- Breuil-le-Sec
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Pour les articles homonymes, voir Breuil.
Breuil-le-Sec Administration Pays France Région Picardie Département Oise Arrondissement Clermont Canton Clermont Code commune 60106 Code postal 60840 Maire
Mandat en coursJean-Marc Delafraye
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Clermontois Site web breuil.le.sec.mairie.pagespro-orange.fr Démographie Population 2 330 hab. (2007) Densité 262 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 46 m — maxi. 152 m Superficie 8,89 km2 Breuil-le-Sec est une commune française, située dans le département de l'Oise et la région Picardie. La commune est composée du village de Breuil-le-Sec et des hameaux d'Autreville, Bailly-le-Bel, et Crapin. Elle fait partie de l'aire urbaine de Clermont.
Sommaire
Géographie
Localisation
Le village de Breuil le Sec est situé à égale distance de Beauvais et de Compiègne (27 km), 57 km au nord de Paris et à 60 km au sud d'Amiens. L'agglomération la plus proche est celle de Clermont-de-l'Oise à 2 km.
Topographie et géologie
Hydrographie et eau potable
Article détaillé : La Brêche.Breuil-le-Sec, contrairement à Clermont, est situé sur la rive gauche de la Brêche. La rivière, prenant sa source à Reuil-sur-Brêche, sort du faubourg du Pont-de-Pierre de Clermont pour rejoindre la commune de Breuil-le-Sec. Avant de passer sous la D1016, elle se divise en deux bras : un principal partant vers l'ouest et un secondaire partant vers le moulin à eau de Bailly-le-Bel, ancienne usine (vers l'est). Les deux bras se rejoignent peu après le passage du second bras au moulin. Après avoir franchi un pont elle traverse les marais du Grand-Pré et de Giencourt où elle quitte la commune pour rejoindre Breuil-le-Vert et se jeter dans l'Oise à Creil. A la traversée de ces marais, la largeur de la rivière augmente car elle rencontre les eaux des petites ruisseaux du marais. La Brêche est une frontière naturelle entre Breuil-le-Sec et Breuil-le-Vert.
La Béronnelle, affluent de la rive gauche de la Brêche, passe également sur le territoire de la commune : arrivant de sa source à Erquery, elle traverse Fitz-James avant de traverser le Centre Hospitalier Interdépartemal (CHI) où elle rentre sur le territoire de Breuil-le-Sec. Passant sous la route nationale 31 et à proximité du moulin de Bailly-le-Bel, elle traverse le bois du Bosquet, frôle la propriété du Château des Étournelles, l'ancien cimetière et des cressonnières du Grand-Pré. Au sud du village, elle rencontre la station d'épuration communale et passe sous la route communale de Breuil-le-Vert et quitte la commune pour se diriger vers Bailleval puis Liancourt où elle se jettera dans la Brêche.
Climat
Le site Météo-Oise donne les valeurs suivantes :
- Température minimum : -6,8°C à 08:33 le 25/01/2006 et maximum 36,1°C à 16:02 le 19/07/2006
- Point de rosée : -10,6°C à 18:12 le 12/03/2006 et maximum 22,0°C à 17:58 le 13/06/2006
- Température au vent : -16,9°C à 13:53 le 30/12/2005 et maximum 34,7°C à 17:52 le 31/08/2005
- Humidité minimum : 22 % à 14:59 le 14/07/2005
- Baromètre minimum : 987,2 hPa à 14:45 le 02/12/2005 et maximum 1040,7 hPa à 11:15 le 10/12/2005
- Vitesse du vent moyenne : 54,7 km/h à 02:06 27/07/2006
- Rafales maximum : 70,8 km/h 13:42 20/05/2006
- Direction du vent : Rafales SO 13:42 20/05/2006
- Précipitation en une heure maximum : 11,938 l/m² à 01:16 le 15/09/2006
- Précipitation en une journée maximum : 30,2 l/m² à 09:38 le 25/06/2006
- Il pleut en moyenne 137 jours soit 352 mm par an
- Distribution de la force du vent : 5 Bft : 0,02 % ; 4 Bft : 0,87 % ; 3 Bft : 9,76 % ; 2 Bft : 32,00 % ; 1 Bft : 32,97 % ; 0 Bft : 24,37 %
- La Direction du vent calme : N-NE : 4,6 % ; NE : 3,9 % ; E-NE : 7,4 % ; E : 3,1 % ; E-SE : 1,8 % ; SE : 2,2 % ; S-SE : 2,6 % ; S : 4,2 % ; S-SO : 7,3 % ; SO : 9,0 % ; O-SO : 10,8 % ; O : 5,0 % ; O-NO : 5,6 % ; NO : 2,6 % ; N-NO : 1,7 % ; N : 28,1 %
Voies de communications et transports
Réseau routier
Article détaillé : Route nationale 31.Breuil-le-Sec est desservi par la Route nationale 31 E46, ancienne route royale de Rouen à Reims dont la voie express venant de Beauvais s'arrête au rond-point de la croix-fouarche, passe Rue Guy Boulet et longe une usine avant de se diriger vers Nointel. Une déviation en voie express est en cours de construction au nord de la commune ainsi qu'un échangeur. Leur ouverture est prévue pour 2012 et devrait permettre aux automobilistes d'éviter Breuil-le-Sec, Nointel et Catenoy. Le village est situé au kilomètre 108 de cette route.
Breuil-le-Sec est également relié par plusieurs départementales parmi:
- La D37 (vers Erquery, Saint-Aubin-sous-Erquery jusqu'à Gournay-sur-Aronde
- La D62 passe également dans le village en venant de Sénécourt (commune de Bailleval) en traversant la rue de Liancourt, la rue de la messe (sens → Sénécourt), la rue Eugène Leclerc (sens → Clermont), la place de Verdun, rue de la mairie, la place de la République et la rue de la gare avant de rencontrer la Route nationale 31.
- La D62E est présente sur cette même commune. Elle commence à un carrefour avec la D931, passe Rue de Clermont et finit sur la place de Verdun, en centre-ville.
- la D931 (ancienne nationale) venant de Clermont traverse la Rue Guy Boulet.
Réseau ferroviaire
Article détaillé : Ligne Rochy-Condé - Soissons.Breuil-le-Sec était désservi par la Ligne de Rochy-Condé à Soissons par laquelle le village avait une gare au PK 30,626. La ligne, ouverte dans les années 1870, reliait ces deux dernière villes en passant par Clermont et de Compiègne dont les trains venaient de Beauvais avant de passer à Rochy-Condé. La ligne, aujourd'hui déclassée aux voyageurs, est réservée à des marchandises se dirigeant vers le silo de Ferrières (Avrigny). La gare est aujourd'hui transformé en habitations.
Accès aux aéroports
Liaisons douces
Toponymie
Le mot broïlo est d'origine celte, désignant un bois humide et marécageux. Cette commune s'appelait Buolium vers 1099, Bruolium siccum en 1248, Bruel le sec en 1373, Breul le seq en 1497, Brulsec en 1686 qui est encore son nom en picard.
Histoire
La première guerre mondiale
Pendant la Première Guerre mondiale, l'escadrille n° 3 qui vient de Vauciennes s'installe sur le terrain situé le long de la nationale, derrière l'actuelle stèle commémorative. La future « Escadrille des Cigognes » est commandée par la capitaine Antonin Brocard et compte dans ses rangs des pilotes aviateurs qui deviendront célèbres tels Georges Guynemer dont la famille habite Compiègne ou Jules Védrines. Une manche à air indique la direction du vent et deux rectangles de toile blanche posés sur le sol indiquent le sens d'atterrissage. Des hangars Bessonneax abritent les avions et des baraques Adrian accueillent les bureaux et la popote. Certains pilotes habitent chez l'habitant, d'autres dans les baraques. Le personnel vit sous tentes. Fin 1915, l'escadrille comporte de 10 Nieuport [1], 4 Morane-Saulnier [2] de chasse, et 3 Caudron [3] de bombardement. Le personnel est composé de douze pilotes[4] ; de vingt officiers, sous-officiers, soldats observateurs ; de mécaniciens.
- 16 août 1915 : L'escadrille MS 3 (pour Morane-Saulnier) s'installe à Breuil-le-Sec.
- 28 août 1915 : Le capitaine Brocard abat le fils du Général allemand Van Bailer à Fleurines.
- 2 octobre 1915 : Le sergent Guynemer bombarde Noyon.
- Fin octobre 1916 : Les Morane-Saulnier sont remplacés par des Nieuport. L'escadrille MS 3 devient l'escadrille N 3.
- 3 novembre 1915 : Le sous-lieutenant Bucquet remplace Bonnard qui part en Serbie. Ce dernier laisse son avion Le vieux Charles à Guynemer qui conservera ce nom pour tous ses avions.
- 20 novembre 1915 : Arrivée du sergent Grivotte.
- 7, 8, 15 décembre 1915 : Victoires de Guynemer.
- 2 février 1916 : Le sergent pilote Grivotte et le lieutenant observateur Grassal sont descendus. Arrivée du lieutenant Peretti, puis de Chainat.
- 3 et 5 février 1916 : Trois victoires de Guynemer.
- 4 mars 1916 : Georges Guynemer est nommé sous-lieutenant.
- 10 février 1916 : Arrivée du lieutenant Colcomb.
- 12 mars 1916 : Brocard, Bucquet, Chainat, Deullin, Guynemer, Houssemand et Peretti partent à Vadelaincourt près de Verdun. Le lieutenant Colcomb prend le commandement de la base.
- Avril 1916 : La base de Breuil-le-Sec est désaffectée. L'escadrille N 3 est réunie à Cachy (Somme) et devient l'« Escadrille des Cigognes ».
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes de l'Oise.Les armes de Breuil-le-Sec se blasonnent ainsi :
Le blason, de création récente, évoque l'histoire et l'activité économique de la commune. Les cigognes rappellent la présence de l'Escadrille des Cigognes pendant la Première Guerre mondiale. En bas, nous retrouvons l'industrie (engrenage), la sylviculture (arbre) et l'agriculture (épi).
Politique et administration
Les maires
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1971 2008 Armand Lefeuvre PS 2008 à ce jour Jean-Marc Delafraye PCF Toutes les données ne sont pas encore connues. Liste des maires avant 2001Période Identité Étiquette Qualité 1790 1791 Lievois Claude 1791 1793 Plassier François 1793 An V Delbremel Jacques An V An VI Davennes Pierre An VI An VIII Lotte An VIII 1806 Boucher Antoine, dit le jeune 1806 1815 Peillot Denis 1815 1824 Beauvais Antoine 1824 1831 Plessier François (réélu) 1831 1834 Peillot Denis (réélu) 1834 1840 Pelletier Pierre 1840 1848 Peillot Denis (3e mandat) 1848 1860 Watou Louis 1860 1888 Leclerc Eugène 1888 1896 Recullez Louis 1896 1908 Leclerc Eugène (réélu) 1908 1923 Lievois Eugène 1923 1928 Vasseur Léon 1928 1929 Rochatte Alfred 1929 1937 Trouvain Eugène 1937 1940 Pommery André 1940 septembre 1940 Alfred Debrie (élu par le Kommandantur)[5] septembre 1940 1971 André Pommery Toutes les données ne sont pas encore connues. Municipalité
Tendances politiques
Démographie
Évolution démographique
D’après le recensement Insee de 2007, Breuil-le-Sec compte 2 330 habitants (soit une augmentation de 13 % par rapport à 1999). La commune occupe le 4 281e rang au niveau national, alors qu'elle était au 4 469e en 1999, et le 60e au niveau départemental sur 693 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Breuil-le-Sec depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 1982 avec 2 421 habitants.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,1 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 51,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,4 %, 15 à 29 ans = 14,1 %, 30 à 44 ans = 24,1 %, 45 à 59 ans = 28 %, plus de 60 ans = 14,4 %) ;
- 48,9 % de femmes (0 à 14 ans = 18,4 %, 15 à 29 ans = 16,2 %, 30 à 44 ans = 21,2 %, 45 à 59 ans = 25,3 %, plus de 60 ans = 18,8 %).
Lieux et monuments
Monuments inscrits
Ferme et château des Étournelles
La demeure actuelle de la ferme des Étournelles (ou des Tournelles) repose sur les bases d'un ancien manoir fortifié dont il reste seulement une tourelle. Celui-ci a été transformé vers 1671 par Louis de Béchameil (1630-1707), surintendant de Monsieur, frère de Louis XIV, pour devenir une importante exploitation agricole. L'habitation a été remaniée au XIXe siècle, mais l'imposante grange à récolte, construite vers 1680 est demeurée intacte.
En 1851, les ancêtres des propriétaires actuels confièrent la création d'un parc à l'anglaise à Louis-Sulpice Varé (1803-1864), architecte paysagiste. Le parc n'a subi que de minimes modifications dues pour la plupart au vieillissement des arbres.
Le parc est complété par un potager, clos de murs qui n'a jamais cessé d'être exploité depuis sa création. Cette continuité explique que certaines espèces de plantes sont très anciennes et ont un intérêt botanique reconnu. Le potager a conservé son agencement d'origine. Deux allées principales en croix et des allées secondaires déterminent huit carrés bordés de buis taillés totalisant un kilomètre de bordure. Les contre-bordures sont délimitées par des lignes de vivaces (iris, campanules, primevères…) et rythmées par des arbres fruitiers taillés en quenouille ou en cordon (pommiers, poiriers). Deux lignes de châssis abritent les semis et les repiquages de légumes, de fleurs annuelles, selon les mêmes méthode qu'au XVIIe siècle. Ces plantes sont ensuite mises en place à l'intérieur des carrés, en observant un principe de rotation et en recherchant un équilibre de couleurs et de dimensions. Entre les arbres fruitiers, des plantes vivaces (pivoines, rosiers, pavots…) alternent avec des dahlias dont la disposition varie chaque année. La grange fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 23 septembre 1988[11]. Le jardin potager fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 27 décembre 2004[12]. Le jardin d'argrément est inscrit au pré-inventaire des jardins remarquables[13].
Ponts de Fascines
Dans les cressonières du Grand Pré, deux ponts de fascines attribués aux Romains ont été recouverts par la tourbe. Découverts en 1864 par des ouvriers extrayant la tourbe, ces ponts étaient constitués de troncs d'arbres recouverts de clayonnages et de sable, et reposaient sur un lit de fascines (fagots) qui permettait à l'eau de s'écouler sans faire barrage.
Les Romains utilisaient ce genre d'ouvrage dans les marais car le terrain se prêtait mal à l'établissement de ces ponts en maçonnerie. Ces chaussées de bois mesuraient entre 600 et 700 mètres de longueur. L'ensemble de ponts de fascines fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 26 février 1936[14].Les ponts sont situés sur deux communes à la fois, Breuil-le-Vert et Breuil-le-Sec.
Autres monuments
Église Saint-Aubin ou Saint-Martin
A l'origine, l'église de Breuil-le-Sec, dédiée à St Martin, était orientée à l'Est (le chœur est à l'Est selon la tradition liturgique). La nef datait de l'époque romane (XIe siècle-XIIe siècle). Au Nord il y avait la chapelle de la Sainte Vierge et au Sud celle de St Éloi (patron d'Autreville). Le clocher au centre, à peu près carré, était à bâtière comme celui de Breuil-le-Vert. La nef, incendiée en 1798, est demeurée en ruines jusqu'en 1850. A partir de cette date, l'église a été reconstruite, et modifiée. Elle fut consacrée en 1856. L'orientation de l'église a été changée : un portail (pseudo-roman) a été percé dans le mur droit de l'ancien chœur, le chœur actuel est sur l'ancienne nef détruite. Plusieurs fenêtres primitives sont du XIIe siècle. Sur le pilier Nord une inscription funéraire et une tête de mort indiquent la sépulture d'Étienne Goullet, magister de la paroisse, inhumé le 13 mars 1684. Sur le pilier Sud une fresque renaissance représente la conversion de St Hubert. Sur l'autre face du pilier on ne peut identifier les dessins de deux fresques superposées. Le clocher, maintenant, se termine par un toit en pyramide. Les vitraux ont été refaits (de 1981 à 1983) d'après les plans des anciens retrouvés par un maître verrier d'Amiens, Claude Barre[15],[16].
Chapelle Saint-Arnoult (Crapin)
Cette chapelle porte le nom de St Arnoult en hommage à l'évêque du même nom qui vivait sous le règne de Clovis.
St Arnoult fut un évêque missionnaire qui réalisa de nombreux pèlerinages, depuis Tours puis Poitiers et Reims. Il fut massacré en forêt d'Yvelines et inhumé à St Arnoult en Yvelines au Xe siècle.
La chapelle appartenait en 1686 à l'hôpital de Clermont, elle fut détruite en 1783. Une autre fut élevée la même année un peu au-dessus de l'ancienne. Celle-ci fut consacrée le 18 juillet 1783. Le 25 mars 1980 Breuil le sec en fit l'acquisition. Restaurée depuis, les alentours ont été aménagés.
Sites naturels
Stèles et monuments
- Monument aux morts
- Stèle Guynemer
Les hameaux
- Autreville
- Bailly-le-Bel
- Crapin
Voir aussi
Liens externes
- Mairie de Breuil-le-Sec
- Breuil-le-Sec sur le site de l'Institut géographique national
- Localisation de Breuil-le-Sec sur une carte de France et communes limitrophes
- Plan de Breuil-le-Sec sur Mapquest
Sources
- Lucien Charton, Liancourt et sa région, 1969.
- Émile Lambert, Villers-Saint-Paul, 1967.
- Claude Teillet, Histoire de Clermont-en-Beauvaisis, Office d'édition du livre d'histoire, 1995 (ISBN 2-84178-023-6).
- Bulletin municipal. Article de C. Bertre sur la base aérienne.
- Archives de la famille Le Normand : prospectus donné lors des journées du patrimoine
Notes et références
- Type 11 dit bébé Nieuport : Biplace, 155 km/h, 4 500 mètres de plafond.
- Type L parasol : Biplace, 125 km/h, 4 000 mètres de plafond.
- Biplan, bimoteur, 125 km/h. Type G4 :
- Capitaine Brocard ; lieutenants Deullin, Fremont, Guilbert, Richard, Venson ; adjudants Bucquet, Houssemand, Védrines ; sergents Grivotte, Guynemer ; caporal Richard.
- 1940, lors de l'occupation allemande, Alfred Debbrie a été délégué-maire par le Kommandantur. Le maire de l'époque, M. Pommery étant mobilisé n'a pu pendant ce temps s'occuper des affaires de la commune jusqu'en septembre 1940 (date de sa démobilisation). La salle des fêtes de Clermont de l'Oise porte en mémoire son nom En
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 25 octobre 2010
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 25 octobre 2010
- Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 25 octobre 2010
- Évolution et structure de la population à Breuil-le-Sec en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 25 octobre 2010
- Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 25 octobre 2010
- Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA00114552 » sur www.culture.gouv.fr.
- Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA60000060 » sur www.culture.gouv.fr.
- jardin d'agrément, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA00114555 » sur www.culture.gouv.fr.
- Extrait du livre, Breuil le sec Autrefois et Aujourd'hui
- L'église Saint-Aubin sur la base mémoire, ministère de la culture sur www.culture.gouv.fr. Consulté le 19 septembre 2011
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