France24.com

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France 24

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Création 30 novembre 2005 (lancement le 6 décembre 2006 à 20 h 30)
Slogan « « (la chaîne de) l’actualité internationale 24h/24 »
« au-delà de l'info » »
Langue français, anglais et arabe
Pays d'origine France France
Statut Thématique internationale publique
Ancien nom CF2I (projet en 2005)
Siège social 5, rue des Nations Unies, 92130 Issy-les-Moulineaux
Site Web http://www.france24.com/fr/
Diffusion
Analogique Non
Numérique DTT (Italie)[1]
Satellite Hot-Bird 7A / Atlantic Bird 3
Astra 1KR
Eurobird
Arabsat 3A
Nilesat 102
NSS-7
CanalSat : Chaîne n° 46 et 360
Bis Télévisions : Chaîne n° 124 et 125
Orange TV : Chaîne n° 160 et 168
TéléSAT : Chaîne n° 52, 121 et 305
TV Vlaanderen : Chaîne n° 52
CanalDigitaal
Digital +
Sky Digital
Sky Italia
Cyfra +
Nova
CanalSat Horizons
Câble Numericable
Coditel : Chaîne n° 18 (Wallonie et Bruxelles), n° 48 (Flandre)
VOO Numérique: Chaîne n°38
MC Cable
Cablecom
Naxoo
Comcast/MHz Worldview
ADSL Freebox TV : Chaîne n° 24, 95 et 96
Orange TV : Chaîne n° 160 et 168
Neuf TV : Chaîne n° 222
P2P Zattoo

France 24 est une chaîne de télévision française d’information internationale en continu 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

France 24 a été lancée le 6 décembre 2006. Elle a pour principaux concurrents l'américaine CNN, la britannique BBC World, la paneuropéenne EuroNews, l’allemande Deutsche Welle ou encore la qatarienne Al Jazeera. Elle se veut d'ailleurs une « CNN à la française »[2], selon les propos de Renaud Donnedieu de Vabres, alors ministre de la Culture.

La chaîne est une filiale à 100% de l'organisme public français, la Société de l'audiovisuel extérieur de la France, depuis 2008.

Sommaire

Histoire de la chaîne

1987-1997 : de l’idée au premier projet Téléfi

En 1987, Jacques Chirac, alors Premier ministre, exprime le désir de voir naître une chaîne française d’information internationale et commande un rapport sur l’audiovisuel extérieur français, qui fait ressortir sa fragmentation (RFI, TV5, mais aussi, dans une certaine mesure, RFO, etc.), sa mauvaise organisation et son peu d’efficacité.

Avec le changement de majorité intervenu en 1988 et la nomination de Michel Rocard comme Premier ministre, le gouvernement lance un nouvel instrument Canal France International (CFI), banque de programmes destinée à fournir des programmes français pour l’étranger et en particulier l’Afrique, bientôt doublée d’une chaîne de télévision.

La guerre du Golfe en 1990-1991, relayée dans le monde par CNN International, révèle la puissance des chaînes d’information internationales et leur rôle dans la formation de l’opinion. Philippe Seguin souhaite alors la création d’un équivalent français.

En 1996, après 19 rapports en 10 ans, le Premier ministre Alain Juppé demande à Jean-Paul Cluzel, inspecteur général des finances, alors président de RFI, de concevoir un projet de chaîne française d’information internationale. Jean-Paul Cluzel propose en 1997 de réunir TV5, RFI et CFI au sein d’une société baptisée Téléfi. Le gouvernement décide de suivre cette recommandation. Mais avec le retour au pouvoir de la gauche à la suite de la dissolution de l’Assemblée nationale en 1997, le nouveau ministre des Affaires étrangères, Hubert Védrine, choisit de favoriser plutôt le développement des instruments existants et en particulier TV5 qui, sous l’impulsion de ses présidents successifs, Jean Stock puis Serge Adda, développe sa capacité de produire des programmes propres, notamment des journaux d’information, pour lesquels la chaîne constitue sa propre rédaction.

Avec, en outre, la création d’EuroNews en 1993, le dispositif de présence audiovisuelle de la France à l’étranger devient chaque jour plus complexe, plus éclaté et plus coûteux, sans pour autant pouvoir s’appuyer sur une véritable chaîne d’information internationale en continu, à l’image de CNN International ou de BBC World.

2002-2003 : des réflexions relancées au projet CF2I

En 2002, Jacques Chirac relance le projet de chaîne française d’information internationale. Lors d’une allocution prononcée à l’occasion d’une réception en l’honneur du Haut Conseil de la francophonie au Palais de l'Élysée le 12 février 2002, il déclare : « Est-il compréhensible qu’année après année, nous en soyons encore à déplorer les insuffisances persistantes de l’information et de l’audiovisuel francophone sur la scène mondiale ? Certes, nous disposons avec l’agence France-Presse d’un remarquable outil d’information qu’il nous faut conforter sans cesse, notamment dans sa vocation mondiale. Certes, chacun s’entend à reconnaître les progrès récents accomplis par RFI, par TV5, par CFI, grâce aux efforts de leurs équipes et à la détermination des pouvoirs publics. Mais chacun constate que nous sommes encore loin de disposer d’une grande chaîne d’information internationale en français, capable de rivaliser avec la BBC ou CNN. Et les crises récentes ont montré le handicap que subissent un pays, une aire culturelle, qui ne disposent pas d’un poids suffisant dans la bataille de l’image et des ondes. Interrogeons-nous, à l’heure des réseaux hertziens, du satellite, de l’internet, sur notre organisation dans ce domaine et notamment sur l’éparpillement des moyens publics qui lui sont consacrés. »[3] Puis, le 7 mars, s’exprimant au Palais du Luxembourg devant les représentants des Français de l’étranger, dans le cadre de la campagne présidentielle, il indique plus précisément : « Nous devons avoir l’ambition d’une grande chaîne d’information continue internationale en français, à l’égale de la BBC ou de CNN pour les anglophones. C’est essentiel pour le rayonnement de notre pays. Et pour les expatriés, ce serait un lien vivant et immédiat avec la métropole. »[4]

Après sa réélection, les premières réflexions sont engagées au ministère des Affaires étrangères, dirigé par Dominique de Villepin. Celui-ci missionne un diplomate, Philippe Baudillon, ancien directeur général de CFI, dont le rapport, qualifié de « technique », ne sera pas rendu public. Diverses options sont examinées :

  • rachat d’EuroNews par l’État français ;
  • création d’une chaîne ex nihilo, comme le propose le président de France Télévisions, Marc Tessier, qui avait fait valider par le précédent gouvernement un projet de chaîne nationale d’information en continu de service public, devant être diffusée sur la TNT, alors en cours de préparation[5] ;
  • réalisation d’une version internationale de LCI, comme le propose TF1 qui demande, pour cela, une subvention de l’État ;
  • renforcement de l’information au sein de TV5, comme le suggèrent Serge Adda et les services du ministère des Affaires étrangères.

Des réflexions sont parallèlement engagées auprès du Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, dont un proche conseiller, Dominique Ambiel, anime un groupe de travail ad hoc où l’on trouve des hauts fonctionnaires et des professionnels de l’audiovisuel comme Patrice Duhamel et Norbert Balit. Enfin, en décembre 2002, une mission parlementaire d’information présidée par François Rochebloine, député UDF de la Loire, se saisit à son tour du sujet, sans que le gouvernement l’ait d’ailleurs souhaité. Les crises afghane puis irakienne confortent les autorités dans le projet, d’autant qu’en février 2003, CNN, Fox News et MSNBC censurent les longs applaudissements enthousiastes de l’assemblée du conseil de sécurité des Nations unies à la suite du discours de Dominique de Villepin à propos du conflit en Iraq.

Logo du projet Cf2i en 2005

Le 19 mars, les travaux de la commission de Matignon débouchent sur un appel à projets lancé par un service du Premier ministre, la direction du développement des médias, pour « susciter le développement d’une chaîne d’information internationale. Émettant prioritairement en langue française, ce service aura vocation à assurer une présence plus importante et plus visible de la France dans la bataille mondiale des images, et à contribuer au pluralisme de l’information internationale en offrant aux téléspectateurs le choix d’un regard différent sur l’actualité, marqué par le point de vue singulier de notre pays sur les affaires du monde, par sa culture et par son génie propre, et valorisant ses liens historiques et géographiques privilégiés. La chaîne d’information internationale devra ainsi contribuer à une stratégie durable d’influence de la France dans le monde. »[6]

Lors de la clôture de l’appel d’offres le 22 avril 2003, trois candidats ont répondu : France Télévisions et RFI défendent ensemble un projet entièrement public ; le Groupe TF1 propose une version internationale de LCI ; le Groupe Canal+ veut créer une news factory pour alimenter sa filiale i>Télé, déjà présente dans 47 pays mais fortement déficitaire.

Un mois plus tard, la mission parlementaire rend ses conclusions, à l’unanimité de ses membres, représentant tout l’éventail des sensibilités politiques présentes à l’Assemblée nationale. Le consensus se forme autour de la création d’un groupement d'intérêt public (GIP) rassemblant l’ensemble des acteurs publics (France Télévisions, RFO, RFI, TV5 et AFP), dans le but de lancer la chaîne fin 2004.

Ignorant le travail de la mission parlementaire, qu’il n’avait d’ailleurs pas sollicité, le gouvernement demande à un député, d’ailleurs membre de la mission, Bernard Brochand, d’élaborer un schéma opérationnel à partir des propositions reçues en réponses à l’appel d’offres. Bernard Brochand tente de rapprocher Canal+ et TF1 mais n’y parvient pas. Il propose alors de rapprocher TF1 et France Télévisions, en écartant RFI, pour créer une chaîne détenue à 50 / 50 par le groupe privé et le groupe public, provisoirement baptisée CF2I ou CFII[7]. Le parlementaire fait valoir que la nouvelle chaîne pourra ainsi bénéficier de l’expérience et des moyens (notamment à l’étranger), des deux principaux acteurs français en matière d’information télévisée : TF1 et sa chaîne d’information nationale LCI, France Télévisions avec les rédactions de France 2 et de France 3.

2004-2006 : des derniers rebondissements à la mise en place de France 24

Logo du projet France 24 en 2006

Tout semble prêt. Lors de ses vœux à la presse en janvier 2004, Jacques Chirac émet le souhait d’un lancement en fin d’année mais différents mécontentements se cristallisent. Les députés de la mission d’information sont furieux que le schéma qu’ils ont proposé ait été écarté, sur la base d’un rapport confié à l’un des leurs. Les syndicats de France Télévisions stigmatisent l’alliance avec le privé, qu’ils dénoncent comme « le mariage de la carpe et du lapin », et le refus de soumettre la chaîne aux très protectrices conventions collectives de l’audiovisuel public, tandis que RFI est vexée de ne pas être associée au projet. "Parrain privé, chaîne publique", pointe Le Monde diplomatique en janvier 2006. Une partie de la presse ironise aussi sur la prétendue modestie du budget de la chaîne – 80 millions d’euros au démarrage – qu’elle compare au chiffre de 600 millions d’euros qui serait le budget de BBC World[8]. Enfin, le ministère des Affaires étrangères redoute que le budget de la chaîne ne soit dégagé au détriment de ses crédits et, en particulier, de ceux de TV5.

Face aux mécontentements, le cabinet du Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, temporise pendant toute l’année 2004. Le ministre des Affaires étrangères, Michel Barnier, annonce le 21 juillet, que la chaîne n’aura pas de budget avant 2007, ce que confirme le vote de la loi de finances en septembre, qui ne prévoit pas de moyens spécifiques pour la CF2I. Mais le Premier ministre doit céder sous la pression de l’Élysée : le 9 décembre 2004, lors d’une conférence de presse, Jean-Pierre Raffarin annonce le lancement de la chaîne d’information internationale en 2005 : « J’ai décidé, indique-t-il, de retenir le projet de société commune proposé par France Télévision et TF1. Voulue par le Président de la République, la nouvelle chaîne bénéficiera des atouts des grands groupes français, public et privé, de télévision et favorisera l’expression d’une vision française plus que jamais nécessaire dans le monde d’aujourd’hui. Le Gouvernement va déposer un amendement au projet de loi de finances rectificative pour assurer le démarrage de la chaîne à hauteur de 30 millions d’euros. »[9] Cet amendement est voté le jour même par l’Assemblée nationale.

Le début de l’année 2005 est occupé à l’obtention des autorisations nécessaires de la part de l’Union européenne et des autorités de concurrence. Les syndicats de France Télévisions continuent leur opposition et font circuler une pétition en mars 2005. Le nouveau président du groupe public, Patrick de Carolis, qui prend ses fonctions à l’été et qu’on accuse d’être proche de l’Élysée, veut se dédouaner avec éclat de ce soupçon tout en faisant un geste à l’égard des syndicats. Il adopte, sur le dossier de la chaîne d’information internationale, une position offensive, mettant en doute la viabilité de l’alliance avec TF1 : « Pour être efficace, il faut un seul pilote dans la voiture. » [10] Il exige que la chaîne soit diffusée en France, ce que réclament les parlementaires, car il suppose que TF1, soucieux de protéger sa chaîne LCI, refusera. En réalité, Patrick Le Lay, président de TF1, accepte la diffusion en France de la chaîne, et le schéma opérationnel est légèrement retouché pour substituer à la présidence tournante alternée tous les 6 mois entre TF1 et France Télévisions, un schéma de société à directoire et conseil de surveillance dans lequel la présidence du conseil de surveillance est dévolue au président de France Télévisions. Ces quelques aménagements nécessitent toutefois d’obtenir de nouvelles autorisations de la part des autorités européennes et françaises de concurrence, ce qui est fait sans difficulté particulière.

La naissance de la chaîne est officialisée lors d’une communication au conseil des ministres du ministre de la Culture et de la Communication, Renaud Donnedieu de Vabres, le 30 novembre 2005 : «  Le projet de chaîne française d’information internationale (CFII) [...] permettra de proposer une vision propre à notre pays des évènements internationaux et de renforcer sa présence dans le monde »[11] au travers de cet outil « libre et indépendant ». Alain de Pouzilhac, ancien président-directeur général d’Havas, est désigné comme président du directoire, et flanqué de deux adjoints issus l’un de TF1 (Jean-Pierre Paoli), l’autre de France Télévisions (Ulysse Gosset). Avant le lancement de la chaîne, le premier démissionne pour conserver ses émoluments au sein du groupe TF1, le second pour divergences de vues avec Alain de Pouzilhac, le président de France 24.

Le 22 avril 2006, le journal Le Monde annonce que les dirigeants de la chaîne ont estimé que le sigle CFII serait imprononçable en particulier à l’étranger[12]. Son nom a été rendu public le 30 juin 2006 : France 24 ou F24. Cette décision a été prise par le conseil de surveillance, présidé par le président de France Télévisions, Patrick de Carolis, qui a fait son choix dans une liste de cinq appellations parmi lesquelles France 24 faisait figure de favori avec Version française.

Période de croissance et sortie de TF1

France 24 a commencé à émettre le 6 décembre 2006 à 20h29, uniquement en streaming sur Internet, puis sur le câble et le satellite dès le 7 décembre en France, en Europe, aux Proche et Moyen-Orient, en Afrique et aux États-Unis dans l’État de New York et dans le District de Columbia sur deux canaux, l’un en français et l’autre bilingue (3/4 anglais - 1/4 français), et diffuse, depuis le 2 avril 2007, des programmes en arabe à destination des téléspectateurs du Maghreb, du Proche et et du Moyen-Orient avec un décrochage en arabe de 16h00 à 20h00 entre des plages francophones ou anglophones selon les régions. Elle se veut une « CNN à la française », et le pendant français de chaînes d’information internationales telles que les américaines CNN et Voice of America, la britannique BBC World, la paneuropéenne EuroNews, l’allemande Deutsche Welle ou la qatari Al Jazeera. Parmi les concurrents internationaux de France 24, on peut aussi noter CCTV-E&F, chaîne satellite de la télévision nationale chinoise, diffusant toutes les heures des journaux d'information en français et en espagnol.

Deux mois après le lancement, un sondage réalisé par TNS Sofres indiquait que 75 % des Français interrogés pensaient que France 24 était « utile et indispensable »[13]. En revanche, quelques critiques ont été émises à l'encontre du nom de France 24, qui aurait une connotation trop francocentrée pour une chaîne d'information se voulant internationale[14].

La participation croisée sera abandonnée pour le groupe TF1, à compter d'octobre 2008[15]. L'opérateur principal de France24 devenant dès lors, une filiale de l'Audiovisuel Extérieur de la France (AEF), organisme public.

Le choix, en tout cas, de diffuser France 24 simultanément via le câble, le satellite et le Web a été délibéré, ainsi que l'a expliqué Alain de Pouzilhac, Président du Directoire : « Fusionner une radio et une chaîne de télévision, la BBC l'a fait en 1957. Moi, je crois à la complémentarité de la télévision et d'Internet ». Propos appuyés par la suite par Stanislas Leridon, directeur Internet et des Nouveaux Médias : « Pour nous, il n'y a pas de différences entre Internet et le broadcast."

Les internautes peuvent ainsi retrouver sur le Web la quasi-totalité des contenus audiovisuels de la chaîne tels que, notamment, les derniers journaux télévisés (JT), les reportages, les débats, la rubrique Culture, la météo mondiale, l’économie et « Bienvenue en France ».

Afin de mieux diffuser son contenu vidéo, le site de FRANCE 24 a monté des partenariats avec les principaux sites de diffusion de vidéos tels que Youtube et Dailymotion.

France24.com a également mis l'accent sur l'interactivité : Les internautes peuvent réagir à tous les contenus publiés sous forme de commentaires.

Un site participatif a été lancé dans le même temps : « Les Observateurs ». Le principe est simple : ce sont des internautes-observateurs d’événements survenant dans le monde qui viennent publier leurs témoignages dans les colonnes du site. Les internautes peuvent ensuite réagir à leur tour

Les habituels chroniqueurs télé de FRANCE 24 ont, eux, ouvert des blogs.

Le volet interactif s’est étoffé dans d’autres domaines. La création du service MON FRANCE 24 permet aux internautes de s’inscrire à des services gratuits et personnalisables tels que les newsletters et les alertes.

La jonction avec les programmes de l’antenne s’est également effectuée via les podcasts : la plupart des émissions de FRANCE 24 sont désormais téléchargeables et visionnables sur des baladeurs numériques. Et des projets de diffusion sur le téléphone mobile ont vu le jour.

Récentes pierres posées à l’édifice :

- La consultation du site via des fils RSS et de widgets.

- Le lancement d’une section dédiée à la finance.

- Le lancement d'un site dédié à la diffusion de FRANCE 24 sur les téléphones mobiles

- Le lancement du service Mobiclip qui permet de consulter les vidéos de FRANCE 24 à la demande.

- Le lancement de la version du site spécifique pour iPhone. (Depuis le 7 février 2009, la chaîne FRANCE 24 est désormais consultable en direct sur iPhone.)

Evolution importante intervenue le 14 janvier 2009 : la chaîne est désormais disponible sur le bouquet ADSL Orange mais également sur celui de Free, en français, en anglais et en arabe.

En 2007, le site de France 24 a reçu un Webby Award.

Toutefois, les problèmes persistent à cause d'une trop grande fragmentation de l'audiovisuel extérieur français, qui coûte 300 millions d'Euros par an au Ministère des Affaires étrangères pour une efficacité limitée. En juin 2007, un comité de pilotage d'environ vingt personnes se constitue pour réfléchir à une réforme. L'un des membres de ce comité, Georges-Marc Benamou, conseiller du président Nicolas Sarkozy pour l'audiovisuel, compare le réseau hétéroclite à un « Meccano abracadabrant »[16]. En août 2007, Sarkozy s'adresse également à Bernard Kouchner et Christine Albanel, alors ministres respectifs des Affaires étrangères et de la Culture, à propos d'une réorganisation nécessaire du système: « notre politique audiovisuelle extérieure constitue un enjeu majeur pour l'influence de la France et pour la diffusion de sa langue »[16]. Cette volonté de réforme unilatérale inquiète alors la Belgique, la Suisse et le Québec à propos de l'avenir de TV5, dont ils sont chacun actionnaires à plus de 11 % et qu'ils considèrent comme un instrument au service de la francophonie et non de la France[16]. D'autre part, les syndicats redoutent des mesures d'économie à venir[16].

Au Journal Officiel de la République Française du 23 janvier 2009 paraissent l'Arrêté du 23 janvier 2009 autorisant la société France Télévisions à céder sa participation dans le capital de la société France 24 (NOR: MCCT0900712A) et l'Arrêté du 23 janvier 2009 portant approbation d'opérations financières réalisées par la société Audiovisuel extérieur de la France (NOR: MCCT0900713A) qui fait de cette dernière société l'actionnaire unique de France 24 en la valorisant pour un total de 4 millions d'euros.

Le 27 avril 2009 a été une date importante pour le canal arabe : le temps d'antenne a augmenté significativement, passant de 4 heures de diffusion à 10 heures. Et ce, sur une base quotidienne, de 14 heures à minuit.

Organisation

Dirigeants

Conseil d'administration

La chaîne possède un conseil d'administration comprenant :

Président

Directrice générale

Directeur adjoint de la rédaction en charge des magazines et talk-shows

  • Jean Lesieur

Directeur Délégué en charge de l’Information, des Programmes et du Multimédia :

  • Vincent Giret

Directeur adjoint de la rédaction en charge des news

  • Albert Ripamonti

Directeur Délégué en charge des technologies, de la distribution et des directions fonctionnelles

  • Jean-Yves Bonsergent

Directeur des technologies et des systèmes d’information

  • Frédéric Brochard

Directeur internet & nouveaux médias

  • Stanislas Leridon

Lors de son lancement, France 24 dispose de 380 collaborateurs permanents dont 170 journalistes, 160 techniciens et 40 personnes dans la distribution et les directions fonctionnelles. 34 nationalités sont représentées dans ses équipes dont la moyenne d’âge est de 33 ans.

Capital

Pour son lancement le capital de France 24 s'est élevé à de 37 000 €, détenu à parité égale par France Télévisions et le Groupe TF1. La chaîne dispose d’une dotation annuelle de l’État français de 80 millions d’euros. Le budget de la chaîne en 2007 se monte à 87 millions d’euros. En 2008, avec la réorganisation de l'audiovisuel public extérieur, l'Etat français a négocié le rachat des 50% du capital détenu par TF1. Les 50% restants détenus par France Télévisions lui étant déjà acquis, l'Audiovisuel extérieur de la France contrôle désormais seul, la chaîne France 24.

Programmes

France 24 propose des bulletins d’informations toutes les 30 minutes, des magazines et émissions de plateau diffusés simultanément en français et anglais. Les émissions en anglais du canal bilingue ne sont pas des versions traduites du canal francophone. Les mêmes émissions sont réalisées par deux rédactions et diffusées en parallèle sur les deux canaux.

Pour alimenter son antenne, France 24 produit un tiers de ses images, bénéficie des images et des correspondants à l’étranger de ses actionnaires (France 2 et France 3), ainsi que de celles de ses partenaires (Agence France-Presse, RFI, RFO, TV5MONDE, CFI, UER, APTN et Reuters)

Les journaux télévisés

En semaine (du lundi au jeudi), journalistes remplacés par Marina Bertsch.

Le matin : Antoine Cormery et Arnaud Rivoire

Le midi et l'après-midi : Valérie Fayolle

L'après-midi et le soir: Vanessa Burggraf

Le soir et la nuit: Léa Salamé

Pendant le week-end (du vendredi au dimanche), journalistes remplacés par Hélène Drouet.

Le matin : Sonia Patricelli

Le midi et l'après-midi: Judith Grimaldi

L'après-midi et le soir: Florent Peiffer

Le soir et la nuit: Aude Lechrist

Émissions en français

Les "débats"
  • Le débat de France 24  : émission de débat quotidienne sur le fait du jour animée par Sylvain Attal du lundi au jeudi à 19h15 (GMT+1).
  • L'entretien de France 24 : émission quotidienne animée par Sylvain Attal du lundi au vendredi à 22h45 (GMT+1).
  • Face à Face  : émission quotidienne animée par Caroline de Camaret du lundi au vendredi à 12h15 (GMT+1).
  • Politiques  : émission hebdomadaire animée par Roselyne Febvre tous les mercredis à 17h10 (GMT+1).
  • A la une  : émission quotidienne animée par Gauthier Rybinski du lundi au vendredi à 8h20 (GMT+1).
Les continents
  • Une semaine aux Amériques  : émission sur les Amériques animée par Léa Salamé le mercredi à 18h45 (GMT+1).
  • Une semaine en Asie  : émission sur l'Asie animée par Sonia Patricelli le dimanche à 18h45 (GMT+1).
  • Une semaine au Moyen-Orient : émission sur le Moyen-Orient animée par Florent Peiffer le vendredi à 18h45, le samedi à 13h15 et le dimanche à 10h45 (GMT+1).
  • Une semaine en Europe  : émission sur l'Europe animée par Caroline de Camaret le lundi à 18h45 (GMT+1).
  • Une semaine en France  : émission sur la France animée par Marina Bertsch le mardi à 18h45(GMT+1).
  • Une semaine en Afrique  : émission sur l'Afrique animée par Vanessa Burggraf le jeudi à 18h45 et le samedi à 13h15 (GMT+1).
  • Une semaine au Maghreb  : émission sur le Maghreb animée par Aziza Wassef le samedi à 18h45 (GMT+1).
Culture
  • Les Arts de Vivre  : émission sur les arts de vivre du lundi au vendredi à 18h25 (GMT+1)
  • Culture  : émission quotidienne sur la culture animée par Elizabeth Tchoungui du lundi au vendredi à 9h20 (GMT+1).
Sports
  • Sports : du lundi au vendredi à 6h15, le samedi à 23h10 et le dimanche à 23h10 (GMT+1).
Économie
  • Bourse  : du lundi au vendredi à 6h20, 17h00 et 22h25 (GMT+1).
  • Economie : du lundi au vendredi à 7h20 (GMT+1).
  • Economie : émission quotidienne animée par Stéphanie Antoine du lundi au vendredi à 20h15 (GMT+1).
Science & Environnement
  • Santé  : le mardi à 10h20, le samedi 11h15 et le dimanche 13h15 (GMT+1).
  • Futur  : le mercredi à 10h20 et le dimanche à 12h20 et 18h45 (GMT+1).
  • Environnement : le lundi à 10h20 et le samedi à 15h15 et 22h15 (GMT+1).
  • La Revue de presse des hebdos : le week-end à 6:50 du matin. Chaque samedi matin et dimanche matin, un journaliste de la rédaction présente les journaux de presse en compagnie d'un présentateur. Animée par Antoine Cormery et Judith Grimaldi.

Émissions en anglais

The talks
  • The France 24 Debate  : émission de débat quotidienne sur le fait du jour animée par Andrea Sanke à 19h15 (GMT+1).
  • The France 24 Interview  : émission quotidienne animée par Andrea Sanke du lundi au vendredi à 22h45 (GMT+1).
  • Face-off  : émission quotidienne animée par Marc Owen du lundi au vendredi à 12h15 (GMT+1).
  • Top Story  : émission quotidienne animée par Robert Parsons du lundi au vendredi à 8h20 (GMT+1).
The continents
  • The week in the Americas  : émission sur les Amériques animée par Catherine Galloway le Jeudi à 13h15, le vendredi à 14h15 et le samedi à 10h45 (GMT+1).
  • The week in Asia  : émission sur l'Asie animée par Genie Godula le lundi à 13h15, le mardi à 14h45 et le samedi à 18h45 (GMT+1).
  • A week in the Middle East  : émission sur le Moyen-Orient animée par Francois Picard le lundi et le samedi à 14h45 (GMT+1).
  • The week in Europe  : émission sur l'Europe animée par Jason de la Pena le mardi à 13h15 et le mercredi à 14h45 (GMT+1).
  • The week in France  : émission sur la France animée par Natacha Butler le mercredi à 13h15 et le jeudi à 14h45 (GMT+1).
  • The week in Africa  : émission sur l'Afrique animée par Folly Ba Thibault le vendredi à 13h15 et le samedi à 16h15 (GMT+1).
Culture
  • Lifestyles  : émission sur les arts de vivre du lundi au vendredi à 18h25 (GMT+1)
  • Culture  : émission quotidienne sur la culture animée par Eve Jackson du lundi au vendredi à 9h20 (GMT+1).
Sports
  • Sports : du lundi au vendredi à 6h15, le samedi à 23h10 et le dimanche à 23h10 (GMT+1).
Business
  • Markets  : du lundi au vendredi à 6h20, 17h00 et 22h25 (GMT+1).
  • Business : du lundi au vendredi à 7h20 (GMT+1).
  • Business : émission quotidienne animée par Raphaël Kahane du lundi au vendredi à 20h15 (GMT+1).
Science
  • Health  : le mardi à 10h20, le samedi 11h15 et le dimanche 13h15 (GMT+1).
  • Future  : le mercredi à 10h20 et le dimanche à 12h20 et 18h45 (GMT+1).
  • Environment  : le lundi à 10h20 et le samedi à 15h15 et 22h15 (GMT+1).

Diffusion

Le début de la diffusion de France 24 a eu lieu le 6 décembre 2006 à 20h29 (heure française) précises sur internet et le lendemain soir sur le câble et le satellite.

France 24 est diffusée sur 2 canaux vidéo distincts : chacun de ces canaux propose une version linguistique différente, avec des présentateurs distincts, mais sur la base de conducteurs identiques.

Dans un premier temps, France 24 est reçue dans toute l’Europe, sur tout le continent africain, au Proche et Moyen-Orient ainsi que dans l’État de New York (notamment aux sièges de l’Organisation des Nations unies et du FMI) et à Washington, soit 80 millions de foyers au lancement. La zone de diffusion sera étendue ensuite à l’ensemble du continent américain et à l’Asie.

Modalités techniques de réception

La chaîne est distribuée par câble et par satellite[17]. Sur le satellite, elle est diffusée en mode numérique DVB-S Mpeg2 et en clair par notamment les deux principaux satellites européens, Hot-Bird[18] et Astra[19], abritant, entre autres, les bouquets TPS et CanalSat.

En France, les éditeurs de bouquets commerciaux par satellite devraient reprendre France 24, par validation de la chaîne sur leur terminal locatif. Le bouquet Canalsat diffusera la version française sur la sélection 46, classée dans le bloc thématique des chaînes infos, et la version anglaise sur la chaîne 360. Pour TPS, la version française est diffusée sur la sélection 204 et la version anglaise sur la sélection 205[20].

La chaîne est également reprise sur les principaux réseaux câblés en France : Noos et Erenis. Il n’est pas envisagé que France 24 soit diffusée en numérique hertzien (TNT) (mais bien en Italie dès juin 2007).

La chaîne est en revanche accessible dans le monde entier sur internet en streaming grâce à une petite fenêtre (agrandissable en plein écran) sur le site de France 24[21].

Débat sur la réception de la chaîne en France

Au départ, il avait été envisagé que France 24 ne soit pas diffusée sur le territoire français. Ce choix pouvait être analysé de différentes manières :

  • Les principales chaînes d'information internationales – CNN International, BBC World, Deutsche Welle TV – ne sont pas diffusées sur leur marché domestique ; c'est uniquement une version spécifique au marché national – CNN, BBC News – qui, le cas échéant, est diffusée sur celui-ci. En effet, une chaîne d'information internationale, centrée sur l'actualité internationale, n'est pas adaptée à la demande des téléspectateurs nationaux, qui recherchent des informations sur des questions (la politique intérieure, les faits divers nationaux, etc.) qui n'ont que peu ou pas d'intérêt pour les téléspectateurs internationaux. Le risque existe qu'une chaîne d'information internationale diffusée sur son marché domestique soit tentée, pour accroître son audience et donc ses recettes publicitaires, de s'écarter de la ligne internationale qui devrait être la sienne et d'incorporer davantage d'informations nationales, devenant ainsi, progressivement, une chaîne d'information nationale.
  • L'absence de diffusion de France 24 en France a également été présentée comme destinée à protéger les intérêts de TF1 et de sa filiale LCI en lui évitant l'arrivée d'un concurrent. Cette justification est toutefois devenue moins pertinente avec l'arrivée sur le marché national de plusieurs concurrents à LCI : la chaîne d'information de Canal+ i>télé, qui a été autorisée à émettre en clair sur la TNT à partir d'octobre 2005, et l'autorisation, toujours en clair sur la TNT, d'une nouvelle chaîne d'information nationale, BFM TV du groupe NextRadioTV. C'est sans doute la raison pour laquelle TF1 a donné son accord, en septembre 2005, à la diffusion en France de France 24.
  • Enfin, des problèmes de concurrence ont également été évoqués à l'encontre d'une diffusion en France, France 24 étant issue de l'association de deux acteurs économiques – TF1 et France Télévisions – qui occupent des positions concurrentielles très fortes sur le marché national de la télévision. On peut toutefois noter que ces problèmes ont pu être levés, la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes ayant finalement autorisé, sous certaines modalités concernant l'accès au marché publicitaire, la diffusion de France 24 sur le câble et le satellite en France.

Une polémique sur l'absence de diffusion de France 24 sur le territoire national a été lancée par des députés membres de la mission parlementaire d'information, et largement reprise par la presse. Les partisans d'une diffusion en France faisaient valoir que les contribuables français supportant le coût de la nouvelle chaîne devaient avoir la possibilité de la recevoir afin de s'assurer par eux-mêmes de l'emploi fait de l'argent public, et aussi parce que certains d'entre eux ont le désir de s'informer dans leur langue sur l'actualité internationale.

Cette polémique a été en partie tranchée par la décision prise en 2005 de diffuser la chaîne en France sur le câble et le satellite ainsi qu'en streaming sur internet. La chaîne est ainsi rendue accessible sur tout le territoire français.

Néanmoins, certains continuent de faire valoir que la chaîne devrait être accessible gratuitement via la télévision numérique terrestre et être disponible sur les bouquets ADSL, ce qui n'est pas envisagé aujourd'hui.

Par ailleurs, le rapport de la mission d'information de l'Assemblée Nationale paru en janvier 2007[22] souligne qu'avec l'arrivée de France 24, ce sont désormais 4 sociétés non coordonnées (RFI, TV5, CFI et France24) (et même une cinquième si on tient compte de la participation dans EuroNews qui dispose de tranches horaires sur le service public) qui ont en charge l'audiovisuel extérieur de la France. De cette organisation résulte un éclatement des crédits, alors qu'au total « la France ne consacre pas sensiblement moins d'argent à son audiovisuel extérieur que le Royaume-Uni ».

Voir aussi

Articles connexes

Notes et références

  1. En juin 2007, France 24 a remplacé France 2 sur la télévision numérique terrestre italienne.
  2. RFI, 9 novembre 2005.
  3. Allocution de M. Jacques Chirac, Président de la République, lors de la réception en l’honneur du Haut Conseil de la francophonie, Paris, Palais de l’Élysée, 12 février 2002 (texte intégral sur le site de la Présidence de la République)
  4. Discours de M. Jacques Chirac, Président de la République, devant les représentants des Français de l’étranger, Paris, Palais du Luxembourg, 7 mars 2002 (texte intégral sur le site de la Présidence de la République)
  5. Confié à deux journalistes, Paul Nahon et Bernard Benyamin, ce projet sera abandonné par le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin à la suite du rapport sur la TNT commandé à Michel Boyon.
  6. Texte du guide de consultation publié en ligne par la direction du développement des médias (Voir site de la DDM)
  7. Lorsqu’il remet son rapport le 30 septembre 2003, Bernard Brochand fait un lapsus plutôt révélateur des difficultés : « Cette chaîne va exister, et ça, c’est un premier problème! » (cité par Nicolas Delesalle, « La voix de la France, en léger différé… », in Télérama, n° 2922, 11 janvier 2006)
  8. Il s’agit en réalité d’une confusion, car ce n'est pas le budget de la chaîne internationale BBC World, mais de l’entité BBC World Service qui rassemble l’ensemble des activités commerciales de la BBC, bien au-delà de la chaîne BBC World.
  9. Conférence de presse du Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, le 9 décembre 2004
  10. Cité par Nicolas Delesalle, « La voix de la France, en léger différé… », dans Télérama, n°2922, 11 janvier 2006
  11. Communication du ministre de la Culture et de la Communication au conseil des ministres du 30 novembre 2005 (Voir le texte du communiqué officiel du Conseil des ministres sur le site de la Présidence de la République)
  12. article publié sur le site Internet du journal Le Monde
  13. Sondage cité dans le journal Métro du vendredi 16 février 2007
  14. Voir par exemple le commentaire du politologue Marc Chevrier sur l'Encyclopédie de la Francophonie (consulté le 16 octobre 2007).
  15. (fr) Renaud Revel, « France 24, TF1 et France Télévisions se séparent à l'amiable. », sur le site de L'Express, 31 octobre 2008
  16. a , b , c  et d Daniel Psenny, « Audiovisuel extérieur. Une réforme au forceps », in Le Monde, 11 octobre 2007, p23.
  17. Taux de couverture satellite de 100 %, soit un taux d’accès de 30 % des 24 millions de foyers francais. En réception individuelle directe, l’emploi d’un simple kit satellite numérique basique (parabole monotête de 60/80 cm et terminal) convient dans l’hexagone pour capter France 24. Pour la réception collective directe dans un immeuble (< 100 prises) une antenne satellite communautaire convient (un seul système de parabole(s), chacun son terminal de son choix, loué ou acheté). L’abonnement à un bouquet commercial est donc inutile pour recevoir France 24.
  18. 11.240 Ghz, Pol V, SR 27500 FEC 3/4
  19. 11.538 Ghz, Pol V, SR 22000, FEC 5/6
  20. (mise à jour : 8 décembre 2006) Ne pas confondre canal = fréquence (en Mhz) normalisée, avec un n° d'attribution de chaîne. Toutefois, TPS utilise exclusivement le terme "canal" dans sa documentation écrite et sur le téléviseur : France 24 est donc pour TPS diffusée sur les canaux 204 (français) et 205 (anglais). Les termes "sélection" ou "présélection" ne sont jamais utilisés par TPS.
  21. Voir ci-dessous Liens externes / Vidéos. Les versions françaises, français/anglais, et anglais/arabe de France 24 sont diffusées en direct, ou "streaming", sur le site internet de la chaîne et utilisent la technologie Windows Media. Les contenus vidéo des journaux et programmes thématiques sont aussi disponibles à la demande sur le site.
  22. N° 3589 - Rapport d'information de M. François Rochebloine déposé en application de l'article 145 du règlement, par la commission des affaires étrangères, en conclusion des travaux d'une mission d'information constituée le 3 octobre 2006 sur l'organisation et le financement de l'audiovisuel extérieur

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