Festival interceltique de Lorient

Festival interceltique de Lorient
Festival interceltique de Lorient
Logo du Festival Interceltique
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Genre Musique celtique
Lieu Lorient, Bretagne, France
Période 1re semaine du mois d'août
Date de création 1970
Statut juridique association loi 1901
Site web festival-interceltique.com

Le Festival interceltique de Lorient (FIL) est un festival de musique celtique qui se tient tous les ans à Lorient, en Bretagne. Il réunit des groupes des pays et régions d'origine celtique : Asturies, Bretagne, Cornouailles, Écosse, Galice, Irlande, Île de Man, Pays de Galles ainsi que les pays de la diaspora celtique Acadie, Australie, Nouvelle-Zélande, ...

Le festival a été installé à Lorient en 1971 et est actuellement dirigé par l'asturien Lisardo Lombardia. Il a réuni 800 000 spectateurs (dont 115 000 payants) en 2010, selon ses organisateurs[1].

Ce festival accueille également le concours d'été des bagadoù de première et deuxième catégories ainsi que de la seconde moitié de la quatrième catégorie. Sous la direction de Jean-Pierre Pichard, d'année en année, le festival s'est adapté à la société tout en faisant partager ses richesses de cultures. Aujourd'hui, il est devenu l'un des plus grands festivals au niveau international. Chaque année un des pays invités est mis à l'honneur.

Sommaire

Histoire

Avant le festival

Plusieurs festivals de musiques bretonnes se développent en Basse-Bretagne pendant la période de l'après-guerre. À Quimper, le Festival de Cornouaille, créé en 1923 est relancé en 1948[2] et, à Brest, la Bodadeg ar Sonerion (BAS) crée en 1953 le festival international des cornemuses pour fêter son dixième anniversaire[3]. Cependant, suite au réaménagement de la place du château où se tient le festival de Brest et du conflit qui en résulte entre la mairie de Brest et la Bodadeg ar Sonerion, l'association cherche un nouveau lieu où implanter son concours, et les villes de Nantes et de Saint-Malo sont alors intéressées[4].

À Lorient, l'union des commerçants et industriels et par le cercle Brizeux lancent en 1953 un « Triomphe de la duchesse Anne d'Armorique ». Il réunit quatorze bagadoù et trente-trois cercles quatre années de suite avant sa disparition[5]. En 1969, est lancée la « Fête des ports bretons » par le comité des fêtes de la ville, et celui-ci réunit trente bagadoù et cercles[6]. Lorsque la Bodadeg ar Sonerion cherche à relocaliser son festival, plusieurs de ses responsables qui viennent de la région de Lorient interviennent pour que celui-ci s'y implante. Un accord est trouvé entre les responsables politiques de la ville et le président de la BAS Polig Monjarret[4].

Lorsque la ville de Brest souhaite arrêter ce festival, son fondateur Polig Monjarret le propose au Président du Comité des Fêtes de Lorient, Pierre Guergadic, qui l'accepte. Après une édition-test réussie à Lorient, la Fête des Ports, en 1970, la ville de Lorient accueille la manifestation.

Le Festival interceltique des Cornemuses de Lorient

La première édition de ce qui prend alors le nom de « Festival des Cornemuses » a lieu au début du mois d'août 1971, et se tient sur trois jours. La finale du championnat des bagadoù attire près d'un millier de spectateurs[7], et un défilé réunissant trente cercles et une quinzaine de bagadoù attire lui quelque 30 000 spectateurs[8]. D'autres activités comme des visites nocturnes de la rade ou des cotriades sont organisées, et un concert réunissant Gilles Servat, Alan Stivell, ou encore The Dubliners a lieu[7]. L'expérience est alors considérée comme un succès, et le festival est reconduit[9].

Il est décidé pour l'édition de 1972 de se tourner vers l'interceltisme de manière à se démarquer du Festival de Cornouaille de Quimper[9]. Le nom de « Fête interceltique des Cornemuses de Lorient » est choisi la même année[10] et de nouvelles nations arrivent au fils des années : la Galice envoie sa première délégation en 1976[11] et l'Île de Man en 1977[12]. Les autres délégations augmentent le nombre de leurs participants : les Écossais sont 70 en 1972[10], 75 en 1975[11] et 150 en 1976[11]. Les Irlandais passent de 60 en 1972[10] à 150 en 1976[11] et les Gallois de quelques chanteurs[10] à 50 participants[11] aux mêmes dates. La durée du festival s'allonge à la même époque et il atteint sa forme définitive en 1976 en passant à dix jours[11].

La nature des activités présentées est déterminée à cette époque. Des tournois sportifs opposant plusieurs délégations sont organisés dès 1972[10]. Des concours de chant breton sont organisés à partir de 1973 dans le cadre du Kan ar Bobl[13]. Le stade du Moustoir est utilisé à partir de 1974 pour un spectacle de danses intégrant des jeux de lumières[14] et, dès 1976, des spectacles sont programmés dans les quartiers périphériques de la ville[15]. La même année est organisée la première exposition d'arts bretons et les premières amorces d'un festival off se développent[11], alors que les années précédentes ont vu la mise en place d'expositions de costumes bretons, de pièces de théâtre[16] ou encore d'un salon du livre[14]. Ce dernier accueille en 1977 Pierre-Jakez Hélias et Xavier Grall[17], et l'année suivante Joan Baez participe au festival[18].

Développements dans les années 1980

Le Queensland Irish Association Pipe-band, premier groupe australien invité en 1985, ici en 2006

Le festival prend le nom de « Festival Interceltique » à partir de 1979[19] et continue à se développer. En 1980, un premier direct est organisé par la chaîne de télévision France 3[20], et en 1982 le festival obtient pour la première fois une subvention du ministère de la culture[21]. Cette subvention est suivie en 1985 par la visite pour la première fois d'une ministre de la culture en la personne de Jack Lang, venu annoncer l'autorisation de la signalétique bilingue[22]. De nouveaux pays sont invités, les Asturies en 1987 comme huitième pays celte[23], ou encore l'Australie en 1985 pour sa diaspora irlandaise importante[24].

Les activités du festival se diversifient. Le trophée de cornemuse Macallan est créé en 1980[25] et un concours de gaïta à partir de 1986[26]. En 1989 sont créé deux nouveaux concours, l'un pour les pipe-bands et l'autre pour les couples de sonneurs[27]. Des spectacles de grande taille sont mis en place à la même époque, avec les Nuits de la mer organisées de 1989 à 1993 dans l'espace portuaire, remplacées à partir de 1993 par les Nuits magiques dans le stade du Moustoir[28].

Le festival multiplie ses implantations au sein de la ville. Le pub, espace de concerts, est mis en place à partir de 1981[29]. Le village celte, lieu de restauration, est institué en 1983[30]. D'autres espaces de la ville sont utilisé : l'espace Kergroise, chapiteau d'une capacité de 6 000 places, est mis en service à partir de 1984 dans la zone portuaire[31] et la salle de Carnot est utilisée pour les festoù-noz à partir de la même année[32]. Le club K qui réuni entreprises et associations est mis en place en 1993[33].

Vers un grand festival

La reconnaissance extérieure du festival augmente pendant les années 1990. Alors que celui-ci est fréquenté par 25 % d'étrangers à la fin des années 1980[34], la Commission européenne le classe parmi les treize plus importants festivals européens en 1996, l'un des trois festivals français à être distingué de cette manière avec ceux de Bourges et d'Avignon[35]. Afin de permettre une plus large diffusion d'images du festival, une société de production est mis en place en 1994 et produit quatorze heures de vidéo pour une dizaine de chaines dans le monde[36]. La grande parade est diffusée deux années de suite par TF1 en 2000 et 2001, atteignant 50 % de part de marché et touchant six millions de personne lors de la première diffusion. Toujours en 2001, le lancement du festival est effectué par une transmission en direct des astronautes la Station spatiale internationale[37] grâce à des contacts pris lors de la mission de 1997 de Jean-Loup Chrétien dans la station MIR[38].

Le nombre de concours augmente avec la mise en place des premiers concours de veuze et de pibroc'h en 1997[39], suivie de la mise en place d'un concours de kitchen music en 2000[40]. Une master class proposant des cours de perfectionnement pour plusieurs instruments est instaurée en 1997[39], alors qu'une création musicale comme Hirio, née en 1994, se développent au FIL avant de faire des tournées mondiales jusqu'en 2000[41]. En 1996, un espace cabaret est créé, actif jusqu'en 2005[42]. L'espace de Kergroise est remis en fonction en 1998 après onze ans sans utilisation. La même année un espace salon est mis en place, avec une thématique différente chaque jour[43]. L'origine des groupes est plus diverse, les Los Angeles Scotts et City of Wellington pipe-bands participent à l'édition de 2000[44], alors que le Tokyo Pipe band participe au festival de 1994[41].

Les années 2000

La croissance du festival se poursuit par la mise en place d'évènements en dehors de Bretagne. La direction du stade de France fait appel au festival pour y assurer la fête de la Saint-Patrick de 2002. L'expérience est reconduite pour un total de quatre spectacles donnés dans ce même stade jusqu'en 2004[45]. L'expérience abouti à la mise en place d'une société, I3C, filiale du festival pour gérer ce type d'évènements[46]. D'autres spectacles sont donnés dans le reste de la France, dont quatre au Zénith à Paris, quatre spectacles Celtica au stade de la Beaujoire à Nantes et deux au stade de la route de Lorient à Rennes, ainsi que spectacles Koroll à Lille et Lyon[47] et une Breizh Parade en 2007 sur l'avenue des Champs-Élysées[48]. La société IC3 est cependant mise en liquidation judiciaire en 2008 en raison de ses pertes[48] et la mise en place de type de spectacle n'est relancée qu'en 2011 avec la programmation d'une fête de la Saint-Patrick au Stade de France en 2012[49].

Aujourd'hui, le festival se concentre dans le centre de la ville avec des quais pour chaque nation celte, ainsi que des groupes indépendants jouant aux terrasses des cafés. D'autres lieux notoires de Lorient sont également investis : le Stade du Moustoir (pour les nuits Interceltique) ou encore le slipway du port de pêche, où deux nuits clôturent le festival par une série de concerts.

Concert sur le slipway du port de pêche de Keroman lors de l'édition de 2009.

Programmations

Programmations récurrentes et moments forts


Plusieurs spectacles ont lieu tous les ans, à des dates précises.

  • La cotriade au port de pêche se déroule le premier vendredi du festival. Il s'agit d'un repas à base de produits de la mer installé sur de grandes tables et animé par des groupes musicaux.
  • Le championnat des bagadoù le premier samedi de chaque festival a lieu au stade du Moustoir pour la première catégorie. Cette épreuve du championnat de Bretagne rassemble les bagadoù de première, de deuxième catégorie et de quatrième catégorie.
  • Un concours de pipe-bands.
  • La Grande Parade des Nations Celtes rassemble environ 3 500 musiciens, chanteurs et danseurs en costume traditionnel des différents pays celtes présents. Elle a lieu le premier dimanche matin et commence Cours de Chazelles pour s'achever au stade du Moustoir. Elle a été diffusée sur des chaînes de télévision privées ou nationales comme TF1 ou France 3.
  • Les Nuits du Port de Pêche se déroulent les deuxièmes samedi et dimanche du festival. Elles clôturent le festival par des concerts et un feu d'artifice.
  • Les Nuits Magiques, renommées Nuits Interceltique depuis 2011, se déroulent plusieurs soirs de la semaine au stade du Moustoir. Elles rassemblent des groupes en tenues traditionnelles jouant les uns après les autres. Elles se terminent par un feu d'artifice.
  • Les Master Class ont lieu le matin au Palais des Congrès et réunissent chaque jour des spécialistes d'instruments différents et des élèves.
  • Le festival off, tous les après-midi et soir du festival, où vous pouvez assister depuis la terrasse des cafés et pubs de Lorient à des concerts gratuits.

Pays mis à l'honneur

Chaque année depuis 1994, une nation celte est mise à l'honneur. La Galice est la première à avoir bénéficié de ce système cette année-là[50]. Depuis 1998 et l'année des Asturies, la délégation invitée dispose d'un chapiteau propre[43], ainsi qu'une visibilité importante dans la promotion faite pour le festival.

Liste des pays mis à l'honneur
Nation
Drapeau : Modèle:Country alias Acadie Acadie 2004 2012 -
Drapeau des Asturies Asturies 1998 2003 -
Drapeau de l'Australie Australie 2006[51] - -
XXe ‑ XXIe siècle - Le Gwenn ha Du, drapeau moderne de la Bretagne Bretagne 1999[38] 2010 -
Drapeau d'Écosse Écosse 1995[52] 2007[51] -
Drapeau de la Galice Galice 1994[37] 2001[37] 2009[51]
Drapeau : Irlande Irlande 1996[35] 2005[51] -
Drapeau du Pays de Galles Pays de Galles 1997[53] 2008[51] -
Drapeau des différentes nations celtes Monde celte 2000[44] - -
Drapeau des différentes nations celtes Diasporas celtiques 2011 - -

Structure

L'association

Lisardo Lombardia, directeur du festival depuis 2007

La présidence du festival est tout d'abord assurée par Pierrot Guergadic de la création de festival[54] jusqu'à[Quand ?]. Jacques-Charles Morice occupe ensuite cette fonction de 2001 à 2007[55]. Noël Couëdel prend la tête de celui-ci en 2007 pour une période de trois ans, et est réélu à ce poste en 2010 pour trois années supplémentaires[56].

Jean-Pierre Pichard assure la direction du festival de 1972 jusqu'à 2007, date à laquelle il cède celle-ci à Lisardo Lombardia[51].

Sociétés liées

Le Festival s'entoure de nombreuses entreprises afin de fournir aux visiteurs les services nécessaires. En plus des médias, de nombreuses entreprises de restauration, des banques et des agences de voyages s'associent au festival.

Budget

Le budget du festival se monte en 2010 à cinq millions d'euros, financés. Il est financé à hauteur de 33 % par les collectivités locales[57].

Influence du festival

Impact économique

L'association qui gère le festival cherche à faire naître des retombées économiques au niveau local en favorisant les fournisseurs de la région. 83 % des 5 millions d'euros du budget annuel sont redistribués en Bretagne. Par ailleurs, 700 personnes sont embauchées en CDD pendant la durée du festival[57].

Les entreprises locales bénéficient également de retombées de manière plus indirecte : en 2010, certains bars ou restaurants estiment à 30 % la part de leur chiffre d'affaires annuel réalisée pendant le festival. La même année, le budget journalier moyen d'un festivalier est estimé à 30 euros, soit un apport de près de 24 millions d'euros dans l'économie locale[57].

L'impact économique est également relayé par le « club K », village économique qui sert de lien entre les entreprises bretonnes et les entreprises des autres régions présentes au festival[58].

Impact médiatique

L'espace presse du FIL accueille en 2010, sept agences de presse, vingt-six titres de presse écrite, vingt-trois radios, neuf chaînes de télévisions, et trente-trois médias étrangers[57].

Une étude d'impact de 2008 montre que les articles traitants du festival entraînent une valorisation de plus de quatre millions d'euros en espace publicitaires[57].

Le festival est aussi le terreau d'une forme de lobbying. Le premier directeur de la structure[Qui ?] intègre puis devient président du club français des Arts et Spectacles du ministère de la culture[Quand ?], ce qui lui permet de faire davantage connaître le festival en France et à l'étranger[59].

Impact culturel

Depuis l'arrivée au pouvoir de Jean-Yves Le Drian à la tête de la région, les manifestations culturelles financées par le conseil régional doivent lui remettre un cahier des charges tous les trois ans. Celui-ci porte sur les activités liées à la création dans le domaine de la culture bretonne[55], ainsi qu'au statut de la langue bretonne dans celui-ci.

Le festival sert aussi de support à des créations culturelles. Cet apport est le fruit du travail de son premier directeur, Jean-Pierre Pichard, qui dès les premières éditions vise à établir au festival le lieu de création de la nouvelle musique bretonne[60]. Lors de l'édition 2011, dix nouvelles productions ont ainsi été présentées[61].

L'organisation de spectacles en dehors des frontières culturelles de la Bretagne comme à Paris contribue par ailleurs au rayonnement culturel de la ville et de la région[62].

Nombre de visiteurs

Jusqu'en 2010, le festival attire chaque année plus de visiteurs. L'édition 2010 a enregistré le pic de la fréquentation avec 800 000 personnes, dont 115 000 payantes[63]. L'événement « An dro the world » a rassemblé quelque 4 500 danseurs dans la nuit de samedi 14 au dimanche 15 août, ce qui a donné lieu au plus grand an dro jamais dansé[64]. En plus d'une population francophone, le festival attire également de nombreux étrangers, habitant dans les pays celtiques représentés au festival.

Malgré la pluie, le festival a su attirer en 2011 plus de 650 000 visiteurs, chiffre en baisse par rapport aux années précédentes.

Évolution du nombre de visiteurs
Années 2007 2009 2010 2011 - - - -
Population 500 000[55] 650 000[65] 800 000[65] 650 000[66] - - - -

Sources

Notes et références

  1. « Record d'affluence au Festival interceltique de Lorient », Le Monde, 16 août 2010, consulté sur www.lemonde.fr le 16 août 2010
  2. Les Grandes Fêtes Interceltiques et de Cornouailles, contexte, Institut national de l'audiovisuel, consulté sur www.ina.fr le 11 juin 2011
  3. Neuvième édition des Fêtes des Cornemuses à Brest, contexte, Institut national de l'audiovisuel, consulté sur www.ina.fr le 11 juin 2011
  4. a et b Alain Cabon 2010, p. 11
  5. Alain Cabon 2010, p. 9
  6. Alain Cabon 2010, p. 10
  7. a et b Alain Cabon 2010, p. 12
  8. Alain Cabon 2010, p. 13
  9. a et b Alain Cabon 2010, p. 17
  10. a, b, c, d et e Alain Cabon 2010, p. 18
  11. a, b, c, d, e, f et g Alain Cabon 2010, p. 28
  12. Alain Cabon 2010, p. 31
  13. Alain Cabon 2010, p. 22
  14. a et b Alain Cabon 2010, p. 24
  15. Alain Cabon 2010, p. 29
  16. Alain Cabon 2010, p. 27
  17. Alain Cabon 2010, p. 32
  18. Alain Cabon 2010, p. 34
  19. Alain Cabon 2010, p. 39
  20. Alain Cabon 2010, p. 40
  21. Alain Cabon 2010, p. 48
  22. Alain Cabon 2010, p. 58
  23. Alain Cabon 2010, p. 53
  24. Alain Cabon 2010, p. 60
  25. Alain Cabon 2010, p. 41
  26. Alain Cabon 2010, p. 62
  27. Alain Cabon 2010, p. 68
  28. Alain Cabon 2010, p. 76
  29. Alain Cabon 2010, p. 44
  30. Alain Cabon 2010, p. 51
  31. Alain Cabon 2010, p. 54
  32. Alain Cabon 2010, p. 56
  33. Alain Cabon 2010, p. 77
  34. Alain Cabon 2010, p. 82
  35. a et b Alain Cabon 2010, p. 89
  36. Alain Cabon 2010, p. 83
  37. a, b et c Alain Cabon 2010, p. 104
  38. a et b Alain Cabon 2010, p. 99
  39. a et b Alain Cabon 2010, p. 94
  40. Alain Cabon 2010, p. 103
  41. a et b Alain Cabon 2010, p. 85
  42. Alain Cabon 2010, p. 91
  43. a et b Alain Cabon 2010, p. 96
  44. a et b Alain Cabon 2010, p. 102
  45. Alain Cabon 2010, p. 107
  46. Alain Cabon 2010, p. 110
  47. Alain Cabon 2010, p. 108
  48. a et b Alain Cabon 2010, p. 124
  49. Françoise Rossi, « L'Interceltique va renouer avec Paris en 2012 », Ouest-France, pages Lorient, 16 mai 2011, consulté sur www.ouest-france.fr le 16 juin 2011
  50. Alain Cabon 2010, p. 84
  51. a, b, c, d, e et f Chawax, « Le Festival Interceltique de Lorient », Terres celtes, lundi 9 avril 2007, consulté sur www.terresceltes.net le 15 juin 2011
  52. Alain Cabon 2010, p. 86
  53. Alain Cabon 2010, p. 92
  54. Alain Cabon 2010, p. 88
  55. a, b et c Françoise Rossi, « Interceltique : Noël Couedel, futur président », Ouest-France, 11 juillet 2007, consulté sur www.vannes.maville.com le 21 juin 2011
  56. « Fil. Noël Couëdel: «On a franchi une marche» », Le Télégramme, édition Lorient, 7 octobre 2010, consulté sur www.letelegramme.com le 21 juin 2011
  57. a, b, c, d et e Anne-Claire Loaëc, « Lorient, cap sur la mer », Bretons, N°65, mai 2011, p. 52
  58. Florence Gourlay 2004, p. 130
  59. Florence Gourlay 2004, p. 129
  60. Florence Gourlay 2004, p. 128
  61. Régis Nescop, « Festival interceltique. 700.000 spectateurs pour la 41e édition », Le Télégramme, pages Lorient, 15 août 2011, consulté sur lorient.letelegramme.com le 21 aout 2011
  62. Florence Gourlay 2004, p. 132
  63. Fréquentation record au festival interceltique de Lorient sur LePoint.fr, article publié le 15 août 2010, consulté le 16 juin 2011
  64. Brice Dupont, « Le monde entier s'est tenu par le petit doigt », dans Ouest France, no 20061, 16 août 2010, p. 9 
  65. a et b « Festival interceltique. Le cap des 800.000 participants a été atteint », Le Télégramme, pages Bretagne, 15 août 2010, consulté sur www.letelegramme.com le 21 juin 2011
  66. Gildas Jaffré, Vincent Jarnigon, « Festival Interceltique de Lorient. 10 jours, 650 000 visiteurs  », Ouest-France, 15 août 2011, consulté sur www.ouest-france.fr le 15 août 2011

Bibliographie

Annexes

Articles connexes

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