparée surtout du mûrier, mais la manche et la tête sont préparées du noisetier spécial. Cette ancienne profession existait en Azerbaïdjan pendant des siècles et est arrivée jusqu’à notre époque. Actuellement, dans toutes les régions de la République, plusieurs spécialistes s’occupent de ce métier et ils la transmettent à la nouvelle génération. Parmi les artisans spécialistes qui préparent le tar, on peut citer les noms de Kharrat Goulou de Choucha, Hadjiali Hadjiyev de Shamakhi, Heydar Tahmazbayov de Nakhtchivan, Goulamhuseyn Ahmadov d’Agdam, Mahmudbey Soltanov de Goytchay, Bakhchali Chahbazov d’Agsou, Chamil Gabaybeyov de Gouba, Aydin de Balaken, Kamil Ahmadov, Balabey Balabeyov, Panah Gourbanov, Rachid Mammadov de Bakou, Seyran Zoulfougarov de Chaki, Adil Amirov de Djalilabad, Talat Gaboulov de Zagatala et Farrukh Babayev de Gandja. Les tars préparés par ces artisans ont été présentés à plusieurs reprises dans de différents pays (France, Pays-Bas, Turquie, Iran, Inde, etc). Les tars préparés par ces artisans sont aujourd’hui conservés dans des grands musées du monde. Etant différent par sa forme des autres instruments de musique, la longueur du tar est de 850 mm, la hauteur de son corps de 165 mm, la largeur est de 185 mm. Sur sa manche sont attachées 22 touchettes. Sur le pont est fixée la membrane du cœur de bovin. Il possède 11 cordes en métal de différents diamètres. Pour jouer, on utilise un plectre préparé d’os ou d’ébonite. On utilise la grosse corde (la corde seule) pour jouer le mougham. Les interprètes de cet instrument sont appelés «Tarzen».

Le tar moderne azerbaïdjanais a été reconstruit sur la base des tars anciens au XIXe siècle dans la région de Karabakh d’Azerbaïdjan par Mirza Sadig Asad oglou (Sadigdjan), le célèbre interprète et musicien-inventeur. Mais le timbre du son, la structure et la manière d’interprétation sont complètement différentes. Le tar est utilisé dans certains domaines de la culture musicale d’Azerbaïdjan, dans l’interprétation du mougham, dans les orchestres et ensemble d’instruments populaires, l’orchestre symphonique, à l’opéra et aussi comme l’instrument solo. Le tar est présent dans la musique contemporaine de jazz. Beaucoup d’interprète-musiciens professionnels, professeurs, artisans préparant des instruments travaillent pour enseigner, promouvoir le métier de tar dans la République. Ce n’est pas le hasard que le tar soit accepté comme le principal symbole de la culture azerbaïdjanaise. Traditionnellement, le tar avec le kamantcha et le gaval en trio accompagne le chanteur. Il a aussi la possibilité d’interpréter successivement les musiques classiques, le mougham et les œuvres musicales du monde en solo. Il faut tenir le tar sur la poitrine en position horizontale, avec la poignée de la main droite on serre le corps vers la poitrine et pour vibrer les cordes on tient le plectre préparé d’os ou d’ébonite entre le pouce et l’index. Avec le pouce et l’index de la main droite il faut serrer la manche du tar, ainsi les cordes vibrées par la main droite et les différentes membranes serrées par le pouce, l’index et le majeur de la main gauche provoquent des sons. Lors de l’interprétation pour mettre en œuvre les capacités techniques et artistiques, on utilise des trilles et des différentes techniques de plectre. Outre les techniques “ustmizrab” (appuyer le plectre en dessus), “altmizrab” (appuyer le plectre en dessous), “ust-altmizrab” (appuyer en dessus et en dessous) , alt-ustmizrab (appuyer en dessous - en dessus), rukh (droite-gauche), santurmizrab (dessus-dessous-dessus) et les autres techniques on utilise des techniques comme “lal barmag” (doigt muet), “dartma sim” (vibration), “surushdurma barmag” (glissando). Le musicien réalise une longue émission de son en frappant le plectre sur la corde et en serrant le tar contre sa poitrine. L’effet produit lors de cette pause s’appelle "khum". Les pièces de musique de type “do” pour tar sont écrites en clef mezzo-soprano. L’échelle chromatique du tar comprend 2.5 octaves. La gamme couvre les bruits de la faible octave “do” jusqu’à la deuxième octave “sol”. Le tar est l’instrument principal dans la composition du trio mougham (tar, kamantcha, gaval) et joue un rôle exceptionnel dans la vie et le développement du mougham. Pour les opéras à mougham, la partie solo est accompagnée avec le tar. Les compositeurs azerbaïdjanais ont écrit de nombreuses œuvres et concerts pour l’orchestre avec tar. Au XIX – XX siècles, les célèbres interprètes du tar étaient Mirza Sadig Asad oglou, Machadi Djamil Amirov, Chirin Akhoundov, Mirza Faradj, Gourban Pirimov, Mirza Mansour Mansourov, Ahmad Bakikhanov, Bahram Mansourov, Adil Garay Mammadbayov, Hadji Mammadov, Ahsan Dadachov, Baba Salahov, Mammadaga Mouradov, Aliaga Gouliyev, Habib Bayramov, Kamil Ahmadov, Sarvar Ibrahimov. Aujourd’hui parmi les « tarzen » célèbres ont peut citer Ramiz Gouliyev, Adil Baghirov, Mohlat Muslumov, Zamig Aliyev, Agasalim Abdullayev, Firuz Aliyev, Vamig Mammadaliyev, Eltchin Hachimov etc.

En se basant sur les particularités acoustiques et les possibilités d’interprétation technique du tar, Uzeyir Hadjibeyli, le fameux compositeur azerbaïdjanais avait écrit « Le tar est le plus précieux et le principal instrument qui peut développer l’enseignement de la musique orientale ». L’enseignement professionnel du tar a commencé en 1935 au Collège Musical de Bakou qui porte le nom d’Assaf Zeynalli. En 1935, Said Roustamov, le fameux compositeur azerbaïdjanais a préparé le premier manuel du tar. Quelques années plus tard, d’autres manuels ont également vu le jour. Les chercheurs musiciens ont étudié cet instrument de musique et ont écrit des articles scientifiques et des monographies. En 1983, a été publié “Tar azerbaïdjanais”- la monographie scientifique de Vaguif Abdoulgassimov, le vice-recteur de l’Académie Nationale d’Azerbaïdjan, le chercheur de cet instrument de musique et le candidat en arts. Dans toutes les régions d’Azerbaïdjan, des écoles de tar sont ouvertes. On enseigne à la jeune génération le métier du mougham de façon traditionnelle ou à l’aide des œuvres de musique. De plus, les familles azerbaïdjanaises ont conservé et transmis de génération en génération l’interprétation du tar comme un patrimoine précieux. Cette tradition continue même de nos jours. Les compositeurs contemporains azerbaïdjanais composent régulièrement de petites ou de grandes pièces pour tar. En même temps, les professeurs de tar qui font vivre ce métier adaptent les œuvres des compositeurs occidentaux et étrangers pour le tar et créent ainsi des conditions pour jouer à l’échelle mondiale. Depuis 1985, Ramiz Gouliyev, le professeur de l’Académie de Musique de Bakou et interprète de tar a travaillé un certain nombre d’œuvres de compositeurs étrangers et azerbaïdjanais pour le tar et le piano. De nos jours, des milliers d’élèves et étudiants apprennent professionnellement le secret de de cet instrument et ce métier dans les collèges de musique, les gymnases, les écoles de musique et artistiques pour enfants, au Conservatoire National et à l’Université de la Culture et des Beaux-arts.

A part l’interprétation et l’enseignement de cet instrument de musique, sont régulièrement organisés des événements au niveau de l’Etat. Les concours et festivals organisés par l’école de musique pour enfants auprès du Ministère de la Culture et du Tourisme d’Azerbaïdjan ont une influence positive sur le développement de tous les instruments de musique y compris le tar, pour sa préservation et l’attachement à l’origine traditionnelle. Le concours national qui porte le nom du célèbre interprète de tar Hadji Mammadov, le concours des interprètes de mougham organisé tous les deux ans à Astara, le concours national des instruments populaires parmi les écoles de musique et d’art sont très importants de ce point de vue. Le concours “Okhou tar” organisé de 1967 jusqu’en 1980 a permis de choisir les meilleurs interprètes de tar et décerner des diplômes de hauts niveau. De 1990 à 2002, chaque année des concerts solo des interprètes de tar ont été organisés à l’Académie de Musique de Bakou au nom d’Uzeyir Hadjibeyli et à la Philharmonie d’Etat au nom de Muslim Magomayev. Cela a également joué un rôle important dans l’enseignement et la préservation du tar. En 1997, l’organisation des événements commémoratifs pour le 150e anniversaire de Mirza Sadig Asad oglou, l’inventeur du tar azerbaïdjanais et le concours national d’interprètes des instruments de musique populaires ont été le résultat de l’attention et du soutien de l’Etat azerbaïdjanais.

En 2003, la connaissance du mougham azerbaïdjanais comme un patrimoine culturel immatériel par l’UNESCO a créé des conditions pour la reconnaissance du tar, du kamantcha et du gaval comme partie intégrante du mougham.

De nos jours, le tar est présenté par les interprètes professionnels au niveau international. Les célèbres musiciens, les hommes d’art considèrent le tar comme partie intégrante du patrimoine mondial. Le son magique du tar laisse admirer non seulement les Azerbaïdjanais, mais aussi tous les peuples du monde et tous les auditeurs par son timbre de son et les possibilités techniques d’interprétation. Les interprétations des partitions et de mougham avec le tar enregistrées sur CD sont appréciées par tous les peuples du monde. Certains étrangers ont adoré l’instrument national de musique azerbaïdjanais et ont souhaité l’interpréter. L’interprète amateur japonaise, madame Tamoka Imoura interprétait le saz, le français Marc Loopuyt joue de l’oud, le célèbre chef d’orchestre et violoncelliste Dmitri Yablonski interprète le kamantcha et l’américain Georges Verbach joue bien du kamantcha et du tar. Le tar est présenté dans les musées et les expositions universelles des grands pays du monde comme la France, l’Allemagne, la Russie, les Etats-Unis, la Turquie, l’Italie, le Royaume Uni, l’Australie, l’Iran, le Pakistan, l’Inde, la Chine, le Japon etc. Les célèbres interprètes du tar azerbaïdjanais interprètent non seulement la musique nationale et le mougham mais également les œuvres des grands compositeurs - Bach, Beethoven, Brahms, Mozart, Schubert, Glinka, Tchaïkovski - dans des salons de concert du pays. En 1994, Ramiz Gouliyev, le célèbre interprète du tar, artiste national d’Azerbaïdjan a participé au festival de musique de Lucerne en Suisse avec l’aide de l’orchestre de chambre “la Strimpellata” sous la baguette du maestro Daniel Klauner, en 2003-2004 sous l’aide de l’orchestre symphonique “Trondheim” dans les villes de Stavanger et de Bergen en Norvège et en 2009 avec l’aide de l’orchestre symphonique d’Etat de Kiev. Les grandes possibilités du tar azerbaïdjanais ont également été prouvées lors des événements culturels et des festivals internationaux de musique organisés en 1993 à Berlin (Allemagne), à Paris (France), en 1994 à New-York et à Washington (Etats-Unis), en 1996 à Hambourg et à Stuttgart (Allemagne), en 1998 à Londres (Royaume Uni), en 2002 en Norvège, en 2009 à Kaliningrad (Russie), en 2010 à Ankara et à Istanbul (Turquie), la même année à Téhéran (Iran) et dans de différentes villes du monde. Ce n’est pas par hasard que l’un des chanteurs représentant l’Azerbaïdjan au concours de la chanson “Eurovision 2009”- Arash ait préparé une présentation spéciale sur le tar. La chanson qui a gagné la troisième place était accompagnée de tar et lors du clip et l’interprétation en direct, le chanteur est sorti sur scène avec le tar. Sans doute l’attention et le soin de l’Etat azerbaïdjanais aux valeurs nationales morales, ainsi que pour le mougham et les instruments de musique est un grand cadeau pour la protection, le développement et la promotion de ce domaine de l’art.

Lutherie

Le corps du târ est taillé dans un bloc de murier coupé en deux, évidé et recollé. Il a une forme de huit ou de double cœur. Une très fine membrane (péricarde de taureau ou de veau) est ensuite collée sur le pourtour des faces laissées ouvertes. Dans le târ basse, l'ouverture du haut n'est pas recouverte, afin de donner plus de sonorité.

Sur la membrane inférieure, la plus large, est posé un petit chevalet (en os) à pieds, retenu par une cordelette au corps de l'instrument. Étant donné la grande fragilité de l'instrument à cet endroit, il y a souvent une déchirure due à un coup de plectre mal calculé ou trop fort ; la position parfaitement perpendiculaire au joueur évitera ces déconvenues.

Le manche en bois de noyer est collé au corps. La touche est recouverte de deux bandes d'os afin de faciliter le glissement et la sonorité. Il y a 25 frettes en boyau nouées et amovibles

Le petit plectre est en métal (laiton ou bronze) entouré de cire à une extrémité afin qu'il ne glisse pas des doigts.

Les six cordes disposées en 3 chœurs sont en métal (acier et cuivre) et ont la particularité de ne pas être nouées aux chevilles, mais retenues par des cordelettes qui elles se nouent aux chevilles.

Le târ persan avait autrefois 5 cordes. La sixième corde a été ajoutée par l'un de ces grands interprètes passés : Darvish Khan.

Le târ azéri qui a été introduit par Sadıqcan a une forme sensiblement différente et possède une peau de poisson, et cinq cordes harmoniques en plus.

Jeu

Le târ se joue posé sur le genou droit, la main gauche sur le manche (bien droit, pas penché) et la droite avec le plectre, tenu entre pouce et index et joué par le poignet. Le musicien est soit assis par terre soit sur une chaise, soit même debout pour les Azéris et Arméniens qui tiennent plutôt le târ sur la poitrine, coincé par le coude droit, et jouent donc "très haut", grâce à une flexion du poignet.

On ne joue jamais d'accord dans ces musiques modales, et la dextérité de la main gauche (aux doigts très "allègres") ici est mise à rude épreuve. La main droite par de rapides et rythmiques mouvements d'une corde à l'autre, peut effectuer des chaharmezrabs très rapides, donnant l'impression que deux instruments jouent en même temps (l'un rythmique, l'autre mélodique).

Il peut se jouer en solo, accompagné de percussion, ou au sein d'un orchestre, à moins qu'il n'accompagne en solo, un chant. C'est un instrument plutôt "viril" comparé au setâr.

Le târ est un des plus importants instruments de la musique classique persane et azérie. La formation, la compilation, l'édition et l'héritage des versions les plus authentiques et les plus complètes du radif sont tous travaillés à partir du târ. Les tendances générales de la musique perse classique ont toutes été fortement influencées par les joueurs de târ.

Actuellement, les trois plus grands interprètes iraniens de cet instrument sont : Mohammad Reza Lotfi, Hossein Alizadeh et Dariush Talai.

Le târ est une partie constitutive du trio classique de mugham (un genre de musique traditionnelle azérie) dont Bahram Mansurov est l'un des meilleurs interprètes.

Liens externes

Extraits musicaux



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