Le Clavier bien tempéré

Le Clavier bien tempéré

Le Clavier bien tempéré (en allemand : Das wohltemperierte Klavier) est le nom de deux cycles de préludes et fugues dans tous les tons majeurs et mineurs de la gamme chromatique composés par Johann Sebastian Bach.

Le premier recueil — BWV 846 à BWV 869 — (1722/1723) porte le titre suivant (en allemand) :

« Clavier bien tempéré, ou préludes et fugues dans tous les tons et demi-tons, tous deux avec la tierce majeure ou ut, ré, mi et avec la tierce mineure ou ré, mi, fa. Pour la pratique et le profit des jeunes musiciens désireux de s'instruire et pour la jouissance de ceux qui sont déjà rompus à cet art. »

Le second livre - BWV 870 à BWV 893 - a été constitué après 1740, suivant le même schéma : chaque livre comprend 24 groupes constitués d'un prélude et d'une fugue dans la même tonalité. Le livre débute par la tonalité de do majeur, puis par celle de do mineur, suivie de do# majeur, etc. jusqu'à avoir parcouru toute la gamme chromatique en mode majeur et en mode mineur. C'est donc au total un cycle colossal comprenant 48 préludes et 48 fugues dont l'objectif est à la fois musical, théorique et didactique.

Sommaire

Le titre

Le mot allemand Klavier [qui s'orthographiait également Clavier à l'époque] signifie aujourd'hui piano. Bach n'a cependant pas composé ce double recueil en pensant à cet instrument. Le clavecin et le clavicorde étaient en effet parvenus à leur maturité, au contraire de l'invention de Bartolomeo Cristofori, le piano-forte, qui était encore très perfectible (les premiers exemplaires apparaissent en Italie dans les années 1710). À l'époque baroque, le terme « clavier » désignait tout instrument à clavier. La page de titre du Clavier-Übung de Johann Kuhnau publié en 1689 est révélatrice à cet égard : elle présente, dessinés, un clavecin, un clavicorde et un orgue de chambre.

Que signifie exactement « bien tempéré » ? On entend par là une manière d'accorder l'instrument de façon à ce qu'il sonne juste dans toutes les tonalités. Le tempérament égal répond à cette exigence, et l'on n'a pas manqué de voir dans cette œuvre magistrale, pendant deux siècles, la preuve que Bach encourageait sa généralisation. Cette opinion est aujourd'hui remise en cause :

  1. Johann Philipp Kirnberger, l'un des élèves de Bach, réputé avoir transmis l'enseignement de son maître de façon fidèle, considérait le tempérament égal comme une monstruosité musicale ;
  2. l'accord du clavecin ou du clavicorde peut se modifier légèrement en quelques instants, et il se peut que Bach ait trouvé – fût-ce de façon empirique – une méthode d'accord de base qui permette une telle modification de façon rapide par un musicien expérimenté ;
  3. Bach était d'une génération qui admettait et utilisait largement les caractères propres à chaque tonalité : il apportait dans leur choix le plus grand soin. Quel intérêt à composer, dans le tempérament égal, en do # majeur, avec ses sept altérations à la clef, si le même morceau sonne de manière identique en do majeur ? Il est vrai qu'un souci purement didactique pouvait aussi guider ce choix.
  4. par la difficulté et la permanence de son accord, c'est l'orgue qui nécessiterait, pour l'exécution intégrale de l'œuvre, le tempérament égal. Mais il est plus qu'improbable que Bach l'ait écrite pour lui. Et de toutes façons, le tempérament égal lui a été appliqué bien plus tard.
  5. On peut ajouter que le choix du tempérament égal, au détriment de la musicalité, est le choix de la facilité de modulation. Or Bach s'est toujours moqué des difficultés, que ce soit au niveau de la composition ou à celui de l'exécution : il n'aurait probablement pas sacrifié la musique au confort du compositeur ou de l'interprète.
  6. Bradley Lehman a mis en évidence que la structure du tempérament préconisé par Bach figure de façon codée dans le frontispice de l'œuvre (voir la ligne de « bouclettes » tout en haut de l'image ci-dessous). Il s'agit d'un tempérament assez doux, qui permet effectivement l'usage de toutes les tonalités, mais en gardant des couleurs différentes pour chacune, les tonalités à bémols étant plus douces que les tonalités à dièses. Une variante de la solution de Lehman, donnant une répartition plus régulière des tierces, a été donnée par Daniel Jencka.
  7. Enfin, toujours suite au travail de Bradley Lehman, Émile Jobin (facteur d'instrument à claviers et professeur d'accordage au CESMD de Paris) a élaboré un autre tempérament, plus inégal, en partant de ce même frontispice. On trouvera un descriptif détaillé de son travail sur le site clavecin en France[1] ainsi qu'une réfutation de sa théorie sur cet autre site[2]

Pour quel instrument cette œuvre a-t-elle été composée ?

Dans l’état actuel des recherches musicologiques, il semble que la meilleure réponse à la question de l'instrument pour lequel fut composé le Clavier bien tempéré, soit celle donnée par Ralph Kirkpatrick (élève de Wanda Landowska...) : « Je crois qu’il est impossible d’affirmer de façon irréfutable que telle partie du Clavier bien tempéré appartienne exclusivement à tel instrument à clavier, que ce soit le clavecin, le clavicorde ou l’orgue. Les données historiques et stylistiques se prêtent à diverses argumentations, dont aucune n’est définitive »[3].

Même s’il est probable que Bach ait conçu le Clavier bien tempéré en pensant au clavecin, l’aspect universel et le caractère cérébral de la musique du Cantor permettent l’interprétation du Clavier bien tempéré au clavicorde, sinon à l’orgue.

Enfin, Bach n’avait joué au piano-forte qu’à la fin de sa vie, et n’a donc rien écrit spécifiquement pour cet instrument, qui était alors peu développé.

Une des œuvres majeures de la musique occidentale

Page de titre

La période au cours de laquelle Bach composa et rassembla les éléments de cette somme musicale exceptionnelle fut aussi celle où se déploya l'inventivité des théoriciens à la recherche du tempérament idéal. Le tempérament égal était encore loin de faire l'unanimité, et nombreux étaient ceux qui pensaient trouver la voie de la modulation sans limites et sans contraintes dans un tempérament inégal qui restait à trouver. Dans ce contexte, plusieurs compositeurs s'étaient déjà essayés à prouver que toutes les tonalités sont utilisables. Il faut citer :

  • Fischer qui édita en 1702, puis en 1710, 1713 et 1715 son Ariadne Musica, cycle de 20 préludes et fugues dans vingt tons différents, devant servir de fil conducteur au musicien dans le labyrinthe des tonalités éloignées - il évita cependant les tonalités de sol # majeur et toutes celles qui utilisent 5 b ou 6 # ;
  • Heinichen qui publia en 1711 un Labyrinthus musicus, également dans vingt tons, dont l'objet était évidemment semblable ;
  • Mattheson qui donna en 1719, dans son Exemplarische Organistenprobe, des exemples de basse continue dans chacune des 24 tonalités.

Bach a probablement été inspiré au moins par Fischer : nous savons par son fils Carl Philipp Emanuel Bach que celui-ci était l'un des compositeurs préférés de son père, avec Froberger, Kerll, Pachelbel et quelques autres. Par ailleurs, il utilise dans une de ses fugues un thème provenant de l'Ariadne Musica.

fugue en la bémol majeur

Cependant l'œuvre de Bach dépasse de loin celle de tous ses contemporains et elle vaut depuis toujours - avec l' Offrande musicale et l'Art de la fugue - à son auteur la réputation d'être le plus grand contrapuntiste de tous les temps. Il s'agit en effet d'une œuvre unique à tous égards : dans cet ensemble monumental, aucun prélude, aucune fugue ne se ressemblent : les fugues comportent en général trois ou quatre voix, beaucoup plus rarement deux ou cinq et déploient un éventail complet des procédés contrapuntiques ; les préludes sont d'une variété mélodique, rythmique ou de construction peut-être encore plus grande. Chacune de ces pièces démontre la maîtrise d'un contrepoint savant qui pourtant ne prend jamais le pas sur l'esthétique et un sens du développement de l'idée musicale qui ne cède jamais à la répétition et à la facilité.

L'exemple se place tellement haut qu'après Bach, la forme du « prélude et fugue » tombe en désuétude, comme si tout avait été dit. De fait, même quand Bach est tombé dans l'oubli après sa mort, le Clavier bien tempéré est resté admiré et pratiqué par les plus grands musiciens : Mozart, Beethoven, Schumann, Chopin,... Il ne fut cependant édité qu'en 1801. Bach lui accordait une grande importance car il l'a copié lui-même plusieurs fois, et l'a interprété intégralement à plusieurs reprises.

Bibliographie

  • Carl van BRUYCK, Technische und aesthetische Analysen des Wohltemperierten Claviers, Breitkopf & Härtel, Leipzig, 1867
  • Hugo RIEMANN, Katechismus der Fugen-Komposition (Analyse von J.S. Bachs « Wohltemperierte Klavier » und « Kunst der Fuge », vol. I, M. Hesse's Verlag, Leipzig 1890
  • Wilhelm TAPPERT, Das Wohltemperierte Klavier, dans : « Monatshefte für Musikgeschichte » XXX (1899), p. 123-133
  • Wanda LANDOWSKA, Über die C dur-Fuge aus dem I. Teil des Wohltemperierte Klaviers, dans : Bach-Jahrbuch XIV (1913), p. 53-58
  • Iwan KNORR, Die Fugen des Wohltemperierten Klaviers in bildlicher Darstellung, Breitkopf & Härtel, Leipzig, 1912 (R/1926)
  • Wilhelm WERKER, Studien über die Symmetrie im Bau der Fugen und die motivische Zusammengehörigkeit der Präludien und Fugen des « Wohltemperierten Klaviers » von J. S. Bach (= Bach-Studien, 1) Breitkopf & Härtel, Leipzig, 1922
  • Rudolf STEGLICH, Das C moll-Präludium aus dem ersten Teil des Wohltemperierte Klaviers, dans : Bach-Jahrbuch XXIV (1923), p. 1-11
  • Paul CARRIERE, Das harmonische Gefüge und Arpeggio des C dur-Präludiums in, I. Teil des Wohltemperierten Klaviers, dans : Bach-Jahrbuch XXVI (1925), p. 64-92
  • John Alexander FULLER-MAITLAND, J.S. Bach: The « 48 », Oxford University Press, London, 1925
  • Fritz REUTER, Die Beantwortung des Fugenthemas, dargestellt an den Themen von Bachs Wohltemperierte Klavier, Kahnt, Leipzig, 1929
  • Orlando MORGAN, J.S. Bachs Forty-Eight Preludes and Fugues. Analysis of the Fugues, London, 1931
  • Cecil GRAY, The Forty-Eight Preludes and Fugues of J.S. Bach, Oxford University Press, London, 1938
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  • Luigi PERRACHIO, Il Clavicembalo ben temperato di G.S. Bach, Edizioni Palatine, Torino-Parma, 1947
  • Ludwig MISCH, Unerkannte Formen im Wohltemperierten Klavier, dans : « Die Musikforschung » I (1948), p. 39-47 (sur BWV 847/2 et 859/1)
  • Ludwig MISCH, Zwei Fugen aus dem Wohltemperierten Klavier in neuer Beleuchtung, dans : « Die Musikforschung » V (1952), p. 179-190 (sur BWV 851/2 et 868/2)
  • Walter GERSTENBERG, Zur Verbindung von Präludium und Fugen bei Bach, dans : « Kongress-Bericht, Gesellschaft für Musikforschung, Lüneburg, 1950 », Bärenreiter, Kassel, 1952, p. 126-129
  • Carl DAHLHAUS, Bemerkungen zu einigen Fugen des Wohltemperierten Klaviers, dans : Bach-Jahrbuch XLI (1954), p. 40-45
  • Wilhelm HEINITZ, Taktprobleme in J.S. Bachs « Wohltemperiertem Klavier », dans : Festschrift Max Schneider zum 80. Geburtstage, éd. Walther VETTER, Deutscher Verlag für Musik, Leipzig, 1955, p. 147-151
  • Fritz ROTHSCHILD, A Handbook to the Performances of the 48 Preludes and Fugues of J.S. Bach, Adam & Charles Black, Londres, 1955
  • Ludwig CZACZKES, Analyse des Wohltemperierten Klaviers, Form und Aufbau der Fuge bei Bach, 2 vol., P. Kaltschmid, Vienne, 1956-1963
  • Hermann ZENCK, J.S. Bachs Wohltemperiertes Klavier, dans : Numerus und Affectus. Studien zur Musikgeschichte, éd. Walter GERSTENBERG (= Musikwissenschaftliche Arbeiten, Nr. 16), Bärenreiter, Kassel, 1959, p. 67-78
  • Herbert KELLETAT, Zur musikalischen Temperatur, insbesondere bei J.S. Bach, Oncken, Kassel, 1960
  • Herbert KELLETAT, Zur Tonordnung (Wohltemperierung) im Werke J.S. Bachs, dans : « Annales Universitatis Saraviensis » IX (1960), p. 19-26
  • Guglielmo BARBLAN, Guida al Clavicembalo ben temperato di J.S. Bach, Curci, Milan, 1961
  • Johann Nepomuk DAVID, Das Wohltemperierte Klavier. Versuch eines Synopsis, Vandenhoeck & Ruprecht, Göttingen 1962
  • Ulrich SIEGELE, Zur Verbindung von Präludium und Fuge bei J.S. Bach, dans : «Gesellschaft für Musikforschung. Bericht über der Internationalen musikwissenschaftlichen Kongress Basel 1962 », Bärenreiter, Kassel, 1963, p. 164-167
  • Hermann KELLER, Das Wohltemperierte Klavier von J. S. Bach. Werk und Wiedergabe, Bärenreiter, Kassel, 1965
  • Siegfried HERMELINK, Bemerkungen zum ersten Präludium aus Bachs Wohltemperiertem Klavier, dans : Festschrift J. Müller-Blattau (= Saarbrücken Studien zur Musikwissenschaft,. éd. Walter WIORA, vol. I), Bärenreiter, Kassel, 1966, p. 111-121
  • Erwin RATZ, Über die Bedeutung der funktionellen Harmonielehre für die Erkenntnis des « Wohltemperierten Klaviers », dans : « Die Musikforschung » XXI (1968), p. 17-29
  • Wolfgang MAARGRAF, Thematisches Arbeit in den Fugen des Wohltemperierten Klaviers, dans : « Beiträge zur Musikwissenschaft » X (1968), p. 265-269
  • Rudolf SUTHOFF-GROSS, Das Wohltemperierte Klavier von Bach. Die totale Synopsis, dans : « Neue Zeitschrift für Musik » CXXIX (1968), p. 529-536
  • Stefan KUNZE, Gattungen der Fuge in Bachs Wohltemperierten Klavier, dans : Bach-Interpretationen, éd. Martin GECK, Vandenhoeck & Ruprecht, Göttingen, 1969, p. 74-93
  • Franz-Peter CONSTANTINI, Zur Typusgeschichte von J. S. Bachs Wohltemperierten Klavier, dans : Bach-Jahrbuch LV (1969), p. 31-45
  • Christfried LENZ, Hinweise zum Kompositiontyp der Fuge cis-moll aus dem 1. Teil des Wohltemperierten Klaviers, dans : Chr. LENZ, Studien zur Satztechnik Bachs. Untersuchung einiger vom Erscheinungsbild der Vokalpolyphonie geprägter Kompositionen, Thèse de Doctorat, Heidelberg, 1970, p. 68-81
  • Harry HAHN, Symbol und Glaube im ersten Teil des Wohltemperierte Klavier von J. S. Bach, Breitkopf & Härtel, Wiesbaden, 1973
  • Magali PHILIPPSBORN, Die Frühdrucke der Werke J.S. Bachs in der ersten Hälfte des 19. Jahrhunderts. Eine kritische vergleichende Untersuchung anhand des Wohltemperierten Klaviers I, Thèse de doctorat, Frankfurt/M., 1975
  • Franz-Peter CONSTANTINI, Das Thema der Fuge C-dur aus J. S. Bachs Wohltemperierte Klavier I, dans : « Die Musikforschung » XXX (1977), p. 332-336
  • John BARNES, Bach's keyboard temperament. Interna1 evidence from the « Well-Tempered Clavier », dans : « Early Music » VII (1979), p. 236-249.
  • A. DÜRR, Zur Frühgeschichte des Wohltemperierten Klaviers I von Johann Sebastian Bach, Göttingen, 1980.
  • Herbert Anton KELLNER, Sur quelques aspects de l'accord du clavecin bien tempéré, dans : « Revue Musicale de la Suisse Romande », n° 35/1 (1982), p. 26-32.
  • Ralph KIRKPATRICK, Le clavier bien tempéré, éd. J.Cl. Lattès, 1985
  • Alberto BASSO : Jean Sébastien Bach, 2 vol., Fayard, 1986, vol. 1, p. 680-693; vol. 2, p. 765-769.
  • G. ZACHER, « Befremdendes bei Bach. Die Unterschrift in der cis-Moll-Fuge des Wohltemperiertes Claviers I. », dans : Musiktheorie 3 (1988), p. 243-247.
  • Alexandre BARRELET, Tonalité et harmonie dans la genèse du « Clavier bien tempéré I » de Jean-Sébastien Bach, dans : « Revue Musicale de la Suisse Romande », n° 47/1 (1994), p. 3-11
  • Stéphane BOIS, Légitimité d'une interprétation du « Clavecin bien tempéré » à l'orgue, dans : L'Orgue, n° 254 (2001/II).
  • Yo TOMITA & Richard RASTALL: The Genesis and Early History of Bach's Well-tempered Clavier, Book II: a composer and his editions, c.1738-1850, Aldershot, Ashgate, 2 vol., 2008.
  • Guy SHKOLNIK, The Thematic Potential and it's Realization in Selected Fugues of J.S. Bach's Well-Tempered Clavier, Thèse de doctorat (en préparation), Université de Tel Aviv, Israël.
  • Eric Lewin ALTSCHULER, « A Connection Between J.S. Bach's Well-Tempered Clavier Book II and the Four Volumes of Bach's Clavier-Übung and Signature References in the Clavier-Übung and Elsewhere in Bach », dans : « Musical Times » (en préparation).

Discographie

Premier enregistrement mondial avec l'instrument accordé au tempérament Werckmeister III : Pascal Vigneron, orgue; Dimitri Vassilakis, piano ; Christine Auger, clavecin, préfacé par Gilles Cantagrel et Michel Chapuis.

Notes et références

  1. Clavecin en France
  2. Jobin versus Lehman
  3. Ralph KIRKPATRICK, Le clavier bien tempéré, 1985, p. 29. Notons que R. Kirkpatrick n’est pas le seul à penser de la sorte.

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