Combourg

Combourg

48° 24′ 34″ N 1° 45′ 02″ W / 48.4094444444, -1.75055555556

Combourg
Le Château de Combourg
Le Château de Combourg
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Canton Combourg (chef-lieu)
Code commune 35085
Code postal 35270
Maire
Mandat en cours
Joël Le Besco
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de la Bretagne Romantique
Site web Site officiel
Démographie
Population 5 514 hab. (2008)
Densité 87 hab./km²
Aire urbaine 28 115 hab. ()
Gentilé Combourgeois, Combourgeoise
Géographie
Coordonnées 48° 24′ 34″ Nord
       1° 45′ 02″ Ouest
/ 48.4094444444, -1.75055555556
Altitudes mini. 29 m — maxi. 120 m
Superficie 63,55 km2

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Combourg (Conborn ou Comboute en gallo), est une commune française, située dans le département d'Ille-et-Vilaine et la région Bretagne. Elle doit son surnom de « berceau du romantisme » à l'écrivain François-René de Chateaubriand qui y a passé une partie de sa jeunesse au Château de Combourg.

Ses habitants se nomment les "Combourgeois" ou "Combournais" (rare). Ils étaient surnommés "Les Gros chevaux" qui selon Charles Lecomte, ce surnom leur viendrait au fait que les chemins arrivant à cette commune était très mal entretenus et que les agriculteurs recherchaient de gros chevaux de traits pour leurs labours.

Combourg posséde une étoile (\star) au Guide vert Michelin.

Sommaire

Géographie

Ville de Haute-Bretagne, elle est également sur la route des Portes de Bretagne. Combourg est située entre Rennes et Saint-Malo, en Ille-et-Vilaine.

Hydrographie

  • Le Linon qui reçoit comme affluent Le Dore

Hameaux, lieux-dits, écarts

Hameaux
Écarts

La Rouérie -

Distances

Combourg est à :

  • 386 km de Paris
  • 39 km de Rennes
  • 36 km de Saint-Malo
  • 83 km de Saint-Brieuc

Toponymie

Sans forme ancienne

Albert Dauzat et Charles Rostaing[1], sur la base des travaux de Schmittlein, suggèrent un nom de femme germanique pris absolument Humburg[is], avec romanisation de l'initiale en *Chom- > Com-

Ernest Nègre[2] rejette implicitement cette hypothèse, en proposant un étymon roman *Combour « brûlis, incendie », substantif des termes attestés en ancien français comburir, combourir « brûler ».

Cet archétype ne semble pas correspondre aux formes gallo de ce toponyme, de sorte que son origine reste obscure.

Par contre, la graphie actuelle, sur laquelle repose le gentilé des habitants, est certainement liée à l'attraction du mot français bourg[3].

Histoire

Antiquité et Moyen Âge

Dès l'époque gallo-romaine, Combourg occupa une position stratégique et fut un village à l'activité artisanale intense. Jusqu'à l'an mille, la ville subit les assauts dévasteurs des Vikings.

Coucher de soleil

La seigneurie de Combourg fut créée par l'archevêque de Dol, Ginguéné ou Junkéné, en faveur de son frère cadet Riwallon de Dol. L'archevêque qui souhaitait donner à son église un protecteur laïque tout en dotant sa famille, comme c'était alors l'usage, fit bâtir à 4 lieues de Dol le château de Combourg qu'il confia à son frère avec de vastes domaines sous sa mouvance, soit une quinzaine de paroisses et douze fiefs de chevalerie. En revanche il lui imposa, ainsi qu'à ses successeurs, l'obligation de défendre les terres et sujets de l'église de Dol et de commander son ost. C'est pour cette raison que le sire de Combourg prit dans ses chartres le titre de signifier Sancti Samsonis (porte-enseigne de saint Samson). La seigneurie de Combourg resta en possession des descendants de Riwallon jusqu'à la mort d'Yseult de Dol en 1197. Toutefois le fils qu'elle avait eu de son union avec Harsculf de Soligné (mort également en 1197) releva le nom de sa mère en devenant Jean III de Dol.

La seigneurie de Combourg fut ensuite transmise par héritage aux familles : de Châteaugiron dit de Malestroit de Rieux, du Châtel, de Montjean, d'Acigné et enfin de Coëtquen ces derniers obtinrent que la seigneurie soit érigée en Comté en 1575. L'ultime héritière de cette famille vendit le comté et son château aux parents de Chateaubriand par contrat du 3 mai 1761.

Article détaillé : Liste des seigneurs de Combourg.

En 1547 fut crée la Foire de l'Angevine. Elle a eu lieu sur la prairie du même nom le 1er lundi de septembre. Deux autres foires perdurent encore de nos jours: la foire de la mi-mai, qui vit le jour en 1623 et la foire de La Queue-en-haut le 3e lundi de décembre.

Foire de l'Angevine
2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016
04/09 03/09 01/09 07/09 06/09 05/09 03/09 02/09 01/09 07/09 05/09


Chateaubriand et Combourg

Place Chateaubriand

René-Auguste de Chateaubriand et son épouse Apolline de Bédée, les parents de l'écrivain, acquirent le comté de Combourg le 3 mai 1761. François-René de Chateaubriand (1768-1848) y passa 2 ans de sa jeunesse. «C'est dans les bois de Combourg que je suis devenu ce que je suis» écrira-t-il dans ses Mémoires d'outre-tombe.

Révolution française

La population de la commune est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[4]. La fondation de la Ire République est aussi fêtée tous les ans.

XIXe siècle

Jusqu'au début du XXe siècle, les principales activités de Combourg étaient la beurrerie, la fromagerie, la fabrication de toiles à voiles en chanvre, de toiles de lin, la taille et le polissage du granit, la tannerie et la briqueterie.

En 1857, le chemin de fer parvient à Combourg. En juin 1893 la ville reçoit l'électricité. Le maire monsieur Germain Parent avait donné le coup d'envoi de cette célébration au cours de la fête de la Bienfaisance le 17 mars 1893

Seconde guerre mondiale

Le 2 août 1944, Combourg était libérée par les soldats américains appartenant au CCA de la 6th Armored Division (6ème division blindée US). Voici ce que Ouest-France disait sur cette libération.

La libération

"Le 2 août, dans la matinée, les troupes américaines libéraient la ville de Combourg. Pendant que la population acclamait nos vaillantes troupes alliées, la Résistance s'occupait du nettoyage de la région. Le premier groupe, de son côté, partait à la recherche d'un train de prisonniers civils."

"Tandis que les Teutons fuyaient en hâte, les troupes américaines faisaient une entrée triomphale dans Combourg en liesse. Aux fleurs offertes par les enfants et les jeunes femmes, les soldats de la Grande Amérique, souriants et bons enfants, répondaient par un geste de la main, salut cordial et inlassable, et par des gâteries. Le dimanche suivant, le colonel de Chambron venait dire à la mairie, devant toute la petite ville assemblée, le programme de la France de demain et les applaudissements ne lui furent pas ménagés. Les jeunes de la Résistance et les gendarmes ont purgé le pays et capturé nombre de Boches qui se terraient aux alentours."

XXe siècle

Héraldique

Blason Blasonnement
Écartelé d'argent et de gueules.

Économie

Administration

  • Espace Entreprises
  • Maison de l'emploi
  • Laboratoire départemental d'analyses (LDA)

Vie politique

Maires

Hôtel-de-Ville de Combourg.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 en cours Joël Le Besco[6] UMP[7] Vétérinaire
1995 2001 Marie-Thérèse Sauvée PS Commerçante
1983 1995 André Belliard RPR Médecin
1977 1983 Joseph Hubert    
1965 1977 André Belliard    
1945 1965 Abel Bourgeois    
1939 1945 Joseph Hubert    
1919 1939 Émile Bohuon    
1903 1919 Valentin Cutte    
1900 1903 Pierre Roussel    
1885 1900 Gervais Parent    
1880 1885 Victor Thomas    
1878 1880 Pierre Marie Jamin    
1978 1878 Victor Thomas    
1877 1878 Jean François Brugalé    
1876 1877 Victor Thomas    
1875 1876 François Aoustin    
1871 1874 Michel Parent    
1871 1871 Alphonse de Freslon    
1843 1870 François Aoustin    


Conseil municipal des jeunes

Ce conseil réunit des jeunes Combourgeois de 9 à 14 ans élus pour deux ans et désireux de s'impliquer dans la vie citoyenne. Le conseil municipal des jeunes, élu le 27 novembre 2004, est composé de 4 filles et 5 garçons.

Jumelages

Drapeau de l'Allemagne Waldmünchen (Allemagne) depuis 1993 Drapeau de la Norvège Lillestrøm (Norvège) : échange scolaire

Élections

Référendum sur la Constitution Européenne (29 mai 2005)
Réponse exprimée Voix  % exprimés
OUI 1 395 50,62 %
NON 1 361 49,38 %
Abstention : 1 057 (27,07 %)
Élections cantonales (28 mars 2004)
Candidat Nuance Voix  % exprimés
Marie-Thérèse Sauvée Parti socialiste 1 365 46,75 %
Joël Le Besco UMP 1 555 53,25 %
Abstention : 922 (27,07%), bulletins blancs : 79 (2,63 %)
Élections régionales (28 mars 2004)
Candidat Nuance Voix  % exprimés
Jean-Yves Le Drian Parti socialiste 1 487 53,35 %
Josselin de Rohan UMP 1 300 46,65 %
Abstention : 982 (25,04%), bulletins blancs et nuls: 152 (5,17 %)
Référendum sur le traité de Maastricht (20 septembre 1992)
Réponse exprimée Voix  % exprimés
OUI 1 535 60,94 %
NON 984 39,06 %
Abstention : 1 039 (28,26 %)

Devise

Devise de Chateaubriand et de Combourg :

« Mon sang a teint la bannière de France »

Démographie

Évolution démographique
(Source : Ehess[8] et Insee[9])

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4 300 4 170 3 969 4 751 4 774 4 707 4 847 4 832 5 044
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
5 046 5 033 5 730 5 250 5 558 5 698 5 905 5 588 5 541
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5 204 5 208 5 075 4 661 4 619 4 590 4 523 4 390 4 451
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007  
4 339 4 457 4 647 4 733 4 843 4 850 5 223 5401  

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Répartition de la population par PCS

  • Agriculteurs : 8,8 % (2,4 %)
  • Artisans, commerçants, chefs d’entreprise : 8,4 % (6,4 %)
  • Cadres, professions intellectuelles : 6 % (12,1 %)
  • Professions intermédiaires : 17,5 % (22,1 %)
  • Employés : 26,5 % (29,9 %)
  • Ouvriers : 32,7 % (27,1 %)

Entre parenthèses, moyenne nationale.

Structure de la population

  • Hommes : 48,4 % (48,6 %)
  • Femmes : 51,6 % (51,4 %)

Entre parenthèses, moyenne nationale.

Pyramide des âges

  • Plus de 75 ans : 11,4 % (7,7 %)
  • 60-74 ans : 17,4 % (13,6 %)
  • 40-59 ans : 24,3 % (26 %)
  • 20-39 ans : 22,9 % (28,1 %)
  • 0-19 ans : 23,9 % (24,6 %)

Entre parenthèses, moyenne nationale.

Éducation

  • Deux écoles maternelles et primaires : école élémentaire (publique), école Sainte-Anne (privée)
  • Deux collèges : Chateaubriand (public), Saint-Gilduin , (1865-1890)(privé)
  • Un lycée : Chateaubriand (public)

Santé

  • Clinique Saint-Joseph (1954). Elle fait place à un hôpital construit en 1876 par l'abbé Delafosse.

Transports

  • La Gare, contruite de 1860 à 1864, après l'arrivée du premier chemin de fer à Combourg en 1857.

Personnalités liées à la ville

(liste non exhaustive)

Lieux et monuments

Le Patrimoine culturel de la commune de Combourg a fait l'objet d'un Inventaire Général dont Claude Quillivic est l'auteur de la notice le relatant en 2001. Il fut réalisé en deux temps; 754 édicules, édifices ou ensemble bâtis, ont fait l'objet d'une notice descriptive, dont 91 ouvrages relativement exceptionnels le tiers des édifices datent sont des XVIe siècle et XVIIe siècle

Monuments historiques

La commune abrite trois monuments historiques :

  • Le Manoir du Grand Trémaudan, dont le grand logis date de 1630 et des parties datent des XVe et XVIe siècles. Il a été inscrit par arrêté du 26 septembre 2005[11].
  • La Maison de la Lanterne, édifiée en 1575 à l’emplacement d’une maison fortifiée. Elle a été inscrite par arrêté du 6 mai 1966[12]. Construite par Perrine Jonchée. Cette maison fut aussi surnommée Hôtel Trémaudan ou Maison de la Tourelle.Restaurée en 1968

Autres édifices

L'église Notre-Dame de Combourg.
  • Statue de Chateaubriand, sculptée en 1930 dans un bloc de pierre grise de Pouillenay, par Alphonse Camille Terroir, Grand Prix de Rome et posée sur un socle de granit local; (au dos de la statue, on peut voir une lampe à huile et des étoiles gravées, symboles de la Connaissance et de l'Immortalité, en hommage à l'Académicien que fut Chateaubriand). Elle est sur la place du même nom.
  • Hôtel de La Bannière
  • la Tour du PenduXVIe siècle, qui doit son nom à une légende tragique.
  • Maison du Tambour de Villle. Elle fut restaurée au XXe siècle
  • Maison de 1650 au 10 rue Notre-Dame
  • Maison des Trois Compères dans le bourg
  • Maison de la Noë dans le bourg
  • Maison du Temple ancien établissemnt protestant, au bourg
  • Maison des Templiers du XVIe siècle, située rue Chateaubriand, elle dépendait à l'origine de la Commanderie du Temple de La Guerche et relevait de l'Odre des Templiers.
  • Relais des Princes, ancien relais de poste devenu auberge, XVIe siècle.Maison à pans de bois. Ce relais de poste était à l'origine dotée d'une réserve de quatre voitures, la localité formant un nœud routier au carrefour des routes royales Fougères-Dinan et Saint Malo - Rennes par Dol et Hédé. La poste céda la place au transport des voyageurs par diligence; plus tard, ce fut l'apparition des pataches, des carrioles, des breaks, des omnibus et enfin du cheval-vapeur. Les écuries du Relais des Princes ont abrité des chevaux juqu'à la fin du XIXe siècle. Elle devint célèbre lorsque le Marquis de Coulanges, cousin de Madame de Sévigné et bon vivant , l'adopta comme rendez-vous de chasse.


  • Maison de bienfaisance, qui accueillait les pauvres au XIXe siècle; place Chateaubriand ( ancienne place de L'Hôpital) dont il ne reste de la Chapelle St Sébastien qu'une statue de Ste Appoline dans une niche de ce qui est aujourd'hui la façade de l'Hôtel du Lac. Cette place fut longtemps animée par le marché aux bestiaux, comme en témoigne les nombreux anneaux fichés dans le mur d'enceinte du château.


Moulins
  • Moulin du Château, moulin à eau sous la chaussée de l'étang et de la Place Chateaubriand actuellement en ruines.
  • Moulin de Trémignon
  • Moulin du Bas-Bourg-Neuf

ainsi que deux autres


Manoirs et châteaux
  • Château de Lanrigan' fin du XVe siècle ou début du XVIe siècle près de Combourg. Bâtisse mêlant le style flamboyant et Renaissance. Visible de la route, propriété privée ne se visite pas.
  • Château de la Bouteillerie' sur la route de Meillac Deux pavillons flanqués chacun d'une tourelle, dont l'un sert de chapelle. L'ensemble fut restauré au XIXe siècle. Cette seigneurie jouissait du droit de Haute Justice.
  • Manoir de la Reinais, XVe siècle, situé route de Lanhélin. Il était autrefois pourvu d'une chapelle privée dont est conservée une statue en bois de la Sainte-Trinité. En 1429 il était la propriété du seigneur de Melesse, en 1621 de Charlotte Le Vassal et en 1706 de René de Vaucouleurs.
  • Manoir de Vauluisant sur la route de Dingé. Il appartenait en 1429 à la famille du Gué
  • Longère du Tertre-Odye XVIIe siècle typique de l'architecture rurale du pays Combournais, sa porte arrondie est moulurée à sabot. Elle posséde une porte double dont l'une est tranformée en fenêtre. On y trouve les ruines de la Maison des Sorciers et la Lande des Lutins.
  • Manoir de Triandin, sur la route de Dingé. Il appartenait en 1428 à la famille Callouët
  • Manoir de Villeneuve-Malabry, sur la route de Lanhélin. Semble avoir été une léproserie au bord de la Lande de la Chapelle.
  • Manoir du Grand-Val route de Dingé, il fut reconstruit récemment. Il conserve une chapelle de 1714 Ses propriétaires en 1429 sont les du Val, puis les Morin, sieurs du Planty en 1714
Édifices religieux
  • Église paroissiale Notre-Dame, 1859, construite sur les plans de Charles Langlois (architecte), puis sur ceux d'Arthur Regnault. La restauration des vitraux, réalisée par les Ateliers Helmbold, commença en 2007 et se termina en 2009.
  • Ancienne Chapelle frairienne ( Frairie= fête patronale d'un village). Située au village de Tramel elle n'existe plus de nos jours.

Nombreuses fontaines, 60 croix monumentales et de chemeins, ainsi que de nombreuses statues de saints:

  • Fontaine de Margatte en bordure de la route de Saint-Léger
  • Fontaine de Saint-Lunaire et Croix de Saint-Lunaire, dans le bourg on y conduisait jadis les enfants souffrant de maladies des yeux.
  • Croix à la Ville Guillaume datant de 1626.
  • Croix de l'étang; Croix de 1720 et provenant de Landran près de Trémeheuc. Elle remplça en 1979 un calvaire monumental. Son incription est tronquée et comportait à l'origine le nom de Mathurin Jourdan, famille de Trémeheuc. Elle porte en plus les lettres: IHS


Sites archéologiques
  • Voie Romaine, allant de Jublains (Neodunum-Mayenne) à Corseul (Fanum Maetis dans les Côtes-d'Armor) et rejoignant Carhaix (Vorginum dans le Finistère) et passant au Sud de Combourg, à proximité de Vieux-Châtel et des mottes de les Vieux-Châteaux.
  • Mottes castrales du Vieux Chatel, du Tertre, de Saint-Mahé
  • Allée couverte armes et outils en pierre polie furent découverts près de ce site en bordure de Chevrot.
  • Menhir de La Butte élément christianisé
  • Tumulus du Tertre, entouré d'un fossé, sur la route de Dingé
  • Dolmen de Chevrot ruiné, situé dans le Champ de la Pierre.

Patrimoine naturel

Du point de vue de la richesse de la flore, Combourg compte parmi les communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 545 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1373 taxons (118 familles). On compte notamment 41 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207) ; 18 taxons protégés et 33 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237) [13].

  • Lac Tranquille, 22 hectares.
  • Étang des Maffins.

Événements

Voir aussi

Bibliographie

  • Pau Banéat, Le Département d'Ille-et-Vilaine ..., Rennes: Librairie Moderne, J. Larcher, 1927-1929, 4 vol, tome 1, p.434-449.
  • Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes. Rennes: Fougeray Libraire-éditeur. Paris:René Hatton Libraire-éditeur, 1882-1886, 6 vol, t.IV, p. 458-467.
  • Guillotin de Corson, Histoire de Combourg, Parios, Res Universis, 1990.
  • Michel Brand'honneur, Les mottes médiévales d'Ille-et-Vilaine. Saint Malo: Les Dossiers du Ce. R.A.A. 1990.
  • Henri Frotier de la Messelière, Le Guide de l'Ille-et-Vilaine. Nelle éd (1907), Plouagat:s.e., 1994, p. 71-76.
  • Françoise Aubry, Le Canton de Combourg pendant l'entre-deux guerres, Rennes, 1994, (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 874).
  • Jean-Claude Plumerault, Essai historique sur le prieuré de la Sainte-Trinité de Combourg, 120 pages, (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 1031).
  • Joseph Gaspard,Combourg, Rennes Imprimerie Oberthur, 1929.
  • Amédée-Aimé Guillotin de Corson Combourg son histoire-Châteaubriand L'amateur Averti La Découvrance Rennes (1994) (ISBN 2-910--452-11-5)
  • Collectif, Le Patrimoine des communes d'Ille-et-Vialine, Paris, éd. Flohic, 2000, 2 vol. (Le Patrimoine des communes de France)
  • Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Nelle éd. (1778-1780) rev. & augm. Rennes: Molliex, 1845, t.I; p. 193-195.
  • Robert Guillautel, Combourg au Moyen Age et dans les Temps Modernes. In: Sociét d'Histoire et d'Archéologie de l'Arrondissement de Saint-Malo, 1972.

Liens externes

Notes et références

  • Documents du cadastre: Tableau d'assemblage des feuilles cadastrales de la commune de Combourg, par Naylies géomètre en chef (s.d.) échelle 1/20000e ( A. D. d'Ille-et-Vilaine)
  • Carte de la France, feuille 128, Dinan, plan réalisé sous la Direction de César-François Cassinide Thury, levé vers 1783 à l'échelle de 1 ligne pour 100 toises (environ 1/86 400) A.D. d'Ille-et-Vilaine)
  1. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6).p. 204.
  2. Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes ..., Volume 2., Librairie Droz 1991. p. 1116.
  3. E. Nègre, Op. cité.
  4. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399
  5. Site d'Atimco
  6. « Les maires élu du 1er tour », dans Dimanche Ouest-France, no 534, 15 mars 2008, p. 10-11 (ISSN 1285-7688) 
  7. Joël Le Besco est apparenté UMP sur le site officiel du ministère de l'Intérieur
  8. http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
  9. Insee : Population depuis le recensement de 1962
  10. Notice no PA00090536, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  11. Notice no PA35000024, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  12. Notice no PA00090537, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  13. Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, carte p. 170.



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